Le « Cercle des Nageurs de Marseille » aux JO de Tokyo 2020

Morgane Mascret, Directrice de la Communication et du Marketing du CNM, est une ex-sportive de haut-niveau ayant suivi la filière Sport Communication à l’INSEP, en partenariat avec l’Ecole de Journalisme, le CFPJ à Paris. Munie ensuite d’un Master en Management du Sport obtenu à l’Université Aix-Marseille, la championne de France en brasse du club d’Obernai stoppe sa carrière sportive pour se consacrer à son avenir professionnel. Elle débute à la Fédération Française de Volley Ball en 2002, et rejoint en 2003 le Cercle des Nageurs de Marseille comme chargée de communication. Depuis, elle a gravi progressivement les échelons pour piloter également le marketing et le développement dans ce haut lieu de la natation et du water-polo.
A la veille des JO de Tokyo où le club sera le plus représenté avec 9 sélectionnés olympiques en natation, Morgane Mascret, désormais devenue amateure de course à pied, nous fait découvrir ce joyau du sport et de la culture méditerranéenne avant Tokyo 2020.
« C’est le 20 avril 1921 que Fernand David et ses équipiers, une bande passionnée d’avant-garde tous membres de l’Olympique de Marseille, prennent les pioches pour créer la première piscine du Cercle qui sera le nom du club fondé la même année. 100 ans plus tard, le CNM est devenu un incontournable de la cité phocéenne dont la réputation a dépassé les frontières. Désormais, ce sont 3 bassins qui accueillent 3800 adhérents. Le Cercle est ainsi le premier club de natation en France y compris pas ses titres de gloire.
Ce sont les performances de ses licenciés qui font son prestige. Parmi les figures marquantes, Alain Mosconi, en bronze aux JO 1968 Mexico et détenteur de 3 records du monde, précède Florent et Laure Manaudou, Camille Lacourt ou Frédérick Bousquet. En 2012, La magic team du Cercle ramène cinq médailles olympiques des JO de Londres dont deux en or (Florent Manaudou et Fabien Gilot).
Fort de 2 titres de champions olympiques, de 16 médailles aux JO et de 75 aux mondiaux, le CNM affiche aussi 38 titres en water-polo (vainqueur en Euro Cup en 2019) avec 50 participations aux Coupes d’Europe. 19 athlètes du CNM ont participé aux JO de Rio en 2016, record inégalé pour les pensionnaires d’un même club. Ainsi, « Le club affiche la même volonté d’excellence que ses pionniers » rappelle le Président Paul Leccia. »
« J’ai découvert Marseille alors que je suis issue d’Ostwald en Alsace, lors du Tournoi International de Volley-Ball sur la plage des Catalans, à côté du Cercle. Un poste était ouvert et par chance j’ai été recrutée. La vie du club m’a séduite d’emblée car elle est riche, avec des activités variées où se côtoient aussi bien les adhérents marseillais que de fortes personnalités sportives qui font toutes et tous rayonner la natation et la cité »
« Elles sont ouvertes sur la vie phocéenne, la mixité sociale et la dimension éducative, en passant par une école de formation sportive autour de la natation et du water-polo, sans oublier l’aquagym, le yoga et les cours de Pilates notamment. Tous les scolaires de la Ville ont accès au club pour la natation. Ces services témoignent de l’insertion du club dans le tissu social, sportif et économique de Marseille en sus de sa notoriété. Une parité de 50-50 se dégage chez nos adhérents. Notre club est privé et accueille toutes les strates de notre société, des retraités aux CSP +. Notre budget repose à 80 % sur les cotisations de ses membres qui doivent être parrainés par deux personnes du CNM. Les 20% restants sont issus des partenariats.
Si la natation est très connue, le water-polo est une marque de fabrique du CNM. Economiquement, nous avons plusieurs entreprises qui ont été séduites par l’esprit du water-polo, avec notamment les 7 matchs de Ligue des Champions télévisés la saison dernière (beIN SPORTS). Le public suit fidèlement les matches tous les 15 jours après en avoir été privé durant la pandémie, ce qui installe le water-polo dans la culture locale et la ferveur de ses supporters contraste avec l’ambiance des clubs d’affaires. »
« Tout à fait ! Nous avons également mis en place, entre autres, un système de recyclage des eaux usées, ce qui est était indispensable au vu de notre consommation d’eau due à l’utilisation des piscines. Nous avançons très concrètement.
Nous avions entamé cette démarche il y a quelques années déjà avec un système de recyclage des eaux usées en chauffage. Nous avons également mis en place, depuis 2 ans, une opération de nettoyage de la plage des Catalans avec l’aide d’associations spécialisées comme « Pure Océan ». Le campus d’AMOS Marseille Méditerranée dirigé par Sindie Aissa a mobilisé ses étudiants pour participer à l’opération. C’est important, car nous nageons toute l’année dans la baie des Catalans, et cela concerne aussi le bien-être de nos adhérents.
« Il faut partir de chez soi ! L’étranger est une destination qui révèle les potentiels et offre des confrontations inédites. Il faut aussi accepter de toucher à tout : être un couteau suisse en quelque sorte. C’est ce bagage d’expériences et de compétences diverses qui plaît aux entreprises. De nombreuses opportunités existent dans le sport business. Il faut se jeter à l’eau ! »
Articlé rédigé par Alain ARVIN-BEROD, directeur du Conseil de Perfectionnement et des Publications AMOS Group.
