Echange avec Christophe RE, Store Manager d'ADIDAS

Vos équipes et vous-même sortez du confinement qui s’est passé comment ?
« Dès le 16 mars tous les personnels d’ADIDAS ont bénéficié des programmes de formation proposés par la marque durant la période de confinement, ce qui n’est pas banal dans le contexte de crise provoqué par la pandémie du Coronavirus. A l’image des valeurs d’ADIDAS incarnées par les 3 « C » « Confiance Collaboration Créativité » les 750 salariés de France ont été invité à reprendre les basiques d’une part, complétés par des programmes spécifiques, partager les bonnes pratiques, comment atteindre le meilleur niveau de créativité sans omettre la pratique sportive grâce à des applications adaptées au confinement. C’est le savoir être qui est sinon jugé mais du moins évalué, semestriellement pour les managers et mensuellement pour les autres salariés. Cette gestion de crise illustre l’attachement qu’ADIDAS porte aux savoirs être dans l’apprentissage et dans la progression de carrière en interne qui est présente dans la culture de notre entreprise. Si ADIDAS emploie plus de 60.000 personnes dans le monde et occupe une position influente c’est aussi parce que l’attachement aux valeurs citées est ancré dans l’ADN de la marque, dans le management des RH et bien sûr dans nos performances »
Quel a été votre parcours pour parvenir à cette responsabilité chez ADIDAS ?
« Très brièvement après un DEUG dans le commerce obtenu en 1998, année du premier titre mondial de la France en football j’aimais ce sport comme tout marseillais et je rêvais de travailler chez ADIDAS. Ma passion du sport m’a dirigé vers la marque de façon naturelle et je suis entré comme vendeur ici avant de gravir petit à petit les échelons dans l’entreprise, de Marseille à Paris avant de revenir dans la cité phocéenne pour occuper mon poste actuel. Amateur surtout des arts martiaux en compétition et du foot de rue aux couleurs locales quand j’étais plus jeune je m’adonne désormais au golf le plus souvent ! »
Qu’est ce qui guide ADIDAS dans la conception de ses produits ?
« Plusieurs facteurs sont concernés. En premier lieu l’empreinte de la marque repose sur l’écoute des besoins des sportifs, qu’il s’agisse de l’amorti au sol, de l’accroche sur le terrain, des sensations avec le ballon, en clair tout l’univers physique et sensible qui résonne dans le corps du pratiquant. Ensuite il y a un secteur qui est désormais au cœur du sport à savoir la mode. C’est une dimension qui est devenue centrale dans toutes ses composantes : de la chaussure bien sûr au maillot de club notamment qui désormais n’est plus seulement lié au club d’appartenance y compris à Marseille où l’OM est une icône : qu’il s’agisse du maillot de la Juve ou de Manchester etc…Le foot reste la discipline phare et dans le cadre du visuel merchandising qui est un des axes de la marque nous « théâtralisons » le magasin pour les matches de Champion’s League qui rencontre un vrai succès auprès de la clientèle et des fans. Dans toutes nos actions comme dans nos produits le client est toujours la cible. A cet effet nous nous appuyons sur une méthodologie centrée sur le retour clients avec le NPS ( Net Promoteur Score traduit par Score Net de recommandation). Ainsi en tant que manager je suis présent quotidiennement dans le magasin de 14h à 19h au contact avec les clients et les collègues pour accompagner ce que nous appelons à ADIDAS le « comportement recherché. Enfin je crois utile de souligner la volonté de la marque de répondre à tout le spectre de la clientèle. Ainsi la surface du magasin est répartie de façon équilibrée entre les rayons masculins et féminins. De même si dans les années 2000 nous avions une clientèle senior orientée surtout vers la marche, elle s’est ouverte sur les trails, le tennis etc…».
Quelle est la place du digital dans vos métiers ?
