Interview étudiant, Julien Gravier Amos Marseille - Alternance

Âgé de 20 ans et actuellement en troisième année à AMOS Marseille, Julien a fait le choix de s’orienter dans un cursus en alternance. Passionné par le handball depuis tout jeune, il occupe aujourd’hui le poste de commercial au sein du club de Plan de Cuques (handball féminin).
Reconnaissant de la chance qu’il a d’évoluer dans un milieu familial, Julien s’épanouit au quotidien dans ses missions. Fervent supporter du sport féminin, il évoque avec conviction les devoirs de chacun pour accroître sa médiatisation.
Une interview insolite où l’humain est au cœur du sport business !
Moi c’est Julien, je suis en troisième année en alternance sur le campus d’AMOS Marseille que j’ai rejoint car j’adorais le sport et je voulais travailler dans le commerce. Quand j’ai vu qu’il était possible de cumuler les deux, je n’ai pas hésité et j’ai fait le nécessaire pour rejoindre le campus. Dans la vie, j’ai deux véritables passions :
- Le handball, c’est un sport que j’affectionne particulièrement. J’y joue depuis l’âge de 10 ans. Quand je suis sur le terrain, c’est le seul endroit où j’oublie tout.
- Ma deuxième passion est en totale contradiction avec la première : j’adore faire la fête, sortir avec mes amis, voir du monde ! J’ai tout le temps besoin de voir du monde, je déteste être enfermé chez moi seul (même si parfois ça serait bien car mon corps est fatigué...).
Enfin, je suis en alternance au club de handball de Plan de Cuques évoluant en première division. C’est un club professionnel féminin. Le poste que j’occupe actuellement est assistant commercial, un poste intéressant où je découvre de nombreuses compétences pour ma première année en entreprise. Les partenaires y sont très impliqués avec le club ce qui est un véritable plus !
Déjà, je voulais gagner un peu d’argent mais je voulais surtout découvrir le monde de l’entreprise afin d’acquérir un maximum d’expériences à la fin de mes études. J’avais aussi l’opportunité de travailler dans un club professionnel que je connais bien et qui est à 10 minutes de chez moi... J’avais également la chance de connaître quelques salariés donc ça m’a rassuré pour me lancer ! Enfin, je trouvais intéressant de pouvoir évoluer dans un club professionnel féminin : il y a énormément de différences entre un club professionnel masculin et un club professionnel féminin.
Pas vraiment au départ. Cependant, lorsque j’ai dû choisir mon alternance, je préférais travailler dans un club de sport car il y a une ambiance très familiale ! Au sein du club, je trouve qu’on ressent vraiment un esprit d’équipe et ça n’a pas de prix ! Aujourd’hui, je suis très heureux d’être en alternance dans un club de handball professionnel.
Au club, mes missions sont principalement commerciales, c’est-à-dire qu’il y a beaucoup de prospection. Je passe beaucoup d’appels téléphoniques pour présenter le club et essayer de fixer des rendez-vous. Cela demande de la patience, de la persévérance... Ensuite, je suis en charge de la fidélisation des partenaires actuels. J’ai la chance d’être dans un club où les partenaires sont très impliqués dans les activités proposées : j’ai même parfois trop de monde, ce qui est vraiment cool !
Enfin, j’ai d’autres missions les jours de matchs où j’installe le salon VIP et le gymnase. J’adore les jours de match car on est toujours en action ! J’attache également une importance particulière aux partenaires les soirs de match. J’échange avec eux afin qu’ils se sentent véritablement impliqués dans le club et dans ses valeurs.
Sincèrement, ce qui me plaît le plus dans ce club c’est l’ambiance qu’il y a au bureau ! Je l’évoque souvent quand je parle de l’alternance mais en termes de confort de travail, c’est exceptionnel. Tous les salariés sont fantastiques avec moi. Dès que j’ai une question, ils sont tous là pour y répondre. C’est vraiment une famille et je pense que c’est ça qui fait que le club fonctionne bien et surtout c’est grâce à ça que le club arrivera à durer dans le temps. Travailler dans ce club, c’est que du plaisir.
« Je suis fier de participer à la médiatisation du sport féminin »
Je trouve ça important de combattre les inégalités entre les hommes et les femmes dans le sport. Il y en a beaucoup trop donc bien sûr que je suis fier de participer à la médiatisation du sport féminin ! Dès qu’on commence à travailler dans un club féminin et que l’on constate toutes les inégalités, on est obligé de s’engager pour que le sport féminin soit reconnu à sa juste valeur.
