Interview de Laura Flessel, Semaine du Sport Business au Féminin

A l’occasion de la journée internationale du sport au féminin, célébrée tous les 24 janvier, AMOS Business School s’engage dans le Sport Business au féminin. Coup de projecteur aujourd'hui sur Laura Flessel.
Dorée sur tous les terrains, Laura Flessel brille par son parcours hors du commun. Ancienne Sportive de Haut Niveau, gloire de l’escrime tricolore, elle est quintuple médaillée olympique et a été porte-drapeau lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012.
Un palmarès exceptionnel :
● 2 médailles d’or, 1 médaille d’argent et 2 médailles de bronze aux Jeux olympiques
● 6 médailles d’or, 3 médailles d’argent et 4 médailles de bronze aux Championnats du monde
● 1 médaille d’or et 5 médailles de bronze aux Championnats d’Europe
● 15 médailles d’or et 3 médailles d’argent aux Championnats de France
Mais Laura Flessel est aussi une femme engagée et dévouée à la promotion du Sport et de ses acteurs. Ministre des Sports de 2017 à 2018, c’est durant cette période que la journée du Sport au Féminin naît. En 2021, Laura Flessel rejoint le groupe ACE Education en co-fondant Sport Excellence Reconversion, première école 100% dédiée à la formation et à la reconversion des Sportifs de Haut Niveau. Répondant aux besoins et contraintes des Sportifs de Haut Niveau, l’école propose différents modules de formation en Sport Management, en Tourisme, Hôtellerie, Luxe, et en Design et Communication, en s’appuyant sur savoir-faire des autres écoles du groupe : notre école AMOS, ainsi que le CMH et l’ESDAC.
Championne sur tous les terrains, de Sportive de Haut Niveau à Entrepreneure dans le Sport Management, rencontre avec celle qui fait bouger le sport business au féminin.
En 2014, j’étais présidente du Comité éthique et valeurs du sport au Conseil national du sport et je faisais également partie du groupe « Droits des femmes » au Conseil supérieur de l’audiovisuel. Lors d’un débat particulièrement intéressant, avec Christine Kelly notamment, j’ai émis l’idée d’organiser une journée consacrée au sport au féminin. La journée « 24H du sport féminin » est née. Depuis, elle a pris de la hauteur, devenant « Les 4 saisons du sport féminin » en 2016 puis la « Journée internationale du sport féminin » aujourd’hui.
On peut donc dire que l’idée originelle a fait du chemin et je m’en félicite. Durant 24 heures au moins, les médias font un focus sur le sport au féminin en faisant preuve de créativité, d’originalité parfois. Cela permet au grand public de découvrir des athlètes, de mettre des noms sur des visages, de se rendre compte que l’implication est tout aussi importante pour les sportives, de partager toutes sortes d’histoires. Cette journée est bien entendu nécessaire et je pense même qu’elle devrait être multipliée autant que possible dans l’année, tant que nous les femmes n’auront pas obtenu la place qui nous revient dans la société.
De façon générale, dans le sport, les disparités sont encore trop importantes, même si certaines disciplines font des efforts, à l’image du tennis. À sueur égale, les femmes demandent une reconnaissance semblable, tout simplement !
Faire du sport, c’est essentiel pour avoir l’esprit clair… et développer le Sport Business !
Les Sportives de Haut Niveau sont une composante de la société et certaines ont le pouvoir, par leur notoriété, de faire entendre leur voix. Elles ne doivent jamais s’en priver, à condition de délivrer un message audible.
Le Sport Business est l'un des leviers qui peut leur permettre d’agir, non pas pour la seule gente féminine, mais pour la société toute entière.
Il serait effectivement terrible de voir des femmes à responsabilité œuvrer pour les seules femmes. Nous ne ferions que reproduire le modèle qui nous est imposé par une société patriarcale à tendance machiste depuis toujours.
Lorsqu’une femme accède à des responsabilités, dans le sport business ou ailleurs, il me semble que son intelligence et sa sensibilité la placent de facto au-dessus de tels comportements. Ça doit nous rendre fortes et fières !
J’espère que le sport féminin aura une place égale à celle accordée aux hommes. Logiquement, et pour rester dans la volonté d’exemplarité prônée par Tony Estanguet, ça doit passer par une parité dans les postes à responsabilité du Comité d’organisation Paris 2024. Pour commencer…
Pendant les JO, la question de la visibilité accordée au sport au féminin ne devrait même pas se poser. Depuis Coubertin et sa vision misogyne du sport féminin, les choses ont heureusement évolué. Mais il ne faut pas baisser la garde au prétexte qu’on accorde un peu plus de visibilité au sport féminin, notamment grâce à la journée internationale du sport féminin. Les femmes auront gagné leur combat lorsque cette journée n’aura plus lieu d’être. Je crois malheureusement qu’il faudra bien plus que deux ans pour y parvenir.
