Ça smatch dur à Rennes avec le Rennes Volley 35 !

Après sa 4e place l’an passé, le Rennes Volley 35 a encore joué les premiers rôles en Ligue A cette saison et a participé à la Challenge Cup (Coupe d’Europe). Le club occupe désormais une place primordiale dans le bassin rennais et contribue au développement du volley en Bretagne. Cependant, le but est de se développer de manière progressive car le Rennes Volley 35 se construit tout doucement. Pour Brice Chambourg (président du club depuis 2018), l’équipe ne vise pas essentiellement la première place. Le but est d’être une équipe qui compte dans le championnat de France, sans avoir de prétentions particulières. Il faut également bien faire les choses à tous les niveaux en se structurant que ce soit au niveau sportif mais également avec la création d’un véritable staff autour de l’équipe (équipe administrative, logistique, commerciale, médicale…). Cette professionnalisation s’est traduite l’été dernier par le recrutement de joueurs ayant une mentalité un peu différente des européens comme en témoigne la venue de trois brésiliens et d’un argentin cette saison qui apportent une réelle plus-value à l’équipe. 100 % des joueurs sont professionnels. En dehors du terrain, le club cherche avant tout à faire adhérer le plus de partenaires à la vision du club, et aux valeurs véhiculées.
De la Samba à la Battle de Cheerleaders !
Mais, ce n’est pas tous les jours simple d’exister dans une ville ultra-sportive comme l’explique Béatrice Micheau, responsable communication et marketing au club : « Rennes est une ville très dynamique sur le plan sportif. Plusieurs sports à haut niveau sont représentés, comme le football, le handball notamment. On retrouve également du rugby, du basket à bon niveau ce qui accroît la concurrence notamment dans la recherche de nouveaux sponsors ou le fait d’attirer toujours plus de spectateurs. A titre d’exemple, le Tours Volley Ball, qui est une place forte du volley en France, n’a pas ce souci là car c’est le club phare de la ville. » En effet, le club de Tours est engagé en Coupe d’Europe et possède déjà plusieurs titres de champion de France. C’est le seul club français à avoir participé à deux finales (dont une gagnée). Le volley attire la lumière sur la ville de Tours, ce qui en fait le sport porte-drapeau. A Rennes, le foot prend une place énorme et encore plus depuis la victoire en Coupe de France en 2019 et son parcours en Coupe d’Europe qui a fait renaître un engouement important auprès des supporters. Le service commercial marketing du Rennes Volley 35, doit donc imaginer des plans d’actions pour attirer des partenaires. « Avec notre équipe, nous mettons en place des prestations VIP et ultra VIP de qualité avec des prestations événementielles qui font que, au-delà de l’aspect sportif, le spectateur a envie de venir au volley, car il a la certitude de passer une bonne soirée. C’est clairement un de nos objectifs : mettre en place une belle offre événementielle et d’accueil pour se rendre le plus attractif possible. A titre d’exemple, nous avons organisé en début de saison une soirée brésilienne lors d’un match, pour célébrer l’arrivée de nos joueurs brésiliens. Au programme : danseuses de samba, dégustation des fameux cocktails brésiliens… Nous avons également organisé un battle de Cheerleaders à la mi-temps d’un match. Tout ceci contribue à donner envie de revenir aux spectateurs car ils savent pertinemment qu’ils vont passer une belle soirée en venant nous encourager à la salle Colette Besson. On essaie de faire des choses qui n’existaient pas trop dans le volley auparavant » souligne Béatrice Micheau.
Une équipe qui monte au filet !
