DES BANCS DE L'ÉCOLE AU BASKET-BALL GAME

Thomas Gernez, Alumni AMOS Lille, a rejoint le Club de Basket-Ball Strasbourgeois, la SIG, et concrétise ainsi, le projet professionnel qu’il s’était fixé, à sa sortie de formation. Nous avons pu partager avec lui, son expérience et ses missions.
Thomas, peux-tu te présenter en quelques mots ?
« Thomas Gernez, 23 ans, originaire du Nord-Pas-de Calais, je suis passionné de basket-ball et de sport en général. Après mon BAC ES, je ne savais pas quelle voie choisir. À la suite d’une intervention dans mon lycée, j’ai décidé de tenter l’aventure AMOS, au travers du Bachelor Métiers du Sport, avec comme objectif et projet professionnel d’intégrer un club de basket à l’issue. Ce projet s’est finalement modifié, avec le temps, car j’ai décidé de poursuivre mon cursus de formation AMOS, sur un programme en 5 ans, au travers du Master Programme Grande Ecole.
A l’issue, mon projet professionnel a pu se concrétiser avec le club de basket Alsacien : La SIG Strasbourg. »
Quelles expériences professionnelles as-tu réalisées lors de ton parcours chez AMOS ?
« Au travers du Bachelor Métiers du Sport, j’ai pu effectuer, sur la 1ère année, un stage de vente au Nike Store de Lille, et un stage d’événementiel pour le Grand Prix International de Cyclisme d’Isbergues, où des grands noms y ont concouru, tels que Thomas Voeckler.
Cette expérience fut très enrichissante, dans l’acquisition de compétences d’organisation d’événements sportifs. J’ai également créé, en parallèle, un événement sportif : le tournoi de 3x3 OSA basket, qui a été pérennisé, par la suite. Cette année devait avoir lieu la 5ème édition de ce tournoi. Il sera reporté à une date ultérieure suite à la crise sanitaire.
En 2ème année, je suis parti un semestre à Londres, où j’ai travaillé, en parallèle de mes cours, dans un restaurant, pour ainsi, améliorer mon anglais. J’ai fait le choix également d’être dans une famille d’accueil Anglaise, pour être, ainsi, en totale immersion, et me perfectionner, afin atteindre, un niveau B2 à la sortie de cette expérience.
En 3ème année, j’ai intégré l’entreprise Design Corporel, où j’étais assistant marketing et commercial en charge notamment de la prospection clients.
En 4ème année du Master Programme Grande Ecole, j’ai réalisé mon alternance au centre de pratique du Kipstadium, crée par Décathlon. Le Kipstadium est un centre de pratique des sports collectifs où amateurs et professionnels vont se retrouver autour d’une même passion. J’étais en charge de l’offre commerciale «anniversaire», en charge des animations et de l’événementiel du centre de pratique, avec un objectif de chiffre d’affaires, et d’accompagnement des propositions commerciales.
Pour finir, en 5ème année de Master j’ai intégré la SIG Strasbourg en tant qu’Attaché événementiel et Assistant commercial. »
Quel rôle a joué AMOS dans ta professionnalisation ?
« Chez AMOS, nous sommes dès le départ en contact avec les acteurs du monde du sport.
Sur les 3 premières années du Bachelor Métiers du Sport, nous avons 3 stages à effectuer, et une expérience professionnelle à réaliser à l’étranger. Ce qui signifie, qu’à la sortie, à 21 ans, nous avons, déjà, 3 entreprises sur notre CV, avec de l’expérience professionnelle, au travers de postes intéressants. Cela fait la différence sur le marché de l’emploi ! Qui plus est l’école AMOS, nous accompagne, pour trouver des stages et missions professionnalisantes.
Pour ce qui est du Master Programme Grande Ecole, nous sommes sur un rythme alterné, ce qui permet de « mettre un pied » complétement dans l’entreprise. Nous sommes considérés comme un salarié à temps plein, même si, en 5ème année, nous avons la semaine de cours qui nous rappelle que nous sommes encore étudiants, nous l’oublions, finalement, assez vite ! »
Tu travailles désormais à la SIG. Peux-tu nous présenter ton employeur : Quel est son business model ?
« La SIG Strasbourg est un Club de Basket qui a été créé il y a 91 ans. La SIG « Sportive Illkirch-Graffenstaden » est devenu, rapidement, un club emblématique du Basket-Ball Français. Il y a 10 ans, la SIG a connu une période économique difficile.
Martial Bellon est arrivé, alors, à la Présidence, et a souhaité revoir complétement, le modèle économique du club. Alors, soutenu majoritairement par des financements publics, Mr Bellon a changé le statut juridique du club, en créant une Société Anonyme Sportive Professionnelle (SASP).
Les collectivités territoriales, majoritaires, cèdent, alors, la totalité de leurs actions, à la SAS SIG&Entreprises, qui devient actionnaire majoritaire, avec 86,7% du capital, au travers d’actionnaires territoriaux, favorisant ainsi, l’ancrage territoriale. Le restant des parts appartenant à SIG&Territoire, constituée de fans du club.