Merci Laura d’avoir introduit cette semaine du sport business au féminin de la meilleure des manières. Fièr.e.s de t’avoir à nos côtés pour participer à sa médiatisation ! Tout au long de la semaine, vous découvrirez différents portraits notamment celui d’Alix Duchet ou encore d'Aurélie Bresson. De nombreuses surprises vous attendent. L’avenir se dessine, c’est peut-être vous, qui, demain serez au cœur du Sport Business au féminin !
Dorée sur tous les terrains, Laura Flessel brille par son parcours hors du commun. Ancienne Sportive de Haut Niveau, gloire de l’escrime tricolore, elle est quintuple médaillée olympique et a été porte-drapeau lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012.
Un palmarès exceptionnel :
● 2 médailles d’or, 1 médaille d’argent et 2 médailles de bronze aux Jeux olympiques
● 6 médailles d’or, 3 médailles d’argent et 4 médailles de bronze aux Championnats du monde
● 1 médaille d’or et 5 médailles de bronze aux Championnats d’Europe
● 15 médailles d’or et 3 médailles d’argent aux Championnats de France
Mais Laura Flessel est aussi une femme engagée et dévouée à la promotion du Sport et de ses acteurs. Ministre des Sports de 2017 à 2018, c’est durant cette période que la journée du Sport au Féminin naît. En 2021, Laura Flessel rejoint le groupe ACE Education en co-fondant Sport Excellence Reconversion, première école 100% dédiée à la formation et à la reconversion des Sportifs de Haut Niveau. Répondant aux besoins et contraintes des Sportifs de Haut Niveau, l’école propose différents modules de formation en Sport Management, en Tourisme, Hôtellerie, Luxe, et en Design et Communication, en s’appuyant sur savoir-faire des autres écoles du groupe : notre école AMOS, ainsi que le CMH et l’ESDAC.
Championne sur tous les terrains, de Sportive de Haut Niveau à Entrepreneure dans le Sport Management, rencontre avec celle qui fait bouger le sport business au féminin.
7 ans plus tard, quel bilan faites-vous de cette journée internationale du Sport au Féminin ? Est-elle encore nécessaire ?
En 2014, j’étais présidente du Comité éthique et valeurs du sport au Conseil national du sport et je faisais également partie du groupe « Droits des femmes » au Conseil supérieur de l’audiovisuel. Lors d’un débat particulièrement intéressant, avec Christine Kelly notamment, j’ai émis l’idée d’organiser une journée consacrée au sport au féminin. La journée « 24H du sport féminin » est née. Depuis, elle a pris de la hauteur, devenant « Les 4 saisons du sport féminin » en 2016 puis la « Journée internationale du sport féminin » aujourd’hui.
On peut donc dire que l’idée originelle a fait du chemin et je m’en félicite. Durant 24 heures au moins, les médias font un focus sur le sport au féminin en faisant preuve de créativité, d’originalité parfois. Cela permet au grand public de découvrir des athlètes, de mettre des noms sur des visages, de se rendre compte que l’implication est tout aussi importante pour les sportives, de partager toutes sortes d’histoires. Cette journée est bien entendu nécessaire et je pense même qu’elle devrait être multipliée autant que possible dans l’année, tant que nous les femmes n’auront pas obtenu la place qui nous revient dans la société.
De façon générale, dans le sport, les disparités sont encore trop importantes, même si certaines disciplines font des efforts, à l’image du tennis. À sueur égale, les femmes demandent une reconnaissance semblable, tout simplement !
Faire du sport, c’est essentiel pour avoir l’esprit clair… et développer le Sport Business !
Les anciennes SHN ont-t-elles un rôle particulier à jouer dans le sport business ?
Les Sportives de Haut Niveau sont une composante de la société et certaines ont le pouvoir, par leur notoriété, de faire entendre leur voix. Elles ne doivent jamais s’en priver, à condition de délivrer un message audible.
Le Sport Business est l'un des leviers qui peut leur permettre d’agir, non pas pour la seule gente féminine, mais pour la société toute entière.
Il serait effectivement terrible de voir des femmes à responsabilité œuvrer pour les seules femmes. Nous ne ferions que reproduire le modèle qui nous est imposé par une société patriarcale à tendance machiste depuis toujours.
