À Pralognan-la-Vanoise, la montagne fait École

AMOS a mis en place un partenariat avec la commune de Pralognan-la-Vanoise représentée par Madame le Maire Armelle Rolland , Samantha Rolland conseillère municipale et vice-présidente de la commission Délégation de Service Public (DSP) et Jonathan Bossé, directeur d’AMOS Lyon. Cette convention de partenariat s’appuie aussi sur les compétences de la société Aqu’ice pilotée par Rémy Boehler, son directeur général et l’ensemble de ses équipes qui ont en charge la gestion des équipements sportifs de la station. Cette signature fait suite à une première participation des étudiants à l’étape de la Coupe du Monde FIS de Télémark en France (2018) et renouvelée en 2019 à Pralognan.
Comme en témoigne Samantha Rolland « Ce qui est très intéressant avec AMOS et ce qui est super dans cette école, c’est que tout peut être écrit. Nous avions vu entre Aqu’Ice, Pralognan et AMOS, quelque chose d’innovant à mettre en place ! Nous avons de beaux partenaires pour expérimenter pleins de choses. Le point de départ de la convention entre Pralognan, Aqu’Ice et AMOS était la mise en place du partenariat sur l’étape de la Coupe du Monde FIS de Télémark. J’ai coordonné cette étape de la Coupe du Monde et nous avons eu la chance, pour la deuxième année de suite, de travailler avec 6 étudiants d’AMOS. Ils ont joué le jeu, ils étaient au top. Ils ont très bien réussi à s’intégrer dans les équipes lors de la Coupe du Monde de Télémark. Ils étaient en charge de la gestion des invitations, des accréditations, de missions d’hospitalité, d’accueil VIP mais aussi de la rédaction et de la distribution quotidienne du Pralo’News, magazine présentant l’actualité de la Coupe du Monde FIS de Télémark 2019. Les jours J, ils ont été des bras, des serveurs, des travailleurs, des animateurs et toujours avec le sourire et l’assiduité. »
C’est donc dans ce cadre que les échanges avec cette station pionnière dans les sports d’hiver ont débouché sur des engagements communs avec l’apport de la société Aqu’Ice bénéficiaire d’une DSP : cette entreprise assure l’exploitation et la gestion du centre aqualudique, de la patinoire et du camping de Pralognan-la-Vanoise. Dans un premier temps, le partenariat confirme l’implication des étudiants dans l’organisation de la Coupe du Monde de Télémark pour 2020. Dans un second temps, les métiers en montagne étant en constante évolution, il est apparu opportun de réfléchir aux adaptations indispensables à la formation des professionnels du sport et du tourisme : c’est l’apport de la société Aqu’Ice délégataire de la commune de Pralognan.
En effet les stations de montagne et de sports d’hiver signalent régulièrement leurs difficultés pour recruter des collaborateurs formés à ces évolutions. AMOS envisage ainsi d’adapter à terme son référentiel de formation en sport management et de proposer des modules de cours pour ce secteur, en collaboration avec Aqu’Ice et d’autres acteurs de la montagne. L’objectif sera de mieux répondre aux attentes des collectivités pour maîtriser la DSP que vous allez découvrir maintenant.
Mme Rolland, pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement des équipements sportifs de Pralognan-la-Vanoise en Délégation de Service Public ?
« La délégation de service public est un contrat entre le délégant et le délégataire. Aujourd’hui à Pralognan, nous avons choisi cette formule de DSP parce que nous n’avions pas les compétences en interne pour assurer la gestion de nos équipements sportifs. L’enjeu est de taille avec ce type d’équipement qui est structurellement déficitaire. Il faut à la fois maîtriser les coûts de fonctionnement et développer le chiffre d’affaires sur des infrastructures très spécifiques et sur un territoire de tourisme de montagne. Nous avons eu la chance de recevoir 3 candidatures. Sur l’analyse financière et technique celle d’Aqu’ice était la plus compatible avec notre capacité financière et également elle répondait à nos attentes en matière de gouvernance territoriale, de conservation du patrimoine et de commercialisation des équipements. Nous venions de créer une nouvelle piscine et il fallait l’entretenir et en même temps entretenir et exploiter notre patinoire olympique datant de 1992.