Pour moi, les hommes devraient davantage défendre le sport féminin surtout pour le handball. En France, le niveau du championnat féminin français est considéré comme l'un des meilleurs du monde ! L’équipe de France rayonne sur la scène internationale en atteignant les derniers carrés des grandes compétitions très régulièrement. En France, nous avons de bonnes équipes dans les sports collectifs. Nous devons les mettre en avant et arrêter de ne parler que des hommes.
Pour l’année prochaine, je souhaite continuer à AMOS Marseille. Je compte intégrer le mastère PGE et j’espère trouver une alternance dans un club de sport afin d’obtenir de nouvelles missions et d’accroître de nouvelles compétences dans le sport business !
Oui, il est possible d’être en alternance dès la troisième année et de s’épanouir dans ses missions. Oui, il est possible de travailler dans un club féminin et d’en faire sa promotion. Oui, il est possible de continuer ses études à AMOS après une troisième année en alternance. Oui, il est possible de réussir.
Merci pour ton temps et bonne continuation dans tes projets !
Reconnaissant de la chance qu’il a d’évoluer dans un milieu familial, Julien s’épanouit au quotidien dans ses missions. Fervent supporter du sport féminin, il évoque avec conviction les devoirs de chacun pour accroître sa médiatisation.
Une interview insolite où l’humain est au cœur du sport business !
Peux-tu te présenter ?
Moi c’est Julien, je suis en troisième année en alternance sur le campus d’AMOS Marseille que j’ai rejoint car j’adorais le sport et je voulais travailler dans le commerce. Quand j’ai vu qu’il était possible de cumuler les deux, je n’ai pas hésité et j’ai fait le nécessaire pour rejoindre le campus. Dans la vie, j’ai deux véritables passions :
- Le handball, c’est un sport que j’affectionne particulièrement. J’y joue depuis l’âge de 10 ans. Quand je suis sur le terrain, c’est le seul endroit où j’oublie tout.
- Ma deuxième passion est en totale contradiction avec la première : j’adore faire la fête, sortir avec mes amis, voir du monde ! J’ai tout le temps besoin de voir du monde, je déteste être enfermé chez moi seul (même si parfois ça serait bien car mon corps est fatigué...).
Enfin, je suis en alternance au club de handball de Plan de Cuques évoluant en première division. C’est un club professionnel féminin. Le poste que j’occupe actuellement est assistant commercial, un poste intéressant où je découvre de nombreuses compétences pour ma première année en entreprise. Les partenaires y sont très impliqués avec le club ce qui est un véritable plus !
Tu as choisi d’être en alternance dès la troisième année. Pourquoi as-tu fait ce choix ?
Déjà, je voulais gagner un peu d’argent mais je voulais surtout découvrir le monde de l’entreprise afin d’acquérir un maximum d’expériences à la fin de mes études. J’avais aussi l’opportunité de travailler dans un club professionnel que je connais bien et qui est à 10 minutes de chez moi... J’avais également la chance de connaître quelques salariés donc ça m’a rassuré pour me lancer ! Enfin, je trouvais intéressant de pouvoir évoluer dans un club professionnel féminin : il y a énormément de différences entre un club professionnel masculin et un club professionnel féminin.

Est-ce que c’était une volonté de travailler dans un club de hand professionnel ?
Pas vraiment au départ. Cependant, lorsque j’ai dû choisir mon alternance, je préférais travailler dans un club de sport car il y a une ambiance très familiale ! Au sein du club, je trouve qu’on ressent vraiment un esprit d’équipe et ça n’a pas de prix ! Aujourd’hui, je suis très heureux d’être en alternance dans un club de handball professionnel.
Quelles sont tes responsabilités et missions ?
Au club, mes missions sont principalement commerciales, c’est-à-dire qu’il y a beaucoup de prospection. Je passe beaucoup d’appels téléphoniques pour présenter le club et essayer de fixer des rendez-vous. Cela demande de la patience, de la persévérance... Ensuite, je suis en charge de la fidélisation des partenaires actuels. J’ai la chance d’être dans un club où les partenaires sont très impliqués dans les activités proposées : j’ai même parfois trop de monde, ce qui est vraiment cool !
Enfin, j’ai d’autres missions les jours de matchs où j’installe le salon VIP et le gymnase. J’adore les jours de match car on est toujours en action ! J’attache également une importance particulière aux partenaires les soirs de match. J’échange avec eux afin qu’ils se sentent véritablement impliqués dans le club et dans ses valeurs.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton alternance au sein du club de Plan de Cuques ?