En prenant ce virage majeur, l’objectif du club est de ne plus avoir un mécène unique, et ainsi pérenniser ses finances. Le but étant de continuer à accroitre les actionnaires territoriaux, en d’autres termes, les acteurs économiques régionaux, dans un projet commun de développement de la SIG Strasbourg, et ainsi favoriser une synergie entre tous les acteurs. Nous avons également des partenaires/sponsors régionaux investis, comme, Adidas, partenaire majeur et équipementier officiel. »
Peux-tu nous expliquer en quoi consiste ton job au sein de la SIG ?
« A l’issue de l’obtention de mon Bachelor, j’ai envoyé ma candidature à tous les clubs de Pro A, Pro B, et Nationale 1, pour concrétiser mon projet professionnel, celui d’intégrer un club de basket.
En Août 2018, j’ai été contacté par la SIG Strasbourg à la suite d’une candidature envoyée quelques semaines plus tôt. J’ai passé l’entretien puis j’ai intégré la structure en tant qu’Attaché événementiel et Assistant commercial. A la suite de l’obtention de mon Master, la SIG Strasbourg m’a proposé le poste de Gestionnaire Commercial & Événementiel, poste que j’occupe depuis 8 mois.
J’ai la chance d’avoir un job très transversal, c’est-à-dire que je suis à la fois en soutien des commerciaux : administration des contrats, suivi des clients, commandes…J’ai aussi un rôle de commercial moi-même avec un portefeuille clients à développer, et j’ai également un rôle de gestionnaire d’événementiel et d’accompagnement des clients sur des events tels que des séminaires entreprises, conventions…
D’autre part, j’ai la charge du dossier “LABEL LNB”. Ce dispositif a pour but de valoriser la structuration et la professionnalisation des clubs professionnels, sur la base d’un cahier des charges, comprenant les éléments suivants : Gouvernance/Administration/Finance ; Marketing/Commercial/Communication ; Sportif/Médical ; Equipement/Exploitation/Gestion de la salle. Ces éléments structurants sont évalués et donnent lieu à l’attribution d’un label (Or, Argent ou Bronze). La SIG a obtenu le label d’OR Jeep Elite, sur 2 années consécutives.
J’ai également pour mission d’animer le Club Affaires de la SIG STRASBOURG : le réseau des partenaires, où j’accompagne son Président dans le développement des événements, comme par exemple les after-work, les soirées de lancement, ou bien encore les sessions d’entrainement...
Pour finir, j’assure le suivi de la boutique en ligne et la boutique soirs de match ainsi que la gestion de l’offre restauration pour le Grand Public. »
Thomas, peux-tu te présenter en quelques mots ?
« Thomas Gernez, 23 ans, originaire du Nord-Pas-de Calais, je suis passionné de basket-ball et de sport en général. Après mon BAC ES, je ne savais pas quelle voie choisir. À la suite d’une intervention dans mon lycée, j’ai décidé de tenter l’aventure AMOS, au travers du Bachelor Métiers du Sport, avec comme objectif et projet professionnel d’intégrer un club de basket à l’issue. Ce projet s’est finalement modifié, avec le temps, car j’ai décidé de poursuivre mon cursus de formation AMOS, sur un programme en 5 ans, au travers du Master Programme Grande Ecole.
A l’issue, mon projet professionnel a pu se concrétiser avec le club de basket Alsacien : La SIG Strasbourg. »
Quelles expériences professionnelles as-tu réalisées lors de ton parcours chez AMOS ?
« Au travers du Bachelor Métiers du Sport, j’ai pu effectuer, sur la 1ère année, un stage de vente au Nike Store de Lille, et un stage d’événementiel pour le Grand Prix International de Cyclisme d’Isbergues, où des grands noms y ont concouru, tels que Thomas Voeckler.
Cette expérience fut très enrichissante, dans l’acquisition de compétences d’organisation d’événements sportifs. J’ai également créé, en parallèle, un événement sportif : le tournoi de 3x3 OSA basket, qui a été pérennisé, par la suite. Cette année devait avoir lieu la 5ème édition de ce tournoi. Il sera reporté à une date ultérieure suite à la crise sanitaire.
En 2ème année, je suis parti un semestre à Londres, où j’ai travaillé, en parallèle de mes cours, dans un restaurant, pour ainsi, améliorer mon anglais. J’ai fait le choix également d’être dans une famille d’accueil Anglaise, pour être, ainsi, en totale immersion, et me perfectionner, afin atteindre, un niveau B2 à la sortie de cette expérience.
En 3ème année, j’ai intégré l’entreprise Design Corporel, où j’étais assistant marketing et commercial en charge notamment de la prospection clients.
En 4ème année du Master Programme Grande Ecole, j’ai réalisé mon alternance au centre de pratique du Kipstadium, crée par Décathlon. Le Kipstadium est un centre de pratique des sports collectifs où amateurs et professionnels vont se retrouver autour d’une même passion. J’étais en charge de l’offre commerciale «anniversaire», en charge des animations et de l’événementiel du centre de pratique, avec un objectif de chiffre d’affaires, et d’accompagnement des propositions commerciales.