Crédits photo : Sport Stratégies.
A la veille des JO de Tokyo où le club sera le plus représenté avec 9 sélectionnés olympiques en natation, Morgane Mascret, désormais devenue amateure de course à pied, nous fait découvrir ce joyau du sport et de la culture méditerranéenne avant Tokyo 2020.
Comment est né le CNM ?
« C’est le 20 avril 1921 que Fernand David et ses équipiers, une bande passionnée d’avant-garde tous membres de l’Olympique de Marseille, prennent les pioches pour créer la première piscine du Cercle qui sera le nom du club fondé la même année. 100 ans plus tard, le CNM est devenu un incontournable de la cité phocéenne dont la réputation a dépassé les frontières. Désormais, ce sont 3 bassins qui accueillent 3800 adhérents. Le Cercle est ainsi le premier club de natation en France y compris pas ses titres de gloire.
Ce sont les performances de ses licenciés qui font son prestige. Parmi les figures marquantes, Alain Mosconi, en bronze aux JO 1968 Mexico et détenteur de 3 records du monde, précède Florent et Laure Manaudou, Camille Lacourt ou Frédérick Bousquet. En 2012, La magic team du Cercle ramène cinq médailles olympiques des JO de Londres dont deux en or (Florent Manaudou et Fabien Gilot).
Fort de 2 titres de champions olympiques, de 16 médailles aux JO et de 75 aux mondiaux, le CNM affiche aussi 38 titres en water-polo (vainqueur en Euro Cup en 2019) avec 50 participations aux Coupes d’Europe. 19 athlètes du CNM ont participé aux JO de Rio en 2016, record inégalé pour les pensionnaires d’un même club. Ainsi, « Le club affiche la même volonté d’excellence que ses pionniers » rappelle le Président Paul Leccia. »
Comment avez-vous rencontré ce club ?
« J’ai découvert Marseille alors que je suis issue d’Ostwald en Alsace, lors du Tournoi International de Volley-Ball sur la plage des Catalans, à côté du Cercle. Un poste était ouvert et par chance j’ai été recrutée. La vie du club m’a séduite d’emblée car elle est riche, avec des activités variées où se côtoient aussi bien les adhérents marseillais que de fortes personnalités sportives qui font toutes et tous rayonner la natation et la cité »
Outre le sport de haut-niveau, quelles sont les missions du CNM ?
« Elles sont ouvertes sur la vie phocéenne, la mixité sociale et la dimension éducative, en passant par une école de formation sportive autour de la natation et du water-polo, sans oublier l’aquagym, le yoga et les cours de Pilates notamment. Tous les scolaires de la Ville ont accès au club pour la natation. Ces services témoignent de l’insertion du club dans le tissu social, sportif et économique de Marseille en sus de sa notoriété. Une parité de 50-50 se dégage chez nos adhérents. Notre club est privé et accueille toutes les strates de notre société, des retraités aux CSP +. Notre budget repose à 80 % sur les cotisations de ses membres qui doivent être parrainés par deux personnes du CNM. Les 20% restants sont issus des partenariats.
Si la natation est très connue, le water-polo est une marque de fabrique du CNM. Economiquement, nous avons plusieurs entreprises qui ont été séduites par l’esprit du water-polo, avec notamment les 7 matchs de Ligue des Champions télévisés la saison dernière (beIN SPORTS). Le public suit fidèlement les matches tous les 15 jours après en avoir été privé durant la pandémie, ce qui installe le water-polo dans la culture locale et la ferveur de ses supporters contraste avec l’ambiance des clubs d’affaires. »
Le Développement Durable est aussi un enjeu qui vous mobilise ?
« Tout à fait ! Nous avons également mis en place, entre autres, un système de recyclage des eaux usées, ce qui est était indispensable au vu de notre consommation d’eau due à l’utilisation des piscines. Nous avançons très concrètement.
Nous avions entamé cette démarche il y a quelques années déjà avec un système de recyclage des eaux usées en chauffage. Nous avons également mis en place, depuis 2 ans, une opération de nettoyage de la plage des Catalans avec l’aide d’associations spécialisées comme « Pure Océan ». Le campus d’AMOS Marseille Méditerranée dirigé par Sindie Aissa a mobilisé ses étudiants pour participer à l’opération. C’est important, car nous nageons toute l’année dans la baie des Catalans, et cela concerne aussi le bien-être de nos adhérents.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants pour réussir leur projet ?
« Il faut partir de chez soi ! L’étranger est une destination qui révèle les potentiels et offre des confrontations inédites. Il faut aussi accepter de toucher à tout : être un couteau suisse en quelque sorte. C’est ce bagage d’expériences et de compétences diverses qui plaît aux entreprises. De nombreuses opportunités existent dans le sport business. Il faut se jeter à l’eau ! »
Articlé rédigé par Alain ARVIN-BEROD, directeur du Conseil de Perfectionnement et des Publications AMOS Group.
Crédits photo : Sport Stratégies.
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13 Mar 2023
Au cœur de la féminisation dans le sport, Mariane et Bouna Saar
Parce que le droit de la femme est une affaire de tous...