« Au niveau économique, le club a un budget de 1,7 millions d’euros ce qui le situe dans la moyenne des clubs évoluant en Ligue A. Ce financement provient principalement des subventions et du financement privé (sponsoring). Parmi nos gros sponsors, nous avons le Groupe Giboire (partenaire présent et actif au niveau du club), Net plus, Erima… Nous avons également d’autres partenaires locaux comme le restaurant de la Fontaine aux perles, Audi, NRJ… En ce qui concerne la partie Merchandising, notre chiffre d’affaires progresse. C’est quelque chose qui était très peu développé auparavant et c’est de mieux en mieux (ouverture d’une boutique jour de match). Nous n’avons pas encore de vente en ligne. Nous cherchons également à développer la partie billetterie. Aujourd’hui, nous avons 1 700 personnes d’affluence en moyenne sur les 2 200 places que contient la salle ». Beaucoup de projets se font avec une équipe très resserrée. En effet, en dehors de l’effectif sportif et du staff technique et médical, 3 personnes travaillent à temps plein au club. Béatrice Micheau s’occupe du pôle marketing-relations partenaire-communication presse, Romain Gomont en ce qui concerne la partie logistique et administratif et une autre personne sur la partie communication digitale. Une jeune équipe dans laquelle doit régner une certaine cohésion et alchimie, qu’ils essaient de transmettre à l’ensemble du club. « C’est une grande famille. On ne peut pas être à ce niveau-là si un maillon ne fonctionne pas. Des bénévoles qui s’engagent et qui travaillent pour le bien du club aux joueurs qui sont ouverts et qui ont un véritable contact avec le public, qui communient avec lui, nous évoluons tous dans le même sens, en prônant de vraies valeurs humaines ».
L’équipe doit également s’organiser pour faire face aux contraintes importantes de la dimension européenne prise par le club. « Participer à la Coupe d’Europe c’est génial mais ça a un coût. La CEV (Confédération Européenne de Volley-ball) n’apporte aucun soutien financier. Tout est à la charge du club, que ce soit au niveau des déplacements, ou bien de la mise aux normes de la salle. Par exemple, lorsqu’on arrive dans les phases finales, nous devons mettre un sol bicolore sous peine d’avoir une amende. Or, nous ne sommes pas propriétaires de la salle Colette-Besson et nous la partageons avec d’autres sports comme le basket notamment. Nous avons des contraintes plus importantes que d’autres clubs ».
L’imagination est à l’ordre du jour
Cette problématique pousse le club à imaginer des solutions qui pourraient contribuer à la promotion du sport dans la cité. « Nous avons regardé la possibilité de délocaliser certains gros matchs au Liberté (située en plein cœur de Rennes), qui est une salle culturelle à la base, mais qui a déjà accueilli des événements sportifs comme des matchs du Cesson Handball, ou bien dernièrement l’Open de Tennis de Rennes. Cependant, ce n’est pas faisable actuellement car la salle n’est pas équipée de fourreaux permettant d’installer les filets de Volley. Une étude de faisabilité est en cours ». En configuration sportive, la salle peut accueillir jusqu’à 4 000 personnes. Outre l’aspect économique avec la vente de billets supplémentaires, l’aspect promotionnel de ce sport serait énorme à l’échelle rennaise.
Un autre souhait du club est de développer des projets avec le département pour aller promouvoir le volley dans des quartiers populaires. Depuis la fin de saison dernière, la nouvelle équipe dont fait partie Béatrice cherche à mettre des choses en place dans ce sens-là. « Nous souhaitons organiser des opérations en quartiers. Nous avons déjà rencontré le Conseil Département d’Ille-et-Vilaine pour organiser des événements, notamment avec les collégiens, en faisant venir des joueurs de notre équipe professionnelle. C’est en train de se mettre en place. Par ailleurs, nous invitons régulièrement les clubs et les enfants du département sur les matchs ».
Pour contribuer à ce développement, un accord avec la Ligue Nationale de Volley (LNV) et la chaîne de télévision Sport en France a été signée en début d’année. Entre 20-25 matchs de la fin de championnat devaient être diffusés sur cette chaine. Le premier concernant le Rennes Volley 35 était le match contre Paris en février. A l’échelle locale, TV Rennes 35 s’était engagé à diffuser la demi-finale de Coupe d’Europe s’il y avait qualification. Il n’y a pas de droits TV actuellement qui génèrent des revenus. Espérons que ce soit les prémices pour ce sport qui a sa place dans le paysage sportif rennais.
