Interview étudiant Jérémie, alternant au Grenoble Foot 38

Est-ce que tu peux te présenter s’il te plaît ?
Hello, je m'appelle Jérémie Escallier, j’ai 22 ans et je suis en première année du Master of Business in Sport à AMOS Marseille en alternance au GF38 depuis l’année dernière. J'ai rejoint AMOS après une première année en école de journalisme au Canada. J’ai pu y découvrir de nombreux métiers dans le sport qui n'étaient pas connus du grand public et c'était ce que je voulais découvrir en rejoignant AMOS.
Je suis forcément passionné de sport mais plus particulièrement de cyclisme et de football. Grâce à AMOS, j'ai pu m'immiscer en profondeur dans l'univers du sport, jusqu'à en connaître son fonctionnement.
Comment as-tu rejoint le GF38 et pourquoi ce club ?
J'ai rejoint le Grenoble Foot 38 peu après le début de la saison 2021 / 2022. Après plusieurs expériences (stages, bénévolats...) dans le sport, je voulais intégrer une structure professionnelle sur du long terme afin d'obtenir une réelle expérience, concrète, pour me professionnaliser bien sûr mais également pour acquérir une certaine légitimité pour parler de sport et de Sport Business.
J'ai donc regardé toutes les offres disponibles et il y avait celle du GF38 qui correspondait parfaitement à ce que je recherchais. De plus, Grenoble est la capitale des Alpes, toute ma famille paternelle est originaire des montagnes donc c'était un beau clin d'œil pour eux et notamment pour mon grand-père.

Est-ce une fierté pour toi d’avoir rejoint un club professionnel ?
Bien sûr, c'est la consécration, surtout lorsque vous êtes en alternance. C'est très enrichissant parce que l'on découvre chaque jour ce qui se passe de l'autre côté des écrans, des stades, des clubs qui font vibrer des millions de supporters.
C'est toujours exceptionnel de pouvoir vivre un match de l'intérieur, de l'organiser, de travailler dans cet écosystème qui réunit beaucoup de monde. Et finalement, lorsque tu travailles aux côtés de Prime Vidéo, Bein Sport, la LFP, la FFF, les autres clubs, tu te retrouves à être submergé par tout ce que tu rêvais plus jeune.
Lorsque nous avons joué à Geoffroy Guichard (stade de Saint-Etienne) en championnat, c'était fou pour moi. Un club comme ça en France il n'y en a pas beaucoup donc pouvoir aller voir son équipe jouer là-bas, aller dans les vestiaires mythiques, c'était incroyable. De vrais souvenirs que je garderai toute ma vie.
Quel est ton poste et tes missions ?
Je suis Assistant Commercial et Relations Publiques ce qui signifie dans les grandes lignes que j'aide la partie commerciale, composée d'un directeur commercial et marketing et de deux commerciaux, sur la mise en place des partenariats, les activations et tout ce qui tourne autour.
C'est un poste assez stratégique car il permet de faire le lien entre le service commercial et tous les autres services du club comme la billetterie pour les places d'hospitalité, la communication pour du contenu sponsorisé ou encore l'événementiel pour des séminaires. De plus, j'ai d'autres missions où je suis en charge de la billetterie de groupe, c'est à dire des CSE et des étudiants notamment.
Dans une petite structure comme la nôtre, c'est important d'être polyvalent car la transversalité des missions est quotidienne. On peut aider à l'organisation d'événements (matchs, soirées partenaires, séminaires...), sur le merchandising, les matchs à l'extérieur s'il manque un intendant... On touche tous à beaucoup de sujets !

Pourquoi as-tu décidé de rester sur le campus d’AMOS Marseille en étant en alternance à Grenoble ?
Pour plusieurs raisons. Tout d'abord, la plus importante pour moi était l'attachement à la ville et la région. Originaire de Grasse dans les Alpes Maritimes, c'est assez compliqué pour moi de redescendre dans le sud le temps d'un week-end. Pourtant j'y ai toute ma famille, mes amis. Alors que depuis Marseille, c'est quand même plus simple. Donc lorsque nous ne jouons pas le week-end et lors de ma semaine d'école, je rentre facilement à Grasse.
Et puis, comme expliqué, il y a Marseille que j'aime beaucoup et avec qui maintenant, l'école est quasiment mon seul lien. Sans oublier bien sûr tous mes amis de l'école et l’équipe pédagogique qui sont notamment les raisons pour lesquelles c'est toujours un plaisir de venir à Marseille.
Qu’est-ce qu’une journée type le jour d’un match ?
C'est très varié. Il peut y avoir des matchs où je ne vais même pas pouvoir assister 5 minutes à la rencontre et d'autres où je suis quand même plus libre. Si l'on prend un match classique qui se joue le samedi soir à 19h :
Pour ce qui est la matinée, j'arrive au bureau entre 9h et 10h, je mets en place les visuels des espaces VIP, c'est-à-dire le nom de la personne ou de sa société. Je vérifie que nous respectons bien les clauses contractuelles avec nos partenaires (affichages LED, panneautiques en bord de terrain, écrans géants), pareil pour l'hospitalité et j'essaie d'organiser les différentes activations que nous pouvons avoir sur ce match-là.