Que ce soit sur les terrains de sports ou du monde professionnel, avançons ensemble pour une équité. Les compétences s’acquièrent par la volonté, les sacrifices, le travail, l’humilité et non par le genre. Parce que ton avenir s’écrit maintenant pour le futur de demain. Fais de ta passion, ton métier. Pour toi, pour elles et pour les prochaines générations. Partez en immersion avec Mariane et Bouna Sarr : au cœur de la féminisation dans le Sport et le Sport Business.Mariane, peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bonjour, je m’appelle Mariane Sarr, j’ai 21 ans et je suis étudiante en première année de Mastère chez AMOS Sport Business School sur le campus de Marseille. Je suis originaire de Lyon, là où j’ai pu effectuer toute ma scolarité, notamment mes trois premières années au sein du campus d’AMOS Lyon. Je suis une grande passionnée de sport, et plus particulièrement de football que je pratique en club depuis 10 ans. J’ai commencé le foot chez les garçons, en étant la seule fille de l’équipe. Au départ, l’intégration était assez compliquée, mais avec du caractère et de la persévérance, j’ai su m’intégrer à ce milieu. Le fait d’avoir vécu cette expérience très jeune m’a permis d’arriver là où j’en suis aujourd’hui : défendre la place de la femme au sein du sport. J’ai toujours été animé par cette volonté d’évoluer dans le sport, au vu du programme proposé par l’école, j’ai donc choisi AMOS afin de découvrir le monde du sport business et lier mes deux passions. Jusqu’à aujourd’hui, j’ai eu différentes expériences professionnelles dans ce secteur, notamment un stage à l’Olympique Lyonnais en tant qu’assistante chef de projet événementiel ou encore mon poste actuel au sein du FC Rousset SVO. C’est donc depuis le mois d’août que je suis installée à Marseille afin de découvrir le terrain méditerranéen !
Que penses-tu de la place des femmes dans le Sport et le Sport Business ? Est-ce que tu vois une différence entre les deux ?
Selon moi, que ce soit dans le Sport ou dans le Sport Business, la place de la femme est encore sous-estimée de nos jours. On ne parle pas assez de ces femmes qui réussissent dans ces milieux, auxquelles nous pouvons nous identifier ! À l’échelle française, nous possédons de nombreuses figures, athlètes de haut niveau ou encore entrepreneuses, qui ont toujours été persévérantes et ont su réussir dans leur domaine. Malheureusement, leur place dans le Sport et le Sport Business a été difficilement obtenue et fait encore face aujourd’hui à de nombreuses inégalités !Quelles sont les valeurs que tu retrouves entre le Sport et le Sport Business ?
Il y a beaucoup de valeurs qui lient le Sport et le Sport Business. Cependant, pour moi, les principales restent le respect, qui concerne le respect des autres, des règles, mais aussi de soi-même ; l’égalité, c’est-à-dire la considération que l’on donne à tout type de personne, mais aussi l’égalité des chances ; la persévérance, savoir sortir de sa zone de confort et se dépasser afin d’atteindre ses objectifs ; enfin, le travail d’équipe, car dans ces deux domaines, nous sommes toujours amenés à collaborer avec des personnes, il est donc important d’avoir cet esprit d’équipe et de solidarité.Au sein d’AMOS Aix et Marseille, le rayonnement de toutes les étudiantes est un enjeu fort. De ton côté, comment le perçois-tu ?
Tout d’abord, c’est une réelle satisfaction de voir que nous sommes autant d’étudiantes sur le campus ! Je me souviens qu’en première année, nous n’étions que trois filles dans ma classe, aujourd’hui nous sommes bien plus nombreuses ! Le rayonnement des étudiantes est donc un réel enjeu car nous échangeons constamment sur nos différentes expériences. Plusieurs postes sont représentés par nos étudiantes, chargée de communication, cheffe de projet événementiel ou encore chargée de développement partenariat. De plus, nous avons la chance de toutes pouvoir évoluer au cœur de structures majeures au sein de la région telles que l’Olympique de Marseille et le Cercle des Nageurs ! Le retour d’expérience de chacune ainsi que le réseau que l’on peut s’apporter est un atout majeur pour les étudiantes des campus Aix et Marseille !
Quel conseil peux-tu donner à une future AMOScienne ou professionnelle du Sport Business ?
C’est peut-être une phrase clichée, mais je lui dirais de croire en ses rêves ! Il faut s’intéresser à tout ce qu’il se passe dans le Sport Business et également essayer de se construire un réseau dans le milieu. Il ne faut pas avoir peur d’exposer ses idées, de prendre la parole et enfin croire en sa légitimité ! Les mots d’une femme sont tout aussi importants que ceux d’un homme, il faut donc garder foi en soi.Tu joues et tu es en alternance au club de Rousset : est-ce une force ? Est-ce que tu as pu mettre en place des choses concernant la féminisation du foot ?