Propos recueillis par Tony Rolland, chargé de développement et communication AMOS Rennes
Théo Nouet, AMOScien et champion automobile
Depuis la mi-novembre 2020, Théo Nouet est champion d’Europe d’automobile et également en études à AMOS Rennes. Portrait d’un étudiant déjà professionnel sur les circuits. Crédits : AGS Event – Théo Nouet Il n’a que 18 ans, mais est déjà champion européen en sport automobile. Dans sa catégorie, GT4, Théo Nouet est le meilleur du continent. C’est sur le circuit mythique du Castellet, le 15 novembre dernier, que la consécration de la saison 2020 arrive pour l’étudiant. Vainqueur de quatre courses au volant de son Aston Martin, figurant également par sept fois sur le podium, Théo Nouet s’élève sur le toit de l’Europe après une saison couronnée de succès. « Je suis vraiment ravi de cette saison ! L’équipe a fait un très grand travail, j’avais toujours une voiture exceptionnelle pour les courses », confiait Théo à la presse après son titre. « Ce titre vient enfin récompenser le travail accompli mais ouvre également des opportunités. » Sur la piste depuis ses 7 ans, Théo Nouet commence à se faire un nom dès son entrée dans la compétition. Il débute en 2013 en mini-kart, où il sera la même année directement champion de France de la catégorie. Après un passage en Formule 4 en 2018, Théo s’épanouit beaucoup plus dans l’aspect endurance du sport mécanique. En effet, dès son arrivée dans le championnat GT4, un championnat misant sur l’endurance des voitures donc, le jeune étudiant est annoncé comme favori pour le titre. Favori légitime, puisqu’il remporte le championnat national de 2019. Il s’affirme d’année en année, après ce championnat européen, comme le futur espoir de sa discipline mécanique.
Un champion… et un étudiant AMOS !
Depuis septembre 2020, AMOS Rennes est très fier de compter dans ses rangs, Théo Nouet, étudiant en première année, qui cumule ainsi études et carrière de sportif professionnel. Après son titre européen, le jeune pilote démontre que les études peuvent se concilier avec le sport, même à haut niveau. « C’est une organisation et pas mal de sacrifices de lier les deux. J’ai la chance d’être soutenu par mon école, AMOS est vraiment compréhensif à mon sujet et ça m’aide » Le Programme Bachelor AMOS permettra de développer les compétences de management du jeune sportif, autant que sa pratique se développe sur les circuits automobiles. Après Rénelle Lamote, athlète désormais olympique, Théo Nouet rejoint le « panthéon » AMOS des sportifs professionnels passés par la formation.
L’étudiant d’avantage ambitieux pour 2021
Pour son année sportive 2021, Théo Nouet a déjà de grands espoirs. Le pilote a confié à la presse qu’il souhaite bénéficier d’un « double programme » dans sa discipline sportive. C’est-à-dire, qu’en plus de courir pour Aston Martin en GT4, le pilote souhaite également avoir accès au GT3. Le GT3 est la catégorie, (bien évidemment), supérieure dans laquelle le Français évolue actuellement. Théo Nouet a déjà pu tester la voiture de cette catégorie (supérieure), un test qui lui a bien plu. Disposant d’un site internet (www.theonouet.com), Théo Nouet affiche fièrement son appartenance au Bachelor AMOS sur la page d’accueil. L’école lui souhaite alors autant d’ambitions scolaires que sportives mais également autant de réussite dans les examens que sur les circuits automobiles.Le mot de Stéphane Herbert, directeur adjoint du Campus de Rennes
« Nous sommes en effet ravis d’avoir Théo comme sportif de haut niveau sur notre campus rennais. Que cela soit à Rennes ou dans tous les autres campus AMOS, la formation proposée se veut extrêmement agile et professionnalisante pour que les étudiants concernés ne ratent aucune compétition tout en assimilant des compétences directement applicables dans la gestion de leur carrière sportive. Concrètement, cela permet à un sportif de haut niveau comme Théo de mieux gérer sa carrière sportive ET extra-sportive comme son image, ses contrats, ses attentes par rapport aux prestataires et partenaires avec qui il travaille au quotidien, et éventuellement sa reconversion future. En résumé, si l’athlète performe dans sa discipline, suivre la formation AMOS est un peu le combo gagnant pour faire une belle et longue carrière. »Article rédigé par Naël COHAN, étudiant en 1ère année à AMOS Rennes.