L'après-midi ça devient un peu plus dense avec la mise en place des salons VIP. Je m'occupe principalement des salons sur une tribune qui contient les loges, notre salon entrée de gamme ainsi que les familles des joueurs. Cette mise en place demande beaucoup de temps car nous partageons notre stade avec le club de rugby, c'est donc une cogestion qui est très dynamique ce qui fait que nous ne pouvons pas laisser nos affaires d'un match à l'autre. Heureusement maintenant, nous sommes tous bien rodés et c'est très bien organisé. Au début, quand on ne connaît pas ce système, il faut s'accrocher sur pas mal de points...
Disons H-2, j'accueille les bénévoles et je les affecte à une mission pour la soirée, ça peut être de l'aide sur les points boutique, l'accueil des spectateurs ou encore l'espace famille. Je garde avec moi les trois ou quatre qui tiennent le point accueil information qui se situe juste derrière l'entrée principale du stade et qui permet d'informer les supporters sur leur placement, leurs offres étudiantes...
À H-1, c'est l'ouverture des portes au public alors je reste globalement sur les contrôles d'accès afin de veiller à ce que tout se passe bien. Je travaille avec le service sécurité du club+, notre prestataire sécurité.

Environ 10 minutes après le coup d'envoi, lorsque presque plus personne ne rentre dans l'enceinte, je me dirige vers les salons VIP pour voir si tout va bien et je fais un tour de presque tous les espaces.
À la mi-temps, nous avons une activation avec un partenaire sur le jeu de la barre donc j'aide mon ami du service événementiel à tout mettre en place avec le speaker notamment et les trois participants. Encore une fois, l'objectif est de veiller à son bon déroulement pour respecter nos engagements avec notre partenaire.
Pendant la seconde période, pareil, je retourne en salon histoire de voir si la mi-temps s'est bien passée du côté de nos zones d'hospitalité jusqu'à la fin du match.
Après le match, je rencontre les partenaires. C'est, surtout si l'on gagne, un moment de convivialité et de bonne humeur. Généralement les partenaires sont des gens qui aiment le sport, le football alors on discute du club, de la rencontre. C'est un bon moment que l'on passe tous ensemble et c'est très important pour nouer des liens. Tous les services du club se rejoignent pour décompresser un peu et évacuer toute la pression que l'on a pu accumuler lors de la journée.
Un match n'est jamais comme un autre et c'est pour cela que c'est très difficile de décrire une journée type car énormément de facteurs rentrent en compte. Je peux avoir plusieurs activations de sponsoring, un événement étudiant, plusieurs animations en même temps à superviser, une charge de travail différente selon l'affluence du jour... Et bien sûr, je peux avoir différentes problématiques qui relèvent du spontané et auxquelles il faut être très réactif !

Quelles sont tes perspectives pour les prochains mois avec le GF38 ?
C’est une chance déjà de pouvoir vivre une saison du début jusqu'à la fin. L'année dernière, je suis arrivé quelques mois après le début et ça joue quand même dans l'intégration et dans la compréhension de la vie du club. Cette saison tout se passe très bien, on a une belle équipe sur le terrain, on est plutôt dans le haut du classement, on pourrait presque s'autoriser à rêver de la Ligue 1 mais ce n'est pas l'objectif. On joue encore la Coupe de France (direction les ¼ de finale), avec la possibilité de recevoir une grosse équipe à la maison.
Le club est sur une vraie belle dynamique et sur une phase de changement d'envergure importante avec notamment le lancement des premières étapes de construction de notre nouveau centre de formation et d'entrainement.
J'ai la chance d'être dans un très beau club, fier de son territoire, qui œuvre pour celui-ci, avec une politique RSE forte qui me permet de m'enrichir professionnellement et personnellement.
Le dernier mot t’appartient...
Très heureux de pouvoir raconter un petit peu comment ça se passe. Le Grenoble Foot 38 est vraiment un beau club, il mérite d'être reconnu comme tel et je suis sûr que dans quelques années le club sera en ligue 1 avec de très beaux projets.
Et comme on aime le dire ici : ensemble gagnons les sommets !
Plus d'actus :
13 Mar 2023
Au cœur de la féminisation dans le sport, Mariane et Bouna Saar
Parce que le droit de la femme est une affaire de tous...