Je suis très heureuse d’avoir cette double casquette au sein du club, à la fois joueuse, mais aussi salarié. Depuis le début de la saison, je me sens très épanouie au sein de mes fonctions. J’ai été chaleureusement accueillie par l’ensemble des membres du club qui m’ont tout de suite accordé leur confiance. C’est pour moi une force de tenir un double rôle car je me sens encore plus près du club, ce qui renforce le sentiment d’appartenance ! Nous avons pu mettre en place de nombreux projets, sur différentes thématiques très intéressantes. Le sujet de la féminisation du football me tient particulièrement à cœur, je suis donc ravie de participer aux différents projets d’actions mis en place. Cette année, nous avons la chance d’avoir élargi nos partenariats avec de nombreuses actrices de la région ! De plus, nous travaillons plus particulièrement avec l’une d’entre elles qui s’est exclusivement positionnée sur nos équipes U18F. L’objectif est vraiment de mêler le côté femme et football à travers ce projet, qui sortira dans les semaines à venir !
Tu travailles actuellement sur le projet des olympiennes avec AMOS Marseille et l’OM. Est-ce une fierté pour toi ? Et si oui, pourquoi ? Est-ce que tu aimerais rejoindre l’OM féminin pour participer à son développement ?
C’est un réel plaisir pour moi de participer à ce projet, car je mêle ma passion pour le football, mais aussi ma volonté de contribuer au développement du sport féminin. L’OM est un très grand club, c’est donc une fierté de pouvoir collaborer avec eux. Nous avons des idées pour ce projet et avançons bien sur nos objectifs. Je suis très investie sur son aboutissement étant donné que c’est un sujet qui me parle et qui m’inspire. De plus, Sarah Boudaoud et Alban Sanchez sont très à l’écoute, c’est très plaisant et constructif de pouvoir collaborer avec eux. Rejoindre leurs rangs serait une réelle fierté ! Participer au développement d’une structure telle que l’OM féminin s’inscrirait dans la continuité de mes projets professionnels et personnels !Un dernier mot pour finir ?
Merci à Marion Deborde et AMOS Marseille de m’avoir donné l’opportunité de m’exprimer sur ce sujet de la place de la femme dans le Sport et le Sport Business. Vous l’aurez compris, il s’agit d’un sujet qui me tient énormément à cœur. J’espère pouvoir pleinement contribuer à son développement dans les années à venir à travers mes différents projets ! Parce que la féminisation du Sport et du Sport Business est l’affaire de tous, nous ne pouvions manquer l’occasion de donner la parole à un homme, qui, au quotidien mêle passion et métier : Bouna Sarr. Grand frère de Mariane, il a accepté de se livrer sur sa vision du sport et plus particulièrement du foot féminin.Bouna, peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bonjour, je m’appelle Bouna Sarr, j’ai 31 ans et je suis originaire de la ville de Lyon. J’évolue en Allemagne, au Bayern de Munich, pour ma 3ème saison au poste d’arrière droit. J’évolue également au sein de l’équipe nationale du Sénégal. Grand frère de Mariane, la petite dernière de notre fratrie ! C’est un plaisir de participer à cet article.Le foot féminin prend de plus en plus d’importance, notamment en Allemagne avec le Bayern Munich. Le match contre le PSG en Ligue des champions l’année dernière en est un bel exemple (13 000 spectateurs présents). Qu'en penses-tu ?
Effectivement, le football féminin se développe de plus en plus depuis les dernières années. J’ai pu le constater en Allemagne avec l’équipe féminine du Bayern. Le foot étant un sport très populaire ici, ça génère beaucoup d’engouement même autour des filles. Il y a de plus en plus de monde qui va au stade, notamment grâce à des championnats attractifs qui intéressent le public. Le football féminin se démocratise et s’améliore, ce qui est une bonne chose pour les femmes et pour le sport en général.
Est-ce que tu penses important que des sportifs défendent les sportives ?
C’est important oui, car selon moi, si les sportifs masculins peuvent apporter leur pierre à l’édifice au développement du sport féminin, ça ne pourra que leur être bénéfique. Il y a de plus en plus de femmes qui sont primées, mises en avant avec les récompenses individuelles dans leur sport. C’est une bonne chose pour elles que nous puissions les féliciter et ainsi les mettre en avant aux yeux de tous. Toute cette contribution est favorable à l’accroissement des emplois, des licences et le nombre de personne susceptible de s’identifier à elles. C’est toujours beau à voir qu’au fil des années le statut des sportives se développe à travers les différentes disciplines. Je pense que tout le monde serait d’accord pour soutenir le développement des disciplines féminines et que les sportives soient ainsi considérées à leur juste valeur.Un petit mot pour ta sœur ?
Ma petite sœur adorée ! Nous sommes tout simplement fiers d’elle, que ce soit mes parents, nos grandes sœurs et moi-même, de voir qu’elle arrive à allier le sport et les études. Ce n’est pas toujours évident, mais on voit que la passion qui l’anime pour ces deux domaines la pousse à ne jamais rien lâcher. Ça me fait énormément plaisir de voir qu’elle s’épanouit au quotidien ! Je lui souhaite tout simplement de continuer, d’être heureuse dans ce qu’elle fait et d’aller au bout de ses objectifs. Malheureusement, je n’ai pas énormément de temps pour aller la voir jouer, mais je vois à travers ses retours et les réseaux sociaux qu’elle prend énormément de plaisir à jouer et travailler dans le monde du football. Elle a tout mon soutien dans ce qu’elle souhaite entreprendre et je continuerais à la suivre au quotidien, comme depuis toujours !13 Mar 2023
Au cœur de la féminisation dans le sport, Mariane et Bouna Saar
Parce que le droit de la femme est une affaire de tous...
