BALL’N CONNECT, L’APPLI QUI CONNECTE LA COMMUNAUTE BASKET

Connecter et fédérer la communauté du basketball à travers une application, telle est l’ambition d’Oumy Salomon, diplômée du Master Business in Sport ! Ayant rejoint l’équipe de Ball’N Connect, elle nous présente les contours du projet. Entretien avec une jeune femme passionnée et dynamique !
Je suis immergée dans la culture sportive puisque j’ai eu l’opportunité d’avoir des expériences professionnelles très enrichissantes dans ce milieu, notamment au sein du réseau Fitness Park en tant que responsable du développement commercial en alternance, avec un objectif de fidélisation/acquisition de la clientèle ; et à travers une expérience en Angleterre dans une agence de tourisme sportif, Complete Sports Solutions , pour laquelle je produisais des séjours sportifs et supervisais les clients sur place.
Forte de ces expériences, j’ai décidé de rejoindre le Master AMOS Bordeaux afin de consolider mes connaissances et compétences dans le domaine. Au cours de ces 2 années, j’ai piloté la cellule AMOSLab, qui intervient en qualité d’organisateur ou accélérateur de projets. Cette mission, ainsi que les rencontres avec les intervenants, m’ont permis d’optimiser mes compétences mais surtout de tisser un véritable réseau professionnel.
Effectivement ! A la sortie d’AMOS, j’ai pris la décision de me lancer dans la voie entrepreneuriale –
Continuant à travailler avec l’agence Complete Sports Solutions sur des missions ponctuelles, la question de mon statut s’est posée puisque l’entreprise n’était pas en mesure de me recruter. L’une des solutions était donc que j’intervienne comme prestataire de services indépendant.
Aussi, grâce aux contacts privilégiés que j’ai pu construire avec le réseau professionnelle d’AMOS, des opportunités business se sont créées avec notamment l’ambition d’accompagner certains intervenants sur des missions relatives à la communication et au digital.
C’est ainsi que j’ai créé ma microentreprise, régime me permettant de bénéficier d’allègements comptables et de réduction de coûts de fonctionnement.
Tout à fait ! Aurélien Gabdou, co-fondateur et organisateur de la 1ere édition du tournoi de Basket « Bang On Your Chest » avec lequel AMOS a travaillé, a pris part au programme « Startup Banlieue » en 2018, dispositif ayant pour vocation de développer l’esprit entrepreunarial des jeunes de banlieue, afin de lancer ce projet (Lauréat du prix spécial). Il m’a contacté alors que j’étais encore étudiante AMOS car il avait besoin de s’entourer sur des aspects de marketing et de communication.
Nous avons commencé à réfléchir, son équipe et moi, sur le développement de cette application, Ball’N Connect, et j’ai décidé de m’intégrer au projet via ma structure une fois mon diplôme en poche.
Nous travaillons désormais avec envie et passion pour son lancement opérationnel. D’ailleurs, je me suis d’avantage investie dans le projet puisque je suis devenue récemment associée de la structure créée par Aurélien Gabdou.
Ball’N Connect est une application mobile qui a pour but de connecter la communauté basket en France. L’idée d’Aurélien part d’un constat simple : le basket en France, c’est 15 millions de fans, 2,5 millions de pratiquants, 700 000 licenciés et environ 20 000 terrains répartis sur le territoire. La demande est là et les infrastructures également. Ne manque plus que le lien entre ces éléments ! Notre ambition est de pouvoir fédérer cette communauté basket autour de 3 piliers :
Ainsi, via Ball’N Connect, nous proposons aux pratiquants un ensemble de services, basé sur la passion, le partage et le vivre ensemble. Connecter les joueurs autour de leur passion, tel est l’objectif de cette application !
L’application se veut gratuite, donc tout le challenge repose sur notre capacité à fédérer la communauté du basket via des KPI clairs (Key Performance Indicator) tels que le nombre d’utilisateurs, nous permettant ainsi de valoriser et monétiser Ball’N Connect auprès des partenaires potentiels. C’est pour cela que nous partons sur des estimations ambitieuses mais réalisables, avec un objectif de 10 000 connections à N+1.
Le confinement nous a permis d’avancer sur le pilier « Progress » évoqué précédemment – En fait, nous avons dissocié de l’application cette partie là en créant une plateforme à part et qui s’appelle Ball’N Coaching, déjà génératrice de chiffre d’affaires –
Nous fonctionnons comme une agence de communication pour les entraineurs désireux de rejoindre le mouvement Ball’N Connect – Nous valorisons leur activité en proposant un service personnalisé autour de la gestion de leur communication (vidéo promotionnelle, logo, site internet et gestion des réseaux sociaux). Comme nous mettons en relation les joueurs et les entraîneurs, nous récupérons un pourcentage sur les « ventes » générées sur la plateforme.
Le confinement a certes ralenti le process mais nous allons pouvoir sortir en Juillet prochain une application en bêtatest avec une centaine de testeurs. L’idée est de créer des sessions sport de 10-15 testeurs pour que nous puissions avoir des retours constructifs et qualitatifs.
J’interviens sur la communication et le marketing de l’application, mais mes missions se sont élargies depuis que je suis devenue associée.
Sur les aspects communication, je crée et envoie la newsletter à la communauté Ball’N Connect, avec un contenu engageant sur le suivi et les avancées du projet, ce qui nous permet de garder un lien fort avec celle-ci.
Je pilote les réseaux sociaux sur lesquels nous poussons du contenus différenciants en fonction de notre cible. Pendant le confinement, nous avons monté une série Instalive avec de nombreux joueurs professionnels tels que Jacques Alingue (Le Mans Sarthe Basket), Yvan Ouedraogo (Lincoln Nebraska -USA) ou encore Diandra Tchatchouang (internationale française évoluant à Montpellier).
J’ai travaillé également sur la soirée de lancement de l’application qui permettait de lancer notre campagne de crowdfunding. Nous avons organisé cette soirée à Paris le 6 Novembre dernier et avons présenté officiellement l’application devant les acteurs du Basket-Ball, avec notamment Paul Oddo et Bakary Sakho, fondateurs des All Parisian Games ou encore David Bonnel, coach professionnel – J’ai travaillé sur l’organisation et la planification de l’évènement puis co-animé la soirée, qui a été une réussite !