Que ce soit sur les terrains de sports ou du monde professionnel, avançons ensemble pour une équité. Les compétences s’acquièrent par la volonté, les sacrifices, le travail, l’humilité et non par le genre. Parce que ton avenir s’écrit maintenant pour le futur de demain. Fais de ta passion, ton métier. Pour toi, pour elles et pour les prochaines générations. Partez en immersion avec Mariane et Bouna Sarr : au cœur de la féminisation dans le Sport et le Sport Business.Mariane, peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bonjour, je m’appelle Mariane Sarr, j’ai 21 ans et je suis étudiante en première année de Mastère chez AMOS Sport Business School sur le campus de Marseille. Je suis originaire de Lyon, là où j’ai pu effectuer toute ma scolarité, notamment mes trois premières années au sein du campus d’AMOS Lyon. Je suis une grande passionnée de sport, et plus particulièrement de football que je pratique en club depuis 10 ans. J’ai commencé le foot chez les garçons, en étant la seule fille de l’équipe. Au départ, l’intégration était assez compliquée, mais avec du caractère et de la persévérance, j’ai su m’intégrer à ce milieu. Le fait d’avoir vécu cette expérience très jeune m’a permis d’arriver là où j’en suis aujourd’hui : défendre la place de la femme au sein du sport. J’ai toujours été animé par cette volonté d’évoluer dans le sport, au vu du programme proposé par l’école, j’ai donc choisi AMOS afin de découvrir le monde du sport business et lier mes deux passions. Jusqu’à aujourd’hui, j’ai eu différentes expériences professionnelles dans ce secteur, notamment un stage à l’Olympique Lyonnais en tant qu’assistante chef de projet événementiel ou encore mon poste actuel au sein du FC Rousset SVO. C’est donc depuis le mois d’août que je suis installée à Marseille afin de découvrir le terrain méditerranéen !
Que penses-tu de la place des femmes dans le Sport et le Sport Business ? Est-ce que tu vois une différence entre les deux ?
Selon moi, que ce soit dans le Sport ou dans le Sport Business, la place de la femme est encore sous-estimée de nos jours. On ne parle pas assez de ces femmes qui réussissent dans ces milieux, auxquelles nous pouvons nous identifier ! À l’échelle française, nous possédons de nombreuses figures, athlètes de haut niveau ou encore entrepreneuses, qui ont toujours été persévérantes et ont su réussir dans leur domaine. Malheureusement, leur place dans le Sport et le Sport Business a été difficilement obtenue et fait encore face aujourd’hui à de nombreuses inégalités !Quelles sont les valeurs que tu retrouves entre le Sport et le Sport Business ?
Il y a beaucoup de valeurs qui lient le Sport et le Sport Business. Cependant, pour moi, les principales restent le respect, qui concerne le respect des autres, des règles, mais aussi de soi-même ; l’égalité, c’est-à-dire la considération que l’on donne à tout type de personne, mais aussi l’égalité des chances ; la persévérance, savoir sortir de sa zone de confort et se dépasser afin d’atteindre ses objectifs ; enfin, le travail d’équipe, car dans ces deux domaines, nous sommes toujours amenés à collaborer avec des personnes, il est donc important d’avoir cet esprit d’équipe et de solidarité.Au sein d’AMOS Aix et Marseille, le rayonnement de toutes les étudiantes est un enjeu fort. De ton côté, comment le perçois-tu ?
Tout d’abord, c’est une réelle satisfaction de voir que nous sommes autant d’étudiantes sur le campus ! Je me souviens qu’en première année, nous n’étions que trois filles dans ma classe, aujourd’hui nous sommes bien plus nombreuses ! Le rayonnement des étudiantes est donc un réel enjeu car nous échangeons constamment sur nos différentes expériences. Plusieurs postes sont représentés par nos étudiantes, chargée de communication, cheffe de projet événementiel ou encore chargée de développement partenariat. De plus, nous avons la chance de toutes pouvoir évoluer au cœur de structures majeures au sein de la région telles que l’Olympique de Marseille et le Cercle des Nageurs ! Le retour d’expérience de chacune ainsi que le réseau que l’on peut s’apporter est un atout majeur pour les étudiantes des campus Aix et Marseille !
Quel conseil peux-tu donner à une future AMOScienne ou professionnelle du Sport Business ?
C’est peut-être une phrase clichée, mais je lui dirais de croire en ses rêves ! Il faut s’intéresser à tout ce qu’il se passe dans le Sport Business et également essayer de se construire un réseau dans le milieu. Il ne faut pas avoir peur d’exposer ses idées, de prendre la parole et enfin croire en sa légitimité ! Les mots d’une femme sont tout aussi importants que ceux d’un homme, il faut donc garder foi en soi.Tu joues et tu es en alternance au club de Rousset : est-ce une force ? Est-ce que tu as pu mettre en place des choses concernant la féminisation du foot ?
Je suis très heureuse d’avoir cette double casquette au sein du club, à la fois joueuse, mais aussi salarié. Depuis le début de la saison, je me sens très épanouie au sein de mes fonctions. J’ai été chaleureusement accueillie par l’ensemble des membres du club qui m’ont tout de suite accordé leur confiance. C’est pour moi une force de tenir un double rôle car je me sens encore plus près du club, ce qui renforce le sentiment d’appartenance ! Nous avons pu mettre en place de nombreux projets, sur différentes thématiques très intéressantes. Le sujet de la féminisation du football me tient particulièrement à cœur, je suis donc ravie de participer aux différents projets d’actions mis en place. Cette année, nous avons la chance d’avoir élargi nos partenariats avec de nombreuses actrices de la région ! De plus, nous travaillons plus particulièrement avec l’une d’entre elles qui s’est exclusivement positionnée sur nos équipes U18F. L’objectif est vraiment de mêler le côté femme et football à travers ce projet, qui sortira dans les semaines à venir !