Cette offre correspondait à la maintenance souhaitée en préservant le patrimoine et présentait une vraie plus-value commerciale notamment pour notre outil olympique de sports de haut niveau. Aqu’Ice est spécialisée dans l’animation, l’optimisation et l’exploitation d’espaces sports et de loisirs notamment en station de montagne. Aqu’ice a su mettre en avant également sa compréhension de la politique sociale d’une collectivité qui est de bien prendre en compte les clubs, nous avons 80 enfants qui font des activités à la patinoire ou dans ce centre. Nous devons avoir un délégataire qui prend cela en compte et qui tisse le lien avec eux. Aqu’ice a également su mettre en avant sa compréhension du fonctionnement d’une station touristique : nous travaillons sur une seule et même enseigne, la marque : Pralognan. C’est pour ces raisons qu’Aqu’Ice était la meilleure candidature. Dans moins de 10 ans, il va falloir se poser des questions sur le bâtiment de la patinoire, notre souhait étant de donner la meilleure chance à cet équipement à travers une société compétente. Dans le contrat de DSP, nous nous mettons d’accord sur des indemnités compensatoires annuelles fixées comme sur un plan d’investissement annuel et pluriannuel, et il leur appartient de faire leur commerce et de gérer la structure. La commune reste impliquée pour assurer le suivi de la délégation de service public, pour rester à l’écoute et pour trouver des solutions ensemble. Nous sommes partis sur une délégation courte de 5 ans car c’est la capacité à commercialiser qui doit équilibrer cette délégation. »
Monsieur Boehler, pouvez-vous nous définir les compétences de votre société Aqu’Ice ?
« Notre société présidée par Mr Charles Gueydan gère des équipements sportifs et de loisirs pour le compte des collectivités. De quoi s’agit-il ? Nous sommes une entreprise qui prend en charge l’animation et l’exploitation d’équipements publics forme et bien-être orientés autour des éléments naturels : l’eau, la glace et l’air. Nous avons créé cette société il y a 10 ans car le modèle public de la gestion des équipements sportifs s’essouffle et ne répond plus aux enjeux. Il y a différents modèles de DSP avec des cultures d’entreprises et une gestion différente. Nous essayons pour notre part de nous projeter vers l’avenir avec de nouveaux modèles.
Nous avons aussi créé une seconde société, Session Pro qui a vocation à faire de la formation sur les métiers très spécifiques qui sont ceux de la gestion des patinoires et des piscines. Ce sont des métiers vraiment techniques. Mais il y aussi l’évènementiel, qui est la cerise sur le gâteau !
Nous avons fait la glace pour Pyeong Chang aux derniers JO et nous venons de signer avec les JO de Pékin de 2022. Pour nous, ce sont des missions très importantes. Le travail est le même que ce que nous faisons à Pralognan, c’est notre ADN, on se nourrit de cela. Les collectivités mettent leurs équipements en Délégation de Service Public avant tout pour des questions de responsabilités, que ce soit sur les remontées mécaniques ou la piscine. Il y a des axes de dangerosité. La surveillance du bassin est une responsabilité importante qui incombe à la société en DSP, en plus de la bonne gestion des équipements. Pour que l’établissement soit rentable, nous devons veiller à bien gérer l’équipement, les dépenses énergétiques mais aussi créer des activités pour générer des recettes sur la gestion de cet équipement. Et paradoxalement nous créons de l’emploi. Les infrastructures, ce sont des équipements sportifs mis à disposition par la collectivité. Ils doivent être en état de fonctionnement. Notre métier chez Aqu’Ice, c’est d’exploiter ces équipements et faire en sorte qu’il n’y ait pas de problèmes de fonctionnement.»
Mais à Pralognan il y a aussi des investissements prévus ?
« Oui en effet, c’est une des particularités à Pralognan mais c’est très rarement le cas, ce qui constitue une des forces de développement et c’est rassurant. La relation que nous construisons avec la collectivité nous permet de mesurer cet investissement. Lorsque nous avons une deadline importante pour l’exploitation, nous la maintenons et après nous discutons de savoir comment nous allons la régler. Nous sommes dans une nouvelle manière de penser une DSP avec plus de proximité et d’échanges. »
Quelles sont les problématiques rencontrées actuellement par les DSP ?
« Un des sujets de préoccupation pour les délégataires est de trouver des personnes en charge de ces établissements qui soient formées techniquement mais aussi au niveau commercial et managérial. C’est un métier complet et très varié. A l’inverse des Etats-Unis où il y a un directeur technique, un directeur commercial, un directeur marketing, de communication à la tête de ces structures, en France nous ne pouvons pas embaucher plusieurs cadres à la tête d’un équipement. L’objectif est entre autres de commercialiser et rendre attractif l’espace aqualudique, de 8 000 m2 d’espaces dédiés aux loisirs, au sport et à la détente.
A Pralognan, nous offrons des activités variées : patinoire olympique, piscine, bowling, curling ou encore plateau polyvalent permettant d’accueillir du badminton, basketball, handball, mur d’escalade, salle de fitness. Nous avons aussi un espace relaxation, avec spa, jacuzzi, sauna, hammam, bains froids et des soins proposés. Fouler la même glace que des champions tels que Surya Bonaly (seule patineuse française à avoir remporté le titre européen en 1991 et 1992 depuis les premiers championnats d’Europe pour les dames), Philippe Candeloro (deux médailles de bronze aux JO d’hiver de 1994 à Lillehammer et de 1998 à Nagano et vice-champion du monde en 1994) ou l’Equipe de France de Hockey des JO de 1992, c’est possible et c’est ici à Pralognan !
