Focus Entrepreneuriat Energy Cycle Genlis, étudiant PGE AMOS Lyon

La passion de père en fils
A la fois étudiant et co-fondateur d’une entreprise, Mathias Schmitt a pour objectif d’aider le développement des transports "doux". Cet étudiant en Master 2 Programme Grande Ecole à AMOS Lyon spécialisation Business Developer & Entrepreneur a créé avec son père la marque Energy Cycle Genlis. Leur boutique ouvrira début juin dans la ville de Genlis, près de Dijon (21).
Se déplacer à vélo pour un monde meilleur
Energy Cycle Genlis est une marque spécialisée dans la vente de vélos traditionnels et électriques. Mathias et Eric Schmitt souhaitent développer la mobilité douce en France. Ils souhaitent se battre au quotidien pour un monde meilleur et plus égalitaire. Tous deux sont convaincus que le vélo prendra une place importante dans les transports de demain. En effet, la vente des vélos électriques est en forte augmentation depuis ces deux dernières années.

Comme le mentionne le slogan de la marque, cette entreprise est née de l’amour pour la nature des deux fondateurs. Mathis et Eric font du vélo depuis de nombreuses années et ont déjà participé à plusieurs triathlons ensemble. Passionnés par cette discipline, ils ont voulu réaliser leur rêve à deux dans le département de la Côte d’Or. C’est cette passion qui permet à l’entreprise de se démarquer de ces concurrents notamment grâce à un storytelling fort sur les réseaux sociaux.
« Développer un projet de mobilité douce afin de proposer des vélos électriques sur un territoire dans lequel je vis depuis plus de 10 ans a du sens. Au côté de mon père, cela ajoute une réelle plus-value et nous permet de créer des souvenirs incroyables. » Mathias Schmitt
Des compétences complémentaires
Mathias a gagné en compétences grâce à ses études et à ses différentes expériences professionnelles. Ancien collaborateur Decathlon, il a déjà travaillé dans la vente d’article de sport et connait très bien le secteur. Ses études à AMOS Lyon lui ont permis d’avoir de précieux conseils de la part des intervenants de l’école.
« AMOS me permet d’être accompagné par des professionnels, de faire mûrir mon projet et d’en tirer le meilleur. Les intervenants sont très à l’écoute, ils m’aident à prendre les bonnes décisions et à passer les étapes clés de mon projet. » Mathias Schmitt
Eric quant à lui est un ancien responsable de magasin spécialisé dans les pièces automobiles. Son expérience lui permet de connaitre le fonctionnement et la gestion d’une boutique.
De la boutique au parc d’attraction
L’objectif d’Energy Cycle Genlis a moyen terme est dans un premier temps de sécuriser et valider leur budget. Ainsi, Éric pourrait être intégré dans la masse salariale de l’entreprise à temps plein. Par la suite, Mathias Schmitt a pour projet de réaliser son rêve en créant un parc d’attraction : Babloland.
Toujours dans une démarche de respect de la biodiversité, ce parc regroupera des activités aquatiques, terrestres et aériennes sur un seul et même lieu, pour un tarif d'entrée unique. Energy Cycle Genlis servira de levier pour le projet Babloland grâce aux réinvestissements des bénéfices de la société. Suivez le projet Energy Cycle Genlis sur Facebook et Instagram.
Article rédigé par Candice Hablizig, étudiante en 4e année à AMOS Lyon

Plus d'actus :
24 Jun 2022
Témoignage Etudiant, Critérium du Dauphiné 2022
Rencontre avec notre étudiant Louis SORIA
Etudiant en 2ème année sur le campus AMOS Lyon, Louis a eu la chance de vivre l’une des courses mythiques de cyclisme en France durant toute la durée de l’événement grâce à Sporeo. Dans le cadre des expériences professionnelles proposées par AMOS, ce passionné de cyclisme a eu l’occasion de participer à toutes étapes du Critérium du Dauphiné 2022 via notre partenariat avec Sporeo créé en janvier 2019 par deux alumni, Mathieu Baillet et Thibaut Houot, diplômés en 2016-2017. La start-up accompagne et conseille les détenteurs de droits sur le merchandising et licensing, en apportant une expérience consommateur, fan, spectateur... novatrice et personnalisée, faisant vivre l’événement tout au long de l’année. Cette 74e édition accueillait donc 22 équipes pour s’affronter sur toute la Région Auvergne-Rhône-Alpes entre le 5 et le 12 juin dernier. Cette course est réputée pour proposer des étapes très montagneuses et être en quelques sortes une « répétition générale » à deux semaines et demie du départ du Tour de France.Sur quels types de missions étais-tu positionné durant le Critérium du Dauphiné ?