Pour finir, en 5ème année de Master j’ai intégré la SIG Strasbourg en tant qu’Attaché événementiel et Assistant commercial. »
Quel rôle a joué AMOS dans ta professionnalisation ?
« Chez AMOS, nous sommes dès le départ en contact avec les acteurs du monde du sport.
Sur les 3 premières années du Bachelor Métiers du Sport, nous avons 3 stages à effectuer, et une expérience professionnelle à réaliser à l’étranger. Ce qui signifie, qu’à la sortie, à 21 ans, nous avons, déjà, 3 entreprises sur notre CV, avec de l’expérience professionnelle, au travers de postes intéressants. Cela fait la différence sur le marché de l’emploi ! Qui plus est l’école AMOS, nous accompagne, pour trouver des stages et missions professionnalisantes.
Pour ce qui est du Master Programme Grande Ecole, nous sommes sur un rythme alterné, ce qui permet de « mettre un pied » complétement dans l’entreprise. Nous sommes considérés comme un salarié à temps plein, même si, en 5ème année, nous avons la semaine de cours qui nous rappelle que nous sommes encore étudiants, nous l’oublions, finalement, assez vite ! »
Tu travailles désormais à la SIG. Peux-tu nous présenter ton employeur : Quel est son business model ?
« La SIG Strasbourg est un Club de Basket qui a été créé il y a 91 ans. La SIG « Sportive Illkirch-Graffenstaden » est devenu, rapidement, un club emblématique du Basket-Ball Français. Il y a 10 ans, la SIG a connu une période économique difficile.
Martial Bellon est arrivé, alors, à la Présidence, et a souhaité revoir complétement, le modèle économique du club. Alors, soutenu majoritairement par des financements publics, Mr Bellon a changé le statut juridique du club, en créant une Société Anonyme Sportive Professionnelle (SASP).
Les collectivités territoriales, majoritaires, cèdent, alors, la totalité de leurs actions, à la SAS SIG&Entreprises, qui devient actionnaire majoritaire, avec 86,7% du capital, au travers d’actionnaires territoriaux, favorisant ainsi, l’ancrage territoriale. Le restant des parts appartenant à SIG&Territoire, constituée de fans du club.
En prenant ce virage majeur, l’objectif du club est de ne plus avoir un mécène unique, et ainsi pérenniser ses finances. Le but étant de continuer à accroitre les actionnaires territoriaux, en d’autres termes, les acteurs économiques régionaux, dans un projet commun de développement de la SIG Strasbourg, et ainsi favoriser une synergie entre tous les acteurs. Nous avons également des partenaires/sponsors régionaux investis, comme, Adidas, partenaire majeur et équipementier officiel. »
Peux-tu nous expliquer en quoi consiste ton job au sein de la SIG ?
« A l’issue de l’obtention de mon Bachelor, j’ai envoyé ma candidature à tous les clubs de Pro A, Pro B, et Nationale 1, pour concrétiser mon projet professionnel, celui d’intégrer un club de basket.
En Août 2018, j’ai été contacté par la SIG Strasbourg à la suite d’une candidature envoyée quelques semaines plus tôt. J’ai passé l’entretien puis j’ai intégré la structure en tant qu’Attaché événementiel et Assistant commercial. A la suite de l’obtention de mon Master, la SIG Strasbourg m’a proposé le poste de Gestionnaire Commercial & Événementiel, poste que j’occupe depuis 8 mois.
J’ai la chance d’avoir un job très transversal, c’est-à-dire que je suis à la fois en soutien des commerciaux : administration des contrats, suivi des clients, commandes…J’ai aussi un rôle de commercial moi-même avec un portefeuille clients à développer, et j’ai également un rôle de gestionnaire d’événementiel et d’accompagnement des clients sur des events tels que des séminaires entreprises, conventions…
D’autre part, j’ai la charge du dossier “LABEL LNB”. Ce dispositif a pour but de valoriser la structuration et la professionnalisation des clubs professionnels, sur la base d’un cahier des charges, comprenant les éléments suivants : Gouvernance/Administration/Finance ; Marketing/Commercial/Communication ; Sportif/Médical ; Equipement/Exploitation/Gestion de la salle. Ces éléments structurants sont évalués et donnent lieu à l’attribution d’un label (Or, Argent ou Bronze). La SIG a obtenu le label d’OR Jeep Elite, sur 2 années consécutives.
J’ai également pour mission d’animer le Club Affaires de la SIG STRASBOURG : le réseau des partenaires, où j’accompagne son Président dans le développement des événements, comme par exemple les after-work, les soirées de lancement, ou bien encore les sessions d’entrainement...
Pour finir, j’assure le suivi de la boutique en ligne et la boutique soirs de match ainsi que la gestion de l’offre restauration pour le Grand Public. »
Propos recueillis par Anne-Sophie Paumier Chargée de Communication AMOS Strasbourg
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06 Feb 2023
Les différences entre le rugby et le football américain
A l’approche du Super Bowl, revoyons les bases...