Enfin, j’interviens sur la plateforme Ball’N Coaching puisque ma mission est de faire connaître l’application auprès des coachs professionnels susceptibles de rejoindre notre communauté. Une fois cette étape actée, j’assure le suivi avec eux et je les accompagne sur leur communication, pour ceux ayant choisi ce service. J’interviens donc comme consultante stratégique pour les coachs désireux de promouvoir leur activité !
Vous l’aurez compris, l’étendue des missions est vaste, ce qui me permet d’entretenir ce profil polyvalent et « couteau suisse » !
Effectivement, je suis à Dakar, au Sénégal, où j’ai pu avancer sur certains projets professionnels. L’organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse, ici, en 2022, ouvre des opportunités intéressantes !
La crise sanitaire nous a sans doute fait entrer dans une nouvelle phase en nous forçant à dématérialiser très rapidement les échanges et à organiser le télétravail à grande échelle !
On parle de plus en plus désormais de « télé-société », dynamique permise aussi par l’organisation de notre économie, reposant en majorité sur le secteur tertiaire ! Si nous avons pu dématérialiser les services, il n’en est pas de même pour les autres pans de l’activité économique (agriculture ou production industrielle) –
Nous disposons aujourd’hui d’outils puissants nous permettant de travailler à distance. Qu’il s’agisse d’applications telles que Microsoft Teams, Zoom ou d’outils permettant le partage de fichiers, tous les éléments sont réunis pour optimiser la communication à distance entre collaborateurs et améliorer l’organisation et les process de travail.
En étant indépendante et travaillant sur plusieurs projets différents, travailler à distance fait déjà parti de mon mode de fonctionnement et de mon quotidien. Toutefois, Rien ne remplacera le contact physique, l’échange et le partage ! Surtout dans l’univers du sport, formidable accélérateur d’émotions reposant sur les valeurs de partage, de dépassement de soi et de solidarité !
Le premier, c’est de croire en ses rêves et de se donner les moyens de réussir !
Le second, c’est évidemment de rejoindre notre communauté car nous allons très rapidement lancer l’application et souhaiterions travailler avec les étudiants d’AMOS ! Si vous souhaitez être bêta testeur ou nous rejoindre pour des missions ponctuelles ou un stage, retrouvez-nous sur les réseaux et suivez l’actualité de Ball’N Connect ! Nous aurons également la possibilité d’intervenir physiquement à l’école une fois la crise sanitaire derrière nous !
Oumy, peux-tu te présenter ?
Je suis immergée dans la culture sportive puisque j’ai eu l’opportunité d’avoir des expériences professionnelles très enrichissantes dans ce milieu, notamment au sein du réseau Fitness Park en tant que responsable du développement commercial en alternance, avec un objectif de fidélisation/acquisition de la clientèle ; et à travers une expérience en Angleterre dans une agence de tourisme sportif, Complete Sports Solutions , pour laquelle je produisais des séjours sportifs et supervisais les clients sur place.
Forte de ces expériences, j’ai décidé de rejoindre le Master AMOS Bordeaux afin de consolider mes connaissances et compétences dans le domaine. Au cours de ces 2 années, j’ai piloté la cellule AMOSLab, qui intervient en qualité d’organisateur ou accélérateur de projets. Cette mission, ainsi que les rencontres avec les intervenants, m’ont permis d’optimiser mes compétences mais surtout de tisser un véritable réseau professionnel.
Une fois diplômée, tu décides de te lancer dans l’entrepreunariat ?
Effectivement ! A la sortie d’AMOS, j’ai pris la décision de me lancer dans la voie entrepreneuriale –
Continuant à travailler avec l’agence Complete Sports Solutions sur des missions ponctuelles, la question de mon statut s’est posée puisque l’entreprise n’était pas en mesure de me recruter. L’une des solutions était donc que j’intervienne comme prestataire de services indépendant.
Aussi, grâce aux contacts privilégiés que j’ai pu construire avec le réseau professionnelle d’AMOS, des opportunités business se sont créées avec notamment l’ambition d’accompagner certains intervenants sur des missions relatives à la communication et au digital.
C’est ainsi que j’ai créé ma microentreprise, régime me permettant de bénéficier d’allègements comptables et de réduction de coûts de fonctionnement.
C’est dans ce cadre-là que tu as débuté ton travail sur le développement d’une application de basket ?
Tout à fait ! Aurélien Gabdou, co-fondateur et organisateur de la 1ere édition du tournoi de Basket « Bang On Your Chest » avec lequel AMOS a travaillé, a pris part au programme « Startup Banlieue » en 2018, dispositif ayant pour vocation de développer l’esprit entrepreunarial des jeunes de banlieue, afin de lancer ce projet (Lauréat du prix spécial). Il m’a contacté alors que j’étais encore étudiante AMOS car il avait besoin de s’entourer sur des aspects de marketing et de communication.
Nous avons commencé à réfléchir, son équipe et moi, sur le développement de cette application, Ball’N Connect, et j’ai décidé de m’intégrer au projet via ma structure une fois mon diplôme en poche.
Nous travaillons désormais avec envie et passion pour son lancement opérationnel. D’ailleurs, je me suis d’avantage investie dans le projet puisque je suis devenue récemment associée de la structure créée par Aurélien Gabdou.
Ball’N Connect, justement, de quoi s’agit-il ? Présente-nous cette application.
Ball’N Connect est une application mobile qui a pour but de connecter la communauté basket en France. L’idée d’Aurélien part d’un constat simple : le basket en France, c’est 15 millions de fans, 2,5 millions de pratiquants, 700 000 licenciés et environ 20 000 terrains répartis sur le territoire. La demande est là et les infrastructures également. Ne manque plus que le lien entre ces éléments ! Notre ambition est de pouvoir fédérer cette communauté basket autour de 3 piliers :
- Le « Find »: l’application géolocalise les terrains autour de soi et donne l’affluence des joueurs connectés sur les terrains.