Que ce soit sur les terrains de sports ou du monde professionnel, avançons ensemble pour une équité. Les compétences s’acquièrent par la volonté, les sacrifices, le travail, l’humilité et non par le genre. Parce que ton avenir s’écrit maintenant pour le futur de demain. Fais de ta passion, ton métier. Pour toi, pour elles et pour les prochaines générations. Partez en immersion avec Mariane et Bouna Sarr : au cœur de la féminisation dans le Sport et le Sport Business.Mariane, peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bonjour, je m’appelle Mariane Sarr, j’ai 21 ans et je suis étudiante en première année de Mastère chez AMOS Sport Business School sur le campus de Marseille. Je suis originaire de Lyon, là où j’ai pu effectuer toute ma scolarité, notamment mes trois premières années au sein du campus d’AMOS Lyon. Je suis une grande passionnée de sport, et plus particulièrement de football que je pratique en club depuis 10 ans. J’ai commencé le foot chez les garçons, en étant la seule fille de l’équipe. Au départ, l’intégration était assez compliquée, mais avec du caractère et de la persévérance, j’ai su m’intégrer à ce milieu. Le fait d’avoir vécu cette expérience très jeune m’a permis d’arriver là où j’en suis aujourd’hui : défendre la place de la femme au sein du sport. J’ai toujours été animé par cette volonté d’évoluer dans le sport, au vu du programme proposé par l’école, j’ai donc choisi AMOS afin de découvrir le monde du sport business et lier mes deux passions. Jusqu’à aujourd’hui, j’ai eu différentes expériences professionnelles dans ce secteur, notamment un stage à l’Olympique Lyonnais en tant qu’assistante chef de projet événementiel ou encore mon poste actuel au sein du FC Rousset SVO. C’est donc depuis le mois d’août que je suis installée à Marseille afin de découvrir le terrain méditerranéen !
Que penses-tu de la place des femmes dans le Sport et le Sport Business ? Est-ce que tu vois une différence entre les deux ?
Selon moi, que ce soit dans le Sport ou dans le Sport Business, la place de la femme est encore sous-estimée de nos jours. On ne parle pas assez de ces femmes qui réussissent dans ces milieux, auxquelles nous pouvons nous identifier ! À l’échelle française, nous possédons de nombreuses figures, athlètes de haut niveau ou encore entrepreneuses, qui ont toujours été persévérantes et ont su réussir dans leur domaine. Malheureusement, leur place dans le Sport et le Sport Business a été difficilement obtenue et fait encore face aujourd’hui à de nombreuses inégalités !Quelles sont les valeurs que tu retrouves entre le Sport et le Sport Business ?
Il y a beaucoup de valeurs qui lient le Sport et le Sport Business. Cependant, pour moi, les principales restent le respect, qui concerne le respect des autres, des règles, mais aussi de soi-même ; l’égalité, c’est-à-dire la considération que l’on donne à tout type de personne, mais aussi l’égalité des chances ; la persévérance, savoir sortir de sa zone de confort et se dépasser afin d’atteindre ses objectifs ; enfin, le travail d’équipe, car dans ces deux domaines, nous sommes toujours amenés à collaborer avec des personnes, il est donc important d’avoir cet esprit d’équipe et de solidarité.Au sein d’AMOS Aix et Marseille, le rayonnement de toutes les étudiantes est un enjeu fort. De ton côté, comment le perçois-tu ?
Tout d’abord, c’est une réelle satisfaction de voir que nous sommes autant d’étudiantes sur le campus ! Je me souviens qu’en première année, nous n’étions que trois filles dans ma classe, aujourd’hui nous sommes bien plus nombreuses ! Le rayonnement des étudiantes est donc un réel enjeu car nous échangeons constamment sur nos différentes expériences. Plusieurs postes sont représentés par nos étudiantes, chargée de communication, cheffe de projet événementiel ou encore chargée de développement partenariat. De plus, nous avons la chance de toutes pouvoir évoluer au cœur de structures majeures au sein de la région telles que l’Olympique de Marseille et le Cercle des Nageurs ! Le retour d’expérience de chacune ainsi que le réseau que l’on peut s’apporter est un atout majeur pour les étudiantes des campus Aix et Marseille !
Quel conseil peux-tu donner à une future AMOScienne ou professionnelle du Sport Business ?
C’est peut-être une phrase clichée, mais je lui dirais de croire en ses rêves ! Il faut s’intéresser à tout ce qu’il se passe dans le Sport Business et également essayer de se construire un réseau dans le milieu. Il ne faut pas avoir peur d’exposer ses idées, de prendre la parole et enfin croire en sa légitimité ! Les mots d’une femme sont tout aussi importants que ceux d’un homme, il faut donc garder foi en soi.Tu joues et tu es en alternance au club de Rousset : est-ce une force ? Est-ce que tu as pu mettre en place des choses concernant la féminisation du foot ?