Généralement connu du grand public grâce au spectacle « Halftime Super Bowl » offert à la mi-temps, le football américain est un sport encore peu côté en Europe. En effet, malgré la présence de nombreux clubs sur le vieux continent, les règles de ce sport restent encore méconnues pour la plupart d’entre nous. De plus, beaucoup prennent un malin plaisir à le comparer au rugby, ces deux sports similaires d’aspects mais bien différents de fond ! A l’approche du Super Bowl, les non-initiés se posent toujours les mêmes questions autour du rugby et du football américain. Si vous en faites partie, cet article est pour vous !Quelle est l’origine de ces sports ?
Connu officiellement en 1823, le rugby voit le jour en Angleterre à l'initiative de Williams Webb Ellis, étudiant au collège de Rugby. Selon une anecdote populaire, cette discipline a été créée lorsque Williams a décidé de ramasser un ballon et l’utiliser pour traverser tout le terrain afin de l’écraser dans l’en-but de l’équipe adverse au cours d’une partie de football. C’est d’ailleurs pour cette raison que le trophée de la plus grande compétition mondiale (Coupe du Monde de Rugby) porte son nom. Concernant le football américain, comme son nom l’indique, cette discipline a été créée aux Etats-Unis d’Amérique plusieurs décennies après le rugby. On estime qu’il trouve ses traces en 1860, avec l’arrivée des colons britanniques sur le sol américain. A cette époque, le rugby et le football (soccer) étant les disciplines les plus populaires dans le pays, Gerrat Smith Miller eut l’idée de les combiner. Dès 1870, des matchs sont joués dans certaines universités Nord-américaines. C’est quelques années après, soit en 1920 que l'American Professional Football Association voit le jour.
Le but du jeu...
Dans les deux disciplines, l’objectif est de gagner du terrain afin de se rapprocher de la zone d’en-but de l’équipe adverse. Plusieurs actions permettent aux équipes de gagner des points, et même si les règles diffèrent, on retrouve quelques similitudes entre les deux disciplines : L’action qui octroie le plus de points est le fait de passer dans la zone d’en-but de l’adversaire avec le ballon. Au Rugby, il s’agit d’aplatir le ballon dans la zone pour marquer un essai (5 points). Au football américain, on réalise un Touchdown (6 points) en pénétrant la zone avec le ballon, ou en réceptionnant une passe dedans. Ces actions peuvent être bonifiées par une transformation au pied, le ballon doit passer entre les deux poteaux (au rugby +2 points, au football américain +1 point). Au Football américain, on peut aussi tenter “l’extrapoint”, il s’agit d’une seule tentative pour repénétrer dans la zone d’en-but et ainsi gagner 2 points. Alors qu’elles tentent de gagner du terrain, les équipes sont confrontées à quelques règles. De manière très simplifiée, on notera qu’au rugby, toutes les passes à la main doivent se faire vers l’arrière, la progression se fait donc balle en main ou avec une passe au pied. Au football Américain l’équipe attaquante a 4 tentatives pour progresser de 10 yards. Si elle y arrive, elle a le droit à un nouveau cycle de 4 tentatives et ainsi de suite jusqu’à tenter un touchdown. Si elle n'atteint pas le palier à l’issu des 4 tentatives, le ballon est rendu à l’équipe adverse. Pour progresser, l’équipe qui attaque a le droit à une passe par tentative, chaque action s’arrête lorsque le porteur du ballon est mis au sol, ou que la passe n’aboutit pas. Il existe d’autres moyens de gagner des points, notamment au pied. Au rugby on gagne 3 points lorsqu’on fait passer la balle entre les poteaux. Soit après une faute commise par l’équipe adverse (appelé pénalité). Soit durant une phase de jeu, en tirant la balle au pied après l’avoir fait rebondir au sol (appelé drop). Au football américain, lors de la 4ème tentative d’une équipe, on peut tenter de faire passer le ballon entre les poteaux au pied pour gagner 3 points. Les points sont calculés selon la valeur suivante :- Au rugby : un essai (5 points), une transformation (2 points), un drop (3 points), une pénalité (3 points)
- Au football américain : un touchdown (6 points), un extra-points (1 ou 2 points), un field Goal (3 points), une sécurité (2 points pour l’équipe adverse
Le terrain...
En dehors de la forme du ballon, l’autre élément de similarité créant la confusion entre le football américain et le rugby est l'étendue terrain. Bien que possédant une zone d’en-but, les deux terrains sont différents. En effet, les distinctions entre les deux se font au niveau de la taille du terrain et des poteaux. Ainsi les poteaux d’un stade de rugby sont en forme de H tandis que ceux du football américain sont en Y. Pour la taille du terrain de rugby, les dimensions sont d’environ 100 mètres de long et 70 mètres de largeur. Concernant le football américain, l’unité de mesure est différente. Ici, on parle de « yard » soit 1 yard égale à 0,91mètres. La taille d’un stade de football américain est ainsi de 120 yards de long soit 109,2 mètres et 53,33 yards de large soit 48,53 mètres.