- Le « Play »: Ball’N Connect permet de réserver des salles payantes ou d’organiser des matchs sur un terrain extérieur.
- Le « Progress »: l’application met en relation l’utilisateur avec les coachs et Personal trainer les plus proches afin de proposer un service de coaching sur mesure.
Ainsi, via Ball’N Connect, nous proposons aux pratiquants un ensemble de services, basé sur la passion, le partage et le vivre ensemble. Connecter les joueurs autour de leur passion, tel est l’objectif de cette application !
Quel est le business Model de la structure ?
L’application se veut gratuite, donc tout le challenge repose sur notre capacité à fédérer la communauté du basket via des KPI clairs (Key Performance Indicator) tels que le nombre d’utilisateurs, nous permettant ainsi de valoriser et monétiser Ball’N Connect auprès des partenaires potentiels. C’est pour cela que nous partons sur des estimations ambitieuses mais réalisables, avec un objectif de 10 000 connections à N+1.
Le confinement nous a permis d’avancer sur le pilier « Progress » évoqué précédemment – En fait, nous avons dissocié de l’application cette partie là en créant une plateforme à part et qui s’appelle Ball’N Coaching, déjà génératrice de chiffre d’affaires –
Nous fonctionnons comme une agence de communication pour les entraineurs désireux de rejoindre le mouvement Ball’N Connect – Nous valorisons leur activité en proposant un service personnalisé autour de la gestion de leur communication (vidéo promotionnelle, logo, site internet et gestion des réseaux sociaux). Comme nous mettons en relation les joueurs et les entraîneurs, nous récupérons un pourcentage sur les « ventes » générées sur la plateforme.
Le confinement a certes ralenti le process mais nous allons pouvoir sortir en Juillet prochain une application en bêtatest avec une centaine de testeurs. L’idée est de créer des sessions sport de 10-15 testeurs pour que nous puissions avoir des retours constructifs et qualitatifs.
Quelles sont tes missions au sein de Ball’N Connect ?
J’interviens sur la communication et le marketing de l’application, mais mes missions se sont élargies depuis que je suis devenue associée.
Sur les aspects communication, je crée et envoie la newsletter à la communauté Ball’N Connect, avec un contenu engageant sur le suivi et les avancées du projet, ce qui nous permet de garder un lien fort avec celle-ci.
Je pilote les réseaux sociaux sur lesquels nous poussons du contenus différenciants en fonction de notre cible. Pendant le confinement, nous avons monté une série Instalive avec de nombreux joueurs professionnels tels que Jacques Alingue (Le Mans Sarthe Basket), Yvan Ouedraogo (Lincoln Nebraska -USA) ou encore Diandra Tchatchouang (internationale française évoluant à Montpellier).
J’ai travaillé également sur la soirée de lancement de l’application qui permettait de lancer notre campagne de crowdfunding. Nous avons organisé cette soirée à Paris le 6 Novembre dernier et avons présenté officiellement l’application devant les acteurs du Basket-Ball, avec notamment Paul Oddo et Bakary Sakho, fondateurs des All Parisian Games ou encore David Bonnel, coach professionnel – J’ai travaillé sur l’organisation et la planification de l’évènement puis co-animé la soirée, qui a été une réussite !
Enfin, j’interviens sur la plateforme Ball’N Coaching puisque ma mission est de faire connaître l’application auprès des coachs professionnels susceptibles de rejoindre notre communauté. Une fois cette étape actée, j’assure le suivi avec eux et je les accompagne sur leur communication, pour ceux ayant choisi ce service. J’interviens donc comme consultante stratégique pour les coachs désireux de promouvoir leur activité !
Vous l’aurez compris, l’étendue des missions est vaste, ce qui me permet d’entretenir ce profil polyvalent et « couteau suisse » !
Je crois savoir que tu as vécu le confinement à l’étranger. Justement, en travaillant à distance, quel regard portes-tu sur nos modes de travail et « le monde d’après » que l’on s’évertue à promouvoir ?
Effectivement, je suis à Dakar, au Sénégal, où j’ai pu avancer sur certains projets professionnels. L’organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse, ici, en 2022, ouvre des opportunités intéressantes !
La crise sanitaire nous a sans doute fait entrer dans une nouvelle phase en nous forçant à dématérialiser très rapidement les échanges et à organiser le télétravail à grande échelle !
On parle de plus en plus désormais de « télé-société », dynamique permise aussi par l’organisation de notre économie, reposant en majorité sur le secteur tertiaire ! Si nous avons pu dématérialiser les services, il n’en est pas de même pour les autres pans de l’activité économique (agriculture ou production industrielle) –
Nous disposons aujourd’hui d’outils puissants nous permettant de travailler à distance. Qu’il s’agisse d’applications telles que Microsoft Teams, Zoom ou d’outils permettant le partage de fichiers, tous les éléments sont réunis pour optimiser la communication à distance entre collaborateurs et améliorer l’organisation et les process de travail.
En étant indépendante et travaillant sur plusieurs projets différents, travailler à distance fait déjà parti de mon mode de fonctionnement et de mon quotidien. Toutefois, Rien ne remplacera le contact physique, l’échange et le partage ! Surtout dans l’univers du sport, formidable accélérateur d’émotions reposant sur les valeurs de partage, de dépassement de soi et de solidarité !
Quel message aimerais-tu délivrer aux étudiants d’AMOS ?
Le premier, c’est de croire en ses rêves et de se donner les moyens de réussir !
Le second, c’est évidemment de rejoindre notre communauté car nous allons très rapidement lancer l’application et souhaiterions travailler avec les étudiants d’AMOS ! Si vous souhaitez être bêta testeur ou nous rejoindre pour des missions ponctuelles ou un stage, retrouvez-nous sur les réseaux et suivez l’actualité de Ball’N Connect ! Nous aurons également la possibilité d’intervenir physiquement à l’école une fois la crise sanitaire derrière nous !