« Elle est incontournable dans notre politique commerciale et pour prendre l’exemple du confinement nous nous sommes impliqués comme support de e-commerce de la marque. De façon très concrète et physique dans le magasin même nous avons un objectif journalier de 30 commandes par internet depuis octobre 2019. Nos vendeurs sont formés à cette approche qui progresse en termes de ventes. La digitalisation pénètre tous nos postes dans l’évolution de nos métiers. J’ajoute que dans le cadre de l’accueil de stagiaires nous mettons un point d’honneur à les mettre dans des situations professionnelles qui leur font vivre une belle histoire qui va les marquer et qui contribue à notre notoriété auprès des publics jeunes. L’histoire d’ADIDAS est forte dans l’univers du sport et nous devons l’enrichir par la créativité dans le partage. »
Propos recueillis par Alain Arvin- Bérod, Directeur du Conseil de Perfectionnement et des Publications AMOS Group
Dorian Hauterville, parrain 2020 d’AMOS Lyon
Copyright : IBSF De l'athlétisme au bobsleigh Après des débuts en athlétisme de 2009 à 2016, plusieurs participations aux Championnats de France de 100m et un record en 10’’55, Dorian Hauterville est devenu membre de l’équipe de France de Bobsleigh. Après de très bons débuts dans la discipline et une participation à plusieurs étapes de Coupe du Monde, il ambitionne maintenant de décrocher une médaille olympique lors des Jeux de Pékin 2022.
Une vitesse de course impressionnante et un gabarit de pousseur

Décrocher une médaille olympique à Pékin
« Aujourd’hui, nous sommes installés depuis 2 ans dans le Top 6 mondial, nous avons même accroché une 5ème place l'année dernière. On est proche des Jeux Olympiques donc le but c'est toujours de monter en puissance. Ayant déjà fait les Jeux de 2018 et terminé 11ème, cette fois-ci j'aimerais bien y retourner pour jouer les premiers rôles. L'objectif est clair, c'est de décrocher une médaille en 2022 à Pékin ! » nous explique Dorian. En bobsleigh, il y a un pilote et des pousseurs. À l’ombre du pilote, le pousseur est indispensable et sa performance a un impact considérable. Il est décisif lors de la poussée où son rôle est d’emmener le bobsleigh le plus vite et longtemps possible. L’année dernière, une étape de la Coupe du monde s’est déroulée sur la piste olympique de la Plagne. Cela a changé beaucoup de choses pour Dorian et son pilote Romain Heinrich. En effet, les étapes mondiales se disputent majoritairement au Canada, aux États-Unis puis en Europe avec des manches en Autriche, en Lettonie ou encore en Norvège. Mais très rarement en France. Ils ont donc pu être encouragés par les membres du Club de bob, luge skeleton de Mâcot-la-Plagne, mais aussi par tous les spectateurs au bord du tube. Cette étape à la Plagne a été un réel plaisir pour eux, ils ont ainsi pu montrer tout leur savoir-faire à leur communauté qui les suivent notamment sur les réseaux sociaux.French Glisse pour développer et pérenniser le bobsleigh


Article rédigé par Florentin GERBET, chargé de communication AMOS Lyon.
Dorian Hauterville, parrain 2020 d’AMOS Lyon
Copyright : IBSF De l'athlétisme au bobsleigh Après des débuts en athlétisme de 2009 à 2016, plusieurs participations aux Championnats de France de 100m et un record en 10’’55, Dorian Hauterville est devenu membre de l’équipe de France de Bobsleigh. Après de très bons débuts dans la discipline et une participation à plusieurs étapes de Coupe du Monde, il ambitionne maintenant de décrocher une médaille olympique lors des Jeux de Pékin 2022.