Lorsqu’une femme accède à des responsabilités, dans le sport business ou ailleurs, il me semble que son intelligence et sa sensibilité la placent de facto au-dessus de tels comportements. Ça doit nous rendre fortes et fières !
Quelle sera la place du Sport au Féminin pour Paris 2024 ? Pensez-vous que sa visibilité aura encore progressé d’ici là ?
J’espère que le sport féminin aura une place égale à celle accordée aux hommes. Logiquement, et pour rester dans la volonté d’exemplarité prônée par Tony Estanguet, ça doit passer par une parité dans les postes à responsabilité du Comité d’organisation Paris 2024. Pour commencer…
Pendant les JO, la question de la visibilité accordée au sport au féminin ne devrait même pas se poser. Depuis Coubertin et sa vision misogyne du sport féminin, les choses ont heureusement évolué. Mais il ne faut pas baisser la garde au prétexte qu’on accorde un peu plus de visibilité au sport féminin, notamment grâce à la journée internationale du sport féminin. Les femmes auront gagné leur combat lorsque cette journée n’aura plus lieu d’être. Je crois malheureusement qu’il faudra bien plus que deux ans pour y parvenir.
Merci Laura d’avoir introduit cette semaine du sport business au féminin de la meilleure des manières. Fièr.e.s de t’avoir à nos côtés pour participer à sa médiatisation ! Tout au long de la semaine, vous découvrirez différents portraits notamment celui d’Alix Duchet ou encore d'Aurélie Bresson. De nombreuses surprises vous attendent. L’avenir se dessine, c’est peut-être vous, qui, demain serez au cœur du Sport Business au féminin !
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11 May 2023
Interview Etudiant Romane, ESBS by AMOS à Madrid
Le temps d'un semestre à Madrid, Espagne...
Découvrez le témoignage de notre étudiante Romane Tiran, en deuxième année de Bachelor à AMOS Marseille, partie un semestre dans notre école ESBS by AMOS à Madrid.Pourquoi avoir choisi Madrid pour ton second semestre ?
J’ai choisi de rejoindre AMOS en septembre 2021 à la suite de la classe préparatoire hypokhâgne à Paris, afin de corréler passion et profession. J’ai toujours pratiqué beaucoup de sport : l’équitation en compétition en CSO (course de saut d'obstacles), du surf ou encore de la natation. J’ai choisi de réaliser mon expatriation à ESBS by AMOS Madrid plutôt que Londres, dans la mesure où l’espagnol est une langue que j’avais besoin de travailler contrairement à l’anglais, alors j’ai saisi cette opportunité !Comment s’est déroulé ton semestre dans la capitale espagnole ?
Je connaissais l’Espagne et plus particulièrement Barcelone, mais je n’étais jamais allée à Madrid. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette ville, tant pour son histoire, sa culture sportive, que sa langue, sa dolce vita et son ambiance tapas ! C’est une ville propre où il fait bon vivre, les Espagnols sont accueillants et la nourriture délicieuse. En tant que femme, il est important de noter que c’est très sécurisé et que l’on se sent constamment en confiance.
Quelles ont été les conditions d'admission pour rejoindre AMOS à Madrid ?
Il faut avoir au minimum un niveau d’anglais B2 (intermédiaire) puisque la totalité des cours sont dispensés en anglais, en classe entière (pas de classe par niveau). Pour être sélectionné, il faut aussi avoir un bon dossier de première année, les élèves avec les moyennes les plus hautes sont prioritaires sur les autres. Le niveau d’espagnol quant à lui n’est pas important dans la sélection puisque des cours d’espagnols sont dispensées sur le campus par petits groupes, allant de débutant à intermédiaire.Comment se déroule une journée sur le campus ?
Cela dépend des périodes. Pour les journées classiques, nous commençons à 8h et finissons environ vers 14h. Les intervenants sont des professionnels du Sport Business, nous devons ainsi nous adapter à leurs horaires. À ce titre, il arrive de commencer les cours à 16h et de finir à 20h. Il est important de noter que l’expatriation a aussi pour but de découvrir le pays dans lequel on se trouve, de visiter. Les emplois du temps sont donc parfaitement en adéquation avec la vie étudiante.Comment s’est passé ton intégration à Madrid et avec les étudiant.e.s des autres campus ?
L’administration du campus de Madrid est très à l’écoute des étudiants, ils sont disponibles et répondent à nos interrogations. Les étudiants AMOSciens viennent de divers campus en France. L’intégration se passe bien, il est programmé des travaux d’équipes lors de journée team building. Le campus est en plein centre, à proximité du Parque del Retiro où on peut passer du temps avec ses amis.