Propos recueillis par Laurent Tire, chargé de communication AMOS Bordeaux
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23 Feb 2023
Interview Etudiant Matthieu, échange universitaire à Munich
Mobilité à l'international chez AMOS
La mobilité académique consiste à étudier ou à effectuer un stage à l'étranger, en dehors de son pays d'origine. Cette expérience est une occasion pour nos étudiants de développer leur compréhension culturelle, linguistique et professionnelle. Elle est également très avantageuse pour les étudiants, car ils peuvent acquérir de nouvelles compétences et se démarquer dans un monde de plus en plus concurrentiel où la maîtrise des langues étrangères est un vrai critère d’embauche. Lors de cette mobilité, les étudiants peuvent rencontrer quelques difficultés : la gestion de la langue, des différences culturelles ou encore la recherche d'un logement et l’apprentissage dans un nouveau système académique. Cependant, ces défis peuvent également être des opportunités de se développer personnellement et de découvrir de nouveaux horizons. En plus de l'épanouissement personnel, la mobilité peut avoir un impact positif sur la carrière des étudiants. Les employeurs apprécient souvent les candidats qui ont de l'expérience internationale et une compréhension de différentes cultures. La mobilité académique peut également offrir aux étudiants des opportunités de travail à l'étranger, leur permettant de développer leur carrière sur une base mondiale.
Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Matthieu GOZE, je suis actuellement en deuxième année de Mastère à AMOS Bordeaux. Dans le cadre du programme international, je suis parti deux fois en échange universitaire à l’étranger. Une fois en 3ème année en Autriche à Kufstein et en 5ème année à Munich en Allemagne.Pourquoi partir étudier à l'étranger ?
Je voulais voyager, améliorer mon niveau d’anglais et découvrir de nouveaux pays que je n’aurais peut-être pas visiter en temps normal. Je voulais également découvrir d’autres cultures grâce à l’Erasmus qui te fait rencontrer des étudiants qui viennent d’un peu partout.
Pourquoi as-tu eu envie d’aller dans ce pays ?
Pour l’Autriche, je n’ai pas eu trop le choix, je devais partir en Australie au départ, mais le COVID m’a coupé l’herbe sous le pied.... J’ai donc dû me rabattre sur une destination européenne et l’Autriche est le pays qui me tentait le plus. En ce qui concerne l’Allemagne, c’était dans un but purement professionnel, Munich est une ville importante avec beaucoup de sièges sociaux d’entreprises internationales et avec beaucoup d’opportunités de travail. C’est également une zone géographique intéressante car proche de la Suisse, l’Autriche et l’Italie.Comment décrirais-tu ton expérience ?
C’est très enrichissant, tu découvres une nouvelle culture, de nouvelles mœurs et s’y adapter est quelque chose de très intéressant. Tu as même une double adaptation, car à l’université, tu dois composer avec des étudiants qui viennent de tout horizon et notamment de pays hors européens (Inde, Iran, Mexique, Indonésie, Thaïlande...). C’est donc super intéressant d’apprendre à découvrir ces personnes qui ont des cultures et des visions très différentes des nôtres.
Comment as-tu géré les défis linguistiques et culturels rencontrés pendant ta mobilité ?
Au niveau linguistique, très peu de difficultés, tout le monde parle anglais que ce soit les étudiants ou les gens à l’extérieur (les Allemands sont très bons en anglais). Au niveau culturel, il faut s’adapter et apprendre à connaître chacun, mais c’est relativement facile et on arrive à partager des choses en commun. En ce qui concerne la vie de tous les jours, la vie en Allemagne n’est pas très différente de la vie en France, tu restes en Europe dans un pays frontalier, c’est relativement simple malgré les quelques différences qui existent. Avec les étudiants étrangers, tu apprends à les connaître pour savoir comment te comporter avec eux, quel est leur seuil de tolérance, comment leur humour fonctionne. Mais nous partageons également beaucoup de choses en commun.Comment as-tu géré l'adaptation à une nouvelle vie loin de chez toi, de ta famille et de tes amis ?
Au-delà des séjours universitaires, j’ai aussi fait mes stages à l’étranger, je suis donc parti relativement longtemps. Au début, ça ne me faisait rien, je rentrais soit entre la période de cours et la période de stage soit une fois au milieu de mon séjour à l’étranger quand je pouvais. Puis avec le temps, ça a commencé à me manquer. Mais je pense que la solution, c’est de rester en contact avec sa famille et ses amis et de vivre pleinement l’expérience à l'étranger, car cela va atténuer le mal du pays. Si tu penses tout le temps à chez toi, ça va amplifier le manque, faire des rencontres, découvrir son environnement, c’est la meilleure façon de le gérer selon moi.
Est-ce que ça a été dur de trouver un logement à l’étranger ?
Le seul endroit où ça a été compliqué, c’est l’Allemagne. J’ai trouvé mon appartement 2 jours avant mon départ alors que je m’y suis pris 4 mois à l’avance.Qu’est-ce que cette expérience t’a apporté ?
De très belles rencontres, des souvenirs, une amélioration considérable de mon niveau d’anglais et une ouverture d’esprit.Quelle est la chose dont tu te souviens le plus ?
Mon séjour en Autriche sur le plan relationnel était incroyable, j’ai noué de très fortes amitiés et j’ai partagé de très bons moments là-bas. Le tout dans un cadre splendide, au pied des montagnes avec des lacs magnifiques. Les personnes que j’ai rencontrées sont aujourd’hui des amis.
Comment cette expérience a influencé ta vie personnelle et professionnelle ?
Personnellement, ça m’a aidé en termes d’adaptation à l’environnement, et professionnellement, ça m’a permis d’avoir des opportunités de travail, de m’améliorer en langues étrangères, et d’évoluer dans des environnements professionnels différents de ce qu’on a l’habitude de côtoyer en France.Quel conseil tu pourrais donner à quelqu’un qui hésite à partir ?