Téléchargez le dossier de sponsoring de Théo Nouet pour la saison 2021. Découvrez les statistiques du Championnat GT.Théo Nouet, AMOScien et champion automobile
Depuis la mi-novembre 2020, Théo Nouet est champion d’Europe d’automobile et également en études à AMOS Rennes. Portrait d’un étudiant déjà professionnel sur les circuits. Crédits : AGS Event – Théo Nouet Il n’a que 18 ans, mais est déjà champion européen en sport automobile. Dans sa catégorie, GT4, Théo Nouet est le meilleur du continent. C’est sur le circuit mythique du Castellet, le 15 novembre dernier, que la consécration de la saison 2020 arrive pour l’étudiant. Vainqueur de quatre courses au volant de son Aston Martin, figurant également par sept fois sur le podium, Théo Nouet s’élève sur le toit de l’Europe après une saison couronnée de succès. « Je suis vraiment ravi de cette saison ! L’équipe a fait un très grand travail, j’avais toujours une voiture exceptionnelle pour les courses », confiait Théo à la presse après son titre. « Ce titre vient enfin récompenser le travail accompli mais ouvre également des opportunités. » Sur la piste depuis ses 7 ans, Théo Nouet commence à se faire un nom dès son entrée dans la compétition. Il débute en 2013 en mini-kart, où il sera la même année directement champion de France de la catégorie. Après un passage en Formule 4 en 2018, Théo s’épanouit beaucoup plus dans l’aspect endurance du sport mécanique. En effet, dès son arrivée dans le championnat GT4, un championnat misant sur l’endurance des voitures donc, le jeune étudiant est annoncé comme favori pour le titre. Favori légitime, puisqu’il remporte le championnat national de 2019. Il s’affirme d’année en année, après ce championnat européen, comme le futur espoir de sa discipline mécanique.
Un champion… et un étudiant AMOS !
Depuis septembre 2020, AMOS Rennes est très fier de compter dans ses rangs, Théo Nouet, étudiant en première année, qui cumule ainsi études et carrière de sportif professionnel. Après son titre européen, le jeune pilote démontre que les études peuvent se concilier avec le sport, même à haut niveau. « C’est une organisation et pas mal de sacrifices de lier les deux. J’ai la chance d’être soutenu par mon école, AMOS est vraiment compréhensif à mon sujet et ça m’aide » Le Programme Bachelor AMOS permettra de développer les compétences de management du jeune sportif, autant que sa pratique se développe sur les circuits automobiles. Après Rénelle Lamote, athlète désormais olympique, Théo Nouet rejoint le « panthéon » AMOS des sportifs professionnels passés par la formation.
L’étudiant d’avantage ambitieux pour 2021
Pour son année sportive 2021, Théo Nouet a déjà de grands espoirs. Le pilote a confié à la presse qu’il souhaite bénéficier d’un « double programme » dans sa discipline sportive. C’est-à-dire, qu’en plus de courir pour Aston Martin en GT4, le pilote souhaite également avoir accès au GT3. Le GT3 est la catégorie, (bien évidemment), supérieure dans laquelle le Français évolue actuellement. Théo Nouet a déjà pu tester la voiture de cette catégorie (supérieure), un test qui lui a bien plu. Disposant d’un site internet (www.theonouet.com), Théo Nouet affiche fièrement son appartenance au Bachelor AMOS sur la page d’accueil. L’école lui souhaite alors autant d’ambitions scolaires que sportives mais également autant de réussite dans les examens que sur les circuits automobiles.Le mot de Stéphane Herbert, directeur adjoint du Campus de Rennes
« Nous sommes en effet ravis d’avoir Théo comme sportif de haut niveau sur notre campus rennais. Que cela soit à Rennes ou dans tous les autres campus AMOS, la formation proposée se veut extrêmement agile et professionnalisante pour que les étudiants concernés ne ratent aucune compétition tout en assimilant des compétences directement applicables dans la gestion de leur carrière sportive. Concrètement, cela permet à un sportif de haut niveau comme Théo de mieux gérer sa carrière sportive ET extra-sportive comme son image, ses contrats, ses attentes par rapport aux prestataires et partenaires avec qui il travaille au quotidien, et éventuellement sa reconversion future. En résumé, si l’athlète performe dans sa discipline, suivre la formation AMOS est un peu le combo gagnant pour faire une belle et longue carrière. »Article rédigé par Naël COHAN, étudiant en 1ère année à AMOS Rennes.
