Audrey ASLANOFF - Coach sportif équitation - Metteuse en selle

Championne de France junior sur Fleur de Bettegney en 2000 ( 3ème catégorie) Audrey ASLANOFF sait parler à l’oreille des chevaux ou plus exactement du couple cavalier/ animal pour le loisir comme la compétition au sein de l’entreprise A&L Stables qu’elle a créée avec son conjoint Laurent JULLIARD Dès l’âge de 9 ans elle pratique la monte au célèbre Haras de Jardy près de Paris puis à L’Etrier 06 à Nice où elle réside désormais, menant trois activités de front : celle de coach sportif, d’enseignante et d’assistante de gestion dans l’entreprise paternelle sans omettre son implication pour 20 à 25 jeunes chevaux qu’il faut débourrer, former, et revendre afin de leur faire gagner des concours. Le saut d’obstacles est son sport préféré depuis l’enfance même si elle se destinait plutôt à la danse classique et aux ballets. Malheureusement Audrey a été freinée dans sa course par une cheville récalcitrante l’orientant de fait vers un sport sans pied d’appel. D’où sa mise en selle dont elle a fait un de ses métiers. A 14 ans elle intégrait l’Equipe de France et menait déjà de front haut niveau sportif et études supérieures universitaire à l’EDHEC concluant brillamment son cursus par une thèse (félicitations du jury) sur les fusions et acquisitions dans le secteur bancaire : le tout en enseignant en même temps aux jeunes de son âge les ressorts du management dans les RH. Performance qu’elle prolonge, élargit et renouvelle tout à la fois pour le plus grand plaisir des étudiants du campus de Nice.
« L’essentiel dans l’équitation amateur ! Soit près de 99% des pratiquants. Ce phénomène n’est pas vraiment nouveau mais la proportion féminine ne cesse de progresser ce qui n’est pas le cas dans le haut niveau où les hommes dominent. A tel point que nous sommes le premier sport féminin et le premier sport de nature en France. »
« A l’image du sport en général mais aussi de notre société l’équitation a évolué depuis plusieurs années. Notre discipline était à l’origine réservée à une classe élevée et elle connaît des inflexions vers une démocratisation qui se réalise peu à peu mais qui reste compliquée. La démystification engagée est positive et nous veillons à garder l’ambiance conviviale qui est associée à notre sport. Nous sommes un sport fait de ressentis et notamment avec l’animal qui doit faire un couple avec le ou la cavalière. Cette ouverture au grand public rend la compétition plus difficile d’accès pour parvenir au plus haut niveau. Les « places sont chères ». Ce gap entre les traits originels de l’équitation et sa plus grande accessibilité n’est pas écrit à l’avance. Mon objectif comme coach sportif est de pouvoir proposer à un couple homme-cheval une offre lui permettant d’évoluer et d’atteindre les objectifs fixés, que ce soient des objectifs compétitifs ou de loisirs. Chaque personne comme chaque animal est différente y compris selon les partenaires. Je cherche l’osmose dans tous les cas. Mais il ne faut pas perdre de vue que le cheval fait 70 à 80% de la performance ! »
« Absolument. Le gap que j’ai évoqué concerne aussi les concours dont le coût demeure élevé, de l’ordre de 2500 € pour inscrire son cheval sur 3 parcours. De même le marché des chevaux fluctue en permanence. Pour notre part à A&L Stables nous vendons nos chevaux entre 15 et 20.000 €. Mais entre l’achat et la revente il nous faut assurer la préparation et la valorisation des jeunes chevaux pour le concours de saut d’obstacles. Dans le même temps où j’encadre les cavaliers amateurs en vue de la compétition, nous participons les week-end à des compétitions nationales et internationales pour faire reconnaître nos formations et notre écurie. C’est un métier passion certes mais qui ne laisse guère de temps libre. »
« A ce stade de ma vie personnelle et professionnelle je dirais sans hésiter le respect de la rigueur, ce qui explique ma passion pour les chiffres mais pas seulement. La rigueur est aussi un apprentissage retiré du sport qui n’est pas une science exacte même avec les data ! le sport exige un engagement et une organisation pour atteindre ses objectifs. J’insiste sur l’équilibre que favorise le sport dans un parcours. Ainsi je n’ai jamais choisi entre le sport et mes études : mes parents m’ont convaincue de faire du sport dès l’enfance, ce qui m’a aidée. Etudes et sport s’épaulent et se boostent, ce que je dis aux étudiants issus d’une génération où une certaine tendance à opter pour l’une ou l’autre activité n’est pas bénéfique pour la performance, y compris dans les études. La facilité est une illusion d’optique en quelque sorte y compris dans la pédagogie. L’apprentissage de l’échec dans le sport fait partie du parcours de formation. Faire un métier passion voire plusieurs dans mon cas exige une écoute de l’autre : du cheval aussi, autre apprentissage rigoureux pour le couple compétitif ! »

Quelle place occupent les femmes dans l’équitation ?