Partir à l’étranger afin d’y accomplir ses études permet un gain de temps considérable, car tout en te formant professionnellement, tu visites des destinations qui te plaisent. Tu associes donc l’utile à l’agréable d’autant plus que l’expérience que tu en retires n’est pas la même à 20 ans qu’à 40 ans. Je lui conseille donc de partir, car ce sont des expériences très utiles et enrichissantes qui mettent en valeur la personne que tu es, ainsi que ton bagage professionnel et intellectuel !23 Feb 2023
Interview Etudiant Matthieu, échange universitaire à Munich
Mobilité à l'international chez AMOS
La mobilité académique consiste à étudier ou à effectuer un stage à l'étranger, en dehors de son pays d'origine. Cette expérience est une occasion pour nos étudiants de développer leur compréhension culturelle, linguistique et professionnelle. Elle est également très avantageuse pour les étudiants, car ils peuvent acquérir de nouvelles compétences et se démarquer dans un monde de plus en plus concurrentiel où la maîtrise des langues étrangères est un vrai critère d’embauche. Lors de cette mobilité, les étudiants peuvent rencontrer quelques difficultés : la gestion de la langue, des différences culturelles ou encore la recherche d'un logement et l’apprentissage dans un nouveau système académique. Cependant, ces défis peuvent également être des opportunités de se développer personnellement et de découvrir de nouveaux horizons. En plus de l'épanouissement personnel, la mobilité peut avoir un impact positif sur la carrière des étudiants. Les employeurs apprécient souvent les candidats qui ont de l'expérience internationale et une compréhension de différentes cultures. La mobilité académique peut également offrir aux étudiants des opportunités de travail à l'étranger, leur permettant de développer leur carrière sur une base mondiale.
Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Matthieu GOZE, je suis actuellement en deuxième année de Mastère à AMOS Bordeaux. Dans le cadre du programme international, je suis parti deux fois en échange universitaire à l’étranger. Une fois en 3ème année en Autriche à Kufstein et en 5ème année à Munich en Allemagne.Pourquoi partir étudier à l'étranger ?
Je voulais voyager, améliorer mon niveau d’anglais et découvrir de nouveaux pays que je n’aurais peut-être pas visiter en temps normal. Je voulais également découvrir d’autres cultures grâce à l’Erasmus qui te fait rencontrer des étudiants qui viennent d’un peu partout.
Pourquoi as-tu eu envie d’aller dans ce pays ?
Pour l’Autriche, je n’ai pas eu trop le choix, je devais partir en Australie au départ, mais le COVID m’a coupé l’herbe sous le pied.... J’ai donc dû me rabattre sur une destination européenne et l’Autriche est le pays qui me tentait le plus. En ce qui concerne l’Allemagne, c’était dans un but purement professionnel, Munich est une ville importante avec beaucoup de sièges sociaux d’entreprises internationales et avec beaucoup d’opportunités de travail. C’est également une zone géographique intéressante car proche de la Suisse, l’Autriche et l’Italie.Comment décrirais-tu ton expérience ?
C’est très enrichissant, tu découvres une nouvelle culture, de nouvelles mœurs et s’y adapter est quelque chose de très intéressant. Tu as même une double adaptation, car à l’université, tu dois composer avec des étudiants qui viennent de tout horizon et notamment de pays hors européens (Inde, Iran, Mexique, Indonésie, Thaïlande...). C’est donc super intéressant d’apprendre à découvrir ces personnes qui ont des cultures et des visions très différentes des nôtres.
Comment as-tu géré les défis linguistiques et culturels rencontrés pendant ta mobilité ?
Au niveau linguistique, très peu de difficultés, tout le monde parle anglais que ce soit les étudiants ou les gens à l’extérieur (les Allemands sont très bons en anglais). Au niveau culturel, il faut s’adapter et apprendre à connaître chacun, mais c’est relativement facile et on arrive à partager des choses en commun. En ce qui concerne la vie de tous les jours, la vie en Allemagne n’est pas très différente de la vie en France, tu restes en Europe dans un pays frontalier, c’est relativement simple malgré les quelques différences qui existent. Avec les étudiants étrangers, tu apprends à les connaître pour savoir comment te comporter avec eux, quel est leur seuil de tolérance, comment leur humour fonctionne. Mais nous partageons également beaucoup de choses en commun.Comment as-tu géré l'adaptation à une nouvelle vie loin de chez toi, de ta famille et de tes amis ?
Au-delà des séjours universitaires, j’ai aussi fait mes stages à l’étranger, je suis donc parti relativement longtemps. Au début, ça ne me faisait rien, je rentrais soit entre la période de cours et la période de stage soit une fois au milieu de mon séjour à l’étranger quand je pouvais. Puis avec le temps, ça a commencé à me manquer. Mais je pense que la solution, c’est de rester en contact avec sa famille et ses amis et de vivre pleinement l’expérience à l'étranger, car cela va atténuer le mal du pays. Si tu penses tout le temps à chez toi, ça va amplifier le manque, faire des rencontres, découvrir son environnement, c’est la meilleure façon de le gérer selon moi.
Est-ce que ça a été dur de trouver un logement à l’étranger ?
Le seul endroit où ça a été compliqué, c’est l’Allemagne. J’ai trouvé mon appartement 2 jours avant mon départ alors que je m’y suis pris 4 mois à l’avance.Qu’est-ce que cette expérience t’a apporté ?
De très belles rencontres, des souvenirs, une amélioration considérable de mon niveau d’anglais et une ouverture d’esprit.Quelle est la chose dont tu te souviens le plus ?
Mon séjour en Autriche sur le plan relationnel était incroyable, j’ai noué de très fortes amitiés et j’ai partagé de très bons moments là-bas. Le tout dans un cadre splendide, au pied des montagnes avec des lacs magnifiques. Les personnes que j’ai rencontrées sont aujourd’hui des amis.
Comment cette expérience a influencé ta vie personnelle et professionnelle ?
Personnellement, ça m’a aidé en termes d’adaptation à l’environnement, et professionnellement, ça m’a permis d’avoir des opportunités de travail, de m’améliorer en langues étrangères, et d’évoluer dans des environnements professionnels différents de ce qu’on a l’habitude de côtoyer en France.Quel conseil tu pourrais donner à quelqu’un qui hésite à partir ?
Partir à l’étranger afin d’y accomplir ses études permet un gain de temps considérable, car tout en te formant professionnellement, tu visites des destinations qui te plaisent. Tu associes donc l’utile à l’agréable d’autant plus que l’expérience que tu en retires n’est pas la même à 20 ans qu’à 40 ans. Je lui conseille donc de partir, car ce sont des expériences très utiles et enrichissantes qui mettent en valeur la personne que tu es, ainsi que ton bagage professionnel et intellectuel !09 Feb 2023
Super Bowl, bien plus qu’un événement sportif...