Je suis très heureuse d’avoir cette double casquette au sein du club, à la fois joueuse, mais aussi salarié. Depuis le début de la saison, je me sens très épanouie au sein de mes fonctions. J’ai été chaleureusement accueillie par l’ensemble des membres du club qui m’ont tout de suite accordé leur confiance. C’est pour moi une force de tenir un double rôle car je me sens encore plus près du club, ce qui renforce le sentiment d’appartenance ! Nous avons pu mettre en place de nombreux projets, sur différentes thématiques très intéressantes. Le sujet de la féminisation du football me tient particulièrement à cœur, je suis donc ravie de participer aux différents projets d’actions mis en place. Cette année, nous avons la chance d’avoir élargi nos partenariats avec de nombreuses actrices de la région ! De plus, nous travaillons plus particulièrement avec l’une d’entre elles qui s’est exclusivement positionnée sur nos équipes U18F. L’objectif est vraiment de mêler le côté femme et football à travers ce projet, qui sortira dans les semaines à venir !
Tu travailles actuellement sur le projet des olympiennes avec AMOS Marseille et l’OM. Est-ce une fierté pour toi ? Et si oui, pourquoi ? Est-ce que tu aimerais rejoindre l’OM féminin pour participer à son développement ?
C’est un réel plaisir pour moi de participer à ce projet, car je mêle ma passion pour le football, mais aussi ma volonté de contribuer au développement du sport féminin. L’OM est un très grand club, c’est donc une fierté de pouvoir collaborer avec eux. Nous avons des idées pour ce projet et avançons bien sur nos objectifs. Je suis très investie sur son aboutissement étant donné que c’est un sujet qui me parle et qui m’inspire. De plus, Sarah Boudaoud et Alban Sanchez sont très à l’écoute, c’est très plaisant et constructif de pouvoir collaborer avec eux. Rejoindre leurs rangs serait une réelle fierté ! Participer au développement d’une structure telle que l’OM féminin s’inscrirait dans la continuité de mes projets professionnels et personnels !Un dernier mot pour finir ?
Merci à Marion Deborde et AMOS Marseille de m’avoir donné l’opportunité de m’exprimer sur ce sujet de la place de la femme dans le Sport et le Sport Business. Vous l’aurez compris, il s’agit d’un sujet qui me tient énormément à cœur. J’espère pouvoir pleinement contribuer à son développement dans les années à venir à travers mes différents projets ! Parce que la féminisation du Sport et du Sport Business est l’affaire de tous, nous ne pouvions manquer l’occasion de donner la parole à un homme, qui, au quotidien mêle passion et métier : Bouna Sarr. Grand frère de Mariane, il a accepté de se livrer sur sa vision du sport et plus particulièrement du foot féminin.Bouna, peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bonjour, je m’appelle Bouna Sarr, j’ai 31 ans et je suis originaire de la ville de Lyon. J’évolue en Allemagne, au Bayern de Munich, pour ma 3ème saison au poste d’arrière droit. J’évolue également au sein de l’équipe nationale du Sénégal. Grand frère de Mariane, la petite dernière de notre fratrie ! C’est un plaisir de participer à cet article.Le foot féminin prend de plus en plus d’importance, notamment en Allemagne avec le Bayern Munich. Le match contre le PSG en Ligue des champions l’année dernière en est un bel exemple (13 000 spectateurs présents). Qu'en penses-tu ?
Effectivement, le football féminin se développe de plus en plus depuis les dernières années. J’ai pu le constater en Allemagne avec l’équipe féminine du Bayern. Le foot étant un sport très populaire ici, ça génère beaucoup d’engouement même autour des filles. Il y a de plus en plus de monde qui va au stade, notamment grâce à des championnats attractifs qui intéressent le public. Le football féminin se démocratise et s’améliore, ce qui est une bonne chose pour les femmes et pour le sport en général.
Est-ce que tu penses important que des sportifs défendent les sportives ?
C’est important oui, car selon moi, si les sportifs masculins peuvent apporter leur pierre à l’édifice au développement du sport féminin, ça ne pourra que leur être bénéfique. Il y a de plus en plus de femmes qui sont primées, mises en avant avec les récompenses individuelles dans leur sport. C’est une bonne chose pour elles que nous puissions les féliciter et ainsi les mettre en avant aux yeux de tous. Toute cette contribution est favorable à l’accroissement des emplois, des licences et le nombre de personne susceptible de s’identifier à elles. C’est toujours beau à voir qu’au fil des années le statut des sportives se développe à travers les différentes disciplines. Je pense que tout le monde serait d’accord pour soutenir le développement des disciplines féminines et que les sportives soient ainsi considérées à leur juste valeur.Un petit mot pour ta sœur ?
