Faire un tour du côté du Tour !

Il y a quelques jours nous découvrions le parcours du Tour de France 2021. Etapes, dates, villes, tout nous était révélé sur la 108ème édition de cet événement emblématique prévu du 26 juin au 18 juillet prochain. L’occasion pour AMOS de revenir sur l’édition 2020 avec Julie (AMOS Lyon) et Killian (AMOS Nantes) qui ont eu la chance d’y travailler ! Ils se sont d’ailleurs respectivement posé les questions de cette interview croisée !
Julie DUFOUR, AMOScienne lyonnaise en Master 1, conseillère de vente pour SPOREO, gestionnaire de toutes les boutiques officielles du Tour de France et Killian MORIN, AMOScien nantais en Master 2, chauffeur d’un véhicule de la marque XTRA sur la caravane, n’ont malheureusement pas eu l’occasion de se croiser sur le Tour de France 2020. Alors, quand ils ont appris qu’ils y avaient travaillé tous les deux, leur curiosité fût piquée. Ils se sont donc prêtés au jeu des questions et ont tous les deux souhaité connaître, entre autres, la journée type de l’autre.
« Réveil matinal, entre 5 et 7 heures en fonction de l’emplacement de l’hôtel et de la ville d’arrivée.
La première étape était de choisir un emplacement stratégique où monter la boutique afin de toucher le plus grand nombre de personnes. Une fois l’emplacement choisi il s’agissait de construire le stand boutique et de mettre en place les différentes gammes de produits : techniques et grand public. Ensuite venait la partie la plus intéressante), recevoir le public et le conseiller sur les produits. Puis, à la fin de la journée, on comptabilisait les ventes et on ajustait les stocks de chacune des boutiques. Enfin, nous nous mettions en route pour l’hôtel qui se trouvait en général à mi-chemin avec la prochaine étape. »
« En général, nous étions debout entre 5h30 et 6h30. Une fois prêts, nous prenions la direction du parking caravane qui était souvent à une heure de route. Sur place, il s’agissait de monter tous les décors et d’approvisionner tous les véhicules en goodies. Pour la marque Xtra, les goodies étaient forcément de la lessive mais aussi des marinières Xtra. Ensuite, en route pour l’étape qui pouvait durer entre 5 et 6 heures en fonction du nombre de kilomètres. Une fois l’étape terminée, rendez-vous sur le parking technique pour démonter les décors, laver les véhicules et direction l’hôtel ! »
L’étudiant nantais adore travailler sur le Tour et, même s’il n’exclut pas la possibilité de devenir responsable caravane un jour, il souhaite perdurer dans la mission de chauffeur de véhicule léger pour le moment. Il a voulu en savoir plus sur les missions de Julie :
« Les missions étaient denses ! De la planification des hôtels, afin d’optimiser le temps de déplacement entre chaque étape, à la mise en place des deux magasins officiels "Tour De France" et du marchandisage en passant par le service client B to C, la réalisation des fiches produits et évidemment, la logistique sur les événements. Je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer mais c’était passionnant et formateur ! ».
La crise sanitaire étant au cœur des préoccupations, Julie a souhaité savoir comment Killian avait vécu les nouvelles restrictions.
« C’est vrai qu’au tout début c’était un peu particulier. Le premier jour, nous sommes même restés 6h à attendre dans l’Acropolis sans savoir ce qu'il se passait vraiment. Les rumeurs allaient bon train et certains commençaient à dire que la caravane ne partirait pas. De plus, les touristes et visiteurs étaient interdits sur le parking de la caravane cette année, ce qui signifie moins de visibilité pour les marques partenaires de l’évènement. Il est certain que la puissance commerciale de la caravane a été impacté par ces circonstances sanitaires particulières mais, malgré tout, nous nous sommes serrés les coudes et l'ambiance entre caravaniers était d’autant plus joyeuse. »
Crise sanitaire ou pas, pour l’un comme pour l’autre cette expérience reste un souvenir inoubliable :
Julie : « C’était mon premier Tour de France et, pour être honnête, ma meilleure expérience dans le sport business à ce jour, malgré les circonstances loin d’être évidentes. J’espère renouveler l’expérience chez SPOREO l’année prochaine. »
Killian : « Pour ma part c’était mon troisième Tour de France en tant que chauffeur d’un véhicule léger et je crois que je ne me lasserai jamais de la sensation que provoque la descente des Champs-Elysées, avec vue sur l’Arc de Triomphe. On a l’impression d’être seul au monde. Travailler pour le Tour de France est une expérience tout simplement magique. »
Merci à Julie et Killian pour ce partage ! Les écoles AMOS ont à cœur de faire vivre de beaux moments de sport business à leurs étudiants pour enrichir les expériences professionnelles, mission accomplie pour ce Tour de France !