Cette mission était proposée par Sporeo sur toute la durée de la course. L’entreprise est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de produits dérivés sur les événements sportifs. Dans le monde du cyclisme, ils sont présents sur les principales courses en France : Tour de France, Critérium du Dauphiné, Paris-Nice, Paris-Roubaix, etc… mais également sur des courses à l’étranger comme le Deutschland Tour ou la Liège-Bastogne-Liège. Je travaillais donc comme vendeur pour la boutique officielle où nous vendions tous les produits brandés « Critérium du Dauphiné ». Il y avait donc tout ce qui était produits dérivés (décapsuleurs, porte-clefs, mugs, peluches, etc…), une gamme vêtements au nom de la course et made in France, une gamme Tour de France et enfin une gamme sportive Santini, qui est le distributeur des maillots de course distinctifs (à poids, jaune, blanc, etc …).
Comment se déroulait ta journée type ?
Tout d’abord, j’ai débuté cette expérience un jour avant le départ officiel de la course à La Voulte sur-Rhône en Ardèche. Cette journée a permis à l’équipe de se rencontrer et de se roder pour les 8 prochains jours. On m’a donc expliqué comment monter/démonter la boutique, l’organisation générale et j’ai dû également me familiariser avec tous les produits à vendre. En réalité, il y a deux boutiques à chaque étape : une au départ et une sur le village d’arrivée avec de nombreuses animations, foodtrucks, etc... J’étais donc placé sur l’arrivée lors des 3 premiers jours, puis au départ pour le reste de la course. A l’arrivée, le plus gros de la vente se fait entre 16h30 et 18h, une fois que les premiers coureurs terminent l’étape et sur le départ, nous vendions principalement entre 12h et 13h. Dans les villes et villages, c’était une clientèle assez variée entre locaux curieux et véritables connaisseurs.Quel a été ton meilleur souvenir sur la course ?
Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !
As-tu eu des moments plus compliqués sur la semaine ?
Le montage et démontage tous les jours devient fatigant vers la fin de l’événement, surtout lorsqu’on le fait sous la pluie ! Il ne faut pas craindre de se lever tôt également. C’est formateur pour découvrir les métiers liés à l’évènementiel sportif !Que retiendras-tu au final de cette belle expérience ?
C’est un événement vraiment chouette et il y a une ambiance géniale. On rencontre plein de personnes, plein de métiers différents. On ne s’ennuie jamais car on bouge tous les jours sur l’étape suivante. Je recommande vraiment cette expérience à tous les passionnés de cyclisme, et pas uniquement ! Un grand merci à toute l’équipe de Sporeo pour son accueil et leur transmission d’expériences tout au long de la semaine !24 Jun 2022
Témoignage Etudiant, Critérium du Dauphiné 2022
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Etudiant en 2ème année sur le campus AMOS Lyon, Louis a eu la chance de vivre l’une des courses mythiques de cyclisme en France durant toute la durée de l’événement grâce à Sporeo. Dans le cadre des expériences professionnelles proposées par AMOS, ce passionné de cyclisme a eu l’occasion de participer à toutes étapes du Critérium du Dauphiné 2022 via notre partenariat avec Sporeo créé en janvier 2019 par deux alumni, Mathieu Baillet et Thibaut Houot, diplômés en 2016-2017. La start-up accompagne et conseille les détenteurs de droits sur le merchandising et licensing, en apportant une expérience consommateur, fan, spectateur... novatrice et personnalisée, faisant vivre l’événement tout au long de l’année. Cette 74e édition accueillait donc 22 équipes pour s’affronter sur toute la Région Auvergne-Rhône-Alpes entre le 5 et le 12 juin dernier. Cette course est réputée pour proposer des étapes très montagneuses et être en quelques sortes une « répétition générale » à deux semaines et demie du départ du Tour de France.Sur quels types de missions étais-tu positionné durant le Critérium du Dauphiné ?