Les règles du jeu
Le premier élément de différenciation est la durée. Au rugby, le temps de jeu est fixé à 80 minutes au total avec deux mi-temps de 40 minutes contre 4 quart-temps de 15 minutes pour le football américain. Ces périodes de jeu sont suivis d’une pause de 12 minutes après la fin des deux premiers quart-temps. Le deuxième élément est le nombre de joueurs total sur le terrain. Au rugby la confrontation sera plus communément de 15 joueurs contre 15 (il existe également le rugby à XIII et à 7). Tandis qu’au football américain, c’est 11 joueurs contre 11. On note aussi une particularité sur le nombre de remplacement possible. Pour le Rugby, les joueurs jouent les phases offensives et défensives, et seuls 7 changements peuvent être effectués durant la rencontre. Au Football américain, il n’y a pas de limite de remplacement puisque les équipes changent presque entièrement entre les phases d’attaque et de défense.
Les accessoires...
Le principal accessoire de jeu de ces sports est le ballon ovale. Bien qu’ayant la même forme, la taille d’un ballon de rugby est d’environ 27 cm contre 28 cm pour le football américain. Pour se protéger pendant les matchs, les joueurs portent également des équipements. Au rugby, les joueurs ont la possibilité d’avoir des protections pour les cuisses, des casques et des protections dentaires qui sont souples et non obligatoires. Au football américain, tenant compte de la puissance des chocs, les joueurs portent obligatoirement des protections dentaires, des casques « plus protecteurs », des épaulettes, des protections de genoux et de coudes rigides pendant les matchs.La technologie au service du jeu
Malgré toutes ces différences, les deux disciplines sont assez similaires quant à leur rapport à la technologie. De nombreuses innovations ont vu le jour sur les terrains de Football américain et de Rugby, d’autres disciplines s’inspirent d’ailleurs de ces avancées afin de fluidifier le jeu, ou d’améliorer l’expérience du spectateur. L'arbitrage vidéo est apparu dès 1978 en NFL et a considérablement évolué afin d’augmenter le nombre de situations dans lesquelles il peut être utilisé. Au Rugby, au-delà de la VAR, utilisée depuis les années 2000, c’est l’équipement des arbitres par un micro qui séduit les téléspectateurs et les autres disciplines. En Ligue 1, le nouveau diffuseur Amazon Prime avait d’ailleurs équipé l’arbitre de St-Etienne – Monaco en avril 2022. Une action qui a relancé les débats au sein des institutions, qui souhaitent rendre l’arbitrage plus transparent envers les différents acteurs de ce sport. Au-delà de l’arbitrage, on peut noter de belles avancées technologiques chez nos amis américains. La communication entre les joueurs et les coachs se fait désormais par un micro intégré au casque du quarterback. Cela s'additionne à la mise à disposition par la Ligue de tablettes au bord du terrain pour l’analyse en temps réel des actions. Enfin, on note quelques innovations au service de l’intégrité physique des joueurs : Un concours a été organisé par la NFL pour repenser les casques des joueurs afin de limiter les commotions. Les équipes médicales ont également accès à des données de santé des joueurs en temps réel.Business is business…
Au niveau business, les chiffres penchent en faveur du Football US. Même si le sport a du mal à se démocratiser en dehors des frontières américaines, la NFL et notamment le Super Bowl (la finale de la ligue) présentent des audiences et des revenus colossaux comparés à ceux du Rugby. Le prochain contrat de diffusion de la NFL portera sur 11 saisons (2023-2033) et rapportera entre 105 et 110 milliards de dollars à la Ligue, soit près de 10 milliards par saison. Autre chiffre qui montre la super puissance américaine, le coût d’un spot publicitaire lors de la mi-temps du Super Bowl : il faudra débourser 7 millions d’euros pour 30s de publicité. A ce prix-là, les annonceurs font forcément preuve d’une grande créativité pour se démarquer... Côté Rugby, on notera tout de même de belles perspectives, surtout en France avec la prochaine Coupe du Monde en septembre 2023. D’après les prévisions de l’organisateur, la compétition devrait générer un bénéfice net de 68 millions d’euros destiné au développement du rugby en France. Avec toutes ces informations, vous disposez de quelques arguments solides pour un débat entre amis sur le rugby et le football américain. Article rédigé par Vanillie EKOUMA06 Feb 2023
Les différences entre le rugby et le football américain
A l’approche du Super Bowl, revoyons les bases...
Généralement connu du grand public grâce au spectacle « Halftime Super Bowl » offert à la mi-temps, le football américain est un sport encore peu côté en Europe. En effet, malgré la présence de nombreux clubs sur le vieux continent, les règles de ce sport restent encore méconnues pour la plupart d’entre nous. De plus, beaucoup prennent un malin plaisir à le comparer au rugby, ces deux sports similaires d’aspects mais bien différents de fond ! A l’approche du Super Bowl, les non-initiés se posent toujours les mêmes questions autour du rugby et du football américain. Si vous en faites partie, cet article est pour vous !Quelle est l’origine de ces sports ?