Merci également à Mathieu BAILLET et Thibault HOUOT, anciens étudiants AMOS Lyon et fondateurs de SPOREO, qui continuent de collaborer avec l’école et permettent à de nombreux étudiants de vivre l’expérience Tour de France.
A lire aussi : Ils ont déjà plus d’un « tour » dans leur sac.
Julie DUFOUR, AMOScienne lyonnaise en Master 1, conseillère de vente pour SPOREO, gestionnaire de toutes les boutiques officielles du Tour de France et Killian MORIN, AMOScien nantais en Master 2, chauffeur d’un véhicule de la marque XTRA sur la caravane, n’ont malheureusement pas eu l’occasion de se croiser sur le Tour de France 2020. Alors, quand ils ont appris qu’ils y avaient travaillé tous les deux, leur curiosité fût piquée. Ils se sont donc prêtés au jeu des questions et ont tous les deux souhaité connaître, entre autres, la journée type de l’autre.
La journée type de Julie :

« Réveil matinal, entre 5 et 7 heures en fonction de l’emplacement de l’hôtel et de la ville d’arrivée.
La première étape était de choisir un emplacement stratégique où monter la boutique afin de toucher le plus grand nombre de personnes. Une fois l’emplacement choisi il s’agissait de construire le stand boutique et de mettre en place les différentes gammes de produits : techniques et grand public. Ensuite venait la partie la plus intéressante), recevoir le public et le conseiller sur les produits. Puis, à la fin de la journée, on comptabilisait les ventes et on ajustait les stocks de chacune des boutiques. Enfin, nous nous mettions en route pour l’hôtel qui se trouvait en général à mi-chemin avec la prochaine étape. »
La journée type de Killian :

« En général, nous étions debout entre 5h30 et 6h30. Une fois prêts, nous prenions la direction du parking caravane qui était souvent à une heure de route. Sur place, il s’agissait de monter tous les décors et d’approvisionner tous les véhicules en goodies. Pour la marque Xtra, les goodies étaient forcément de la lessive mais aussi des marinières Xtra. Ensuite, en route pour l’étape qui pouvait durer entre 5 et 6 heures en fonction du nombre de kilomètres. Une fois l’étape terminée, rendez-vous sur le parking technique pour démonter les décors, laver les véhicules et direction l’hôtel ! »
L’étudiant nantais adore travailler sur le Tour et, même s’il n’exclut pas la possibilité de devenir responsable caravane un jour, il souhaite perdurer dans la mission de chauffeur de véhicule léger pour le moment. Il a voulu en savoir plus sur les missions de Julie :
« Les missions étaient denses ! De la planification des hôtels, afin d’optimiser le temps de déplacement entre chaque étape, à la mise en place des deux magasins officiels "Tour De France" et du marchandisage en passant par le service client B to C, la réalisation des fiches produits et évidemment, la logistique sur les événements. Je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer mais c’était passionnant et formateur ! ».
La crise sanitaire étant au cœur des préoccupations, Julie a souhaité savoir comment Killian avait vécu les nouvelles restrictions.