Sur quels événements as-tu pu participer ? Quelles étaient tes missions ?
J'ai intégré le campus l’année de son ouverture. Il n’y a pas d’événements sportifs obligatoires, cependant nous sommes invités à des événement sportifs prestigieux notamment l’Open Communidad de Madrid où j’ai eu l’opportunité de rencontrer l’équipe organisationnelle, les photographes, les joueurs et d’assister pendant une journée à la compétition. Il appartient ensuite à chacun de découvrir le sport à Madrid. Enfin, passionnée de Formule 1, j’ai assisté à la seule exposition d’Europe de F1 qui se trouve à Madrid. J’ai pris l’initiative de voir un match de football du Real de Madrid au stade Santiago-Bernabéu et de l’Atlético de Madrid où j’ai été très bien placée et pu serrer la main de joueurs qui passaient !
Qu’est-ce que tu as le plus aimé dans ton semestre ?
Grâce à ce semestre, j’ai eu l’opportunité de perfectionner mon espagnol. J’ai rencontré des personnes extraordinaires, des amis partageant le même attrait pour le sport que moi. Madrid est une ville formidable dans laquelle on s’y sent bien. Elle a une culture sportive, exceptionnelle. La vie y est abordable, on peut assister à de belles compétitions à des prix raisonnables, laissant de très beaux souvenirs !Le dernier mot t’appartient...
Si c’était à refaire, je ne changerais rien. Madrid a été un choix logique pour moi et une occasion rêvée. J’ai beaucoup appris sur moi et sur cette ville. Je sais que si un jour j’ai une opportunité professionnelle dans le sport d’y travailler, je la saisirais immédiatement. Merci à l’équipe ESBS by AMOS pour tout, un fuerte abrazo, gracias !
11 May 2023
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Découvrez le témoignage de notre étudiante Romane Tiran, en deuxième année de Bachelor à AMOS Marseille, partie un semestre dans notre école ESBS by AMOS à Madrid.Pourquoi avoir choisi Madrid pour ton second semestre ?
J’ai choisi de rejoindre AMOS en septembre 2021 à la suite de la classe préparatoire hypokhâgne à Paris, afin de corréler passion et profession. J’ai toujours pratiqué beaucoup de sport : l’équitation en compétition en CSO (course de saut d'obstacles), du surf ou encore de la natation. J’ai choisi de réaliser mon expatriation à ESBS by AMOS Madrid plutôt que Londres, dans la mesure où l’espagnol est une langue que j’avais besoin de travailler contrairement à l’anglais, alors j’ai saisi cette opportunité !Comment s’est déroulé ton semestre dans la capitale espagnole ?
Je connaissais l’Espagne et plus particulièrement Barcelone, mais je n’étais jamais allée à Madrid. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette ville, tant pour son histoire, sa culture sportive, que sa langue, sa dolce vita et son ambiance tapas ! C’est une ville propre où il fait bon vivre, les Espagnols sont accueillants et la nourriture délicieuse. En tant que femme, il est important de noter que c’est très sécurisé et que l’on se sent constamment en confiance.
Quelles ont été les conditions d'admission pour rejoindre AMOS à Madrid ?
Il faut avoir au minimum un niveau d’anglais B2 (intermédiaire) puisque la totalité des cours sont dispensés en anglais, en classe entière (pas de classe par niveau). Pour être sélectionné, il faut aussi avoir un bon dossier de première année, les élèves avec les moyennes les plus hautes sont prioritaires sur les autres. Le niveau d’espagnol quant à lui n’est pas important dans la sélection puisque des cours d’espagnols sont dispensées sur le campus par petits groupes, allant de débutant à intermédiaire.Comment se déroule une journée sur le campus ?
Cela dépend des périodes. Pour les journées classiques, nous commençons à 8h et finissons environ vers 14h. Les intervenants sont des professionnels du Sport Business, nous devons ainsi nous adapter à leurs horaires. À ce titre, il arrive de commencer les cours à 16h et de finir à 20h. Il est important de noter que l’expatriation a aussi pour but de découvrir le pays dans lequel on se trouve, de visiter. Les emplois du temps sont donc parfaitement en adéquation avec la vie étudiante.Comment s’est passé ton intégration à Madrid et avec les étudiant.e.s des autres campus ?
L’administration du campus de Madrid est très à l’écoute des étudiants, ils sont disponibles et répondent à nos interrogations. Les étudiants AMOSciens viennent de divers campus en France. L’intégration se passe bien, il est programmé des travaux d’équipes lors de journée team building. Le campus est en plein centre, à proximité du Parque del Retiro où on peut passer du temps avec ses amis.