Connu officiellement en 1823, le rugby voit le jour en Angleterre à l'initiative de Williams Webb Ellis, étudiant au collège de Rugby. Selon une anecdote populaire, cette discipline a été créée lorsque Williams a décidé de ramasser un ballon et l’utiliser pour traverser tout le terrain afin de l’écraser dans l’en-but de l’équipe adverse au cours d’une partie de football. C’est d’ailleurs pour cette raison que le trophée de la plus grande compétition mondiale (Coupe du Monde de Rugby) porte son nom. Concernant le football américain, comme son nom l’indique, cette discipline a été créée aux Etats-Unis d’Amérique plusieurs décennies après le rugby. On estime qu’il trouve ses traces en 1860, avec l’arrivée des colons britanniques sur le sol américain. A cette époque, le rugby et le football (soccer) étant les disciplines les plus populaires dans le pays, Gerrat Smith Miller eut l’idée de les combiner. Dès 1870, des matchs sont joués dans certaines universités Nord-américaines. C’est quelques années après, soit en 1920 que l'American Professional Football Association voit le jour.
Le but du jeu...
Dans les deux disciplines, l’objectif est de gagner du terrain afin de se rapprocher de la zone d’en-but de l’équipe adverse. Plusieurs actions permettent aux équipes de gagner des points, et même si les règles diffèrent, on retrouve quelques similitudes entre les deux disciplines : L’action qui octroie le plus de points est le fait de passer dans la zone d’en-but de l’adversaire avec le ballon. Au Rugby, il s’agit d’aplatir le ballon dans la zone pour marquer un essai (5 points). Au football américain, on réalise un Touchdown (6 points) en pénétrant la zone avec le ballon, ou en réceptionnant une passe dedans. Ces actions peuvent être bonifiées par une transformation au pied, le ballon doit passer entre les deux poteaux (au rugby +2 points, au football américain +1 point). Au Football américain, on peut aussi tenter “l’extrapoint”, il s’agit d’une seule tentative pour repénétrer dans la zone d’en-but et ainsi gagner 2 points. Alors qu’elles tentent de gagner du terrain, les équipes sont confrontées à quelques règles. De manière très simplifiée, on notera qu’au rugby, toutes les passes à la main doivent se faire vers l’arrière, la progression se fait donc balle en main ou avec une passe au pied. Au football Américain l’équipe attaquante a 4 tentatives pour progresser de 10 yards. Si elle y arrive, elle a le droit à un nouveau cycle de 4 tentatives et ainsi de suite jusqu’à tenter un touchdown. Si elle n'atteint pas le palier à l’issu des 4 tentatives, le ballon est rendu à l’équipe adverse. Pour progresser, l’équipe qui attaque a le droit à une passe par tentative, chaque action s’arrête lorsque le porteur du ballon est mis au sol, ou que la passe n’aboutit pas. Il existe d’autres moyens de gagner des points, notamment au pied. Au rugby on gagne 3 points lorsqu’on fait passer la balle entre les poteaux. Soit après une faute commise par l’équipe adverse (appelé pénalité). Soit durant une phase de jeu, en tirant la balle au pied après l’avoir fait rebondir au sol (appelé drop). Au football américain, lors de la 4ème tentative d’une équipe, on peut tenter de faire passer le ballon entre les poteaux au pied pour gagner 3 points. Les points sont calculés selon la valeur suivante :- Au rugby : un essai (5 points), une transformation (2 points), un drop (3 points), une pénalité (3 points)
- Au football américain : un touchdown (6 points), un extra-points (1 ou 2 points), un field Goal (3 points), une sécurité (2 points pour l’équipe adverse
Le terrain...
En dehors de la forme du ballon, l’autre élément de similarité créant la confusion entre le football américain et le rugby est l'étendue terrain. Bien que possédant une zone d’en-but, les deux terrains sont différents. En effet, les distinctions entre les deux se font au niveau de la taille du terrain et des poteaux. Ainsi les poteaux d’un stade de rugby sont en forme de H tandis que ceux du football américain sont en Y. Pour la taille du terrain de rugby, les dimensions sont d’environ 100 mètres de long et 70 mètres de largeur. Concernant le football américain, l’unité de mesure est différente. Ici, on parle de « yard » soit 1 yard égale à 0,91mètres. La taille d’un stade de football américain est ainsi de 120 yards de long soit 109,2 mètres et 53,33 yards de large soit 48,53 mètres.
Les règles du jeu
Le premier élément de différenciation est la durée. Au rugby, le temps de jeu est fixé à 80 minutes au total avec deux mi-temps de 40 minutes contre 4 quart-temps de 15 minutes pour le football américain. Ces périodes de jeu sont suivis d’une pause de 12 minutes après la fin des deux premiers quart-temps. Le deuxième élément est le nombre de joueurs total sur le terrain. Au rugby la confrontation sera plus communément de 15 joueurs contre 15 (il existe également le rugby à XIII et à 7). Tandis qu’au football américain, c’est 11 joueurs contre 11. On note aussi une particularité sur le nombre de remplacement possible. Pour le Rugby, les joueurs jouent les phases offensives et défensives, et seuls 7 changements peuvent être effectués durant la rencontre. Au Football américain, il n’y a pas de limite de remplacement puisque les équipes changent presque entièrement entre les phases d’attaque et de défense.
