Objectif IronMan de Nice : Baptiste Aubry, un triathlète surmotivé

Vis ma vie d’influenceur
#sport, #running, #lifestyle : trois hashtags bien connus d’Anaïs Lafuente et Maxime Lefebvre. Ces étudiants en 4e année du Programme Grande École au sein du campus AMOS Paris n’ont pas que leur formation en commun. Ils sont adeptes de sport et ont réussi à construire de véritables communautés autour de leur passion. Sur Instagram, réseau social dédié au partage de photos et vidéos, Anaïs (@sianafit) et Maxime (@maxi_run) sont suivis respectivement par près de 8 700 et 10 700 abonnés. Interview autour de leurs relations avec les marques et des opportunités qui ont découlé de leur popularité. Comment est-ce que cette aventure a commencé pour vous ? Anaïs : « J’ai toujours adoré la photographie que j’ai commencé à 15 ans, quand j’ai eu mon premier Réflex. J’utilisais Instagram pour publier mes photos, comme un album. Petit à petit, mon compte est devenu plus personnel et a reflété mes passions pour le sport, la mode et le lifestyle. Ce qui a déclenché le début de ma communauté ? Le semestre en Angleterre lors de ma 2e année chez AMOS. J’ai contacté MYPROTEIN, une marque de compléments alimentaires et de vêtements fitness, et ai pu assister leur community manager pendant un mois et demi, à Londres. En rentrant en France, j’ai intégré leur équipe en tant qu’influenceuse. Aujourd’hui, je suis MYPROTEIN Athlète : je crée du contenu autour de cette marque sur mon compte Instagram.» Maxime : « Par hasard. Au départ, il s’agissait d’un compte Instagram basique, puis un jour mon père m’a suggéré d’en faire un autour de ma passion pour le sport. J’ai suivi son conseil et depuis, de plus en plus de personnes me suivent. » Que préférez-vous dans le fait d’être influenceurs ? Anaïs : « J’adore répondre aux questions de ma communauté, qu’elles soient liées au sport, à la nutrition ou autre ! Pour moi, il n’y a pas meilleure satisfaction. Je m’inspire également beaucoup d’autres comptes Instagram car j’aime découvrir de nouveaux modes de vie. » Maxime : « C’est super de pouvoir échanger avec les gens autour de notre passion commune puis d’être en mesure de leur offrir des cadeaux grâce aux marques avec lesquelles on travaille ! » En parlant de marques, vous êtes régulièrement sollicités grâce à vos profils Instagram. Quelles sont vos relations avec elles ? Maxime : « Dernièrement, j’ai signé un contrat avec Speedo pour être l’ambassadeur de leur campagne de communication avec Décathlon, à travers l’Europe. J’ai également eu l’opportunité de travailler avec d’autres marques comme :
- Asics, pour l’anniversaire et le lancement de la Nimbus 20
- Under Armour, pour l’événement sleepwear à l’hôtel Hoxton Paris
- ASOS, à deux reprises en tant qu’ambassadeur sur mes réseaux sociaux
- Lululemon, avec des dotations ainsi qu’un événement en présence des fidèles adhérents à la marque
- Aftershokz, lors du semi-marathon de Paris 2018
- Race Route, où j’étais chargé de faire la promotion de leur création
- Harman/JBL, à l’occasion du Marathon de Paris 2018
- La course du Grand Paris »
Vis ma vie d’influenceur
#sport, #running, #lifestyle : trois hashtags bien connus d’Anaïs Lafuente et Maxime Lefebvre. Ces étudiants en 4e année du Programme Grande École au sein du campus AMOS Paris n’ont pas que leur formation en commun. Ils sont adeptes de sport et ont réussi à construire de véritables communautés autour de leur passion. Sur Instagram, réseau social dédié au partage de photos et vidéos, Anaïs (@sianafit) et Maxime (@maxi_run) sont suivis respectivement par près de 8 700 et 10 700 abonnés. Interview autour de leurs relations avec les marques et des opportunités qui ont découlé de leur popularité. Comment est-ce que cette aventure a commencé pour vous ? Anaïs : « J’ai toujours adoré la photographie