« L’essentiel dans l’équitation amateur ! Soit près de 99% des pratiquants. Ce phénomène n’est pas vraiment nouveau mais la proportion féminine ne cesse de progresser ce qui n’est pas le cas dans le haut niveau où les hommes dominent. A tel point que nous sommes le premier sport féminin et le premier sport de nature en France. »
Quelle est votre vision de l’équitation aujourd’hui ?
« A l’image du sport en général mais aussi de notre société l’équitation a évolué depuis plusieurs années. Notre discipline était à l’origine réservée à une classe élevée et elle connaît des inflexions vers une démocratisation qui se réalise peu à peu mais qui reste compliquée. La démystification engagée est positive et nous veillons à garder l’ambiance conviviale qui est associée à notre sport. Nous sommes un sport fait de ressentis et notamment avec l’animal qui doit faire un couple avec le ou la cavalière. Cette ouverture au grand public rend la compétition plus difficile d’accès pour parvenir au plus haut niveau. Les « places sont chères ». Ce gap entre les traits originels de l’équitation et sa plus grande accessibilité n’est pas écrit à l’avance. Mon objectif comme coach sportif est de pouvoir proposer à un couple homme-cheval une offre lui permettant d’évoluer et d’atteindre les objectifs fixés, que ce soient des objectifs compétitifs ou de loisirs. Chaque personne comme chaque animal est différente y compris selon les partenaires. Je cherche l’osmose dans tous les cas. Mais il ne faut pas perdre de vue que le cheval fait 70 à 80% de la performance ! »
Ces évolutions influencent le marché ?
« Absolument. Le gap que j’ai évoqué concerne aussi les concours dont le coût demeure élevé, de l’ordre de 2500 € pour inscrire son cheval sur 3 parcours. De même le marché des chevaux fluctue en permanence. Pour notre part à A&L Stables nous vendons nos chevaux entre 15 et 20.000 €. Mais entre l’achat et la revente il nous faut assurer la préparation et la valorisation des jeunes chevaux pour le concours de saut d’obstacles. Dans le même temps où j’encadre les cavaliers amateurs en vue de la compétition, nous participons les week-end à des compétitions nationales et internationales pour faire reconnaître nos formations et notre écurie. C’est un métier passion certes mais qui ne laisse guère de temps libre. »

Quels enseignements tiriez-vous de votre parcours hors norme ?
« A ce stade de ma vie personnelle et professionnelle je dirais sans hésiter le respect de la rigueur, ce qui explique ma passion pour les chiffres mais pas seulement. La rigueur est aussi un apprentissage retiré du sport qui n’est pas une science exacte même avec les data ! le sport exige un engagement et une organisation pour atteindre ses objectifs. J’insiste sur l’équilibre que favorise le sport dans un parcours. Ainsi je n’ai jamais choisi entre le sport et mes études : mes parents m’ont convaincue de faire du sport dès l’enfance, ce qui m’a aidée. Etudes et sport s’épaulent et se boostent, ce que je dis aux étudiants issus d’une génération où une certaine tendance à opter pour l’une ou l’autre activité n’est pas bénéfique pour la performance, y compris dans les études. La facilité est une illusion d’optique en quelque sorte y compris dans la pédagogie. L’apprentissage de l’échec dans le sport fait partie du parcours de formation. Faire un métier passion voire plusieurs dans mon cas exige une écoute de l’autre : du cheval aussi, autre apprentissage rigoureux pour le couple compétitif ! »

Article rédigé par Alain Arvin-Bérod, Directeur du Conseil de Perfectionnement et des Publications AMOS Group
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11 May 2023
Interview Etudiant Romane, ESBS by AMOS à Madrid
Le temps d'un semestre à Madrid, Espagne...