Téléchargez le dossier de sponsoring de Théo Nouet pour la saison 2021. Découvrez les statistiques du Championnat GT.SUR UN AIR D'AMERIQUE LATINE !
Terre de sport, l’Amérique Latine s’impose comme berceau de talents prometteurs dans le domaine du sport en ayant révélé au grand jour de nombreux sportifs comme Maradona, Senna ou Kuerten. Si le sport rythme la vie quotidienne de ce continent, il représente aussi un vecteur de développement.
Après l’Asie l’an dernier, les campus Amos Rennes et Nantes organisaient, ce mercredi 09 décembre 2020, la deuxième édition de la journée internationale avec un focus sur l’Amérique Latine !
Passeports à jour, valises bouclées, les AMOSciens nantais et rennais ont embarqué pour une matinée direction le continent sud-américain.
Ce projet a été mené par Anne Sophie Cadiou et Theo Bachelier, respectivement coordinatrice et coordonnateurs pédagogiques au sein des campus rennais et nantais.
Théo Bachelier : « L'objectif de cette journée est de faire conscientiser aux étudiants qu'une année à l'étranger leur sera bénéfique linguistiquement parlant, mais aussi et surtout culturellement, tout en tirant des bénéfices sur leur développement personnel.
C'est ce pour quoi nous avons eu envie de donner du rythme à cette demi-journée, un côté décalé, qui sorte du cadre, qui plus est en visio. Avec, par exemple, des témoignages factuels d'anciens étudiants qui ont su faire de leurs expériences à l'étranger des moments uniques leur permettant de se différencier, pour être toujours plus « désirables » sur le marché du travail.
Notre mission est d'éclairer, d'informer, de susciter l'envie, puis d'accompagner l'étudiant. Ce type de journée entre parfaitement dans cette démarche, et nous espérons que quelques-uns de nos étudiants mèneront à bien leurs projets internationaux respectifs grâce aux opportunités proposées par AMOS. »
Nos AMOSciens avaient rendez-vous à 10 heures, via Microsoft Teams, pour échanger avec Baptiste Fauvel, ancien étudiant nantais et parisien qui a lancé en 2019 son association Football Globe Trotteurs en qualité de président.
Football Globe Trotteurs est une association montée par un groupe d’amis. Elle promeut un football social et solidaire et intervient actuellement du côté de l’Afrique, au Sénégal à Joal-Fadiouth mais aussi en Amérique Latine et plus particulièrement en Argentine à la Villa Aurora.
L’objectif est de récolter des équipements de football afin de leur donner une seconde vie aux quatre coins du monde.
https://www.footballglobetrotters.com/
Baptiste Fauvel : « Même si la visio a forcément quelques particularités et ne facilite pas les échanges, ce fut un plaisir de pouvoir présenter l'association aux étudiants des deux campus d'AMOS. Plusieurs étudiants nous ont fait des retours et souhaitent s'engager, c'est une bonne chose et cela est très motivant. J'espère maintenant que dès janvier, on parviendra à mettre en place des projets avec l’école et certains étudiants motivés ! »
La matinée s’est poursuivie avec Valentin Gauchard, lui aussi ancien AMOScien ayant profité du PGE, le Programme Grande Ecole internationale. Il avait participé au premier voyage : Direction Sao Paulo au Brésil.
Les étudiants ont pu profiter de cet échange pour prendre note de nombreux conseils et ainsi préparer au mieux leur départ.
Corentin KROLIK, étudiant en Master 1 à Rennes : « J’ai trouvé cette matinée très intéressante. Nous avons pu échanger avec d’anciens étudiants sur nos options de mobilité à l’international. Le déroulement de la matinée était très bien organisé et m’a permis de me faire sortir de mon quotidien par son approche ludique (jeu, cuisine...). J’ai pu en apprendre plus sur le domaine du sport business à l’étranger et notamment en Amérique Latine, qui je dois l’avouer, n’est pas ma zone géographique préférée. »
Le professeur Rui MARQUES était aussi présent en direct de Sao Paulo et ce ne sont pas les quatre heures de décalage qui l’ont arrêté ! Une présentation 100% en anglais qui a permis aux étudiants de découvrir les différents programmes à l’université de FAAP, Fundaçao Armando Alvares Penteado.