Cette mission était proposée par Sporeo sur toute la durée de la course. L’entreprise est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de produits dérivés sur les événements sportifs. Dans le monde du cyclisme, ils sont présents sur les principales courses en France : Tour de France, Critérium du Dauphiné, Paris-Nice, Paris-Roubaix, etc… mais également sur des courses à l’étranger comme le Deutschland Tour ou la Liège-Bastogne-Liège. Je travaillais donc comme vendeur pour la boutique officielle où nous vendions tous les produits brandés « Critérium du Dauphiné ». Il y avait donc tout ce qui était produits dérivés (décapsuleurs, porte-clefs, mugs, peluches, etc…), une gamme vêtements au nom de la course et made in France, une gamme Tour de France et enfin une gamme sportive Santini, qui est le distributeur des maillots de course distinctifs (à poids, jaune, blanc, etc …).
Comment se déroulait ta journée type ?
Tout d’abord, j’ai débuté cette expérience un jour avant le départ officiel de la course à La Voulte sur-Rhône en Ardèche. Cette journée a permis à l’équipe de se rencontrer et de se roder pour les 8 prochains jours. On m’a donc expliqué comment monter/démonter la boutique, l’organisation générale et j’ai dû également me familiariser avec tous les produits à vendre. En réalité, il y a deux boutiques à chaque étape : une au départ et une sur le village d’arrivée avec de nombreuses animations, foodtrucks, etc... J’étais donc placé sur l’arrivée lors des 3 premiers jours, puis au départ pour le reste de la course. A l’arrivée, le plus gros de la vente se fait entre 16h30 et 18h, une fois que les premiers coureurs terminent l’étape et sur le départ, nous vendions principalement entre 12h et 13h. Dans les villes et villages, c’était une clientèle assez variée entre locaux curieux et véritables connaisseurs.Quel a été ton meilleur souvenir sur la course ?
Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !
As-tu eu des moments plus compliqués sur la semaine ?
Le montage et démontage tous les jours devient fatigant vers la fin de l’événement, surtout lorsqu’on le fait sous la pluie ! Il ne faut pas craindre de se lever tôt également. C’est formateur pour découvrir les métiers liés à l’évènementiel sportif !Que retiendras-tu au final de cette belle expérience ?
C’est un événement vraiment chouette et il y a une ambiance géniale. On rencontre plein de personnes, plein de métiers différents. On ne s’ennuie jamais car on bouge tous les jours sur l’étape suivante. Je recommande vraiment cette expérience à tous les passionnés de cyclisme, et pas uniquement ! Un grand merci à toute l’équipe de Sporeo pour son accueil et leur transmission d’expériences tout au long de la semaine !22 Jun 2022
AMOS Sport Business School obtient le Label Génération 2024
AMOS Sport Business School inscrit son nom à la liste des établissements labellisés Génération 2024
Destiné aux écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur, le Label Génération 2024 est délivré par le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pour rappel, le Label Génération 2024 est pensé pour soutenir le développement de la pratique sportive dans l’enseignement supérieur et renforcer ses objectifs d’inclusion, de santé, de respect et d’engagement citoyen en partenariat avec le mouvement sportif et le Comité d’organisation des prochains Jeux Olympiques. AMOS Sport Business School soutient un peu plus les Jeux de Paris 2024 en inscrivant son nom à la liste des établissements labellisés « Génération 2024 ». Obtenu en janvier 2021, ce Label est la concrétisation d’un investissement pérenne du Groupe AMOS auprès des différents acteurs sportifs, publics et privés. L’objectif de ce Label est de valoriser les établissements qui souhaitent s’inscrire dans une exploitation durable et structurée autour de 3 critères principaux :1. Développer des projets structurants avec les clubs sportifs du territoire
Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).22 Jun 2022
AMOS Sport Business School obtient le Label Génération 2024
AMOS Sport Business School inscrit son nom à la liste des établissements labellisés Génération 2024