Tu travailles actuellement sur le projet des olympiennes avec AMOS Marseille et l’OM. Est-ce une fierté pour toi ? Et si oui, pourquoi ? Est-ce que tu aimerais rejoindre l’OM féminin pour participer à son développement ?
C’est un réel plaisir pour moi de participer à ce projet, car je mêle ma passion pour le football, mais aussi ma volonté de contribuer au développement du sport féminin. L’OM est un très grand club, c’est donc une fierté de pouvoir collaborer avec eux. Nous avons des idées pour ce projet et avançons bien sur nos objectifs. Je suis très investie sur son aboutissement étant donné que c’est un sujet qui me parle et qui m’inspire. De plus, Sarah Boudaoud et Alban Sanchez sont très à l’écoute, c’est très plaisant et constructif de pouvoir collaborer avec eux. Rejoindre leurs rangs serait une réelle fierté ! Participer au développement d’une structure telle que l’OM féminin s’inscrirait dans la continuité de mes projets professionnels et personnels !Un dernier mot pour finir ?
Merci à Marion Deborde et AMOS Marseille de m’avoir donné l’opportunité de m’exprimer sur ce sujet de la place de la femme dans le Sport et le Sport Business. Vous l’aurez compris, il s’agit d’un sujet qui me tient énormément à cœur. J’espère pouvoir pleinement contribuer à son développement dans les années à venir à travers mes différents projets ! Parce que la féminisation du Sport et du Sport Business est l’affaire de tous, nous ne pouvions manquer l’occasion de donner la parole à un homme, qui, au quotidien mêle passion et métier : Bouna Sarr. Grand frère de Mariane, il a accepté de se livrer sur sa vision du sport et plus particulièrement du foot féminin.Bouna, peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bonjour, je m’appelle Bouna Sarr, j’ai 31 ans et je suis originaire de la ville de Lyon. J’évolue en Allemagne, au Bayern de Munich, pour ma 3ème saison au poste d’arrière droit. J’évolue également au sein de l’équipe nationale du Sénégal. Grand frère de Mariane, la petite dernière de notre fratrie ! C’est un plaisir de participer à cet article.Le foot féminin prend de plus en plus d’importance, notamment en Allemagne avec le Bayern Munich. Le match contre le PSG en Ligue des champions l’année dernière en est un bel exemple (13 000 spectateurs présents). Qu'en penses-tu ?
Effectivement, le football féminin se développe de plus en plus depuis les dernières années. J’ai pu le constater en Allemagne avec l’équipe féminine du Bayern. Le foot étant un sport très populaire ici, ça génère beaucoup d’engouement même autour des filles. Il y a de plus en plus de monde qui va au stade, notamment grâce à des championnats attractifs qui intéressent le public. Le football féminin se démocratise et s’améliore, ce qui est une bonne chose pour les femmes et pour le sport en général.
Est-ce que tu penses important que des sportifs défendent les sportives ?
C’est important oui, car selon moi, si les sportifs masculins peuvent apporter leur pierre à l’édifice au développement du sport féminin, ça ne pourra que leur être bénéfique. Il y a de plus en plus de femmes qui sont primées, mises en avant avec les récompenses individuelles dans leur sport. C’est une bonne chose pour elles que nous puissions les féliciter et ainsi les mettre en avant aux yeux de tous. Toute cette contribution est favorable à l’accroissement des emplois, des licences et le nombre de personne susceptible de s’identifier à elles. C’est toujours beau à voir qu’au fil des années le statut des sportives se développe à travers les différentes disciplines. Je pense que tout le monde serait d’accord pour soutenir le développement des disciplines féminines et que les sportives soient ainsi considérées à leur juste valeur.Un petit mot pour ta sœur ?
Ma petite sœur adorée ! Nous sommes tout simplement fiers d’elle, que ce soit mes parents, nos grandes sœurs et moi-même, de voir qu’elle arrive à allier le sport et les études. Ce n’est pas toujours évident, mais on voit que la passion qui l’anime pour ces deux domaines la pousse à ne jamais rien lâcher. Ça me fait énormément plaisir de voir qu’elle s’épanouit au quotidien ! Je lui souhaite tout simplement de continuer, d’être heureuse dans ce qu’elle fait et d’aller au bout de ses objectifs. Malheureusement, je n’ai pas énormément de temps pour aller la voir jouer, mais je vois à travers ses retours et les réseaux sociaux qu’elle prend énormément de plaisir à jouer et travailler dans le monde du football. Elle a tout mon soutien dans ce qu’elle souhaite entreprendre et je continuerais à la suivre au quotidien, comme depuis toujours !13 Mar 2023
Au cœur de la féminisation dans le sport, Mariane et Bouna Saar
Parce que le droit de la femme est une affaire de tous...