La patinoire est également un lieu de spectacle et d’animation, entre exhibitions de patinage artistique et matchs de hockey, cours de patinage artistique et soirées spéciales musiques et lumières. Le modèle économique sportif en France est totalement à redéfinir, à la fois en termes de gestion, mais aussi en termes de finalités. La gestion de l’équipement intègre des finalités qui vont au-delà de la maintenance du matériel, comme le vivre ensemble, développer le sport comme un lien social, accueillir les fans et développer, commercialiser la partie incentive, ce que font très bien les américains.
La patinoire de Pralognan est ouverte à l’année, et pas uniquement l’hiver. Les jeunes de Pralognan viennent le mercredi ou le week-end à la patinoire et tous les publics sont touchés. Aujourd’hui lorsque nous allons chercher des directeurs de structure ou des agents, nous nous retrouvons avec des personnes qui sont aux antipodes de ce que nous attendons, déconnectées de la réalité du terrain. »
Ce sont ces apports en réflexion sur le plan économique, managérial et sportif qui sont ainsi au centre de ce partenariat original que lequel Jonathan Bossé reviendra dans la seconde partie de cet article pour le prochain SBR. Car comme il le dit lui-même : « Nous souhaitons renforcer l’ancrage d’AMOS lié au territoire à travers ce type de partenariat. Nous mettons en place des terrains de jeu opérationnels pour valider la formation de nos étudiants et développer leur expérience professionnelle. »
Comme en témoigne Samantha Rolland « Ce qui est très intéressant avec AMOS et ce qui est super dans cette école, c’est que tout peut être écrit. Nous avions vu entre Aqu’Ice, Pralognan et AMOS, quelque chose d’innovant à mettre en place ! Nous avons de beaux partenaires pour expérimenter pleins de choses. Le point de départ de la convention entre Pralognan, Aqu’Ice et AMOS était la mise en place du partenariat sur l’étape de la Coupe du Monde FIS de Télémark. J’ai coordonné cette étape de la Coupe du Monde et nous avons eu la chance, pour la deuxième année de suite, de travailler avec 6 étudiants d’AMOS. Ils ont joué le jeu, ils étaient au top. Ils ont très bien réussi à s’intégrer dans les équipes lors de la Coupe du Monde de Télémark. Ils étaient en charge de la gestion des invitations, des accréditations, de missions d’hospitalité, d’accueil VIP mais aussi de la rédaction et de la distribution quotidienne du Pralo’News, magazine présentant l’actualité de la Coupe du Monde FIS de Télémark 2019. Les jours J, ils ont été des bras, des serveurs, des travailleurs, des animateurs et toujours avec le sourire et l’assiduité. »
C’est donc dans ce cadre que les échanges avec cette station pionnière dans les sports d’hiver ont débouché sur des engagements communs avec l’apport de la société Aqu’Ice bénéficiaire d’une DSP : cette entreprise assure l’exploitation et la gestion du centre aqualudique, de la patinoire et du camping de Pralognan-la-Vanoise. Dans un premier temps, le partenariat confirme l’implication des étudiants dans l’organisation de la Coupe du Monde de Télémark pour 2020. Dans un second temps, les métiers en montagne étant en constante évolution, il est apparu opportun de réfléchir aux adaptations indispensables à la formation des professionnels du sport et du tourisme : c’est l’apport de la société Aqu’Ice délégataire de la commune de Pralognan.
Quand une collectivité territoriale souhaite confier la gestion de ses équipements sportifs ou de ses services (comme la distribution de l’eau par exemple) elle passe un contrat avec un opérateur privé pour lui déléguer certaines missions sur une durée définie ; c’est une DSP. Cette procédure bien connue dans le secteur public évolue. En effet les moyens financiers du secteur public étant soumis à des restrictions et des économies donnent aux collectivités la possibilité de développer ce modèle économique pour mieux assurer la professionnalisation de la gestion des équipements et d’en maîtriser les coûts avec l’évaluation des résultats du prestataire à la fin de la durée du contrat.
En effet les stations de montagne et de sports d’hiver signalent régulièrement leurs difficultés pour recruter des collaborateurs formés à ces évolutions. AMOS envisage ainsi d’adapter à terme son référentiel de formation en sport management et de proposer des modules de cours pour ce secteur, en collaboration avec Aqu’Ice et d’autres acteurs de la montagne. L’objectif sera de mieux répondre aux attentes des collectivités pour maîtriser la DSP que vous allez découvrir maintenant.

Photo : Epreuve de sprint lors de la Coupe du Monde FIS de Télémark copyright Agence Zoom
Mme Rolland, pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement des équipements sportifs de Pralognan-la-Vanoise en Délégation de Service Public ?