Destiné aux écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur, le Label Génération 2024 est délivré par le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pour rappel, le Label Génération 2024 est pensé pour soutenir le développement de la pratique sportive dans l’enseignement supérieur et renforcer ses objectifs d’inclusion, de santé, de respect et d’engagement citoyen en partenariat avec le mouvement sportif et le Comité d’organisation des prochains Jeux Olympiques. AMOS Sport Business School soutient un peu plus les Jeux de Paris 2024 en inscrivant son nom à la liste des établissements labellisés « Génération 2024 ». Obtenu en janvier 2021, ce Label est la concrétisation d’un investissement pérenne du Groupe AMOS auprès des différents acteurs sportifs, publics et privés. L’objectif de ce Label est de valoriser les établissements qui souhaitent s’inscrire dans une exploitation durable et structurée autour de 3 critères principaux :1. Développer des projets structurants avec les clubs sportifs du territoire
Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).02 Jun 2022
Rendez-vous métiers : agent sportif, Top Five Management
Rencontre avec Thibault Olliver, alumni de la promotion 2017
Une vie à deux cents à l’heure qui l’emmène aux quatre coins du monde aux côtés de joueuses de renommée mondiale comme Elina Svitolina ou Ons Jabeur. Découvrez le quotidien d’un ancien AMOScien qui vit aujourd’hui pleinement sa passion !Quelles sont tes missions et responsabilités au sein de l’agence ?
La première, c'est d’être agent sportif, je représente des joueurs de tennis qui sont sur le circuit ou en junior. La représentation d'athlètes, ce sont plusieurs axes. D'abord, c'est de les accompagner dans leur carrière, les aider à sélectionner un coach, à choisir le bon staff et les bons outils. Aujourd’hui avec le développement des analytics, cela va même à trouver les bons analystes data pour les aider à structurer leur staff et leur permettre de se focaliser sur une seule chose : leur performance sur le terrain, sans se soucier de tous les à-côtés. Au-delà de cet aspect sportif, notre service chez Top Five Management, couvre également tout un tas d'autres réalités qui sont liées aux joueurs. On gère tout ce qui est droits d'image, ce qui est essentiel dans le tennis puisque la différenciation entre le modèle d'un agent tennis et le modèle d'un agent football par exemple, c’est qu’il n'y a pas de contrat avec une structure, entre un employeur et un employé. Les joueurs sont absolument indépendants. En tant qu'agents sportifs dans le tennis, nous sommes rémunérés sur les contrats que nous apportons donc évidemment, le business model, c’est de réussir à créer des contrats de partenariat autour des athlètes et de trouver le meilleur « fit » avec la marque. Pour cela, il faut gérer tout au long de l'année l'image de l'athlète, sa communication. Pour réussir à avoir une image la plus attrayante possible pour de potentiels sponsors. Cela passe donc par la gestion des réseaux sociaux, des briefs media ou encore de la création d’associations ou de fondations.Quels athlètes représentes-tu chez Top Five Management ?
On représente aujourd'hui une quarantaine de clients, environ la moitié de notre roster est composée de joueurs professionnels, l'autre moitié est composée de juniors puisqu’il faut aussi assurer une transition. On fait beaucoup de travail de détection pour essayer de repérer les talents de demain. Les plus gros clients de l'agence sont Elina Svitolina, Ons Jabeur, Arthur Rinderknech, Katarina Siniakova ou encore Anastasia Pavlyuchenkova, qui était en finale ici à Roland l'année dernière.Peux-tu nous parler de la deuxième partie de tes missions ?
La deuxième partie, c'est responsable de la cellule événementielle de l'agence. On organise des événements à travers le monde, des tournois de tennis également. Je m'occupe de développer notre réseau d'événements, d'organiser les événements pour lesquels on a des droits et également de développer certains événements avec qui on a signé des partenariats. On travaille principalement sur les Petits AS, c'est une marque très reconnue en France mais aussi à l'international, c’est même le tournoi Junior le plus connu au monde, tout sport confondu. En termes d’évènementiel, pour nous, c'est comme un événement professionnel. Nos missions dessus sont diverses, c'est tout d’abord le développement commercial du tournoi, c'est à dire amener des partenaires et créer du contenu engageant pour les marques qui souhaitent s’associer au tournoi. On gère cette régie commerciale pour le tournoi à Tarbes qui a lieu chaque année et on a également la charge du développement international du tournoi, renforcer son exposition et sa résonnance sur les autres continents. Pour cela on a créé plusieurs tournois qualificatifs à travers le monde, qu'on a appelé les Play-offs. Ils ont lieu aux Etats-Unis, en Asie et à l'avenir, sur le continent africain, en Amérique du Sud et peut être au Moyen-Orient.Une journée type à Roland Garros ?