« PARIER SUR L’AVENIR »
Aujourd’hui, l’international devient un axe primordial pour faire carrière dans le sport business, il représente un réel plus sur le CV. Pour Anne-Sophie, coordinatrice pédagogique du campus rennais, « l'importance aujourd'hui de partir faire des études à l'étranger : parier sur l’avenir. Être bilingue est quasiment un prérequis pour leurs futurs métiers dans le sport business. Au-delà de l’autonomie que cela leur apprend, l'expérience leur permet d’optimiser leurs atouts professionnels et de se démarquer face à la concurrence. » Les 3 bonnes raisons de partir étudier à l’étranger- Apprendre une langue étrangère
- Découvrir une nouvelle culture
- Valoriser son CV
Article rédigé par Noémie GIBET, chargée de communication AMOS Nantes.
SUR UN AIR D'AMERIQUE LATINE !
Terre de sport, l’Amérique Latine s’impose comme berceau de talents prometteurs dans le domaine du sport en ayant révélé au grand jour de nombreux sportifs comme Maradona, Senna ou Kuerten. Si le sport rythme la vie quotidienne de ce continent, il représente aussi un vecteur de développement.
Après l’Asie l’an dernier, les campus Amos Rennes et Nantes organisaient, ce mercredi 09 décembre 2020, la deuxième édition de la journée internationale avec un focus sur l’Amérique Latine !
Passeports à jour, valises bouclées, les AMOSciens nantais et rennais ont embarqué pour une matinée direction le continent sud-américain.
Ce projet a été mené par Anne Sophie Cadiou et Theo Bachelier, respectivement coordinatrice et coordonnateurs pédagogiques au sein des campus rennais et nantais.
Théo Bachelier : « L'objectif de cette journée est de faire conscientiser aux étudiants qu'une année à l'étranger leur sera bénéfique linguistiquement parlant, mais aussi et surtout culturellement, tout en tirant des bénéfices sur leur développement personnel.
C'est ce pour quoi nous avons eu envie de donner du rythme à cette demi-journée, un côté décalé, qui sorte du cadre, qui plus est en visio. Avec, par exemple, des témoignages factuels d'anciens étudiants qui ont su faire de leurs expériences à l'étranger des moments uniques leur permettant de se différencier, pour être toujours plus « désirables » sur le marché du travail.
Notre mission est d'éclairer, d'informer, de susciter l'envie, puis d'accompagner l'étudiant. Ce type de journée entre parfaitement dans cette démarche, et nous espérons que quelques-uns de nos étudiants mèneront à bien leurs projets internationaux respectifs grâce aux opportunités proposées par AMOS. »
Nos AMOSciens avaient rendez-vous à 10 heures, via Microsoft Teams, pour échanger avec Baptiste Fauvel, ancien étudiant nantais et parisien qui a lancé en 2019 son association Football Globe Trotteurs en qualité de président.
Football Globe Trotteurs est une association montée par un groupe d’amis. Elle promeut un football social et solidaire et intervient actuellement du côté de l’Afrique, au Sénégal à Joal-Fadiouth mais aussi en Amérique Latine et plus particulièrement en Argentine à la Villa Aurora.
L’objectif est de récolter des équipements de football afin de leur donner une seconde vie aux quatre coins du monde.
https://www.footballglobetrotters.com/
Baptiste Fauvel : « Même si la visio a forcément quelques particularités et ne facilite pas les échanges, ce fut un plaisir de pouvoir présenter l'association aux étudiants des deux campus d'AMOS. Plusieurs étudiants nous ont fait des retours et souhaitent s'engager, c'est une bonne chose et cela est très motivant. J'espère maintenant que dès janvier, on parviendra à mettre en place des projets avec l’école et certains étudiants motivés ! »
La matinée s’est poursuivie avec Valentin Gauchard, lui aussi ancien AMOScien ayant profité du PGE, le Programme Grande Ecole internationale. Il avait participé au premier voyage : Direction Sao Paulo au Brésil.