L'événement le plus important du calendrier de la Ligue Nationale de Football
Le Super Bowl est considéré comme le plus grand événement sportif de l’année aux États-Unis. Il a lieu tous les ans à la fin de la saison NFL, en général au début du mois de février. Cette année, il se déroulera le 12 février 2023. Le Super Bowl est un match de championnat qui oppose les deux meilleures équipes de la NFL dans un stade rempli de fans enthousiastes et de stars du monde du divertissement. Ce n'est pas seulement un match de football, c'est un véritable spectacle avec une grande production musicale et des performances des plus grands artistes. Pour cette édition 2023, c’est Rihanna qui a été contactée pour performer durant la mi-temps, le célèbre « Halftime Show ». DJ Snake sera aussi de la partie, puisqu’il a été choisi par la NFL pour mixer avant le coup d’envoi. Cet événement est également connu pour les sports publicitaires, qui attire de nombreux annonceurs en raison de son audience massive. Les publicités lors du Super Bowl sont les plus coûteuses au monde et les attendues de l'année : elles sont devenues cultes en raison de leur créativité et de leur humour. Considéré comme un événement de fête nationale aux États-Unis, des millions de personnes se réunissent en famille et entre amis pour assister à ce match exceptionnel. Le Super Bowl est donc bien plus qu'un simple match de football. Il s'agit d'un événement culturel majeur qui rassemble pour célébrer le sport, la musique, la publicité et la camaraderie. Un spectacle à ne pas manquer !
Nos étudiants en parlent...
Nous avons interviewé deux étudiants AMOS Bordeaux, Tahitoa Roomataaroa dit « Paipai » et Vito Cavallo, tous les deux 22 ans et joueurs aux Lions de Bordeaux club de football américain en deuxième division. Bien qu’ayant des postes différents, l’un rusher, et le second running back, ils se rejoignent sur le côté stratégique et de cohésion qu’offre leur sport. Ils évoquent notamment comment la NFL a su créer un événement aussi célèbre et soulignent la qualité des publicités et du show à la mi-temps. C’est effectivement grâce à cet événement que des personnes découvrent ce sport. C’est ce qui s’est passé pour nos deux étudiants. « L’événement qui m’a marqué vient du Super Bowl XLIX (celui de 2014), opposant les Seahawks de Seattle et les Patriots de New-England même si le concert de Katy Perry était impressionnant, c’est le dernier jeu offensif de Seattle qui a retenu mon attention » Tahitoa « Quatrième et dernier quart-temps, Seattle est menée 24 à 28, 25 secondes au chronomètre, 2ème tentative et 2 yards à parcourir pour marquer, Marshawn Lynch est en position, la balle est mise en jeu et lorsqu’on pensait voir une course en plein centre de celui que l’on surnomme Beast Mode, c’est une passe qui est lancée par Russell Wilson en direction du receveur numéro 83, Ricardo Lockette. Cette balle ne finira pas sa trajectoire dans les mains de ce destinataire mais sera interceptée par Malcolm Butler, cornerback de New-England et scellera mon premier match de football américain ». Vito, étudiant Global Sport Business Master
09 Feb 2023
Super Bowl, bien plus qu’un événement sportif...
L'événement le plus important du calendrier de la Ligue Nationale de Football
Le Super Bowl est considéré comme le plus grand événement sportif de l’année aux États-Unis. Il a lieu tous les ans à la fin de la saison NFL, en général au début du mois de février. Cette année, il se déroulera le 12 février 2023. Le Super Bowl est un match de championnat qui oppose les deux meilleures équipes de la NFL dans un stade rempli de fans enthousiastes et de stars du monde du divertissement. Ce n'est pas seulement un match de football, c'est un véritable spectacle avec une grande production musicale et des performances des plus grands artistes. Pour cette édition 2023, c’est Rihanna qui a été contactée pour performer durant la mi-temps, le célèbre « Halftime Show ». DJ Snake sera aussi de la partie, puisqu’il a été choisi par la NFL pour mixer avant le coup d’envoi. Cet événement est également connu pour les sports publicitaires, qui attire de nombreux annonceurs en raison de son audience massive. Les publicités lors du Super Bowl sont les plus coûteuses au monde et les attendues de l'année : elles sont devenues cultes en raison de leur créativité et de leur humour. Considéré comme un événement de fête nationale aux États-Unis, des millions de personnes se réunissent en famille et entre amis pour assister à ce match exceptionnel. Le Super Bowl est donc bien plus qu'un simple match de football. Il s'agit d'un événement culturel majeur qui rassemble pour célébrer le sport, la musique, la publicité et la camaraderie. Un spectacle à ne pas manquer !
Nos étudiants en parlent...
Nous avons interviewé deux étudiants AMOS Bordeaux, Tahitoa Roomataaroa dit « Paipai » et Vito Cavallo, tous les deux 22 ans et joueurs aux Lions de Bordeaux club de football américain en deuxième division. Bien qu’ayant des postes différents, l’un rusher, et le second running back, ils se rejoignent sur le côté stratégique et de cohésion qu’offre leur sport. Ils évoquent notamment comment la NFL a su créer un événement aussi célèbre et soulignent la qualité des publicités et du show à la mi-temps. C’est effectivement grâce à cet événement que des personnes découvrent ce sport. C’est ce qui s’est passé pour nos deux étudiants. « L’événement qui m’a marqué vient du Super Bowl XLIX (celui de 2014), opposant les Seahawks de Seattle et les Patriots de New-England même si le concert de Katy Perry était impressionnant, c’est le dernier jeu offensif de Seattle qui a retenu mon attention » Tahitoa « Quatrième et dernier quart-temps, Seattle est menée 24 à 28, 25 secondes au chronomètre, 2ème tentative et 2 yards à parcourir pour marquer, Marshawn Lynch est en position, la balle est mise en jeu et lorsqu’on pensait voir une course en plein centre de celui que l’on surnomme Beast Mode, c’est une passe qui est lancée par Russell Wilson en direction du receveur numéro 83, Ricardo Lockette. Cette balle ne finira pas sa trajectoire dans les mains de ce destinataire mais sera interceptée par Malcolm Butler, cornerback de New-England et scellera mon premier match de football américain ». Vito, étudiant Global Sport Business Master
09 Feb 2023
Interview étudiants BDA Bordeaux, un challenge au quotidien
Sens de l'engagement, organisation...