Une vitesse de course impressionnante et un gabarit de pousseur

Décrocher une médaille olympique à Pékin
« Aujourd’hui, nous sommes installés depuis 2 ans dans le Top 6 mondial, nous avons même accroché une 5ème place l'année dernière. On est proche des Jeux Olympiques donc le but c'est toujours de monter en puissance. Ayant déjà fait les Jeux de 2018 et terminé 11ème, cette fois-ci j'aimerais bien y retourner pour jouer les premiers rôles. L'objectif est clair, c'est de décrocher une médaille en 2022 à Pékin ! » nous explique Dorian. En bobsleigh, il y a un pilote et des pousseurs. À l’ombre du pilote, le pousseur est indispensable et sa performance a un impact considérable. Il est décisif lors de la poussée où son rôle est d’emmener le bobsleigh le plus vite et longtemps possible. L’année dernière, une étape de la Coupe du monde s’est déroulée sur la piste olympique de la Plagne. Cela a changé beaucoup de choses pour Dorian et son pilote Romain Heinrich. En effet, les étapes mondiales se disputent majoritairement au Canada, aux États-Unis puis en Europe avec des manches en Autriche, en Lettonie ou encore en Norvège. Mais très rarement en France. Ils ont donc pu être encouragés par les membres du Club de bob, luge skeleton de Mâcot-la-Plagne, mais aussi par tous les spectateurs au bord du tube. Cette étape à la Plagne a été un réel plaisir pour eux, ils ont ainsi pu montrer tout leur savoir-faire à leur communauté qui les suivent notamment sur les réseaux sociaux.French Glisse pour développer et pérenniser le bobsleigh


Article rédigé par Florentin GERBET, chargé de communication AMOS Lyon.
MASTERCLASS spéciale International : Londres, Tennis et Data
Crise sanitaire oblige, les rencontres entre les étudiants et les acteurs du sport se poursuivent à distance en visioconférence. Sur un format court et dynamique à l’accent international, les AMOSciens bordelais de 3e et 4e année ont échangé avec deux professionnels français expatriés à Londres autour de leur carrière dans le sport business. Retour sur ce partage d’expériences ! Traditionnellement inscrit dans l’ADN d’AMOS, la politique d’internationalisation de l’école se construit à travers le développement de partenariats universitaires, offrant de nombreuses possibilités de mobilité en Europe, en Amérique et en Asie ; mais elle se manifeste également par la construction d’un réseau professionnel proactif à l’étranger. C’est dans cette dynamique qu’AMOS Bordeaux a organisé, le 13 Janvier dernier, une MasterClass en visioconférence portée sur le sport business à l’international, l’idée étant de proposer aux étudiants de 3e et 4e année un retour d’expériences de professionnels.
Des invités à l’accent « Tennis »
Nous avons donc pris la « direction » de Londres puisqu’étaient invités les professionnels suivants : Charly Vignon : investi dans l’univers du sport et bénéficiant de nombreuses expériences à l’international, Charly a évolué au sein de l’ITF, l’International Tennis Federation en tant que Live Scoring Coordinator avant d’occuper le poste de Community Project Manager chez la plateforme de Streaming DAZN.

Londres, Tennis et data
Nos deux invités sont donc revenus sur leur poste au sein de l’ITF, l’organe directeur du tennis international régissant les 211 fédérations nationales, organisant certains tournois internationaux, codifiant les règles de jeu et gérant la politique antidopage. En tant que coordinateur commercial, Arnaud a la responsabilité de cibler, démarcher et attirer de nouveaux partenaires souhaitant associer leur image aux compétitions dont l’ITF à la charge. Positionné notamment sur l’une des épreuves phares, la Fed Cup, nouvellement nommée Billie Jean King Cup, Arnaud met son talent au service de la prospection commerciale afin de proposer aux futurs sponsors des activations marketing originales et percutantes : « J’interviens sur le process commercial avec le démarchage, la présentation de nos offres, la négociation et le calibrage des offres en fonction des besoins du prospect, la signature du contrat et la mise en place des activations marketing. Le nouveau format des compétitions nous oblige à travailler sur des collaborations à plus long terme avec nos partenaires, favorisant ainsi une cohérence et une continuité dans les relations » En complément de ces tâches, Arnaud a intégré l’équipe télévision pour travailler directement les soirs de matchs, en collaboration et coordination avec les diffuseurs locaux et internationaux et enfin pour veiller au bon déroulement de la diffusion de la rencontre : « J’ai par