Les étudiants ont pu profiter de cet échange pour prendre note de nombreux conseils et ainsi préparer au mieux leur départ.
Corentin KROLIK, étudiant en Master 1 à Rennes : « J’ai trouvé cette matinée très intéressante. Nous avons pu échanger avec d’anciens étudiants sur nos options de mobilité à l’international. Le déroulement de la matinée était très bien organisé et m’a permis de me faire sortir de mon quotidien par son approche ludique (jeu, cuisine...). J’ai pu en apprendre plus sur le domaine du sport business à l’étranger et notamment en Amérique Latine, qui je dois l’avouer, n’est pas ma zone géographique préférée. »
Le professeur Rui MARQUES était aussi présent en direct de Sao Paulo et ce ne sont pas les quatre heures de décalage qui l’ont arrêté ! Une présentation 100% en anglais qui a permis aux étudiants de découvrir les différents programmes à l’université de FAAP, Fundaçao Armando Alvares Penteado.
« PARIER SUR L’AVENIR »
Aujourd’hui, l’international devient un axe primordial pour faire carrière dans le sport business, il représente un réel plus sur le CV. Pour Anne-Sophie, coordinatrice pédagogique du campus rennais, « l'importance aujourd'hui de partir faire des études à l'étranger : parier sur l’avenir. Être bilingue est quasiment un prérequis pour leurs futurs métiers dans le sport business. Au-delà de l’autonomie que cela leur apprend, l'expérience leur permet d’optimiser leurs atouts professionnels et de se démarquer face à la concurrence. » Les 3 bonnes raisons de partir étudier à l’étranger- Apprendre une langue étrangère
- Découvrir une nouvelle culture
- Valoriser son CV
Article rédigé par Noémie GIBET, chargée de communication AMOS Nantes.
AMOS Rennes partenaire de la Coupe d’Europe des 10 000 mètres jusqu’en 2024
C’est fait ! Loïc Rapinel et Gaëlle Houitte ont réussi leur coup, à savoir placer leur petite ville de 11 000 habitants sur la carte de l’Europe ! En effet, ce 13 octobre 2020, le comité exécutif de l’Association Européenne d’Athlétisme a attribué à Pacé l’organisation de la Coupe d’Europe du 10 000 m en 2022 (Pacé était en concurrence avec Amsterdam). Un aboutissement pour le club d’athlétisme « Pacé en courant », section locale du Stade Rennais Athlétisme et pour tous ses bénévoles qui œuvrent depuis des années pour organiser un événement de renom dans leur commune. Nul doute que le champagne (ou le cidre) a bien été sabré dans la banlieue rennaise !
Pacé, place forte du 10 000 mètres
Pacé accueille chaque saison depuis 2016 les championnats de France du 10 000 m, et a ainsi contribué à la relance de la spécialité en devenant la place forte de cette distance mythique dans l’Hexagone. L’organisation s’est améliorée au fil des années et l’édition nationale 2020, qui a eu lieu fin août, a une nouvelle fois rencontré un grand succès pour ce qui était le premier championnat de France de l’été. Pacé succèdera donc en 2022 à Londres, aux commandes de la Coupe d’Europe du 10 000 m depuis 2018, et aura à cœur de faire perdurer l’esprit festif et convivial qui a fait la force des derniers championnats, en accompagnant les épreuves élite de relais de demi-fond et d’épreuves ouvertes aux jeunes. En cas de réussite lors de la première édition, Pacé aura la possibilité d’enchaîner avec les deux Coupes d’Europe suivantes en 2023 puis 2024, soit l’année des Jeux Olympiques de Paris.