Faire partie du BDA (Bureau des AMOSciens), apporte un sens de l'engagement et une première expérience au sein d'une association. Mais c'est aussi un défi quotidien qui demande beaucoup d'organisation. Antoine Ragueneau et Victor Beaudry, président et vice-président, nous font part de leur expérience.Pouvez-vous vous présenter ? Quel est votre projet professionnel ?
« Je m’appelle Antoine, j’ai 22 ans, je viens de Clermont-Ferrand. Je suis actuellement en troisième année du Programme Grande Ecole à AMOS Bordeaux. Mon projet professionnel s’oriente vers les métiers de l’évènementiel. J’aimerais bien travailler plus tard au sein d’une structure professionnelle dans le monde du rugby. » Antoine Ragueneau. « Moi c'est Victor Beaudry, j’ai 21 ans, je suis en deuxième année de Bachelor à AMOS Bordeaux. J'ai comme objectif de travailler dans l’entreprenariat et le développement. Sinon, je n'ai pas vraiment de domaine qui se détache, je me donne le temps de mes études pour mûrir mon projet on va dire. » Victor BeaudryPratiquez-vous un sport ?
« Oui je suis assez sportif, j’aime bien pratiquer différents sports comme le padel ou le basket. Mais mon sport de prédilection depuis que j’ai 8 ans, est le rugby. J’ai eu la chance de pratiquer ce sport en catégorie jeune dans des structures professionnelles comme l’ASM. Maintenant j’évolue à l’Union Sportive Bouscataise en régionale 1. » Antoine Ragueneau « Oui je suis sportif, je fais du basket en 5 par 5 durant la saison et l’été je passe sur du basket 3 par 3 pour pouvoir jouer entre amis. Je fais également du crossfit. » Victor BeaudryAntoine, tu es directeur du BDA, peux-tu présenter l’association ?
« Le Bureau des AMOSciens (BDA) a pour objectif d’animer la vie étudiante de tous les élèves d’AMOS. Il y a différentes missions au sein du BDA, elles sont redistribuées vers différents pôles. Il y a d’abord le bureau avec un président, un vice-président, Victor Beaudry et un trésorier, Corentin Duc. Ensuite il y a 3 pôles, avec un responsable pour chaque pôle. » Antoine Ragueneau « Un pôle communication qui s’occupe de la gestion de notre compte Instagram et de la création de contenus sur notre actualité et nos divers événements. La responsable est Mélissa Goulée. Le pôle Event qui s’occupe des événements, soirées, projets vie de l’école. Il y a aussi le pôle Sport Universitaire qui s’occupe des différentes équipes, cette année foot et basket. » Antoine Ragueneau
Victor, tu es vice-président du BDA, peux-tu présenter sa mission ?
« Le but principal du BDA, c’est de permettre à chaque étudiant de profiter de ses études tout en ayant une vie extra-scolaire chargée en rencontres et bons souvenirs. Si l’étudiant se sent épanoui dans l’enceinte de l’école et à-côté, alors c’est parfait. » Victor BeaudryQuelles sont vos missions précisément ?
« Cette année, ma mission principale est le Sport Universitaire. Je m’occupe de mettre en place et d’organiser les différents plannings et rencontres ainsi que toute la logistique en termes de matériel, de rendez-vous sur les lieux de rencontre sportive, par exemple. » Victor Beaudry « Pour ma part, je m’occupe des deux gros événements que le BDA organise dans l’année, c’est-à-dire le week-end d’intégration et le week-end ski. Mais je m’occupe aussi d’aider les différents pôles notamment le Sport Universitaire pour le foot et le basket. Je fais aussi un peu l’intendant, avec la gestion des entrainements, compositions, maillots, ballons... Je suis aussi amené à beaucoup aider le pôle Event, pour organiser des soirées sur Bordeaux. » Antoine RagueneauRencontrez-vous des difficultés lors des projets mis en place ?
« Oui constamment, notamment sur le Sport Universitaire pour construire des équipes complètes et compétitives. Avec les différents rythmes de cours des étudiants, il est très compliqué de réunir tous les joueurs les jours de match. Une autre difficulté, c'est de créer une cohésion, qu’on essaye d’avoir depuis deux ans. On essaye de créer des liens entre les promos, ce n’est pas toujours facile. L’autre grosse difficulté, c'est de susciter un engouement auprès des élèves autour des événements qu’on organise, comme le week-end ski, ou les soirées. Il faut constamment relancer les étudiants. Le défi, c’est d’être très proche de tous pour qu’on gagne leur confiance. » Antoine Ragueneau « Une des plus grosses difficultés qu'on ait eues, c'était après le Covid où il a fallu redonner l’envie à l’étudiant de sortir. Le BDA n’ayant rien fait durant quasiment deux ans, ça n'a pas été facile de remettre cette association dans l'esprit des étudiants et dans leur vie étudiante. C'est pourquoi, il est important de créer de bons souvenirs et week-ends, pour fédérer et rassembler un maximum de personnes à la cause du BDA. » Victor Beaudry
Quelles sont les compétences à avoir pour être directeur d’association ?
« Je pense qu’il faut être assez sociable, autonome, organisé et avoir le sens des décisions. » Victor Beaudry « Selon moi, il ne faut pas forcément avoir de compétences précises. Les compétences, je les ai acquises en prenant ce rôle. Il faut faire preuve d’une bonne cohésion d’équipe pour travailler et faire fédérer les différents pôles, il faut se rendre disponible, avoir une bonne aisance à l’oral en public et au téléphone, savoir gérer un budget, des étudiants sur des grands week-ends et savoir utiliser les outils bureautiques et digitaux. » Antoine RagueneauQue vous apporte cette expérience ?
