Ça smatch dur à Rennes avec le Rennes Volley 35 !

La politique sportive de la Ville de Rennes couvre un périmètre étendu, de l'action vers ceux qui ne pratiquent pas le sport jusqu'au soutien au sport de haut-niveau. Selon Rennes métropole, 160 événements sportifs se déroulent chaque année dans la capitale bretonne. Il existe 275 clubs associations et clubs avec pas moins de 44 000 licenciés. Parmi ces clubs, certains sont professionnels comme le Stade Rennais, le Cesson Rennes Métropole Handball ou bien le Rennes Volley 35.
Après sa 4e place l’an passé, le Rennes Volley 35 a encore joué les premiers rôles en Ligue A cette saison et a participé à la Challenge Cup (Coupe d’Europe). Le club occupe désormais une place primordiale dans le bassin rennais et contribue au développement du volley en Bretagne. Cependant, le but est de se développer de manière progressive car le Rennes Volley 35 se construit tout doucement. Pour Brice Chambourg (président du club depuis 2018), l’équipe ne vise pas essentiellement la première place. Le but est d’être une équipe qui compte dans le championnat de France, sans avoir de prétentions particulières. Il faut également bien faire les choses à tous les niveaux en se structurant que ce soit au niveau sportif mais également avec la création d’un véritable staff autour de l’équipe (équipe administrative, logistique, commerciale, médicale…). Cette professionnalisation s’est traduite l’été dernier par le recrutement de joueurs ayant une mentalité un peu différente des européens comme en témoigne la venue de trois brésiliens et d’un argentin cette saison qui apportent une réelle plus-value à l’équipe. 100 % des joueurs sont professionnels. En dehors du terrain, le club cherche avant tout à faire adhérer le plus de partenaires à la vision du club, et aux valeurs véhiculées.
Mais, ce n’est pas tous les jours simple d’exister dans une ville ultra-sportive comme l’explique Béatrice Micheau, responsable communication et marketing au club : « Rennes est une ville très dynamique sur le plan sportif. Plusieurs sports à haut niveau sont représentés, comme le football, le handball notamment. On retrouve également du rugby, du basket à bon niveau ce qui accroît la concurrence notamment dans la recherche de nouveaux sponsors ou le fait d’attirer toujours plus de spectateurs. A titre d’exemple, le Tours Volley Ball, qui est une place forte du volley en France, n’a pas ce souci là car c’est le club phare de la ville. » En effet, le club de Tours est engagé en Coupe d’Europe et possède déjà plusieurs titres de champion de France. C’est le seul club français à avoir participé à deux finales (dont une gagnée). Le volley attire la lumière sur la ville de Tours, ce qui en fait le sport porte-drapeau. A Rennes, le foot prend une place énorme et encore plus depuis la victoire en Coupe de France en 2019 et son parcours en Coupe d’Europe qui a fait renaître un engouement important auprès des supporters. Le service commercial marketing du Rennes Volley 35, doit donc imaginer des plans d’actions pour attirer des partenaires. « Avec notre équipe, nous mettons en place des prestations VIP et ultra VIP de qualité avec des prestations événementielles qui font que, au-delà de l’aspect sportif, le spectateur a envie de venir au volley, car il a la certitude de passer une bonne soirée. C’est clairement un de nos objectifs : mettre en place une belle offre événementielle et d’accueil pour se rendre le plus attractif possible. A titre d’exemple, nous avons organisé en début de saison une soirée brésilienne lors d’un match, pour célébrer l’arrivée de nos joueurs brésiliens. Au programme : danseuses de samba, dégustation des fameux cocktails brésiliens… Nous avons également organisé un battle de Cheerleaders à la mi-temps d’un match. Tout ceci contribue à donner envie de revenir aux spectateurs car ils savent pertinemment qu’ils vont passer une belle soirée en venant nous encourager à la salle Colette Besson. On essaie de faire des choses qui n’existaient pas trop dans le volley auparavant » souligne Béatrice Micheau.