Découvrez le témoignage de notre étudiante Romane Tiran, en deuxième année de Bachelor à AMOS Marseille, partie un semestre dans notre école ESBS by AMOS à Madrid.Pourquoi avoir choisi Madrid pour ton second semestre ?
J’ai choisi de rejoindre AMOS en septembre 2021 à la suite de la classe préparatoire hypokhâgne à Paris, afin de corréler passion et profession. J’ai toujours pratiqué beaucoup de sport : l’équitation en compétition en CSO (course de saut d'obstacles), du surf ou encore de la natation. J’ai choisi de réaliser mon expatriation à ESBS by AMOS Madrid plutôt que Londres, dans la mesure où l’espagnol est une langue que j’avais besoin de travailler contrairement à l’anglais, alors j’ai saisi cette opportunité !Comment s’est déroulé ton semestre dans la capitale espagnole ?
Je connaissais l’Espagne et plus particulièrement Barcelone, mais je n’étais jamais allée à Madrid. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette ville, tant pour son histoire, sa culture sportive, que sa langue, sa dolce vita et son ambiance tapas ! C’est une ville propre où il fait bon vivre, les Espagnols sont accueillants et la nourriture délicieuse. En tant que femme, il est important de noter que c’est très sécurisé et que l’on se sent constamment en confiance.
Quelles ont été les conditions d'admission pour rejoindre AMOS à Madrid ?
Il faut avoir au minimum un niveau d’anglais B2 (intermédiaire) puisque la totalité des cours sont dispensés en anglais, en classe entière (pas de classe par niveau). Pour être sélectionné, il faut aussi avoir un bon dossier de première année, les élèves avec les moyennes les plus hautes sont prioritaires sur les autres. Le niveau d’espagnol quant à lui n’est pas important dans la sélection puisque des cours d’espagnols sont dispensées sur le campus par petits groupes, allant de débutant à intermédiaire.Comment se déroule une journée sur le campus ?
Cela dépend des périodes. Pour les journées classiques, nous commençons à 8h et finissons environ vers 14h. Les intervenants sont des professionnels du Sport Business, nous devons ainsi nous adapter à leurs horaires. À ce titre, il arrive de commencer les cours à 16h et de finir à 20h. Il est important de noter que l’expatriation a aussi pour but de découvrir le pays dans lequel on se trouve, de visiter. Les emplois du temps sont donc parfaitement en adéquation avec la vie étudiante.Comment s’est passé ton intégration à Madrid et avec les étudiant.e.s des autres campus ?
L’administration du campus de Madrid est très à l’écoute des étudiants, ils sont disponibles et répondent à nos interrogations. Les étudiants AMOSciens viennent de divers campus en France. L’intégration se passe bien, il est programmé des travaux d’équipes lors de journée team building. Le campus est en plein centre, à proximité du Parque del Retiro où on peut passer du temps avec ses amis.
Sur quels événements as-tu pu participer ? Quelles étaient tes missions ?
J'ai intégré le campus l’année de son ouverture. Il n’y a pas d’événements sportifs obligatoires, cependant nous sommes invités à des événement sportifs prestigieux notamment l’Open Communidad de Madrid où j’ai eu l’opportunité de rencontrer l’équipe organisationnelle, les photographes, les joueurs et d’assister pendant une journée à la compétition. Il appartient ensuite à chacun de découvrir le sport à Madrid. Enfin, passionnée de Formule 1, j’ai assisté à la seule exposition d’Europe de F1 qui se trouve à Madrid. J’ai pris l’initiative de voir un match de football du Real de Madrid au stade Santiago-Bernabéu et de l’Atlético de Madrid où j’ai été très bien placée et pu serrer la main de joueurs qui passaient !