« C’est vrai qu’au tout début c’était un peu particulier. Le premier jour, nous sommes même restés 6h à attendre dans l’Acropolis sans savoir ce qu'il se passait vraiment. Les rumeurs allaient bon train et certains commençaient à dire que la caravane ne partirait pas. De plus, les touristes et visiteurs étaient interdits sur le parking de la caravane cette année, ce qui signifie moins de visibilité pour les marques partenaires de l’évènement. Il est certain que la puissance commerciale de la caravane a été impacté par ces circonstances sanitaires particulières mais, malgré tout, nous nous sommes serrés les coudes et l'ambiance entre caravaniers était d’autant plus joyeuse. »
Crise sanitaire ou pas, pour l’un comme pour l’autre cette expérience reste un souvenir inoubliable :
Julie : « C’était mon premier Tour de France et, pour être honnête, ma meilleure expérience dans le sport business à ce jour, malgré les circonstances loin d’être évidentes. J’espère renouveler l’expérience chez SPOREO l’année prochaine. »
Killian : « Pour ma part c’était mon troisième Tour de France en tant que chauffeur d’un véhicule léger et je crois que je ne me lasserai jamais de la sensation que provoque la descente des Champs-Elysées, avec vue sur l’Arc de Triomphe. On a l’impression d’être seul au monde. Travailler pour le Tour de France est une expérience tout simplement magique. »
Merci à Julie et Killian pour ce partage ! Les écoles AMOS ont à cœur de faire vivre de beaux moments de sport business à leurs étudiants pour enrichir les expériences professionnelles, mission accomplie pour ce Tour de France !
Merci également à Mathieu BAILLET et Thibault HOUOT, anciens étudiants AMOS Lyon et fondateurs de SPOREO, qui continuent de collaborer avec l’école et permettent à de nombreux étudiants de vivre l’expérience Tour de France.

A lire aussi : Ils ont déjà plus d’un « tour » dans leur sac.
Article rédigé par Candice Lachal, chargée de communication AMOS Nantes.
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28 Jul 2022
5ème édition - AMOS Women’s French Cup à Toulouse
Tournoi européen de football féminin
Dans quelques jours aura lieu, le coup d’envoi de la 5e édition de la AMOS Women’s French Cup, tournoi européen de football féminin. Après l’Angleterre, c’est à Ernest Wallon, que les internationales européennes poseront leurs bagages pour faire vibrer le public français.Un plateau d’exception
Devenu au fil des saisons un événement incontournable du football féminin, la AMOS Women’s French Cup promet pour cette 5e édition un rendez-vous sportif de haut niveau. Au lendemain de l’euro de football, c’est sur la pelouse du mythique Stade Ernest Wallon que le public français retrouvera le 16 et 19 août, quatre des plus prestigieuses équipes féminines européennes. Pour l'édition 2022, les joueuses du Bayern Munich, tenantes du titre seront au rendez-vous face aux équipes du Paris Saint-Germain, du FC Barcelone et de Manchester United. La compétition se déroulera en deux temps avec des phases de demi-finales le mardi 16 août puis de finales (petite et grande) le vendredi 19 août.
AMOS aux premières loges du tournoi
Cette année encore, les étudiants de l’école AMOS Sport Business School Toulouse seront aux premières loges de la AMOS WFC puisqu’ils apporteront leur aide dans l’organisation du tournoi et seront mobilisés en jour de match. La AMOS WFC est devenue pour eux, un excellent terrain de jeu et une occasion unique de vivre un évènement sportif de l’intérieur et d’en être acteur. A l’issue de la compétition, ce sera l’un des étudiants d’AMOS qui aura le privilège de remettre le trophée à l’équipe gagnante de l’édition 2022 !Au programme cette année
Envie d'assister l'évènement ? Accédez à la billetterie en cliquant ici.
- Mardi 16 août, 18h : demi-finale FC Barcelone x Bayern Munich parrainée par Sud de France
- Mardi 16 août, 21h : demi-finale PSG - Manchester United parrainée par Sud de France
- Vendredi 19 août, 18h : petite final, match pour la 3ème place
- Vendredi 19 août, 21h : finale
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AMOS aux premières loges du tournoi
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- Mardi 16 août, 18h : demi-finale FC Barcelone x Bayern Munich parrainée par Sud de France
- Mardi 16 août, 21h : demi-finale PSG - Manchester United parrainée par Sud de France
- Vendredi 19 août, 18h : petite final, match pour la 3ème place
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22 Jul 2022
Rencontre avec Gaëtan Thomas, skipper professionnel
Son parcours...