« Au niveau économique, le club a un budget de 1,7 millions d’euros ce qui le situe dans la moyenne des clubs évoluant en Ligue A. Ce financement provient principalement des subventions et du financement privé (sponsoring). Parmi nos gros sponsors, nous avons le Groupe Giboire (partenaire présent et actif au niveau du club), Net plus, Erima… Nous avons également d’autres partenaires locaux comme le restaurant de la Fontaine aux perles, Audi, NRJ… En ce qui concerne la partie Merchandising, notre chiffre d’affaires progresse. C’est quelque chose qui était très peu développé auparavant et c’est de mieux en mieux (ouverture d’une boutique jour de match). Nous n’avons pas encore de vente en ligne. Nous cherchons également à développer la partie billetterie. Aujourd’hui, nous avons 1 700 personnes d’affluence en moyenne sur les 2 200 places que contient la salle ». Beaucoup de projets se font avec une équipe très resserrée. En effet, en dehors de l’effectif sportif et du staff technique et médical, 3 personnes travaillent à temps plein au club. Béatrice Micheau s’occupe du pôle marketing-relations partenaire-communication presse, Romain Gomont en ce qui concerne la partie logistique et administratif et une autre personne sur la partie communication digitale. Une jeune équipe dans laquelle doit régner une certaine cohésion et alchimie, qu’ils essaient de transmettre à l’ensemble du club. « C’est une grande famille. On ne peut pas être à ce niveau-là si un maillon ne fonctionne pas. Des bénévoles qui s’engagent et qui travaillent pour le bien du club aux joueurs qui sont ouverts et qui ont un véritable contact avec le public, qui communient avec lui, nous évoluons tous dans le même sens, en prônant de vraies valeurs humaines ».
L’équipe doit également s’organiser pour faire face aux contraintes importantes de la dimension européenne prise par le club. « Participer à la Coupe d’Europe c’est génial mais ça a un coût. La CEV (Confédération Européenne de Volley-ball) n’apporte aucun soutien financier. Tout est à la charge du club, que ce soit au niveau des déplacements, ou bien de la mise aux normes de la salle. Par exemple, lorsqu’on arrive dans les phases finales, nous devons mettre un sol bicolore sous peine d’avoir une amende. Or, nous ne sommes pas propriétaires de la salle Colette-Besson et nous la partageons avec d’autres sports comme le basket notamment. Nous avons des contraintes plus importantes que d’autres clubs ».
Cette problématique pousse le club à imaginer des solutions qui pourraient contribuer à la promotion du sport dans la cité. « Nous avons regardé la possibilité de délocaliser certains gros matchs au Liberté (située en plein cœur de Rennes), qui est une salle culturelle à la base, mais qui a déjà accueilli des événements sportifs comme des matchs du Cesson Handball, ou bien dernièrement l’Open de Tennis de Rennes. Cependant, ce n’est pas faisable actuellement car la salle n’est pas équipée de fourreaux permettant d’installer les filets de Volley. Une étude de faisabilité est en cours ». En configuration sportive, la salle peut accueillir jusqu’à 4 000 personnes. Outre l’aspect économique avec la vente de billets supplémentaires, l’aspect promotionnel de ce sport serait énorme à l’échelle rennaise.
Un autre souhait du club est de développer des projets avec le département pour aller promouvoir le volley dans des quartiers populaires. Depuis la fin de saison dernière, la nouvelle équipe dont fait partie Béatrice cherche à mettre des choses en place dans ce sens-là. « Nous souhaitons organiser des opérations en quartiers. Nous avons déjà rencontré le Conseil Département d’Ille-et-Vilaine pour organiser des événements, notamment avec les collégiens, en faisant venir des joueurs de notre équipe professionnelle. C’est en train de se mettre en place. Par ailleurs, nous invitons régulièrement les clubs et les enfants du département sur les matchs ».
Pour contribuer à ce développement, un accord avec la Ligue Nationale de Volley (LNV) et la chaîne de télévision Sport en France a été signée en début d’année. Entre 20-25 matchs de la fin de championnat devaient être diffusés sur cette chaine. Le premier concernant le Rennes Volley 35 était le match contre Paris en février. A l’échelle locale, TV Rennes 35 s’était engagé à diffuser la demi-finale de Coupe d’Europe s’il y avait qualification. Il n’y a pas de droits TV actuellement qui génèrent des revenus. Espérons que ce soit les prémices pour ce sport qui a sa place dans le paysage sportif rennais.