Qu’est-ce que tu as le plus aimé dans ton semestre ?
Grâce à ce semestre, j’ai eu l’opportunité de perfectionner mon espagnol. J’ai rencontré des personnes extraordinaires, des amis partageant le même attrait pour le sport que moi. Madrid est une ville formidable dans laquelle on s’y sent bien. Elle a une culture sportive, exceptionnelle. La vie y est abordable, on peut assister à de belles compétitions à des prix raisonnables, laissant de très beaux souvenirs !Le dernier mot t’appartient...
Si c’était à refaire, je ne changerais rien. Madrid a été un choix logique pour moi et une occasion rêvée. J’ai beaucoup appris sur moi et sur cette ville. Je sais que si un jour j’ai une opportunité professionnelle dans le sport d’y travailler, je la saisirais immédiatement. Merci à l’équipe ESBS by AMOS pour tout, un fuerte abrazo, gracias !
11 May 2023
Interview Etudiant Romane, ESBS by AMOS à Madrid
Le temps d'un semestre à Madrid, Espagne...
Découvrez le témoignage de notre étudiante Romane Tiran, en deuxième année de Bachelor à AMOS Marseille, partie un semestre dans notre école ESBS by AMOS à Madrid.Pourquoi avoir choisi Madrid pour ton second semestre ?
J’ai choisi de rejoindre AMOS en septembre 2021 à la suite de la classe préparatoire hypokhâgne à Paris, afin de corréler passion et profession. J’ai toujours pratiqué beaucoup de sport : l’équitation en compétition en CSO (course de saut d'obstacles), du surf ou encore de la natation. J’ai choisi de réaliser mon expatriation à ESBS by AMOS Madrid plutôt que Londres, dans la mesure où l’espagnol est une langue que j’avais besoin de travailler contrairement à l’anglais, alors j’ai saisi cette opportunité !Comment s’est déroulé ton semestre dans la capitale espagnole ?
Je connaissais l’Espagne et plus particulièrement Barcelone, mais je n’étais jamais allée à Madrid. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette ville, tant pour son histoire, sa culture sportive, que sa langue, sa dolce vita et son ambiance tapas ! C’est une ville propre où il fait bon vivre, les Espagnols sont accueillants et la nourriture délicieuse. En tant que femme, il est important de noter que c’est très sécurisé et que l’on se sent constamment en confiance.
Quelles ont été les conditions d'admission pour rejoindre AMOS à Madrid ?
Il faut avoir au minimum un niveau d’anglais B2 (intermédiaire) puisque la totalité des cours sont dispensés en anglais, en classe entière (pas de classe par niveau). Pour être sélectionné, il faut aussi avoir un bon dossier de première année, les élèves avec les moyennes les plus hautes sont prioritaires sur les autres. Le niveau d’espagnol quant à lui n’est pas important dans la sélection puisque des cours d’espagnols sont dispensées sur le campus par petits groupes, allant de débutant à intermédiaire.Comment se déroule une journée sur le campus ?
Cela dépend des périodes. Pour les journées classiques, nous commençons à 8h et finissons environ vers 14h. Les intervenants sont des professionnels du Sport Business, nous devons ainsi nous adapter à leurs horaires. À ce titre, il arrive de commencer les cours à 16h et de finir à 20h. Il est important de noter que l’expatriation a aussi pour but de découvrir le pays dans lequel on se trouve, de visiter. Les emplois du temps sont donc parfaitement en adéquation avec la vie étudiante.Comment s’est passé ton intégration à Madrid et avec les étudiant.e.s des autres campus ?
L’administration du campus de Madrid est très à l’écoute des étudiants, ils sont disponibles et répondent à nos interrogations. Les étudiants AMOSciens viennent de divers campus en France. L’intégration se passe bien, il est programmé des travaux d’équipes lors de journée team building. Le campus est en plein centre, à proximité du Parque del Retiro où on peut passer du temps avec ses amis.