que j’ai commencé à 15 ans, quand j’ai eu mon premier Réflex. J’utilisais Instagram pour publier mes photos, comme un album. Petit à petit, mon compte est devenu plus personnel et a reflété mes passions pour le sport, la mode et le lifestyle. Ce qui a déclenché le début de ma communauté ? Le semestre en Angleterre lors de ma 2e année chez AMOS. J’ai contacté MYPROTEIN, une marque de compléments alimentaires et de vêtements fitness, et ai pu assister leur community manager pendant un mois et demi, à Londres. En rentrant en France, j’ai intégré leur équipe en tant qu’influenceuse. Aujourd’hui, je suis MYPROTEIN Athlète : je crée du contenu autour de cette marque sur mon compte Instagram.» Maxime : « Par hasard. Au départ, il s’agissait d’un compte Instagram basique, puis un jour mon père m’a suggéré d’en faire un autour de ma passion pour le sport. J’ai suivi son conseil et depuis, de plus en plus de personnes me suivent. » Que préférez-vous dans le fait d’être influenceurs ? Anaïs : « J’adore répondre aux questions de ma communauté, qu’elles soient liées au sport, à la nutrition ou autre ! Pour moi, il n’y a pas meilleure satisfaction. Je m’inspire également beaucoup d’autres comptes Instagram car j’aime découvrir de nouveaux modes de vie. » Maxime : « C’est super de pouvoir échanger avec les gens autour de notre passion commune puis d’être en mesure de leur offrir des cadeaux grâce aux marques avec lesquelles on travaille ! » En parlant de marques, vous êtes régulièrement sollicités grâce à vos profils Instagram. Quelles sont vos relations avec elles ? Maxime : « Dernièrement, j’ai signé un contrat avec Speedo pour être l’ambassadeur de leur campagne de communication avec Décathlon, à travers l’Europe. J’ai également eu l’opportunité de travailler avec d’autres marques comme :
- Asics, pour l’anniversaire et le lancement de la Nimbus 20
- Under Armour, pour l’événement sleepwear à l’hôtel Hoxton Paris
- ASOS, à deux reprises en tant qu’ambassadeur sur mes réseaux sociaux
- Lululemon, avec des dotations ainsi qu’un événement en présence des fidèles adhérents à la marque
- Aftershokz, lors du semi-marathon de Paris 2018
- Race Route, où j’étais chargé de faire la promotion de leur création
- Harman/JBL, à l’occasion du Marathon de Paris 2018
- La course du Grand Paris »
La sécurisation de l’événementiel sportif : un défi de taille
Le 15 mars dernier, AMOS Paris organisait sa troisième et dernière Master Class de l’année. Animée par Rodolphe Denis, le Directeur du campus, elle avait pour thème : la sécurisation de l’événementiel sportif. A cette occasion, trois professionnels ont répondu présent et ont partagé leur expertise avec nos étudiant(e)s :
- Sylvère Chamoin, Fondateur de Sycalima Conseil et Consultant indépendant, Expert achat et exploitation dans l’événementiel du sport et du spectacle,
- Thierry Marchand, Dirigeant de CALISTE, un expert de la gestion globale des risques événementiels et sportifs,
- Un spécialiste du renseignement dont l’identité ne pourra être dévoilée au sein de cet article
La sécurisation de l’événementiel sportif : un défi de taille
Le 15 mars dernier, AMOS Paris organisait sa troisième et dernière Master Class de l’année. Animée par Rodolphe Denis, le Directeur du campus, elle avait pour thème : la sécurisation de l’événementiel sportif. A cette occasion, trois professionnels ont répondu présent et ont partagé leur expertise avec nos étudiant(e)s :
- Sylvère Chamoin, Fondateur de Sycalima Conseil et Consultant indépendant, Expert achat et exploitation dans l’événementiel du sport et du spectacle,
- Thierry Marchand, Dirigeant de CALISTE, un expert de la gestion globale des risques événementiels et sportifs,
- Un spécialiste du renseignement dont l’identité ne pourra être dévoilée au sein de cet article
TARZAN aux JO de Paris en 1924 !