Ma petite sœur adorée ! Nous sommes tout simplement fiers d’elle, que ce soit mes parents, nos grandes sœurs et moi-même, de voir qu’elle arrive à allier le sport et les études. Ce n’est pas toujours évident, mais on voit que la passion qui l’anime pour ces deux domaines la pousse à ne jamais rien lâcher. Ça me fait énormément plaisir de voir qu’elle s’épanouit au quotidien ! Je lui souhaite tout simplement de continuer, d’être heureuse dans ce qu’elle fait et d’aller au bout de ses objectifs. Malheureusement, je n’ai pas énormément de temps pour aller la voir jouer, mais je vois à travers ses retours et les réseaux sociaux qu’elle prend énormément de plaisir à jouer et travailler dans le monde du football. Elle a tout mon soutien dans ce qu’elle souhaite entreprendre et je continuerais à la suivre au quotidien, comme depuis toujours !23 Feb 2023
Au cœur du premier cours mutualisé délocalisé, BPMED
Impacts et héritages des Jeux de Paris 2024 sur notre territoire
C’est au cœur du siège de la Banque Populaire Méditerranée à Marseille que s’est tenu le premier cours délocalisé mutualisé auprès des étudiant.e.s AMOS Aix et Marseille. A cette occasion, nos étudiants de troisième et quatrième année ont bénéficié d’une synergie rare sur des thématiques ô combien importantes. Le premier module était axé sur les jeux de Paris 2024 avec comme intervenante Aurélie Di Napoli (en charge des partenariats et mécénats sportifs pour la Banque Populaire méditerranée). Le second module, lui, était articlé sur les enjeux de la RSE et de développement durable avec Alexis Gallice (président de Cialfi et également intervenant sur de nombreux campus AMOS).


23 Feb 2023
Au cœur du premier cours mutualisé délocalisé, BPMED
Impacts et héritages des Jeux de Paris 2024 sur notre territoire
C’est au cœur du siège de la Banque Populaire Méditerranée à Marseille que s’est tenu le premier cours délocalisé mutualisé auprès des étudiant.e.s AMOS Aix et Marseille. A cette occasion, nos étudiants de troisième et quatrième année ont bénéficié d’une synergie rare sur des thématiques ô combien importantes. Le premier module était axé sur les jeux de Paris 2024 avec comme intervenante Aurélie Di Napoli (en charge des partenariats et mécénats sportifs pour la Banque Populaire méditerranée). Le second module, lui, était articlé sur les enjeux de la RSE et de développement durable avec Alexis Gallice (président de Cialfi et également intervenant sur de nombreux campus AMOS).


23 Feb 2023
5 raisons d'étudier le Sport Management à Aix et Marseille
L'orientation, un enjeu majeur pour les étudiants
L’orientation est toujours un moment délicat... De la fin du lycée à une réorientation ou une spécialisation, c’est un enjeu majeur pour de nombreux étudiant.e.s. Dans cet article, découvrez 5 raisons d'intégrer AMOS Sport Business School à Aix ou Marseille : la professionnalisation, le réseau, la pédagogie, l’international et le bien-être des étudiants.La professionnalisation chez AMOS
La professionnalisation, c’est avant tout l’employabilité des étudiant.e.s à des moments clés. C’est permettre à chacun une montée en compétences à travers des missions sur le terrain. Tout au long de leur cursus, de la première à la cinquième année, les étudiant.e.s sont mis en situation à travers des stages, des alternances et des expériences pédagogiques. Pour vous donner un exemple, en première année, tous les étudiants doivent réaliser deux stages obligatoires d’une durée de deux mois chacun. Le premier dans la grande distribution (Nike, Adidas, Décathlon…) et le second dans le secteur d’activité de leur choix hors grande distribution (communication, événementiel, data, marketing...). L’alternance, elle, est possible à partir de la troisième année et obligatoire en 4ème et 5ème année pour tendre de plus en plus à l’employabilité des AMOScien.ne.s. Enfin, les expériences pédagogiques sont des immersions au sein d’événements, structures sportives pour permettre aux étudiants de découvrir l’envers du décor, l’organisation et la gestion. Cette année, plusieurs expériences ont vu le jour au circuit Paul Ricard, à l’Olympique de Marseille, à Provence Rugby, à l’Orange Vélodrome Trail, dans le secteur de l’E-Sport et tant d’autres ! Si être au cœur de grands rendez-vous est une chance, c’est aussi et surtout une occasion à saisir car le réseau régional AMOS est une véritable force.Le réseau AMOS
Notre réseau, ce sont toutes les personnes qui gravitent autour de l’école pour la sublimer : étudiants, intervenants, employés, structures qui recrutent nos étudiant.e.s, alumnis (diplômés AMOS).
La pédagogie by AMOS
Notre pédagogie repose sur l’interaction et la mise en situation de cas pratiques afin de susciter l’émulation collective par le savoir-faire. Les cours sont dispensés par des intervenants spécialistes du Sport Business, issus de clubs sportifs comme Kévin Gorit (Digital Activation Manager à l’Olympique de Marseille), d'entreprises comme Claire Jacquet (Responsable Département Logistique à Décathlon) ou des auto-entrepreneurs comme Pierre Sarfaty (anciennement Food and Beverage Manager pour Lagardère) ou Fanny Lacroix (fondatrice de Lacroix Sport). Cette pédagogie est au cœur des formations AMOS en Sport Management afin d’intégrer les étudiants au plus proche des acteurs de notre territoire. L’occasion aussi de réaliser des cours délocalisés dans ses structures pour découvrir les enjeux du terrain.