Gaëtan Thomas, originaire de Belgique, a toujours adoré l’aventure, le large et les défis. Il a goûté au large vers l’âge de 4-5 ans avec sa famille, frère et sœur en croisière habitable en Manche et Mer du Nord. D’abord avec un tout petit voilier, un Corsair de moins de 6m, et pour finir avec un 35 pieds... Il a commencé à découvrir le plaisir d’aller vite sur l’eau sur un Optimist en bois, en réglant les voiles, en jouant avec le vent et les vagues ! A force de persévérance, Gaëtan a fait son premier stage avec le centre d’entrainement « GoSailing » sur des Optimists de compétition. Il a apprécié cette découverte et en très peu de temps, il a été sélectionné dans l’équipe nationale belge. Il a ensuite régaté au niveau international jusqu’au championnat d’Europe aux îles Canaries. Dès sa majorité, il s’est embarqué comme bénévole au pair aux Glénan pour y apprendre le rôle de chef de bord. Gaëtan est parti, à vingt ans, vers l’Australie avec un ami pour y apprendre l’anglais et passer un diplôme international de skipper. Un voyage qui dura plus de deux ans.
Retour en Europe
De retour en Europe, il a commencé à travailler pour de grandes marques de voiliers, et fait un paquet de convoyage, changeant de bateau régulièrement, continuant à engranger de l’expérience. Quelques années plus tard, Gaëtan a pu réaliser sa première transat transatlantique directement en solitaire, suivie d’une deuxième et d’une troisième. Toutes au sextant, à l’ancienne (le GPS était là pour le rassurer...), c’était un défi personnel. « En 2016, après de longues sélections, j’ai été pris par la Clipper Round the World Yacht Race afin d’être le skipper de la Garmin Team pour un tour du monde en course. C’était une expérience riche en émotion, et une fierté d’accomplir la boucle complète avec la médaille de chocolat au final (4ème) ». Cette course lui a permis de rencontrer de belles personnes dont une qui l’a aidée à obtenir un emprunt financier pour son Class40. Gaëtan a pour objectif de faire le tour du monde par les 3 caps (Bonne Espérance, Leeuwin et Horn) sans escale et de tenter de battre le record du monde à bord de son Class40 « Be The Drop ». Ce tour du monde s’accompagne d’une démarche éco-responsable en encourageant les citoyens à manger sainement, réduire et recycler leurs déchets, diminuer leur empreinte numérique.
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Retour en Europe
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22 Jul 2022
Welcome to ISPO, GSBM Study Trip in Munich
Willkommen in Munchen
Once again, our GSBM students have hit the road. This time they did not have to cross the entire world, but only their own border to join our German neighbour in Munich, only a week after coming back from a month-long seminar in Seoul; Yes, this 1st year of Global Sport Business Master is an intensive one! Hence, what good reasons would send them to yet another country? Well, first, Germany has organised for the past few years Europe’s largest outdoor trade fair known as “Outdoor by ISPO”. This show which was held for the first time in Germany in 2019 welcomes a total of 300 exhibitors (85% of whom are international), and thousands of visitors from over 90 countries over 30 000 square meters. Secondly, the primary product sold by ISPO is its valuable connections. Indeed, throughout these 3 days, companies could discuss with potential buyers, extend their network with corporations established in foreign markets, create partnerships, and discover some of the new trends.
ISPO, the largest trade convention for sports business
But all these opportunities do not only appeal to professionals, Pierre-Yves - one of our GSBM students - tells us “It was a great experience, not only to discover the newest trends related to outdoor sports but also to expand our network. We had the chance to discuss with some highly ranked professionals, in charge of the European development of their brand, and this is exactly why students, like us, must come to ISPO”. ISPO has truly been a great experience for our students, but a few more surprises were awaiting them. Throughout their stay, they had the opportunity to visit the Olympic Park (built in 1972), the Allianz Arena (home of the Bayern Munich), and to cycle around Munich city centre.
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But all these opportunities do not only appeal to professionals, Pierre-Yves - one of our GSBM students - tells us “It was a great experience, not only to discover the newest trends related to outdoor sports but also to expand our network. We had the chance to discuss with some highly ranked professionals, in charge of the European development of their brand, and this is exactly why students, like us, must come to ISPO”. ISPO has truly been a great experience for our students, but a few more surprises were awaiting them. Throughout their stay, they had the opportunity to visit the Olympic Park (built in 1972), the Allianz Arena (home of the Bayern Munich), and to cycle around Munich city centre.