L’accueil à Paris des JO et paralympiques de 2024 correspondra au centenaire de ceux que la capitale avaient organisés en 1924. Premiers JO médiatiques de l’histoire olympique, les Jeux de 1924 ont été marqués par l’arrivée de…. Tarzan en natation ! Johnny Weissmuller, médaillé d’or au 100 m nage libre sera aussi premier TARZAN au cinéma ! Premier homme (encore !) à passer au-dessous de la minute au 100 mètres nage libre, le 9 juillet 1922, avec un temps de 58 s 6, il avait appris à nager à neuf ans pour lutter contre la poliomyélite qui menaçait de le paralyser….Aux Jeux olympiques de 1924 à Paris et en trois jours, du 18 au 20 juillet, il s'octroie quatre médailles, l'or sur 100 mètres, sur 400 mètres et au relais 4 × 200 mètres et une médaille de bronze en water-polo. Il réussira à conserver son titre du 100 m nage libre, quatre ans plus tard à Los Angeles (qui accueillera les JO cent ans après les siens aussi). En deux olympiades, il obtiendra cinq médailles d'or et une en bronze ! Une des particularités de Johnny Weissmuller était de nager le crawl avec la tête hors de l'eau, méthode utilisée dans le water- polo. Le cinéma va faire du champion olympique de Paris 1924 une star hollywoodienne hors norme comme il va se saisir de la rivalité de deux coureurs britanniques (Abrahams et Eric Liddell) à ces mêmes jeux. Lidell sera le vainqueur du 400 m refusant de courir le 100m parce que se déroulant le dimanche ( jour du Seigneur) qu’Abrahams gagnera. Le film « Les Chariots de feu » avec la musique de Vangelis immortalisera ces premiers JO cinématographiques de Paris 1924 avant ceux de 2024 !
TARZAN aux JO de Paris en 1924 !
L’accueil à Paris des JO et paralympiques de 2024 correspondra au centenaire de ceux que la capitale avaient organisés en 1924. Premiers JO médiatiques de l’histoire olympique, les Jeux de 1924 ont été marqués par l’arrivée de…. Tarzan en natation ! Johnny Weissmuller, médaillé d’or au 100 m nage libre sera aussi premier TARZAN au cinéma ! Premier homme (encore !) à passer au-dessous de la minute au 100 mètres nage libre, le 9 juillet 1922, avec un temps de 58 s 6, il avait appris à nager à neuf ans pour lutter contre la poliomyélite qui menaçait de le paralyser….Aux Jeux olympiques de 1924 à Paris et en trois jours, du 18 au 20 juillet, il s'octroie quatre médailles, l'or sur 100 mètres, sur 400 mètres et au relais 4 × 200 mètres et une médaille de bronze en water-polo. Il réussira à conserver son titre du 100 m nage libre, quatre ans plus tard à Los Angeles (qui accueillera les JO cent ans après les siens aussi). En deux olympiades, il obtiendra cinq médailles d'or et une en bronze ! Une des particularités de Johnny Weissmuller était de nager le crawl avec la tête hors de l'eau, méthode utilisée dans le water- polo. Le cinéma va faire du champion olympique de Paris 1924 une star hollywoodienne hors norme comme il va se saisir de la rivalité de deux coureurs britanniques (Abrahams et Eric Liddell) à ces mêmes jeux. Lidell sera le vainqueur du 400 m refusant de courir le 100m parce que se déroulant le dimanche ( jour du Seigneur) qu’Abrahams gagnera. Le film « Les Chariots de feu » avec la musique de Vangelis immortalisera ces premiers JO cinématographiques de Paris 1924 avant ceux de 2024 !