exemple supervisé une rencontre internationale à Seattle en février 2020. J’ai coordonné les besoins des diffuseurs concernés, à savoir des diffuseurs américains et lettons, assuré le lien avec les équipes de production et géré le bon déroulé du process. C’est prenant et très challenging ! » Charly, de son côté, est revenu sur son rôle au sein de l’ITF en tant que Live Scoring Coordinator à travers lequel il a assuré la gestion du flux de données entre les différents partenaires de la Fédération : « Sur certains tournois, Les juges arbitres utilisent des téléphones pour comptabiliser les points de la rencontre. Ces données sont ensuite récupérées par notre partenaire officiel, Sportradar, qui les propose à son tour à des structures telles que Winamax ou Bwin pour construire les côtes de leurs paris sportifs. Mo rôle était donc d’assurer la transmission des données entre ces différents acteurs ! ». Un métier technique tourné autour de la gestion de la Data qui lui a ouvert les portes de son poste actuel au sein de la plateforme de streaming DAZN. DAZN est un service de streaming sportif implanté dans de nombreux pays et comptant déjà 8 millions d’abonnés. Relativement jeune, la plateforme ambitionne de s’implanter dans plus de 200 pays, dont la France dès décembre 2020. Proposant du contenu Live et à la demande, DAZN dispose de droits TV étrangers avec notamment la NFL au Canada, la J.League au Japon ou encore la Bundesliga et la Serie A en Europe. Au sein de cette structure, Charly travaille au Beta Department dans lequel il assure la relation entre la communauté de betatesteurs et les équipes techniques de la plateforme : « On propose une version test à certains de nos abonnés afin de bénéficier de leurs retours d’utilisation et ainsi d’optimiser les fonctionnalités. On évolue entre le Customer service, l’équipe de développeurs de la plateforme et le Marketing Department. »Evoluer professionnellement à l’étranger
Après avoir échangé avec les étudiants sur leurs postes, nos invités ont livré leur analyse sur les spécificités du travail à l’étranger. Selon Charly, « en Angleterre, les rapports entre les salariés et les managers sont plus directs. On peut s’adresser beaucoup plus facilement à son supérieur qu’en France. Les informations sont plus claires, plus directes, on va droit au but quand on a un message à faire passer. Quelque part, c’est plus efficace. » Arnaud revient effectivement sur la proximité dans les relations de travail et insiste sur l’émulation positive, favorisée par la diversité culturelle : « A Londres, et à l’ITF, on travaille avec des personnes issues de pays et cultures variés et c’est enrichissant de pouvoir partager son expérience mais aussi apprendre des autres ! » A l’issue de cette conférence, les étudiants ont produit en groupe une note de synthèse rédigée en anglais, leur permettant ainsi de restituer les points forts et apprentissages de ces échanges tout en mettant à contribution leurs connaissances d’une langue étrangère.Article rédigé par Laurent TIRE, chargé de communication AMOS Bordeaux.
MASTERCLASS spéciale International : Londres, Tennis et Data
Crise sanitaire oblige, les rencontres entre les étudiants et les acteurs du sport se poursuivent à distance en visioconférence. Sur un format court et dynamique à l’accent international, les AMOSciens bordelais de 3e et 4e année ont échangé avec deux professionnels français expatriés à Londres autour de leur carrière dans le sport business. Retour sur ce partage d’expériences ! Traditionnellement inscrit dans l’ADN d’AMOS, la politique d’internationalisation de l’école se construit à travers le développement de partenariats universitaires, offrant de nombreuses possibilités de mobilité en Europe, en Amérique et en Asie ; mais elle se manifeste également par la construction d’un réseau professionnel proactif à l’étranger. C’est dans cette dynamique qu’AMOS Bordeaux a organisé, le 13 Janvier dernier, une MasterClass en visioconférence portée sur le sport business à l’international, l’idée étant de proposer aux étudiants de 3e et 4e année un retour d’expériences de professionnels.
Des invités à l’accent « Tennis »
Nous avons donc pris la « direction » de Londres puisqu’étaient invités les professionnels suivants : Charly Vignon : investi dans l’univers du sport et bénéficiant de nombreuses expériences à l’international, Charly a évolué au sein de l’ITF, l’International Tennis Federation en tant que Live Scoring Coordinator avant d’occuper le poste de Community Project Manager chez la plateforme de Streaming DAZN.