Après sa 4e place l’an passé, le Rennes Volley 35 a encore joué les premiers rôles en Ligue A cette saison et a participé à la Challenge Cup (Coupe d’Europe). Le club occupe désormais une place primordiale dans le bassin rennais et contribue au développement du volley en Bretagne. Cependant, le but est de se développer de manière progressive car le Rennes Volley 35 se construit tout doucement. Pour Brice Chambourg (président du club depuis 2018), l’équipe ne vise pas essentiellement la première place. Le but est d’être une équipe qui compte dans le championnat de France, sans avoir de prétentions particulières. Il faut également bien faire les choses à tous les niveaux en se structurant que ce soit au niveau sportif mais également avec la création d’un véritable staff autour de l’équipe (équipe administrative, logistique, commerciale, médicale…). Cette professionnalisation s’est traduite l’été dernier par le recrutement de joueurs ayant une mentalité un peu différente des européens comme en témoigne la venue de trois brésiliens et d’un argentin cette saison qui apportent une réelle plus-value à l’équipe. 100 % des joueurs sont professionnels. En dehors du terrain, le club cherche avant tout à faire adhérer le plus de partenaires à la vision du club, et aux valeurs véhiculées.
De la Samba à la Battle de Cheerleaders !
Mais, ce n’est pas tous les jours simple d’exister dans une ville ultra-sportive comme l’explique Béatrice Micheau, responsable communication et marketing au club : « Rennes est une ville très dynamique sur le plan sportif. Plusieurs sports à haut niveau sont représentés, comme le football, le handball notamment. On retrouve également du rugby, du basket à bon niveau ce qui accroît la concurrence notamment dans la recherche de nouveaux sponsors ou le fait d’attirer toujours plus de spectateurs. A titre d’exemple, le Tours Volley Ball, qui est une place forte du volley en France, n’a pas ce souci là car c’est le club phare de la ville. » En effet, le club de Tours est engagé en Coupe d’Europe et possède déjà plusieurs titres de champion de France. C’est le seul club français à avoir participé à deux finales (dont une gagnée). Le volley attire la lumière sur la ville de Tours, ce qui en fait le sport porte-drapeau. A Rennes, le foot prend une place énorme et encore plus depuis la victoire en Coupe de France en 2019 et son parcours en Coupe d’Europe qui a fait renaître un engouement important auprès des supporters. Le service commercial marketing du Rennes Volley 35, doit donc imaginer des plans d’actions pour attirer des partenaires. « Avec notre équipe, nous mettons en place des prestations VIP et ultra VIP de qualité avec des prestations événementielles qui font que, au-delà de l’aspect sportif, le spectateur a envie de venir au volley, car il a la certitude de passer une bonne soirée. C’est clairement un de nos objectifs : mettre en place une belle offre événementielle et d’accueil pour se rendre le plus attractif possible. A titre d’exemple, nous avons organisé en début de saison une soirée brésilienne lors d’un match, pour célébrer l’arrivée de nos joueurs brésiliens. Au programme : danseuses de samba, dégustation des fameux cocktails brésiliens… Nous avons également organisé un battle de Cheerleaders à la mi-temps d’un match. Tout ceci contribue à donner envie de revenir aux spectateurs car ils savent pertinemment qu’ils vont passer une belle soirée en venant nous encourager à la salle Colette Besson. On essaie de faire des choses qui n’existaient pas trop dans le volley auparavant » souligne Béatrice Micheau.
Une équipe qui monte au filet !
« Au niveau économique, le club a un budget de 1,7 millions d’euros ce qui le situe dans la moyenne des clubs évoluant en Ligue A. Ce financement provient principalement des subventions et du financement privé (sponsoring). Parmi nos gros sponsors, nous avons le Groupe Giboire (partenaire présent et actif au niveau du club), Net plus, Erima… Nous avons également d’autres partenaires locaux comme le restaurant de la Fontaine aux perles, Audi, NRJ… En ce qui concerne la partie Merchandising, notre chiffre d’affaires progresse. C’est quelque chose qui était très peu développé auparavant et c’est de mieux en mieux (ouverture d’une boutique jour de match). Nous n’avons pas encore de vente en ligne. Nous cherchons également à développer la partie billetterie. Aujourd’hui, nous avons 1 700 personnes d’affluence en moyenne sur les 2 200 places que contient la salle ». Beaucoup de projets se font avec une équipe très resserrée. En effet, en dehors de l’effectif sportif et du staff technique et médical, 3 personnes travaillent à temps plein au club. Béatrice Micheau s’occupe du pôle marketing-relations partenaire-communication presse, Romain Gomont en ce qui concerne la partie logistique et administratif et une autre personne sur la partie communication digitale. Une jeune équipe dans laquelle doit régner une certaine cohésion et alchimie, qu’ils essaient de transmettre à l’ensemble du club. « C’est une grande famille. On ne peut pas être à ce niveau-là si un maillon ne fonctionne pas. Des bénévoles qui s’engagent et qui travaillent pour le bien du club aux joueurs qui sont ouverts et qui ont un véritable contact avec le public, qui communient avec lui, nous évoluons tous dans le même sens, en prônant de vraies valeurs humaines ».