La journée type, elle n'existe pas à Roland-Garros ! Finalement, une journée à Roland c'est être au service de nos athlètes. Il y a énormément de choses à gérer dès la veille du départ, où il faut les accompagner sur toutes les interventions avec les media et les sponsors. Il faut s’assurer que toute la logistique est gérée. Dès qu’ils entrent sur le tableau, c'est la partie plus fun, on les accompagne sur les terrains, pour les encourager, leur montrer que la team est présente. Il y a aussi toute la gestion des invitations pour leurs proches et les sponsors, gérer tout ce qui est afférent aux contrats et aux obligations qu'ils ont aujourd'hui, c'est à dire s'occuper de mettre les patchs sur les maillots, s’assurer des posts sur les réseaux sociaux qui sont prévus durant la quinzaine ou encore organiser des réunions avec certains de leurs sponsors. Pour finir, on s’occupe également de la distribution de leurs produits, qu’ils arrivent au bon moment et bon endroit. Il y’a bien sûr plein d’autres missions et la quinzaine est faite d’imprévus mais pour résumer, c’est d'essayer de gérer au mieux leur planning pour que, encore une fois, la seule chose à laquelle ils pensent, c’est réserver un cours de practice avec leur coach, aller s'entraîner et jouer leurs matchs.J’imagine que tu voyages beaucoup, cette dimension internationale c’est quelque chose que tu cherchais ?
C’est un métier où je voyage beaucoup, certains des voyages sont prévus de longue date, notamment sur la partie événementielle, mais c'est aussi un métier où on voyage beaucoup en réaction. On a besoin d'accompagner nos athlètes dans les moments clés de leur carrière et sur leurs pics de performance. Par exemple, lorsque Ons Jabeur gagne Madrid, je prends l'avion le vendredi soir pour être présent sur la finale. Le samedi de la semaine suivante, elle est en demi-finale à Rome. Je prends l'avion le samedi matin et je fais la demi le samedi et la finale le dimanche avec elle pour l'accompagner dans ces moments. Je dirais que je passe un peu plus trois mois de l'année en déplacement et c'est quelque chose que je recherchais finalement. Déjà à l'époque, quand j'étais à l'école, c'était pour ça que j'avais choisi le cursus international et que j'avais choisi AMOS pour découvrir d’autres pays et pratiques, avec les différents séjours que j'ai pu faire à Valence ou à Chicago. Donc vraiment, cette notion internationale m'avait beaucoup attirée à l'époque et c'est quelque chose que j'ai toujours recherché. Evidemment, parfois ce n'est pas facile de devoir partir du jour au lendemain sur un déplacement qui n'est pas prévu. Mais ce sont aussi les sacrifices qu'on est prêts à faire pour travailler dans ce milieu et c'est ce qui nous anime au quotidien.Pour terminer, comment te sens tu dans ta vie professionnelle ?
Aujourd'hui, je suis complètement épanoui dans mon métier. J'ai toujours voulu être au plus près des acteurs du sport, complètement fasciné par le milieu du sport professionnel et du sport de haut niveau. Je suis heureux d’accompagner des sportifs de renommée internationale, de les aider dans la gestion de leur carrière, de leur image et dans la signature de partenariats mais encore plus dans leur développement personnel, parce qu'on les accompagne aussi sur beaucoup de choses qui concernent leur vie privée. C'est quelque chose qui me passionne ! Il faut être prêt à faire énormément de sacrifices parce qu’il n'y a pas d'horaires de bureau, il n'y a pas de week-end ou de jours fériés. C'est une vie à 200 à l'heure. Mais finalement, c'est la vie que je voulais mener et que j'espérais en entrant à AMOS !02 Jun 2022