Sur quels événements as-tu pu participer ? Quelles étaient tes missions ?
J'ai intégré le campus l’année de son ouverture. Il n’y a pas d’événements sportifs obligatoires, cependant nous sommes invités à des événement sportifs prestigieux notamment l’Open Communidad de Madrid où j’ai eu l’opportunité de rencontrer l’équipe organisationnelle, les photographes, les joueurs et d’assister pendant une journée à la compétition. Il appartient ensuite à chacun de découvrir le sport à Madrid. Enfin, passionnée de Formule 1, j’ai assisté à la seule exposition d’Europe de F1 qui se trouve à Madrid. J’ai pris l’initiative de voir un match de football du Real de Madrid au stade Santiago-Bernabéu et de l’Atlético de Madrid où j’ai été très bien placée et pu serrer la main de joueurs qui passaient !
Qu’est-ce que tu as le plus aimé dans ton semestre ?
Grâce à ce semestre, j’ai eu l’opportunité de perfectionner mon espagnol. J’ai rencontré des personnes extraordinaires, des amis partageant le même attrait pour le sport que moi. Madrid est une ville formidable dans laquelle on s’y sent bien. Elle a une culture sportive, exceptionnelle. La vie y est abordable, on peut assister à de belles compétitions à des prix raisonnables, laissant de très beaux souvenirs !Le dernier mot t’appartient...
Si c’était à refaire, je ne changerais rien. Madrid a été un choix logique pour moi et une occasion rêvée. J’ai beaucoup appris sur moi et sur cette ville. Je sais que si un jour j’ai une opportunité professionnelle dans le sport d’y travailler, je la saisirais immédiatement. Merci à l’équipe ESBS by AMOS pour tout, un fuerte abrazo, gracias !
04 May 2023
Run For Trees : challenge sportif de développement durable
Tout au long du mois d’avril, les AMOSciens lillois ont relevé le défi Run For Trees...
Run For Trees est organisé par l'association Reforest'Action, une organisation à but non lucratif qui a pour but de restaurer les forêts dégradées et de promouvoir la biodiversité. Il s’agit d’un défi innovant qui combine la pratique de la course à pied à la protection de l'environnement. Le campus AMOS Lille s’est engagé avec l’association Reforest’Action à planter un arbre à chaque palier de 5 kilomètres franchi. L'objectif principal pour les étudiants était de parcourir 2024 kilomètres en référence aux Jeux Olympiques de Paris 2024.Déforestation : un enjeu global
La déforestation est un problème majeur dans notre monde actuel, ayant un impact considérable sur l'environnement et le changement climatique. Heureusement, il existe des initiatives comme Run For Trees qui visent à inverser cette tendance. En somme, ce défi a été créé pour sensibiliser à la déforestation, encourager la pratique de la course à pied et planter des arbres pour aider à reconstituer les écosystèmes dégradés. Plusieurs de nos étudiants, accompagnés de leur intervenant, l’éco-aventurier Nicolas Vandenelsken, ont organisé une journée de cohésion sportive autour du challenge afin de permettre à tous les étudiants d'y prendre part.
Au programme du Run For Trees
Un parcours de 5 km autour de la citadelle de Lille parsemé d’épreuves sportives ainsi que des ateliers de sensibilisation du développement durable mis en place par l’association Uni-Vert Sport. Après un mois de challenge, ce n’est pas moins de 2 200 kilomètres qui ont été parcourus ! L’objectif est donc atteint et permettra la plantation de 500 arbres.04 May 2023
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Tout au long du mois d’avril, les AMOSciens lillois ont relevé le défi Run For Trees...