Pacé-AMOS, Un partenariat prometteur
C’est dans ce cadre que l’école AMOS SPORT BUSINESS SCHOOL Rennes et le club d’Athlétisme Pacé en Courant ont décidé d’allier leurs forces pour assurer dès à présent la réussite de l’événement. Les étudiants d’AMOS interviendront dans la mise en place du dossier de sponsoring, ainsi que dans la mise en place et la gestion de l’évènement. Pour Stéphane Herbert, directeur adjoint du campus de Rennes, « ce genre d’expériences professionnelles rentre pleinement dans la pédagogie adoptée par AMOS, qui se veut professionnalisante. Nous remercions Loïc et l’ensemble du club de Pacé en courant pour la confiance accordée à nos étudiants, via la signature de ce partenariat ». Le premier galop d’essai sera donc les championnats de France qui auront lieu le samedi 10 avril 2021. « Ce sera la dernière répétition générale avant la réception des meilleurs spécialistes Européens le 28 mai 2022 » souligne le président Loïc Rapinel. « La Coupe d’Europe c’est un échelon au-dessus. Nous sommes allés voir en Angleterre la manière dont ça se déroulait. A Londres, l’ambiance était exceptionnelle. Nous sommes revenus de là-bas avec des idées plein la tête et avec l’envie de faire au moins aussi bien ». Connaissant le personnage, c’est avec énormément de certitudes et beaucoup d’optimisme que la Bretagne s’apprête à recevoir une grande fête annuelle.
Article rédigé par Tony ROLLAND, chargé de communication AMOS Rennes.
AMOS Rennes partenaire de la Coupe d’Europe des 10 000 mètres jusqu’en 2024
C’est fait ! Loïc Rapinel et Gaëlle Houitte ont réussi leur coup, à savoir placer leur petite ville de 11 000 habitants sur la carte de l’Europe ! En effet, ce 13 octobre 2020, le comité exécutif de l’Association Européenne d’Athlétisme a attribué à Pacé l’organisation de la Coupe d’Europe du 10 000 m en 2022 (Pacé était en concurrence avec Amsterdam). Un aboutissement pour le club d’athlétisme « Pacé en courant », section locale du Stade Rennais Athlétisme et pour tous ses bénévoles qui œuvrent depuis des années pour organiser un événement de renom dans leur commune. Nul doute que le champagne (ou le cidre) a bien été sabré dans la banlieue rennaise !
Pacé, place forte du 10 000 mètres
Pacé accueille chaque saison depuis 2016 les championnats de France du 10 000 m, et a ainsi contribué à la relance de la spécialité en devenant la place forte de cette distance mythique dans l’Hexagone. L’organisation s’est améliorée au fil des années et l’édition nationale 2020, qui a eu lieu fin août, a une nouvelle fois rencontré un grand succès pour ce qui était le premier championnat de France de l’été. Pacé succèdera donc en 2022 à Londres, aux commandes de la Coupe d’Europe du 10 000 m depuis 2018, et aura à cœur de faire perdurer l’esprit festif et convivial qui a fait la force des derniers championnats, en accompagnant les épreuves élite de relais de demi-fond et d’épreuves ouvertes aux jeunes. En cas de réussite lors de la première édition, Pacé aura la possibilité d’enchaîner avec les deux Coupes d’Europe suivantes en 2023 puis 2024, soit l’année des Jeux Olympiques de Paris.
Pacé-AMOS, Un partenariat prometteur
C’est dans ce cadre que l’école AMOS SPORT BUSINESS SCHOOL Rennes et le club d’Athlétisme Pacé en Courant ont décidé d’allier leurs forces pour assurer dès à présent la réussite de l’événement. Les étudiants d’AMOS interviendront dans la mise en place du dossier de sponsoring, ainsi que dans la mise en place et la gestion de l’évènement. Pour Stéphane Herbert, directeur adjoint du campus de Rennes, « ce genre d’expériences professionnelles rentre pleinement dans la pédagogie adoptée par AMOS, qui se veut professionnalisante. Nous remercions Loïc et l’ensemble du club de Pacé en courant pour la confiance accordée à nos étudiants, via la signature de ce partenariat ». Le premier galop d’essai sera donc les championnats de France qui auront lieu le samedi 10 avril 2021. « Ce sera la dernière répétition générale avant la réception des meilleurs spécialistes Européens le 28 mai 2022 » souligne le président Loïc Rapinel. « La Coupe d’Europe c’est un échelon au-dessus. Nous sommes allés voir en Angleterre la manière dont ça se déroulait. A Londres, l’ambiance était exceptionnelle. Nous sommes revenus de là-bas avec des idées plein la tête et avec l’envie de faire au moins aussi bien ». Connaissant le personnage, c’est avec énormément de certitudes et beaucoup d’optimisme que la Bretagne s’apprête à recevoir une grande fête annuelle.