« La délégation de service public est un contrat entre le délégant et le délégataire. Aujourd’hui à Pralognan, nous avons choisi cette formule de DSP parce que nous n’avions pas les compétences en interne pour assurer la gestion de nos équipements sportifs. L’enjeu est de taille avec ce type d’équipement qui est structurellement déficitaire. Il faut à la fois maîtriser les coûts de fonctionnement et développer le chiffre d’affaires sur des infrastructures très spécifiques et sur un territoire de tourisme de montagne. Nous avons eu la chance de recevoir 3 candidatures. Sur l’analyse financière et technique celle d’Aqu’ice était la plus compatible avec notre capacité financière et également elle répondait à nos attentes en matière de gouvernance territoriale, de conservation du patrimoine et de commercialisation des équipements. Nous venions de créer une nouvelle piscine et il fallait l’entretenir et en même temps entretenir et exploiter notre patinoire olympique datant de 1992.
Cette offre correspondait à la maintenance souhaitée en préservant le patrimoine et présentait une vraie plus-value commerciale notamment pour notre outil olympique de sports de haut niveau. Aqu’Ice est spécialisée dans l’animation, l’optimisation et l’exploitation d’espaces sports et de loisirs notamment en station de montagne. Aqu’ice a su mettre en avant également sa compréhension de la politique sociale d’une collectivité qui est de bien prendre en compte les clubs, nous avons 80 enfants qui font des activités à la patinoire ou dans ce centre. Nous devons avoir un délégataire qui prend cela en compte et qui tisse le lien avec eux. Aqu’ice a également su mettre en avant sa compréhension du fonctionnement d’une station touristique : nous travaillons sur une seule et même enseigne, la marque : Pralognan. C’est pour ces raisons qu’Aqu’Ice était la meilleure candidature. Dans moins de 10 ans, il va falloir se poser des questions sur le bâtiment de la patinoire, notre souhait étant de donner la meilleure chance à cet équipement à travers une société compétente. Dans le contrat de DSP, nous nous mettons d’accord sur des indemnités compensatoires annuelles fixées comme sur un plan d’investissement annuel et pluriannuel, et il leur appartient de faire leur commerce et de gérer la structure. La commune reste impliquée pour assurer le suivi de la délégation de service public, pour rester à l’écoute et pour trouver des solutions ensemble. Nous sommes partis sur une délégation courte de 5 ans car c’est la capacité à commercialiser qui doit équilibrer cette délégation. »

Photo : L’espace aqualudique de Pralognan-la-Vanoise - © Gilles Lansard
Monsieur Boehler, pouvez-vous nous définir les compétences de votre société Aqu’Ice ?
« Notre société présidée par Mr Charles Gueydan gère des équipements sportifs et de loisirs pour le compte des collectivités. De quoi s’agit-il ? Nous sommes une entreprise qui prend en charge l’animation et l’exploitation d’équipements publics forme et bien-être orientés autour des éléments naturels : l’eau, la glace et l’air. Nous avons créé cette société il y a 10 ans car le modèle public de la gestion des équipements sportifs s’essouffle et ne répond plus aux enjeux. Il y a différents modèles de DSP avec des cultures d’entreprises et une gestion différente. Nous essayons pour notre part de nous projeter vers l’avenir avec de nouveaux modèles.
Nous avons aussi créé une seconde société, Session Pro qui a vocation à faire de la formation sur les métiers très spécifiques qui sont ceux de la gestion des patinoires et des piscines. Ce sont des métiers vraiment techniques. Mais il y aussi l’évènementiel, qui est la cerise sur le gâteau !
Nous avons fait la glace pour Pyeong Chang aux derniers JO et nous venons de signer avec les JO de Pékin de 2022. Pour nous, ce sont des missions très importantes. Le travail est le même que ce que nous faisons à Pralognan, c’est notre ADN, on se nourrit de cela. Les collectivités mettent leurs équipements en Délégation de Service Public avant tout pour des questions de responsabilités, que ce soit sur les remontées mécaniques ou la piscine. Il y a des axes de dangerosité. La surveillance du bassin est une responsabilité importante qui incombe à la société en DSP, en plus de la bonne gestion des équipements. Pour que l’établissement soit rentable, nous devons veiller à bien gérer l’équipement, les dépenses énergétiques mais aussi créer des activités pour générer des recettes sur la gestion de cet équipement. Et paradoxalement nous créons de l’emploi. Les infrastructures, ce sont des équipements sportifs mis à disposition par la collectivité. Ils doivent être en état de fonctionnement. Notre métier chez Aqu’Ice, c’est d’exploiter ces équipements et faire en sorte qu’il n’y ait pas de problèmes de fonctionnement.»
Mais à Pralognan il y a aussi des investissements prévus ?