L’équipe doit également s’organiser pour faire face aux contraintes importantes de la dimension européenne prise par le club. « Participer à la Coupe d’Europe c’est génial mais ça a un coût. La CEV (Confédération Européenne de Volley-ball) n’apporte aucun soutien financier. Tout est à la charge du club, que ce soit au niveau des déplacements, ou bien de la mise aux normes de la salle. Par exemple, lorsqu’on arrive dans les phases finales, nous devons mettre un sol bicolore sous peine d’avoir une amende. Or, nous ne sommes pas propriétaires de la salle Colette-Besson et nous la partageons avec d’autres sports comme le basket notamment. Nous avons des contraintes plus importantes que d’autres clubs ».
L’imagination est à l’ordre du jour
Cette problématique pousse le club à imaginer des solutions qui pourraient contribuer à la promotion du sport dans la cité. « Nous avons regardé la possibilité de délocaliser certains gros matchs au Liberté (située en plein cœur de Rennes), qui est une salle culturelle à la base, mais qui a déjà accueilli des événements sportifs comme des matchs du Cesson Handball, ou bien dernièrement l’Open de Tennis de Rennes. Cependant, ce n’est pas faisable actuellement car la salle n’est pas équipée de fourreaux permettant d’installer les filets de Volley. Une étude de faisabilité est en cours ». En configuration sportive, la salle peut accueillir jusqu’à 4 000 personnes. Outre l’aspect économique avec la vente de billets supplémentaires, l’aspect promotionnel de ce sport serait énorme à l’échelle rennaise.
Un autre souhait du club est de développer des projets avec le département pour aller promouvoir le volley dans des quartiers populaires. Depuis la fin de saison dernière, la nouvelle équipe dont fait partie Béatrice cherche à mettre des choses en place dans ce sens-là. « Nous souhaitons organiser des opérations en quartiers. Nous avons déjà rencontré le Conseil Département d’Ille-et-Vilaine pour organiser des événements, notamment avec les collégiens, en faisant venir des joueurs de notre équipe professionnelle. C’est en train de se mettre en place. Par ailleurs, nous invitons régulièrement les clubs et les enfants du département sur les matchs ».
Pour contribuer à ce développement, un accord avec la Ligue Nationale de Volley (LNV) et la chaîne de télévision Sport en France a été signée en début d’année. Entre 20-25 matchs de la fin de championnat devaient être diffusés sur cette chaine. Le premier concernant le Rennes Volley 35 était le match contre Paris en février. A l’échelle locale, TV Rennes 35 s’était engagé à diffuser la demi-finale de Coupe d’Europe s’il y avait qualification. Il n’y a pas de droits TV actuellement qui génèrent des revenus. Espérons que ce soit les prémices pour ce sport qui a sa place dans le paysage sportif rennais.
Propos recueillis par Tony Rolland, chargé de développement et communication AMOS Rennes
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01 Jul 2022
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Engagement total
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Après avoir gravi le Mont-Blanc en 2020 et le Kilimandjaro en 2021, Maxime se lance à la conquête de l’Aconcagua en 2022. Passionné d’alpinisme et soucieux d’apporter son soutien à lutte contre le cancer, ce jeune AMOScien est un modèle de persévérance. Quelles sont tes motivations pour ce projet ? « Mes parents ont tous les deux été atteints du cancer, ma mère y a réchapée de peu. J'ai découvert un peu après que mon père avait escaladé le Mont Blanc en 1988. 32 ans plus tard, je souhaitais l'amener en photo avec moi au sommet du Mont Blanc une nouvelle fois. Réussissant mon ascension, je me permets de rêver des Seven Summits. C'est un rêve d'enfant que j'ai depuis plus de 15 ans. Voulant rendre fiers mes parents, je me lance dans ce projet, tout en réalisant des levées de fonds pour la recherche contre le cancer avant chaque ascension ».