Que ce soit sur les terrains de sports ou du monde professionnel, avançons ensemble pour une équité. Les compétences s’acquièrent par la volonté, les sacrifices, le travail, l’humilité et non par le genre. Parce que ton avenir s’écrit maintenant pour le futur de demain. Fais de ta passion, ton métier. Pour toi, pour elles et pour les prochaines générations. Partez en immersion avec Mariane et Bouna Sarr : au cœur de la féminisation dans le Sport et le Sport Business.Mariane, peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bonjour, je m’appelle Mariane Sarr, j’ai 21 ans et je suis étudiante en première année de Mastère chez AMOS Sport Business School sur le campus de Marseille. Je suis originaire de Lyon, là où j’ai pu effectuer toute ma scolarité, notamment mes trois premières années au sein du campus d’AMOS Lyon. Je suis une grande passionnée de sport, et plus particulièrement de football que je pratique en club depuis 10 ans. J’ai commencé le foot chez les garçons, en étant la seule fille de l’équipe. Au départ, l’intégration était assez compliquée, mais avec du caractère et de la persévérance, j’ai su m’intégrer à ce milieu. Le fait d’avoir vécu cette expérience très jeune m’a permis d’arriver là où j’en suis aujourd’hui : défendre la place de la femme au sein du sport. J’ai toujours été animé par cette volonté d’évoluer dans le sport, au vu du programme proposé par l’école, j’ai donc choisi AMOS afin de découvrir le monde du sport business et lier mes deux passions. Jusqu’à aujourd’hui, j’ai eu différentes expériences professionnelles dans ce secteur, notamment un stage à l’Olympique Lyonnais en tant qu’assistante chef de projet événementiel ou encore mon poste actuel au sein du FC Rousset SVO. C’est donc depuis le mois d’août que je suis installée à Marseille afin de découvrir le terrain méditerranéen !
Que penses-tu de la place des femmes dans le Sport et le Sport Business ? Est-ce que tu vois une différence entre les deux ?
Selon moi, que ce soit dans le Sport ou dans le Sport Business, la place de la femme est encore sous-estimée de nos jours. On ne parle pas assez de ces femmes qui réussissent dans ces milieux, auxquelles nous pouvons nous identifier ! À l’échelle française, nous possédons de nombreuses figures, athlètes de haut niveau ou encore entrepreneuses, qui ont toujours été persévérantes et ont su réussir dans leur domaine. Malheureusement, leur place dans le Sport et le Sport Business a été difficilement obtenue et fait encore face aujourd’hui à de nombreuses inégalités !Quelles sont les valeurs que tu retrouves entre le Sport et le Sport Business ?
Il y a beaucoup de valeurs qui lient le Sport et le Sport Business. Cependant, pour moi, les principales restent le respect, qui concerne le respect des autres, des règles, mais aussi de soi-même ; l’égalité, c’est-à-dire la considération que l’on donne à tout type de personne, mais aussi l’égalité des chances ; la persévérance, savoir sortir de sa zone de confort et se dépasser afin d’atteindre ses objectifs ; enfin, le travail d’équipe, car dans ces deux domaines, nous sommes toujours amenés à collaborer avec des personnes, il est donc important d’avoir cet esprit d’équipe et de solidarité.Au sein d’AMOS Aix et Marseille, le rayonnement de toutes les étudiantes est un enjeu fort. De ton côté, comment le perçois-tu ?
Tout d’abord, c’est une réelle satisfaction de voir que nous sommes autant d’étudiantes sur le campus ! Je me souviens qu’en première année, nous n’étions que trois filles dans ma classe, aujourd’hui nous sommes bien plus nombreuses ! Le rayonnement des étudiantes est donc un réel enjeu car nous échangeons constamment sur nos différentes expériences. Plusieurs postes sont représentés par nos étudiantes, chargée de communication, cheffe de projet événementiel ou encore chargée de développement partenariat. De plus, nous avons la chance de toutes pouvoir évoluer au cœur de structures majeures au sein de la région telles que l’Olympique de Marseille et le Cercle des Nageurs ! Le retour d’expérience de chacune ainsi que le réseau que l’on peut s’apporter est un atout majeur pour les étudiantes des campus Aix et Marseille !
Quel conseil peux-tu donner à une future AMOScienne ou professionnelle du Sport Business ?
C’est peut-être une phrase clichée, mais je lui dirais de croire en ses rêves ! Il faut s’intéresser à tout ce qu’il se passe dans le Sport Business et également essayer de se construire un réseau dans le milieu. Il ne faut pas avoir peur d’exposer ses idées, de prendre la parole et enfin croire en sa légitimité ! Les mots d’une femme sont tout aussi importants que ceux d’un homme, il faut donc garder foi en soi.Tu joues et tu es en alternance au club de Rousset : est-ce une force ? Est-ce que tu as pu mettre en place des choses concernant la féminisation du foot ?
Je suis très heureuse d’avoir cette double casquette au sein du club, à la fois joueuse, mais aussi salarié. Depuis le début de la saison, je me sens très épanouie au sein de mes fonctions. J’ai été chaleureusement accueillie par l’ensemble des membres du club qui m’ont tout de suite accordé leur confiance. C’est pour moi une force de tenir un double rôle car je me sens encore plus près du club, ce qui renforce le sentiment d’appartenance ! Nous avons pu mettre en place de nombreux projets, sur différentes thématiques très intéressantes. Le sujet de la féminisation du football me tient particulièrement à cœur, je suis donc ravie de participer aux différents projets d’actions mis en place. Cette année, nous avons la chance d’avoir élargi nos partenariats avec de nombreuses actrices de la région ! De plus, nous travaillons plus particulièrement avec l’une d’entre elles qui s’est exclusivement positionnée sur nos équipes U18F. L’objectif est vraiment de mêler le côté femme et football à travers ce projet, qui sortira dans les semaines à venir !