« Oui en effet, c’est une des particularités à Pralognan mais c’est très rarement le cas, ce qui constitue une des forces de développement et c’est rassurant. La relation que nous construisons avec la collectivité nous permet de mesurer cet investissement. Lorsque nous avons une deadline importante pour l’exploitation, nous la maintenons et après nous discutons de savoir comment nous allons la régler. Nous sommes dans une nouvelle manière de penser une DSP avec plus de proximité et d’échanges. »
Quelles sont les problématiques rencontrées actuellement par les DSP ?
« Un des sujets de préoccupation pour les délégataires est de trouver des personnes en charge de ces établissements qui soient formées techniquement mais aussi au niveau commercial et managérial. C’est un métier complet et très varié. A l’inverse des Etats-Unis où il y a un directeur technique, un directeur commercial, un directeur marketing, de communication à la tête de ces structures, en France nous ne pouvons pas embaucher plusieurs cadres à la tête d’un équipement. L’objectif est entre autres de commercialiser et rendre attractif l’espace aqualudique, de 8 000 m2 d’espaces dédiés aux loisirs, au sport et à la détente.
A Pralognan, nous offrons des activités variées : patinoire olympique, piscine, bowling, curling ou encore plateau polyvalent permettant d’accueillir du badminton, basketball, handball, mur d’escalade, salle de fitness. Nous avons aussi un espace relaxation, avec spa, jacuzzi, sauna, hammam, bains froids et des soins proposés. Fouler la même glace que des champions tels que Surya Bonaly (seule patineuse française à avoir remporté le titre européen en 1991 et 1992 depuis les premiers championnats d’Europe pour les dames), Philippe Candeloro (deux médailles de bronze aux JO d’hiver de 1994 à Lillehammer et de 1998 à Nagano et vice-champion du monde en 1994) ou l’Equipe de France de Hockey des JO de 1992, c’est possible et c’est ici à Pralognan !
La patinoire est également un lieu de spectacle et d’animation, entre exhibitions de patinage artistique et matchs de hockey, cours de patinage artistique et soirées spéciales musiques et lumières. Le modèle économique sportif en France est totalement à redéfinir, à la fois en termes de gestion, mais aussi en termes de finalités. La gestion de l’équipement intègre des finalités qui vont au-delà de la maintenance du matériel, comme le vivre ensemble, développer le sport comme un lien social, accueillir les fans et développer, commercialiser la partie incentive, ce que font très bien les américains.
La patinoire de Pralognan est ouverte à l’année, et pas uniquement l’hiver. Les jeunes de Pralognan viennent le mercredi ou le week-end à la patinoire et tous les publics sont touchés. Aujourd’hui lorsque nous allons chercher des directeurs de structure ou des agents, nous nous retrouvons avec des personnes qui sont aux antipodes de ce que nous attendons, déconnectées de la réalité du terrain. »
Ce sont ces apports en réflexion sur le plan économique, managérial et sportif qui sont ainsi au centre de ce partenariat original que lequel Jonathan Bossé reviendra dans la seconde partie de cet article pour le prochain SBR. Car comme il le dit lui-même : « Nous souhaitons renforcer l’ancrage d’AMOS lié au territoire à travers ce type de partenariat. Nous mettons en place des terrains de jeu opérationnels pour valider la formation de nos étudiants et développer leur expérience professionnelle. »

Photo : Les étudiants d’AMOS lyon impliqués dans l’organisation de la Coupe du Monde FIS de Télémark à Pralognan – la – Vanoise. De gauche à droite : Théophile Grosset-Janin, Pauline Beysseriat, Flavien Trivino, Clément Veau, Mathilde Serra, Laurine Dussollier
Photo principale : De gauche à droite : Xavier Heuzard, directeur de la patinoire de Pralognan gérée par Aqu’Ice, Valérie Serpollet, Directrice de l’office du Tourisme de Pralognan, Rémy Boehler, Directeur Général d’Aqu’Ice, Samantha Rolland, conseillère municipale et vice-présidente de la commission DSP et Jonathan Bossé, Directeur d’AMOS Lyon
Propos recueillis par Anne-Charlotte Meyer, Chargée de communication, AMOS Lyon
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18 Apr 2023
Le Hackathon AMOS depuis le campus lyonnais
24 heures non-stop
Un seul objectif et 24 heures non-stop pour le mettre en œuvre : travailler en équipe mixant des étudiants provenant de différentes promotions pour créer un projet d'animations sur la ville de Lyon, dans le cadre de la Coupe du Monde de Rugby 2023. Ce sont tous les campus AMOS sur le territoire qui se sont lancés dans ce Hackaton AMOS mardi 14 février dernier pour un jeu d’entreprise qui mêle à la fois compétition et stratégie entrepreneuriale. Ce Hackaton mobilise l’ensemble des compétences délivrées dans les différents modules d’enseignement dispensés sur nos campus : marketing, communication, évènementiel sportif, finance, management d’équipe... Le défi était de taille puisqu’ils ont dû proposer un projet complet comprenant plusieurs actions, choix des partenaires, stratégies de communication et marketing territorial, tout en apportant un budget associé.