Matthieu, étudiant en b3 à Paris, a créé son association Tiki Taka pour venir en aide aux clubs de football colombiens
Comment est né ce projet Tiki Taka ? Tout d’abord, ce projet a été motivé par une envie personnelle de découvrir un pays et de partager ma passion pour le football. J’arrivais à une période charnière dans mes études et il était primordial pour moi de réaliser un projet humanitaire en rapport avec mes études dans le sport. J’avais un réel souhait d’aider les autres et de pouvoir apporter mon aide à ses enfants. Ce qui me motive le plus reste le fait qu’on va apporter de meilleures perspectives à ces enfants autour de ma passion : le football. Quelles vont-être vos actions sur place ? Nos actions se concentrent principalement par l’apport d’équipements sportifs : ces centres n’ont presque aucun équipement, notre objectif est donc d’en fournir le plus possible. Ces équipements sont tout le matériel lié au football : des cages, des plots, des échelles, des ballons et tous les petits équipements qui seront utiles pour ces centres. En plus de ça, nous avons organisé avec les centres tout un programme d’entraînement et d’ateliers pour ces enfants. Par ailleurs, notre aide ne sera pas que sportive et financière mais surtout humaine : nous sommes conscients que ces centres vont surement avoir besoin de nous pour s’occuper des enfants et améliorer les centres. Comment comptes-tu pérenniser ce projet dans les années futures ? J’accorde énormément d’importance à l’héritage de mon association et de ce projet. Étant président de l’association et un élève d’AMOS Paris, je considère ça légitime que je transmette ce projet aux élèves d’AMOS qui le souhaitent. Je les aiderai à reconstruire un projet sur d’autres centres et à potentiellement essayer de réaliser un partenariat avec une université sur place pour faciliter les échanges. Pour soutenir le projet : cliquez iciDeux AMOSciens Lillois sélectionnés pour la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène
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22 Jun 2022
AMOS Sport Business School obtient le Label Génération 2024
AMOS Sport Business School inscrit son nom à la liste des établissements labellisés Génération 2024
Destiné aux écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur, le Label Génération 2024 est délivré par le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pour rappel, le Label Génération 2024 est pensé pour soutenir le développement de la pratique sportive dans l’enseignement supérieur et renforcer ses objectifs d’inclusion, de santé, de respect et d’engagement citoyen en partenariat avec le mouvement sportif et le Comité d’organisation des prochains Jeux Olympiques. AMOS Sport Business School soutient un peu plus les Jeux de Paris 2024 en inscrivant son nom à la liste des établissements labellisés « Génération 2024 ». Obtenu en janvier 2021, ce Label est la concrétisation d’un investissement pérenne du Groupe AMOS auprès des différents acteurs sportifs, publics et privés. L’objectif de ce Label est de valoriser les établissements qui souhaitent s’inscrire dans une exploitation durable et structurée autour de 3 critères principaux :1. Développer des projets structurants avec les clubs sportifs du territoire
Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).22 Jun 2022
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Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).02 Jun 2022
Coupe d’Europe du 10000m à Pacé, AMOS Rennes
A la rencontre des futurs athlètes des JO de Paris 2024
Samedi 28 mai 2022, a eu lieu la Coupe d’Europe du 10000m à Pacé. Après Lisbonne et Londres, elle est maintenant organisée par le club d’athlétisme de “Pacé en Courant” dont AMOS Rennes est fidèle partenaire. AMOS Sport Business School était donc partenaire privilégié de cette prestigieuse Coupe d’Europe qui rassemblait l’ensemble de l’élite sportive sur cette discipline. Les athlètes ayant tous l’ambition de participer aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Le campus AMOS Rennes a donc eu une présence remarquée en proposant aux athlètes, partenaires, invités et délégation un “espace VIP by AMOS” sur-mesure et quelque peu démesuré dans les dimensions des transats choisis. Dans le cadre des expériences professionnelles, les étudiants du campus ont eu la chance de coordonner l’ensemble de ce dispositif :- Installation et gestion logistique de l’événement
- Accueil VIP et vérification des badges
- Gestion du bar VIP sur l’ensemble de la compétition
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