Tu travailles actuellement sur le projet des olympiennes avec AMOS Marseille et l’OM. Est-ce une fierté pour toi ? Et si oui, pourquoi ? Est-ce que tu aimerais rejoindre l’OM féminin pour participer à son développement ?
C’est un réel plaisir pour moi de participer à ce projet, car je mêle ma passion pour le football, mais aussi ma volonté de contribuer au développement du sport féminin. L’OM est un très grand club, c’est donc une fierté de pouvoir collaborer avec eux. Nous avons des idées pour ce projet et avançons bien sur nos objectifs. Je suis très investie sur son aboutissement étant donné que c’est un sujet qui me parle et qui m’inspire. De plus, Sarah Boudaoud et Alban Sanchez sont très à l’écoute, c’est très plaisant et constructif de pouvoir collaborer avec eux. Rejoindre leurs rangs serait une réelle fierté ! Participer au développement d’une structure telle que l’OM féminin s’inscrirait dans la continuité de mes projets professionnels et personnels !Un dernier mot pour finir ?
Merci à Marion Deborde et AMOS Marseille de m’avoir donné l’opportunité de m’exprimer sur ce sujet de la place de la femme dans le Sport et le Sport Business. Vous l’aurez compris, il s’agit d’un sujet qui me tient énormément à cœur. J’espère pouvoir pleinement contribuer à son développement dans les années à venir à travers mes différents projets ! Parce que la féminisation du Sport et du Sport Business est l’affaire de tous, nous ne pouvions manquer l’occasion de donner la parole à un homme, qui, au quotidien mêle passion et métier : Bouna Sarr. Grand frère de Mariane, il a accepté de se livrer sur sa vision du sport et plus particulièrement du foot féminin.Bouna, peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bonjour, je m’appelle Bouna Sarr, j’ai 31 ans et je suis originaire de la ville de Lyon. J’évolue en Allemagne, au Bayern de Munich, pour ma 3ème saison au poste d’arrière droit. J’évolue également au sein de l’équipe nationale du Sénégal. Grand frère de Mariane, la petite dernière de notre fratrie ! C’est un plaisir de participer à cet article.Le foot féminin prend de plus en plus d’importance, notamment en Allemagne avec le Bayern Munich. Le match contre le PSG en Ligue des champions l’année dernière en est un bel exemple (13 000 spectateurs présents). Qu'en penses-tu ?
Effectivement, le football féminin se développe de plus en plus depuis les dernières années. J’ai pu le constater en Allemagne avec l’équipe féminine du Bayern. Le foot étant un sport très populaire ici, ça génère beaucoup d’engouement même autour des filles. Il y a de plus en plus de monde qui va au stade, notamment grâce à des championnats attractifs qui intéressent le public. Le football féminin se démocratise et s’améliore, ce qui est une bonne chose pour les femmes et pour le sport en général.
Est-ce que tu penses important que des sportifs défendent les sportives ?
C’est important oui, car selon moi, si les sportifs masculins peuvent apporter leur pierre à l’édifice au développement du sport féminin, ça ne pourra que leur être bénéfique. Il y a de plus en plus de femmes qui sont primées, mises en avant avec les récompenses individuelles dans leur sport. C’est une bonne chose pour elles que nous puissions les féliciter et ainsi les mettre en avant aux yeux de tous. Toute cette contribution est favorable à l’accroissement des emplois, des licences et le nombre de personne susceptible de s’identifier à elles. C’est toujours beau à voir qu’au fil des années le statut des sportives se développe à travers les différentes disciplines. Je pense que tout le monde serait d’accord pour soutenir le développement des disciplines féminines et que les sportives soient ainsi considérées à leur juste valeur.Un petit mot pour ta sœur ?
Ma petite sœur adorée ! Nous sommes tout simplement fiers d’elle, que ce soit mes parents, nos grandes sœurs et moi-même, de voir qu’elle arrive à allier le sport et les études. Ce n’est pas toujours évident, mais on voit que la passion qui l’anime pour ces deux domaines la pousse à ne jamais rien lâcher. Ça me fait énormément plaisir de voir qu’elle s’épanouit au quotidien ! Je lui souhaite tout simplement de continuer, d’être heureuse dans ce qu’elle fait et d’aller au bout de ses objectifs. Malheureusement, je n’ai pas énormément de temps pour aller la voir jouer, mais je vois à travers ses retours et les réseaux sociaux qu’elle prend énormément de plaisir à jouer et travailler dans le monde du football. Elle a tout mon soutien dans ce qu’elle souhaite entreprendre et je continuerais à la suivre au quotidien, comme depuis toujours !23 Feb 2023
Au cœur du premier cours mutualisé délocalisé, BPMED
Impacts et héritages des Jeux de Paris 2024 sur notre territoire
C’est au cœur du siège de la Banque Populaire Méditerranée à Marseille que s’est tenu le premier cours délocalisé mutualisé auprès des étudiant.e.s AMOS Aix et Marseille. A cette occasion, nos étudiants de troisième et quatrième année ont bénéficié d’une synergie rare sur des thématiques ô combien importantes. Le premier module était axé sur les jeux de Paris 2024 avec comme intervenante Aurélie Di Napoli (en charge des partenariats et mécénats sportifs pour la Banque Populaire méditerranée). Le second module, lui, était articlé sur les enjeux de la RSE et de développement durable avec Alexis Gallice (président de Cialfi et également intervenant sur de nombreux campus AMOS).