JOUR J, DECOUVERTE DU SUJET !
Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, les étudiants du campus ont été chaleureusement accueilli avec un petit déjeuner offert par le BDA. De quoi prendre des forces avant le début de ce challenge entrepreneurial. Les AMOScien(ne)s ont été répartis en 13 groupes dans toutes les salles du campus, qui leur avaient été attribuées au préalable. Tous les groupes ont dû faire preuve d'organisation pour s'assurer qu'il y ait au minimum 4 étudiants sur le campus durant les 24 heures suivantes. Les membres de chaque équipe ont pu alors se relayer pour travailler sur le projet, en vue de gagner la compétition.
DÉBUT DES 24H CHRONO
Répartis dans les différentes salles du campus Lyonnais, les étudiants ont visionné à 12H précise la vidéo de lancement dans laquelle Matthieu Lartot (présentateur télé France TV), Dimitri Yachvili (2 fois vainqueur du Top 14) et Vincent Clerc (3 fois vainqueur du Top 14) leur ont dévoilé le sujet. Il était donc demandé aux étudiants de développer un programme de soutien local pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 qui optimise l'impact social de l'événement et implique tous les résidents de la métropole Lyonnaise. Chaque groupe devait s’organiser afin de se répartir le travail entre eux et de gérer au mieux son temps. « Dès le début, nous avons mis en place une organisation très efficace pour répartir les missions et les horaires de travail. Par des sessions de 6 heures, en nous relayant les uns les autres pour assurer une continuité dans le travail. Chacun avait ses préférences et nous avons réussi à coordonner parfaitement notre travail en fonction des disponibilités de chacun » - Cyril, AMOScien de 2ème année
DÉFIS, ANIMATIONS ET SUPRISES
Outre le challenge entrepreneurial principal, les étudiants devaient également relever plusieurs défis au cours de la journée, annoncés sur le compte Instagram AMOS Lyon. Il leur était par exemple demandé de réaliser une photo d’équipe originale ainsi que la création d’un Hacka. Grâce au BDA AMOS Lyon, des animations ont pu être organisées tout au long de ces 24 heures afin de tenir motivé(e)s et éveillé(e)s les AMOScien(ne)s : Retransmission du match PSG/Bayern de Munich, barbecue, billard, pétanque, basket-ball, etc… La surprise a été la réception d’un communiqué fictif demandant un protocole strict, à rendre en quelques heures pour montrer leur capacité d’adaptabilité et de flexibilité dans l’évènementiel , prévoyant la venue du Président souhaitant assister à un match de Rugby à Lyon.
PRÉSENTATIONS FINALES
Le mercredi 15 février à 12h, tous les groupes ont donc rendu leur dossier complet en attendant le début des soutenances prévu à 13H30. Les équipes ont alors défilé les unes après les autres devant un jury de spécialistes : 3 intervenants spécialistes en Sport Business et intervenants sur le campus AMOS Lyon ainsi que 3 membres du staff de l’école. Le verdict est tombé à 17H30 et l’équipe gagnante du campus Lyonnais a pu célébrer sa victoire. Bravo à tous les étudiants pour leur implication ! « C’était une très belle expérience, nous avons pu mettre à contribution toutes les compétences acquises en cours ces dernières années ! » - AMOScien de 4e année « Je suis contente d’avoir gagné, ça récompense tous nos efforts qu’on a fourni depuis le début de ce Hackathon. » - AMOSCienne de 2e année Article écrit par Cyril LE NUE, AMOScien de 2e année.18 Apr 2023
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JOUR J, DECOUVERTE DU SUJET !
Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, les étudiants du campus ont été chaleureusement accueilli avec un petit déjeuner offert par le BDA. De quoi prendre des forces avant le début de ce challenge entrepreneurial. Les AMOScien(ne)s ont été répartis en 13 groupes dans toutes les salles du campus, qui leur avaient été attribuées au préalable. Tous les groupes ont dû faire preuve d'organisation pour s'assurer qu'il y ait au minimum 4 étudiants sur le campus durant les 24 heures suivantes. Les membres de chaque équipe ont pu alors se relayer pour travailler sur le projet, en vue de gagner la compétition.