Londres, Tennis et data
Nos deux invités sont donc revenus sur leur poste au sein de l’ITF, l’organe directeur du tennis international régissant les 211 fédérations nationales, organisant certains tournois internationaux, codifiant les règles de jeu et gérant la politique antidopage. En tant que coordinateur commercial, Arnaud a la responsabilité de cibler, démarcher et attirer de nouveaux partenaires souhaitant associer leur image aux compétitions dont l’ITF à la charge. Positionné notamment sur l’une des épreuves phares, la Fed Cup, nouvellement nommée Billie Jean King Cup, Arnaud met son talent au service de la prospection commerciale afin de proposer aux futurs sponsors des activations marketing originales et percutantes : « J’interviens sur le process commercial avec le démarchage, la présentation de nos offres, la négociation et le calibrage des offres en fonction des besoins du prospect, la signature du contrat et la mise en place des activations marketing. Le nouveau format des compétitions nous oblige à travailler sur des collaborations à plus long terme avec nos partenaires, favorisant ainsi une cohérence et une continuité dans les relations » En complément de ces tâches, Arnaud a intégré l’équipe télévision pour travailler directement les soirs de matchs, en collaboration et coordination avec les diffuseurs locaux et internationaux et enfin pour veiller au bon déroulement de la diffusion de la rencontre : « J’ai par exemple supervisé une rencontre internationale à Seattle en février 2020. J’ai coordonné les besoins des diffuseurs concernés, à savoir des diffuseurs américains et lettons, assuré le lien avec les équipes de production et géré le bon déroulé du process. C’est prenant et très challenging ! » Charly, de son côté, est revenu sur son rôle au sein de l’ITF en tant que Live Scoring Coordinator à travers lequel il a assuré la gestion du flux de données entre les différents partenaires de la Fédération : « Sur certains tournois, Les juges arbitres utilisent des téléphones pour comptabiliser les points de la rencontre. Ces données sont ensuite récupérées par notre partenaire officiel, Sportradar, qui les propose à son tour à des structures telles que Winamax ou Bwin pour construire les côtes de leurs paris sportifs. Mo rôle était donc d’assurer la transmission des données entre ces différents acteurs ! ». Un métier technique tourné autour de la gestion de la Data qui lui a ouvert les portes de son poste actuel au sein de la plateforme de streaming DAZN. DAZN est un service de streaming sportif implanté dans de nombreux pays et comptant déjà 8 millions d’abonnés. Relativement jeune, la plateforme ambitionne de s’implanter dans plus de 200 pays, dont la France dès décembre 2020. Proposant du contenu Live et à la demande, DAZN dispose de droits TV étrangers avec notamment la NFL au Canada, la J.League au Japon ou encore la Bundesliga et la Serie A en Europe. Au sein de cette structure, Charly travaille au Beta Department dans lequel il assure la relation entre la communauté de betatesteurs et les équipes techniques de la plateforme : « On propose une version test à certains de nos abonnés afin de bénéficier de leurs retours d’utilisation et ainsi d’optimiser les fonctionnalités. On évolue entre le Customer service, l’équipe de développeurs de la plateforme et le Marketing Department. »Evoluer professionnellement à l’étranger
Après avoir échangé avec les étudiants sur leurs postes, nos invités ont livré leur analyse sur les spécificités du travail à l’étranger. Selon Charly, « en Angleterre, les rapports entre les salariés et les managers sont plus directs. On peut s’adresser beaucoup plus facilement à son supérieur qu’en France. Les informations sont plus claires, plus directes, on va droit au but quand on a un message à faire passer. Quelque part, c’est plus efficace. » Arnaud revient effectivement sur la proximité dans les relations de travail et insiste sur l’émulation positive, favorisée par la diversité culturelle : « A Londres, et à l’ITF, on travaille avec des personnes issues de pays et cultures variés et c’est enrichissant de pouvoir partager son expérience mais aussi apprendre des autres ! » A l’issue de cette conférence, les étudiants ont produit en groupe une note de synthèse rédigée en anglais, leur permettant ainsi de restituer les points forts et apprentissages de ces échanges tout en mettant à contribution leurs connaissances d’une langue étrangère.Article rédigé par Laurent TIRE, chargé de communication AMOS Bordeaux.
Aline Chamereau, rêve d’une médaille olympique à Paris.
Nous avons le plaisir de vous présenter Aline Chamereau, marraine de la promotion 2020-2021 du campus AMOS Lyon. Des plages du Brésil, au Japon, en passant par l’Australie, Aline parcourt le monde pour pratiquer son sport et sa passion, le beach-volley. Âgée de 23 ans, elle représente avec sa coéquipière Alexandra Jupiter, une des futures chances de médaille aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020 et de Paris 2024.