Run For Trees est organisé par l'association Reforest'Action, une organisation à but non lucratif qui a pour but de restaurer les forêts dégradées et de promouvoir la biodiversité. Il s’agit d’un défi innovant qui combine la pratique de la course à pied à la protection de l'environnement. Le campus AMOS Lille s’est engagé avec l’association Reforest’Action à planter un arbre à chaque palier de 5 kilomètres franchi. L'objectif principal pour les étudiants était de parcourir 2024 kilomètres en référence aux Jeux Olympiques de Paris 2024.Déforestation : un enjeu global
La déforestation est un problème majeur dans notre monde actuel, ayant un impact considérable sur l'environnement et le changement climatique. Heureusement, il existe des initiatives comme Run For Trees qui visent à inverser cette tendance. En somme, ce défi a été créé pour sensibiliser à la déforestation, encourager la pratique de la course à pied et planter des arbres pour aider à reconstituer les écosystèmes dégradés. Plusieurs de nos étudiants, accompagnés de leur intervenant, l’éco-aventurier Nicolas Vandenelsken, ont organisé une journée de cohésion sportive autour du challenge afin de permettre à tous les étudiants d'y prendre part.
Au programme du Run For Trees
Un parcours de 5 km autour de la citadelle de Lille parsemé d’épreuves sportives ainsi que des ateliers de sensibilisation du développement durable mis en place par l’association Uni-Vert Sport. Après un mois de challenge, ce n’est pas moins de 2 200 kilomètres qui ont été parcourus ! L’objectif est donc atteint et permettra la plantation de 500 arbres.27 Apr 2023
Immersion aux Spartiates de Marseille, hockey sur glace
Plus grande patinoire de France à Marseille
Marseille possède la plus grande patinoire de France où évoluent les Spartiates de Marseille au hockey sur glace en deuxième division. C’est aussi dans ce lieu qu’évolue trois anciens étudiants d’AMOS Marseille : Frédéric Casadepax, Baptiste Sanchez et Thomas Giraud. A eux trois, ils forment une Dream Team sur différents secteurs d’activité du club. Frédéric est en alternance en tant que responsable communication avec une appétence prononcée pour le graphisme. Baptiste est également en alternance, lui, en tant que responsable événementiel et marketing. Quant à Thomas, diplômé en 2021/22 est actuellement en CDI au poste de responsable billetterie et merchandising.
Trois profils, une ambition : celle de faire du hockey Marseille, le deuxième club de la ville !
Les ambitions du club sont à la hauteur des trois jeunes hommes. Passionnés et motivés, ils souhaitent faire vivre aux spectateurs et aux fans bien plus qu’un match de hockey. De nombreuses animations sont possibles lors d’une rencontre : karting sur glace, mascotte, patinage artistique, jeu du palais, restauration, merchandising... « Une folle expérience pleine de rebondissements qui nous prend aux tripes et nous fait vivre ! J’ai appris énormément grâce aux Spartiates et continuerai à apprendre grâce à eux. » Baptiste C’est aussi ça AMOS Marseille : des amitiés qui se créent à travers des métiers passion !
27 Apr 2023
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Marseille possède la plus grande patinoire de France où évoluent les Spartiates de Marseille au hockey sur glace en deuxième division. C’est aussi dans ce lieu qu’évolue trois anciens étudiants d’AMOS Marseille : Frédéric Casadepax, Baptiste Sanchez et Thomas Giraud. A eux trois, ils forment une Dream Team sur différents secteurs d’activité du club. Frédéric est en alternance en tant que responsable communication avec une appétence prononcée pour le graphisme. Baptiste est également en alternance, lui, en tant que responsable événementiel et marketing. Quant à Thomas, diplômé en 2021/22 est actuellement en CDI au poste de responsable billetterie et merchandising.
Trois profils, une ambition : celle de faire du hockey Marseille, le deuxième club de la ville !
Les ambitions du club sont à la hauteur des trois jeunes hommes. Passionnés et motivés, ils souhaitent faire vivre aux spectateurs et aux fans bien plus qu’un match de hockey. De nombreuses animations sont possibles lors d’une rencontre : karting sur glace, mascotte, patinage artistique, jeu du palais, restauration, merchandising... « Une folle expérience pleine de rebondissements qui nous prend aux tripes et nous fait vivre ! J’ai appris énormément grâce aux Spartiates et continuerai à apprendre grâce à eux. » Baptiste C’est aussi ça AMOS Marseille : des amitiés qui se créent à travers des métiers passion !