23 Feb 2023
Au cœur du premier cours mutualisé délocalisé, BPMED
Impacts et héritages des Jeux de Paris 2024 sur notre territoire
C’est au cœur du siège de la Banque Populaire Méditerranée à Marseille que s’est tenu le premier cours délocalisé mutualisé auprès des étudiant.e.s AMOS Aix et Marseille. A cette occasion, nos étudiants de troisième et quatrième année ont bénéficié d’une synergie rare sur des thématiques ô combien importantes. Le premier module était axé sur les jeux de Paris 2024 avec comme intervenante Aurélie Di Napoli (en charge des partenariats et mécénats sportifs pour la Banque Populaire méditerranée). Le second module, lui, était articlé sur les enjeux de la RSE et de développement durable avec Alexis Gallice (président de Cialfi et également intervenant sur de nombreux campus AMOS).


23 Feb 2023
5 raisons d'étudier le Sport Management à Aix et Marseille
L'orientation, un enjeu majeur pour les étudiants
L’orientation est toujours un moment délicat... De la fin du lycée à une réorientation ou une spécialisation, c’est un enjeu majeur pour de nombreux étudiant.e.s. Dans cet article, découvrez 5 raisons d'intégrer AMOS Sport Business School à Aix ou Marseille : la professionnalisation, le réseau, la pédagogie, l’international et le bien-être des étudiants.La professionnalisation chez AMOS
La professionnalisation, c’est avant tout l’employabilité des étudiant.e.s à des moments clés. C’est permettre à chacun une montée en compétences à travers des missions sur le terrain. Tout au long de leur cursus, de la première à la cinquième année, les étudiant.e.s sont mis en situation à travers des stages, des alternances et des expériences pédagogiques. Pour vous donner un exemple, en première année, tous les étudiants doivent réaliser deux stages obligatoires d’une durée de deux mois chacun. Le premier dans la grande distribution (Nike, Adidas, Décathlon…) et le second dans le secteur d’activité de leur choix hors grande distribution (communication, événementiel, data, marketing...). L’alternance, elle, est possible à partir de la troisième année et obligatoire en 4ème et 5ème année pour tendre de plus en plus à l’employabilité des AMOScien.ne.s. Enfin, les expériences pédagogiques sont des immersions au sein d’événements, structures sportives pour permettre aux étudiants de découvrir l’envers du décor, l’organisation et la gestion. Cette année, plusieurs expériences ont vu le jour au circuit Paul Ricard, à l’Olympique de Marseille, à Provence Rugby, à l’Orange Vélodrome Trail, dans le secteur de l’E-Sport et tant d’autres ! Si être au cœur de grands rendez-vous est une chance, c’est aussi et surtout une occasion à saisir car le réseau régional AMOS est une véritable force.Le réseau AMOS
Notre réseau, ce sont toutes les personnes qui gravitent autour de l’école pour la sublimer : étudiants, intervenants, employés, structures qui recrutent nos étudiant.e.s, alumnis (diplômés AMOS).
La pédagogie by AMOS
Notre pédagogie repose sur l’interaction et la mise en situation de cas pratiques afin de susciter l’émulation collective par le savoir-faire. Les cours sont dispensés par des intervenants spécialistes du Sport Business, issus de clubs sportifs comme Kévin Gorit (Digital Activation Manager à l’Olympique de Marseille), d'entreprises comme Claire Jacquet (Responsable Département Logistique à Décathlon) ou des auto-entrepreneurs comme Pierre Sarfaty (anciennement Food and Beverage Manager pour Lagardère) ou Fanny Lacroix (fondatrice de Lacroix Sport). Cette pédagogie est au cœur des formations AMOS en Sport Management afin d’intégrer les étudiants au plus proche des acteurs de notre territoire. L’occasion aussi de réaliser des cours délocalisés dans ses structures pour découvrir les enjeux du terrain.