DÉBUT DES 24H CHRONO
Répartis dans les différentes salles du campus Lyonnais, les étudiants ont visionné à 12H précise la vidéo de lancement dans laquelle Matthieu Lartot (présentateur télé France TV), Dimitri Yachvili (2 fois vainqueur du Top 14) et Vincent Clerc (3 fois vainqueur du Top 14) leur ont dévoilé le sujet. Il était donc demandé aux étudiants de développer un programme de soutien local pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 qui optimise l'impact social de l'événement et implique tous les résidents de la métropole Lyonnaise. Chaque groupe devait s’organiser afin de se répartir le travail entre eux et de gérer au mieux son temps. « Dès le début, nous avons mis en place une organisation très efficace pour répartir les missions et les horaires de travail. Par des sessions de 6 heures, en nous relayant les uns les autres pour assurer une continuité dans le travail. Chacun avait ses préférences et nous avons réussi à coordonner parfaitement notre travail en fonction des disponibilités de chacun » - Cyril, AMOScien de 2ème année
DÉFIS, ANIMATIONS ET SUPRISES
Outre le challenge entrepreneurial principal, les étudiants devaient également relever plusieurs défis au cours de la journée, annoncés sur le compte Instagram AMOS Lyon. Il leur était par exemple demandé de réaliser une photo d’équipe originale ainsi que la création d’un Hacka. Grâce au BDA AMOS Lyon, des animations ont pu être organisées tout au long de ces 24 heures afin de tenir motivé(e)s et éveillé(e)s les AMOScien(ne)s : Retransmission du match PSG/Bayern de Munich, barbecue, billard, pétanque, basket-ball, etc… La surprise a été la réception d’un communiqué fictif demandant un protocole strict, à rendre en quelques heures pour montrer leur capacité d’adaptabilité et de flexibilité dans l’évènementiel , prévoyant la venue du Président souhaitant assister à un match de Rugby à Lyon.
PRÉSENTATIONS FINALES
Le mercredi 15 février à 12h, tous les groupes ont donc rendu leur dossier complet en attendant le début des soutenances prévu à 13H30. Les équipes ont alors défilé les unes après les autres devant un jury de spécialistes : 3 intervenants spécialistes en Sport Business et intervenants sur le campus AMOS Lyon ainsi que 3 membres du staff de l’école. Le verdict est tombé à 17H30 et l’équipe gagnante du campus Lyonnais a pu célébrer sa victoire. Bravo à tous les étudiants pour leur implication ! « C’était une très belle expérience, nous avons pu mettre à contribution toutes les compétences acquises en cours ces dernières années ! » - AMOScien de 4e année « Je suis contente d’avoir gagné, ça récompense tous nos efforts qu’on a fourni depuis le début de ce Hackathon. » - AMOSCienne de 2e année Article écrit par Cyril LE NUE, AMOScien de 2e année.18 Apr 2023
Retour sur la Masterclass : sponsoring sportif chez Groupama Rhône-Alpes-Auvergne
Un partage d’expérience et la présentation des stratégies de sponsoring sportif chez Groupama Rhône-Alpes-Auvergne
Lors de ce second semestre, nos AMOSciens Lyonnais ont pu assister à la 2e Master Class de l’année avec l’intervention de Manuel BARBANCHON (Responsable Régional Partenariats et Mécénats), Frank RATAJ (Chargé de Missions Partenariats) et Antoine BESSE (Para-triathlète Français) Manuel Barbanchon et Franck Rataj nous ont d’abord présenté la stratégie de partenariat du Groupe Groupama qui s’étend bien au-delà du Groupama Stadium que connaissent très bien les étudiants Lyonnais. Tout a commencé il y a une vingtaine d’année lorsque Groupama décida de sponsoriser son premier sportif, Franck CAMMAS navigateur et skipper français. A la suite de cette belle expérience partagée, l’assureur a cherché à toucher une pratique sportive populaire telle que le cyclisme, afin de s’imposer dans le monde du sponsoring sportif. La Team Groupama FDJ est donc créée en 1997 et devient par la suite la première équipe française de vélo route.

Témoignage de sportif : Antoine BESSE, para-triathlète Français
Pour clôturer la conférence, nos AMOSciens Lyonnais ont eu le privilège d’écouter Antoine BESSE, para-triathlète, qui est revenu sur son parcours de sportif et du partenariat établi avec Groupama Rhône-Alpes-Auvergne. Ancien rugbyman, il a commencé sa carrière de para-athlète à la suite d’un grave accident de vélo. Afin de le soutenir dans son projet Groupama a décidé de l’accompagner à réaliser ses objectifs et l’entreprise ne se focalise pas que sur ses résultats mais aussi beaucoup sur l’épanouissement personnel du sportif.