Les accessoires...
Le principal accessoire de jeu de ces sports est le ballon ovale. Bien qu’ayant la même forme, la taille d’un ballon de rugby est d’environ 27 cm contre 28 cm pour le football américain. Pour se protéger pendant les matchs, les joueurs portent également des équipements. Au rugby, les joueurs ont la possibilité d’avoir des protections pour les cuisses, des casques et des protections dentaires qui sont souples et non obligatoires. Au football américain, tenant compte de la puissance des chocs, les joueurs portent obligatoirement des protections dentaires, des casques « plus protecteurs », des épaulettes, des protections de genoux et de coudes rigides pendant les matchs.La technologie au service du jeu
Malgré toutes ces différences, les deux disciplines sont assez similaires quant à leur rapport à la technologie. De nombreuses innovations ont vu le jour sur les terrains de Football américain et de Rugby, d’autres disciplines s’inspirent d’ailleurs de ces avancées afin de fluidifier le jeu, ou d’améliorer l’expérience du spectateur. L'arbitrage vidéo est apparu dès 1978 en NFL et a considérablement évolué afin d’augmenter le nombre de situations dans lesquelles il peut être utilisé. Au Rugby, au-delà de la VAR, utilisée depuis les années 2000, c’est l’équipement des arbitres par un micro qui séduit les téléspectateurs et les autres disciplines. En Ligue 1, le nouveau diffuseur Amazon Prime avait d’ailleurs équipé l’arbitre de St-Etienne – Monaco en avril 2022. Une action qui a relancé les débats au sein des institutions, qui souhaitent rendre l’arbitrage plus transparent envers les différents acteurs de ce sport. Au-delà de l’arbitrage, on peut noter de belles avancées technologiques chez nos amis américains. La communication entre les joueurs et les coachs se fait désormais par un micro intégré au casque du quarterback. Cela s'additionne à la mise à disposition par la Ligue de tablettes au bord du terrain pour l’analyse en temps réel des actions. Enfin, on note quelques innovations au service de l’intégrité physique des joueurs : Un concours a été organisé par la NFL pour repenser les casques des joueurs afin de limiter les commotions. Les équipes médicales ont également accès à des données de santé des joueurs en temps réel.Business is business…
Au niveau business, les chiffres penchent en faveur du Football US. Même si le sport a du mal à se démocratiser en dehors des frontières américaines, la NFL et notamment le Super Bowl (la finale de la ligue) présentent des audiences et des revenus colossaux comparés à ceux du Rugby. Le prochain contrat de diffusion de la NFL portera sur 11 saisons (2023-2033) et rapportera entre 105 et 110 milliards de dollars à la Ligue, soit près de 10 milliards par saison. Autre chiffre qui montre la super puissance américaine, le coût d’un spot publicitaire lors de la mi-temps du Super Bowl : il faudra débourser 7 millions d’euros pour 30s de publicité. A ce prix-là, les annonceurs font forcément preuve d’une grande créativité pour se démarquer... Côté Rugby, on notera tout de même de belles perspectives, surtout en France avec la prochaine Coupe du Monde en septembre 2023. D’après les prévisions de l’organisateur, la compétition devrait générer un bénéfice net de 68 millions d’euros destiné au développement du rugby en France. Avec toutes ces informations, vous disposez de quelques arguments solides pour un débat entre amis sur le rugby et le football américain. Article rédigé par Vanillie EKOUMA26 Jan 2023
Tirage au sort en direct LGEF, Portes Ouvertes AMOS Strasbourg
Plus de 80 personnes présentes...
Samedi 21 janvier 2023 a eu lieu la journée Portes Ouvertes du campus AMOS Strasbourg. Notre école de commerce spécialisée en Sport Management a en effet ouvert ses portes à plus de 80 personnes lors d’une journée placée sous le signe de la découverte et de l’échange. Destinée aux futurs étudiants, cette journée avait pour objectif de faire découvrir le campus, les enseignements, les étudiants, ainsi que le réseau de l’école qui forme tous les ans plus de 3 000 étudiants aux professions du management du sport !
Une journée sous le signe de la pédagogie, l'international et la professionnalisation
Différents ateliers étaient proposés : atelier pédagogique (découverte des différents programmes et intervenants), atelier international (découverte des différents cursus internationaux), atelier professionnalisation (découverte des partenaires et des opportunités d’insertion professionnelle), atelier expérience (découverte des expériences de bénévolat et de la vie sur campus).Un tirage au sort en direct...
Et c’est à cette occasion que la Ligue Grand Est de Football, partenaire de notre campus alsacien, a choisi d’effectuer son tirage au sort en direct pour le 3ème tour de la coupe du Grand Est des U15 & U17 !

26 Jan 2023
Tirage au sort en direct LGEF, Portes Ouvertes AMOS Strasbourg
Plus de 80 personnes présentes...