L’international chez AMOS
Nous proposons aux étudiants la possibilité de se former en Sport Business dans un autre pays que la France et partir à la découverte d'une nouvelle langue et culture. De multiples possibilités s’offrent aux AMOScien.ne.s à travers 3 campus à l'étranger (Londres, Madrid, Valence) et 41 universités partenaires présentent un peu partout dans le monde. Pour en savoir plus sur l'une de ces destinations, partez à la rencontre d’Amélia Baouz et Mathilde Martinez en programme international à Valence. En deuxième année du cursus Bachelor chez AMOS, une expérience à l'international est obligatoire le temps d'un semestre. Les étudiant.e.s peuvent choisir entre les campus AMOS Londres ou Madrid. Au-delà du cursus scolaire, le voyage, la découverte, l'ouverture vers de nos nouveaux horizons, participent à l’engagement et à l'épanouissement de nos étudiant.e.s.Le bien-être des étudiants
Le bien-être de nos étudiants passe par la satisfaction de ces derniers à apprécier l’environnement dans lequel ils travaillent. Notre volonté à Aix et Marseille est aussi de les faire rayonner à travers leur parcours étudiant : stage, alternance, performance sportive, entreprenariat... leur permettre de s’exprimer sur ce qu’ils font en entreprise et sur leurs perspectives d’avenir en Sport Business.

23 Feb 2023
5 raisons d'étudier le Sport Management à Aix et Marseille
L'orientation, un enjeu majeur pour les étudiants
L’orientation est toujours un moment délicat... De la fin du lycée à une réorientation ou une spécialisation, c’est un enjeu majeur pour de nombreux étudiant.e.s. Dans cet article, découvrez 5 raisons d'intégrer AMOS Sport Business School à Aix ou Marseille : la professionnalisation, le réseau, la pédagogie, l’international et le bien-être des étudiants.La professionnalisation chez AMOS
La professionnalisation, c’est avant tout l’employabilité des étudiant.e.s à des moments clés. C’est permettre à chacun une montée en compétences à travers des missions sur le terrain. Tout au long de leur cursus, de la première à la cinquième année, les étudiant.e.s sont mis en situation à travers des stages, des alternances et des expériences pédagogiques. Pour vous donner un exemple, en première année, tous les étudiants doivent réaliser deux stages obligatoires d’une durée de deux mois chacun. Le premier dans la grande distribution (Nike, Adidas, Décathlon…) et le second dans le secteur d’activité de leur choix hors grande distribution (communication, événementiel, data, marketing...). L’alternance, elle, est possible à partir de la troisième année et obligatoire en 4ème et 5ème année pour tendre de plus en plus à l’employabilité des AMOScien.ne.s. Enfin, les expériences pédagogiques sont des immersions au sein d’événements, structures sportives pour permettre aux étudiants de découvrir l’envers du décor, l’organisation et la gestion. Cette année, plusieurs expériences ont vu le jour au circuit Paul Ricard, à l’Olympique de Marseille, à Provence Rugby, à l’Orange Vélodrome Trail, dans le secteur de l’E-Sport et tant d’autres ! Si être au cœur de grands rendez-vous est une chance, c’est aussi et surtout une occasion à saisir car le réseau régional AMOS est une véritable force.Le réseau AMOS
Notre réseau, ce sont toutes les personnes qui gravitent autour de l’école pour la sublimer : étudiants, intervenants, employés, structures qui recrutent nos étudiant.e.s, alumnis (diplômés AMOS).
La pédagogie by AMOS
Notre pédagogie repose sur l’interaction et la mise en situation de cas pratiques afin de susciter l’émulation collective par le savoir-faire. Les cours sont dispensés par des intervenants spécialistes du Sport Business, issus de clubs sportifs comme Kévin Gorit (Digital Activation Manager à l’Olympique de Marseille), d'entreprises comme Claire Jacquet (Responsable Département Logistique à Décathlon) ou des auto-entrepreneurs comme Pierre Sarfaty (anciennement Food and Beverage Manager pour Lagardère) ou Fanny Lacroix (fondatrice de Lacroix Sport). Cette pédagogie est au cœur des formations AMOS en Sport Management afin d’intégrer les étudiants au plus proche des acteurs de notre territoire. L’occasion aussi de réaliser des cours délocalisés dans ses structures pour découvrir les enjeux du terrain.
L’international chez AMOS
Nous proposons aux étudiants la possibilité de se former en Sport Business dans un autre pays que la France et partir à la découverte d'une nouvelle langue et culture. De multiples possibilités s’offrent aux AMOScien.ne.s à travers 3 campus à l'étranger (Londres, Madrid, Valence) et 41 universités partenaires présentent un peu partout dans le monde. Pour en savoir plus sur l'une de ces destinations, partez à la rencontre d’Amélia Baouz et Mathilde Martinez en programme international à Valence. En deuxième année du cursus Bachelor chez AMOS, une expérience à l'international est obligatoire le temps d'un semestre. Les étudiant.e.s peuvent choisir entre les campus AMOS Londres ou Madrid. Au-delà du cursus scolaire, le voyage, la découverte, l'ouverture vers de nos nouveaux horizons, participent à l’engagement et à l'épanouissement de nos étudiant.e.s.Le bien-être des étudiants
Le bien-être de nos étudiants passe par la satisfaction de ces derniers à apprécier l’environnement dans lequel ils travaillent. Notre volonté à Aix et Marseille est aussi de les faire rayonner à travers leur parcours étudiant : stage, alternance, performance sportive, entreprenariat... leur permettre de s’exprimer sur ce qu’ils font en entreprise et sur leurs perspectives d’avenir en Sport Business.