« Cette expérience m’a beaucoup apporté personnellement, elle m’a permis de devenir plus autonome, de comprendre et appréhender tous les rudiments de l'évènementiel. J’ai également amélioré la gestion de mon stress pour la prise de parole en public. Elle m’apporte également tous les jours beaucoup de contacts pour mon réseau. Cela m’a permis d’avoir une première expérience managériale auprès des différents membres du BDA. J’ai également appris la gestion d’un budget. Cette expérience est pour moi un petit plus que je rajoute sur mon CV. » Antoine Ragueneau « Pour le coup, j’aime être présent pour les gens tout en m’assurant qu’ils sont heureux dans ce qu’ils font. Donc je pense que c’est naturel d’avoir envie de rentrer dans une association, car c’est la base de la vie en association à mon avis... Après, cela m'apporte une expérience en évènementiel et ça donne une vision de terrain qui est non négligeable pour l’avenir. » Victor Beaudry09 Feb 2023
Interview étudiants BDA Bordeaux, un challenge au quotidien
Sens de l'engagement, organisation...
Faire partie du BDA (Bureau des AMOSciens), apporte un sens de l'engagement et une première expérience au sein d'une association. Mais c'est aussi un défi quotidien qui demande beaucoup d'organisation. Antoine Ragueneau et Victor Beaudry, président et vice-président, nous font part de leur expérience.Pouvez-vous vous présenter ? Quel est votre projet professionnel ?
« Je m’appelle Antoine, j’ai 22 ans, je viens de Clermont-Ferrand. Je suis actuellement en troisième année du Programme Grande Ecole à AMOS Bordeaux. Mon projet professionnel s’oriente vers les métiers de l’évènementiel. J’aimerais bien travailler plus tard au sein d’une structure professionnelle dans le monde du rugby. » Antoine Ragueneau. « Moi c'est Victor Beaudry, j’ai 21 ans, je suis en deuxième année de Bachelor à AMOS Bordeaux. J'ai comme objectif de travailler dans l’entreprenariat et le développement. Sinon, je n'ai pas vraiment de domaine qui se détache, je me donne le temps de mes études pour mûrir mon projet on va dire. » Victor BeaudryPratiquez-vous un sport ?
« Oui je suis assez sportif, j’aime bien pratiquer différents sports comme le padel ou le basket. Mais mon sport de prédilection depuis que j’ai 8 ans, est le rugby. J’ai eu la chance de pratiquer ce sport en catégorie jeune dans des structures professionnelles comme l’ASM. Maintenant j’évolue à l’Union Sportive Bouscataise en régionale 1. » Antoine Ragueneau « Oui je suis sportif, je fais du basket en 5 par 5 durant la saison et l’été je passe sur du basket 3 par 3 pour pouvoir jouer entre amis. Je fais également du crossfit. » Victor BeaudryAntoine, tu es directeur du BDA, peux-tu présenter l’association ?
« Le Bureau des AMOSciens (BDA) a pour objectif d’animer la vie étudiante de tous les élèves d’AMOS. Il y a différentes missions au sein du BDA, elles sont redistribuées vers différents pôles. Il y a d’abord le bureau avec un président, un vice-président, Victor Beaudry et un trésorier, Corentin Duc. Ensuite il y a 3 pôles, avec un responsable pour chaque pôle. » Antoine Ragueneau « Un pôle communication qui s’occupe de la gestion de notre compte Instagram et de la création de contenus sur notre actualité et nos divers événements. La responsable est Mélissa Goulée. Le pôle Event qui s’occupe des événements, soirées, projets vie de l’école. Il y a aussi le pôle Sport Universitaire qui s’occupe des différentes équipes, cette année foot et basket. » Antoine Ragueneau
Victor, tu es vice-président du BDA, peux-tu présenter sa mission ?
« Le but principal du BDA, c’est de permettre à chaque étudiant de profiter de ses études tout en ayant une vie extra-scolaire chargée en rencontres et bons souvenirs. Si l’étudiant se sent épanoui dans l’enceinte de l’école et à-côté, alors c’est parfait. » Victor BeaudryQuelles sont vos missions précisément ?
« Cette année, ma mission principale est le Sport Universitaire. Je m’occupe de mettre en place et d’organiser les différents plannings et rencontres ainsi que toute la logistique en termes de matériel, de rendez-vous sur les lieux de rencontre sportive, par exemple. » Victor Beaudry « Pour ma part, je m’occupe des deux gros événements que le BDA organise dans l’année, c’est-à-dire le week-end d’intégration et le week-end ski. Mais je m’occupe aussi d’aider les différents pôles notamment le Sport Universitaire pour le foot et le basket. Je fais aussi un peu l’intendant, avec la gestion des entrainements, compositions, maillots, ballons... Je suis aussi amené à beaucoup aider le pôle Event, pour organiser des soirées sur Bordeaux. » Antoine RagueneauRencontrez-vous des difficultés lors des projets mis en place ?
« Oui constamment, notamment sur le Sport Universitaire pour construire des équipes complètes et compétitives. Avec les différents rythmes de cours des étudiants, il est très compliqué de réunir tous les joueurs les jours de match. Une autre difficulté, c'est de créer une cohésion, qu’on essaye d’avoir depuis deux ans. On essaye de créer des liens entre les promos, ce n’est pas toujours facile. L’autre grosse difficulté, c'est de susciter un engouement auprès des élèves autour des événements qu’on organise, comme le week-end ski, ou les soirées. Il faut constamment relancer les étudiants. Le défi, c’est d’être très proche de tous pour qu’on gagne leur confiance. » Antoine Ragueneau « Une des plus grosses difficultés qu'on ait eues, c'était après le Covid où il a fallu redonner l’envie à l’étudiant de sortir. Le BDA n’ayant rien fait durant quasiment deux ans, ça n'a pas été facile de remettre cette association dans l'esprit des étudiants et dans leur vie étudiante. C'est pourquoi, il est important de créer de bons souvenirs et week-ends, pour fédérer et rassembler un maximum de personnes à la cause du BDA. » Victor Beaudry