L’international chez AMOS
Nous proposons aux étudiants la possibilité de se former en Sport Business dans un autre pays que la France et partir à la découverte d'une nouvelle langue et culture. De multiples possibilités s’offrent aux AMOScien.ne.s à travers 3 campus à l'étranger (Londres, Madrid, Valence) et 41 universités partenaires présentent un peu partout dans le monde. Pour en savoir plus sur l'une de ces destinations, partez à la rencontre d’Amélia Baouz et Mathilde Martinez en programme international à Valence. En deuxième année du cursus Bachelor chez AMOS, une expérience à l'international est obligatoire le temps d'un semestre. Les étudiant.e.s peuvent choisir entre les campus AMOS Londres ou Madrid. Au-delà du cursus scolaire, le voyage, la découverte, l'ouverture vers de nos nouveaux horizons, participent à l’engagement et à l'épanouissement de nos étudiant.e.s.Le bien-être des étudiants
Le bien-être de nos étudiants passe par la satisfaction de ces derniers à apprécier l’environnement dans lequel ils travaillent. Notre volonté à Aix et Marseille est aussi de les faire rayonner à travers leur parcours étudiant : stage, alternance, performance sportive, entreprenariat... leur permettre de s’exprimer sur ce qu’ils font en entreprise et sur leurs perspectives d’avenir en Sport Business.

23 Feb 2023
5 raisons d'étudier le Sport Management à Aix et Marseille
L'orientation, un enjeu majeur pour les étudiants
L’orientation est toujours un moment délicat... De la fin du lycée à une réorientation ou une spécialisation, c’est un enjeu majeur pour de nombreux étudiant.e.s. Dans cet article, découvrez 5 raisons d'intégrer AMOS Sport Business School à Aix ou Marseille : la professionnalisation, le réseau, la pédagogie, l’international et le bien-être des étudiants.La professionnalisation chez AMOS
La professionnalisation, c’est avant tout l’employabilité des étudiant.e.s à des moments clés. C’est permettre à chacun une montée en compétences à travers des missions sur le terrain. Tout au long de leur cursus, de la première à la cinquième année, les étudiant.e.s sont mis en situation à travers des stages, des alternances et des expériences pédagogiques. Pour vous donner un exemple, en première année, tous les étudiants doivent réaliser deux stages obligatoires d’une durée de deux mois chacun. Le premier dans la grande distribution (Nike, Adidas, Décathlon…) et le second dans le secteur d’activité de leur choix hors grande distribution (communication, événementiel, data, marketing...). L’alternance, elle, est possible à partir de la troisième année et obligatoire en 4ème et 5ème année pour tendre de plus en plus à l’employabilité des AMOScien.ne.s. Enfin, les expériences pédagogiques sont des immersions au sein d’événements, structures sportives pour permettre aux étudiants de découvrir l’envers du décor, l’organisation et la gestion. Cette année, plusieurs expériences ont vu le jour au circuit Paul Ricard, à l’Olympique de Marseille, à Provence Rugby, à l’Orange Vélodrome Trail, dans le secteur de l’E-Sport et tant d’autres ! Si être au cœur de grands rendez-vous est une chance, c’est aussi et surtout une occasion à saisir car le réseau régional AMOS est une véritable force.Le réseau AMOS
Notre réseau, ce sont toutes les personnes qui gravitent autour de l’école pour la sublimer : étudiants, intervenants, employés, structures qui recrutent nos étudiant.e.s, alumnis (diplômés AMOS).
La pédagogie by AMOS
Notre pédagogie repose sur l’interaction et la mise en situation de cas pratiques afin de susciter l’émulation collective par le savoir-faire. Les cours sont dispensés par des intervenants spécialistes du Sport Business, issus de clubs sportifs comme Kévin Gorit (Digital Activation Manager à l’Olympique de Marseille), d'entreprises comme Claire Jacquet (Responsable Département Logistique à Décathlon) ou des auto-entrepreneurs comme Pierre Sarfaty (anciennement Food and Beverage Manager pour Lagardère) ou Fanny Lacroix (fondatrice de Lacroix Sport). Cette pédagogie est au cœur des formations AMOS en Sport Management afin d’intégrer les étudiants au plus proche des acteurs de notre territoire. L’occasion aussi de réaliser des cours délocalisés dans ses structures pour découvrir les enjeux du terrain.
L’international chez AMOS
Nous proposons aux étudiants la possibilité de se former en Sport Business dans un autre pays que la France et partir à la découverte d'une nouvelle langue et culture. De multiples possibilités s’offrent aux AMOScien.ne.s à travers 3 campus à l'étranger (Londres, Madrid, Valence) et 41 universités partenaires présentent un peu partout dans le monde. Pour en savoir plus sur l'une de ces destinations, partez à la rencontre d’Amélia Baouz et Mathilde Martinez en programme international à Valence. En deuxième année du cursus Bachelor chez AMOS, une expérience à l'international est obligatoire le temps d'un semestre. Les étudiant.e.s peuvent choisir entre les campus AMOS Londres ou Madrid. Au-delà du cursus scolaire, le voyage, la découverte, l'ouverture vers de nos nouveaux horizons, participent à l’engagement et à l'épanouissement de nos étudiant.e.s.Le bien-être des étudiants
Le bien-être de nos étudiants passe par la satisfaction de ces derniers à apprécier l’environnement dans lequel ils travaillent. Notre volonté à Aix et Marseille est aussi de les faire rayonner à travers leur parcours étudiant : stage, alternance, performance sportive, entreprenariat... leur permettre de s’exprimer sur ce qu’ils font en entreprise et sur leurs perspectives d’avenir en Sport Business.