Les JO de Tokyo en ligne de mire
Elle a commencé le volley indoor il y a 10 ans au Club de Villette Paul Bert à Lyon, et a très rapidement intégré le Pôle France espoir de volley indoor. Elle s’est ensuite essayée au beach-volley, avec brio, et participe actuellement à des tournois World Tour aux quatre coins du globe. Aline est ambitieuse, elle se fixe des objectifs très élevés. À court terme, son but est de se qualifier pour les Jeux Olympiques de Tokyo. Et à plus long terme, elle a pour objectif d’être médaillée aux Jeux Olympiques de Paris 2024, « à la maison », mais également au Championnat du monde. En parallèle, elle souhaite continuer à développer et structurer la pratique du beach-volley français, qui est encore peu répandue.

De la 176ème à la 23ème place du classement mondial
Aline et sa coéquipière, Alexandra Jupiter, ont réalisé un Top 10 au championnat d’Europe cette année. Début 2018, elles étaient classées 176èmes mondiale. Depuis, elles ont réalisé une fantastique remontée puisqu’elles occupent actuellement la 23ème place! Il reste une dernière petite marche à gravir jusqu’aux Jeux Olympiques de Tokyo puisqu’uniquement les 15 premières équipes seront qualifiées.
Aline et les AMOSciens font désormais équipe
A l’occasion d’une masterclass organisée par notre campus AMOS Lyon, nous avons eu la chance d’accueillir Aline Chamereau, venue présenter son projet, sa discipline et parler de l’organisation et du développement du beach-volley en France et à l’international. Afin de renforcer son lien avec notre campus lyonnais, Aline a souhaité confier 2 projets à nos étudiants. Ces deux projets tuteurés permettent à nos AMOSciens de travailler sur sa stratégie de communication et sur la création de contenu pour ses réseaux, mais aussi sur sa recherche de partenariats avec des missions de réalisation de plaquettes sponsoring, le démarchage d’entreprise ou encore la création et l’alimentation d’une base de données. AMOS Lyon est fier d’accueillir Aline Chamereau comme marraine de l’année 2020-2021 et nous lui apportons tout notre soutien pour la réussite de ses objectifs !Article rédigé par Florentin Gerbet, chargé de communication AMOS Lyon.
Aline Chamereau, rêve d’une médaille olympique à Paris.
Nous avons le plaisir de vous présenter Aline Chamereau, marraine de la promotion 2020-2021 du campus AMOS Lyon. Des plages du Brésil, au Japon, en passant par l’Australie, Aline parcourt le monde pour pratiquer son sport et sa passion, le beach-volley. Âgée de 23 ans, elle représente avec sa coéquipière Alexandra Jupiter, une des futures chances de médaille aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020 et de Paris 2024.
Les JO de Tokyo en ligne de mire
Elle a commencé le volley indoor il y a 10 ans au Club de Villette Paul Bert à Lyon, et a très rapidement intégré le Pôle France espoir de volley indoor. Elle s’est ensuite essayée au beach-volley, avec brio, et participe actuellement à des tournois World Tour aux quatre coins du globe. Aline est ambitieuse, elle se fixe des objectifs très élevés. À court terme, son but est de se qualifier pour les Jeux Olympiques de Tokyo. Et à plus long terme, elle a pour objectif d’être médaillée aux Jeux Olympiques de Paris 2024, « à la maison », mais également au Championnat du monde. En parallèle, elle souhaite continuer à développer et structurer la pratique du beach-volley français, qui est encore peu répandue.

De la 176ème à la 23ème place du classement mondial
Aline et sa coéquipière, Alexandra Jupiter, ont réalisé un Top 10 au championnat d’Europe cette année. Début 2018, elles étaient classées 176èmes mondiale. Depuis, elles ont réalisé une fantastique remontée puisqu’elles occupent actuellement la 23ème place! Il reste une dernière petite marche à gravir jusqu’aux Jeux Olympiques de Tokyo puisqu’uniquement les 15 premières équipes seront qualifiées.