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Retour sur la Masterclass : sponsoring sportif chez Groupama Rhône-Alpes-Auvergne
Un partage d’expérience et la présentation des stratégies de sponsoring sportif chez Groupama Rhône-Alpes-Auvergne
Lors de ce second semestre, nos AMOSciens Lyonnais ont pu assister à la 2e Master Class de l’année avec l’intervention de Manuel BARBANCHON (Responsable Régional Partenariats et Mécénats), Frank RATAJ (Chargé de Missions Partenariats) et Antoine BESSE (Para-triathlète Français) Manuel Barbanchon et Franck Rataj nous ont d’abord présenté la stratégie de partenariat du Groupe Groupama qui s’étend bien au-delà du Groupama Stadium que connaissent très bien les étudiants Lyonnais. Tout a commencé il y a une vingtaine d’année lorsque Groupama décida de sponsoriser son premier sportif, Franck CAMMAS navigateur et skipper français. A la suite de cette belle expérience partagée, l’assureur a cherché à toucher une pratique sportive populaire telle que le cyclisme, afin de s’imposer dans le monde du sponsoring sportif. La Team Groupama FDJ est donc créée en 1997 et devient par la suite la première équipe française de vélo route.

Témoignage de sportif : Antoine BESSE, para-triathlète Français
Pour clôturer la conférence, nos AMOSciens Lyonnais ont eu le privilège d’écouter Antoine BESSE, para-triathlète, qui est revenu sur son parcours de sportif et du partenariat établi avec Groupama Rhône-Alpes-Auvergne. Ancien rugbyman, il a commencé sa carrière de para-athlète à la suite d’un grave accident de vélo. Afin de le soutenir dans son projet Groupama a décidé de l’accompagner à réaliser ses objectifs et l’entreprise ne se focalise pas que sur ses résultats mais aussi beaucoup sur l’épanouissement personnel du sportif.
03 Apr 2023
ACE Education X ELEVATE : la bonne connexion !
AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education
La principale ambition d’ACE Education est d’assurer une formation de qualité, des expériences enrichissantes et un avenir serein à nos milliers d’étudiants. Notre promesse est de transformer leur passion pour le sport, l’hôtellerie, la mode ou le design, en un métier durable. C’est pourquoi, nous sommes heureux d’annoncer le nouveau contrat que nous venons de signer avec Elevate jusqu’en 2024, dans le cadre du plus grand évènement sportif qui aura lieu en France et auquel Elevate aura l’occasion de contribuer. Elevate est une agence internationale centrée sur l’humain, et spécialisée dans le recrutement, la formation et le management du staff événementiel. Elle met en relation les talents, les données et les marques afin d'optimiser l'impact des activations marketing. Ce partenariat prometteur permettra le recrutement des étudiants de nos écoles AMOS Sport Business School, CMH Centre de Management Hôtelier, ESDAC Ecole Supérieure de Design, sur les événements sportifs majeurs en 2023 et 2024, ainsi que sur d’autres secteurs allant de l’hospitalité à la mode. Toutes les écoles du groupe ACE Education ont pour vocation d’aider les jeunes à réussir leur entrée sur le marché du travail, et de leur permettre d’évoluer rapidement vers des postes de Top Management, dans leurs domaines de prédilection. « Ce partenariat majeur rapproche deux entités qui se développent en Europe et à l’international et marquent leur volonté commune de renforcer leur capacité à développer et soutenir l’employabilité et les expériences professionnelles des étudiants dans l’évènementiel sportif et haut de gamme. Elevate, agence de staffing événementiel présente en France, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Autriche et en Grande Bretagne, propose des solutions innovantes en termes de recrutement à ses clients. ACE Education par ce partenariat plonge ses étudiants dans des expériences professionnelles immersives en lien direct avec leur formation. » Audrey Léger, Directrice des Partenariats ACE Education. « Le rapprochement entre ACE Éducation et Elevate est à nos yeux un partenariat qui a beaucoup de sens tant en France qu’à l’international. Elevate a pour ambition de contribuer à la formation professionnelle des jeunes et des étudiants et de leurs permettre d’acquérir une première expérience professionnelle sur le terrain dans le cadre d’évènements prestigieux. Ce partenariat a un double enjeu car au-delà d’être porteur d’opportunités professionnelles pour tous ces étudiants et de participer à l’éco système sportif, il nous permet également de mieux faire connaître le secteur de l’évènementiel dans sa globalité » Julie Reed, Directrice Générale Elevate France & DACH.À propos du Groupe ACE Education
ACE Education est un acteur majeur de l'enseignement supérieur en France, proposant des formations certifiées de Bac+3 à Bac+5 à plus de 7 000 étudiants dans les domaines du management du sport, de l’hôtellerie, du tourisme de luxe, des arts appliqués, du design et de la mode, au travers de ses six écoles : AMOS Sport Business School et ESBS, écoles de sport management, ESDAC, école de design, CMH, Centre de Management Hôtelier International de Luxe, EIDM, Ecole Internationale de Mode et Luxe, ENAAI, Ecole d’Arts Appliqués, BD et Illustration. Le groupe offre une variété de programmes sur ses 42 campus en France et à l’étranger. Il met l'accent sur les expériences internationales et sur la professionnalisation au cœur même de l’expérience étudiante.03 Apr 2023