Sur quels événements as-tu pu participer ? Quelles étaient tes missions ?
J'ai intégré le campus l’année de son ouverture. Il n’y a pas d’événements sportifs obligatoires, cependant nous sommes invités à des événement sportifs prestigieux notamment l’Open Communidad de Madrid où j’ai eu l’opportunité de rencontrer l’équipe organisationnelle, les photographes, les joueurs et d’assister pendant une journée à la compétition. Il appartient ensuite à chacun de découvrir le sport à Madrid. Enfin, passionnée de Formule 1, j’ai assisté à la seule exposition d’Europe de F1 qui se trouve à Madrid. J’ai pris l’initiative de voir un match de football du Real de Madrid au stade Santiago-Bernabéu et de l’Atlético de Madrid où j’ai été très bien placée et pu serrer la main de joueurs qui passaient !
Qu’est-ce que tu as le plus aimé dans ton semestre ?
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Si c’était à refaire, je ne changerais rien. Madrid a été un choix logique pour moi et une occasion rêvée. J’ai beaucoup appris sur moi et sur cette ville. Je sais que si un jour j’ai une opportunité professionnelle dans le sport d’y travailler, je la saisirais immédiatement. Merci à l’équipe ESBS by AMOS pour tout, un fuerte abrazo, gracias !
04 May 2023
Run For Trees : challenge sportif de développement durable
Tout au long du mois d’avril, les AMOSciens lillois ont relevé le défi Run For Trees...
Run For Trees est organisé par l'association Reforest'Action, une organisation à but non lucratif qui a pour but de restaurer les forêts dégradées et de promouvoir la biodiversité. Il s’agit d’un défi innovant qui combine la pratique de la course à pied à la protection de l'environnement. Le campus AMOS Lille s’est engagé avec l’association Reforest’Action à planter un arbre à chaque palier de 5 kilomètres franchi. L'objectif principal pour les étudiants était de parcourir 2024 kilomètres en référence aux Jeux Olympiques de Paris 2024.Déforestation : un enjeu global
La déforestation est un problème majeur dans notre monde actuel, ayant un impact considérable sur l'environnement et le changement climatique. Heureusement, il existe des initiatives comme Run For Trees qui visent à inverser cette tendance. En somme, ce défi a été créé pour sensibiliser à la déforestation, encourager la pratique de la course à pied et planter des arbres pour aider à reconstituer les écosystèmes dégradés. Plusieurs de nos étudiants, accompagnés de leur intervenant, l’éco-aventurier Nicolas Vandenelsken, ont organisé une journée de cohésion sportive autour du challenge afin de permettre à tous les étudiants d'y prendre part.
Au programme du Run For Trees
Un parcours de 5 km autour de la citadelle de Lille parsemé d’épreuves sportives ainsi que des ateliers de sensibilisation du développement durable mis en place par l’association Uni-Vert Sport. Après un mois de challenge, ce n’est pas moins de 2 200 kilomètres qui ont été parcourus ! L’objectif est donc atteint et permettra la plantation de 500 arbres.04 May 2023
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Immersion aux Spartiates de Marseille, hockey sur glace
Plus grande patinoire de France à Marseille
Marseille possède la plus grande patinoire de France où évoluent les Spartiates de Marseille au hockey sur glace en deuxième division. C’est aussi dans ce lieu qu’évolue trois anciens étudiants d’AMOS Marseille : Frédéric Casadepax, Baptiste Sanchez et Thomas Giraud. A eux trois, ils forment une Dream Team sur différents secteurs d’activité du club. Frédéric est en alternance en tant que responsable communication avec une appétence prononcée pour le graphisme. Baptiste est également en alternance, lui, en tant que responsable événementiel et marketing. Quant à Thomas, diplômé en 2021/22 est actuellement en CDI au poste de responsable billetterie et merchandising.
Trois profils, une ambition : celle de faire du hockey Marseille, le deuxième club de la ville !
Les ambitions du club sont à la hauteur des trois jeunes hommes. Passionnés et motivés, ils souhaitent faire vivre aux spectateurs et aux fans bien plus qu’un match de hockey. De nombreuses animations sont possibles lors d’une rencontre : karting sur glace, mascotte, patinage artistique, jeu du palais, restauration, merchandising... « Une folle expérience pleine de rebondissements qui nous prend aux tripes et nous fait vivre ! J’ai appris énormément grâce aux Spartiates et continuerai à apprendre grâce à eux. » Baptiste C’est aussi ça AMOS Marseille : des amitiés qui se créent à travers des métiers passion !
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