Samedi 21 janvier 2023 a eu lieu la journée Portes Ouvertes du campus AMOS Strasbourg. Notre école de commerce spécialisée en Sport Management a en effet ouvert ses portes à plus de 80 personnes lors d’une journée placée sous le signe de la découverte et de l’échange. Destinée aux futurs étudiants, cette journée avait pour objectif de faire découvrir le campus, les enseignements, les étudiants, ainsi que le réseau de l’école qui forme tous les ans plus de 3 000 étudiants aux professions du management du sport !
Une journée sous le signe de la pédagogie, l'international et la professionnalisation
Différents ateliers étaient proposés : atelier pédagogique (découverte des différents programmes et intervenants), atelier international (découverte des différents cursus internationaux), atelier professionnalisation (découverte des partenaires et des opportunités d’insertion professionnelle), atelier expérience (découverte des expériences de bénévolat et de la vie sur campus).Un tirage au sort en direct...
Et c’est à cette occasion que la Ligue Grand Est de Football, partenaire de notre campus alsacien, a choisi d’effectuer son tirage au sort en direct pour le 3ème tour de la coupe du Grand Est des U15 & U17 !

20 Dec 2022
GSBM Study Trip, ISPO European’s leading sports trade fair
The ISPO Trade Fairs
At dawn, on a smoggy Sunday morning late November, our Global Sport Business Master students (GSBM 1) landed in Munich - one of the most iconic European cities when it comes to sports. During their first year of the international Masters programme, our AMOScians learn about the European market, and there is no better case study than the European’s leading sports trade fair: ISPO. During 4 days, hundreds of companies showcased their latest innovative products on outdoors winter sports, while looking for new partnerships, and clients to shape the future of sports together. ISPO Munich is certainly a stage for solutions-oriented dialogues. From digitalisation to sustainability, the sports industry is facing several challenges, and what better than uniting the main players in the market, to exchange ideas, visions, and perspectives.
An opportunity to network
When surrounded by many worldwide brands and truly innovative products, it is easy to forget the reason of your presence, but it did not blur the vision of our students. Armand Ronvel (AMOS London) describes it here, « Professionals were very accessible, it did not matter if we were students, they took time to explain their different ranges of products as well as giving us tips for our future careers, and insights about the market. » For Maxime Jos (AMOS London) it was « a superb opportunity. I did not realise how big it was before getting there, just mind-blowing. It is impossible not to find the aspect of sports that is of interest to you, I am passionate about the fashion and retail aspect of sports, and there was so much in there for me. »
What else has Munich to offer?
Leaving ISPO on the side, our students got to discover the other facets that make Munich a World Sports capital. The Allianz Arena Stadium On their second day, after a morning spent networking at the trade show, the AMOScians experienced the atmosphere of the Allianz Arena. As they walked out of the tunnel, they went through the changing and the press conference rooms and discovered the fascinating details that make this stadium unique in its structural design. After the tour, the AMOScians immersed themselves in the German champion’s history by heading to the FC Bayern Museum. From the founding of the club, in 1900, to its current successes, our students lived a journey through time in the largest football museum of the country.

20 Dec 2022
GSBM Study Trip, ISPO European’s leading sports trade fair
The ISPO Trade Fairs
At dawn, on a smoggy Sunday morning late November, our Global Sport Business Master students (GSBM 1) landed in Munich - one of the most iconic European cities when it comes to sports. During their first year of the international Masters programme, our AMOScians learn about the European market, and there is no better case study than the European’s leading sports trade fair: ISPO. During 4 days, hundreds of companies showcased their latest innovative products on outdoors winter sports, while looking for new partnerships, and clients to shape the future of sports together. ISPO Munich is certainly a stage for solutions-oriented dialogues. From digitalisation to sustainability, the sports industry is facing several challenges, and what better than uniting the main players in the market, to exchange ideas, visions, and perspectives.
An opportunity to network
When surrounded by many worldwide brands and truly innovative products, it is easy to forget the reason of your presence, but it did not blur the vision of our students. Armand Ronvel (AMOS London) describes it here, « Professionals were very accessible, it did not matter if we were students, they took time to explain their different ranges of products as well as giving us tips for our future careers, and insights about the market. » For Maxime Jos (AMOS London) it was « a superb opportunity. I did not realise how big it was before getting there, just mind-blowing. It is impossible not to find the aspect of sports that is of interest to you, I am passionate about the fashion and retail aspect of sports, and there was so much in there for me. »
What else has Munich to offer?
Leaving ISPO on the side, our students got to discover the other facets that make Munich a World Sports capital. The Allianz Arena Stadium On their second day, after a morning spent networking at the trade show, the AMOScians experienced the atmosphere of the Allianz Arena. As they walked out of the tunnel, they went through the changing and the press conference rooms and discovered the fascinating details that make this stadium unique in its structural design. After the tour, the AMOScians immersed themselves in the German champion’s history by heading to the FC Bayern Museum. From the founding of the club, in 1900, to its current successes, our students lived a journey through time in the largest football museum of the country.