Sincèrement, ce qui me plaît le plus dans ce club c’est l’ambiance qu’il y a au bureau ! Je l’évoque souvent quand je parle de l’alternance mais en termes de confort de travail, c’est exceptionnel. Tous les salariés sont fantastiques avec moi. Dès que j’ai une question, ils sont tous là pour y répondre. C’est vraiment une famille et je pense que c’est ça qui fait que le club fonctionne bien et surtout c’est grâce à ça que le club arrivera à durer dans le temps. Travailler dans ce club, c’est que du plaisir.
« Je suis fier de participer à la médiatisation du sport féminin »

Est-ce une fierté pour toi de participer à la médiatisation du sport féminin à travers ton club ?
Je trouve ça important de combattre les inégalités entre les hommes et les femmes dans le sport. Il y en a beaucoup trop donc bien sûr que je suis fier de participer à la médiatisation du sport féminin ! Dès qu’on commence à travailler dans un club féminin et que l’on constate toutes les inégalités, on est obligé de s’engager pour que le sport féminin soit reconnu à sa juste valeur.
Est-ce important que les hommes travaillent et défendent le sport féminin ?
Pour moi, les hommes devraient davantage défendre le sport féminin surtout pour le handball. En France, le niveau du championnat féminin français est considéré comme l'un des meilleurs du monde ! L’équipe de France rayonne sur la scène internationale en atteignant les derniers carrés des grandes compétitions très régulièrement. En France, nous avons de bonnes équipes dans les sports collectifs. Nous devons les mettre en avant et arrêter de ne parler que des hommes.
Quelles sont tes perspectives pour l’année prochaine ?
Pour l’année prochaine, je souhaite continuer à AMOS Marseille. Je compte intégrer le mastère PGE et j’espère trouver une alternance dans un club de sport afin d’obtenir de nouvelles missions et d’accroître de nouvelles compétences dans le sport business !
Oui, il est possible d’être en alternance dès la troisième année et de s’épanouir dans ses missions. Oui, il est possible de travailler dans un club féminin et d’en faire sa promotion. Oui, il est possible de continuer ses études à AMOS après une troisième année en alternance. Oui, il est possible de réussir.
Merci pour ton temps et bonne continuation dans tes projets !
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Salut ! Moi c'est Luca, j'ai 18 ans et je suis en première année de Bachelor Métiers du Sport à AMOS Aix-en-Provence ! Je suis donc bien évidemment passionné de sport en général mais plus particulièrement adepte du basketball que je pratique depuis quatre ans maintenant.Qu’est-ce que Sport Business Mag ? Qu’est-ce que tu y aimes le plus ?
Sport Business Mag est un journal en ligne où uniquement des étudiants peuvent y écrire des articles. Cette opportunité, j’ai pu la saisir grâce à AMOS. Cela nous permet donc de pouvoir rentrer directement dans le vif du sujet en pratiquant notamment le métier de journaliste sans pour autant avoir une réelle expérience et je trouve ça fantastique ! Laurent Clippe, directeur de Sport Business Mag est venu sur notre campus à Aix-en-Provence pour nous présenter cette opportunité et l'implication nécessaire. La rédaction d’articles est en effet une charge supplémentaire à prévoir chaque semaine. Cependant, j'ai tout de suite accroché à son discours et je me suis inscrit. Aujourd’hui, je touche au plus près à mon métier de rêve et j’en suis le plus heureux !Tu écris de nombreux articles sur le basket masculin et plus particulièrement la NBA. D’où vient cette double passion ?
J’ai toujours été attiré par la rédaction et le fait d’idéaliser par l’écrit différentes actions : décrire chaque action, sublimer certaines ou encore en critiquer d'autres sans pour autant être dans le jugement… C'est quelque chose auquel j'aspire depuis tout petit. Ma passion pour le basket, elle, est récente. En effet, étant plus jeune je pratiquais le football (pendant 10 ans) et cette passion me venait de mon père qui lui aussi jouait à un certain niveau étant plus jeune. Cependant, mon petit frère lui a voulu s'essayer à un autre sport et c'est grâce à lui que j'ai vraiment découvert le basket dans tous ses états jusqu'à moi-même vouloir essayer et au final j'ai jamais pu décrocher. Je suis complètement devenu accro à ce sport et je le suis au niveau professionnel sur les réseaux du soir au matin (car les matchs NBA sont souvent la nuit). Tout ça pour venir au fait que cette double passion a réussi à s'accorder après grâce à Sport Business Mag. J'écris depuis septembre 2022 des articles sur la NBA mais aussi le basket français qui se développe de plus en plus ces dernières années.
Quels sont tes objectifs ?
A court terme, mon objectif est de développer ma technique d'écriture en innovant sur certains points pour que mes articles arrivent à se démarquer d'autres, pour éviter que ça devienne « banal ». A moyen terme, mon objectif est d'arriver à trouver une rédaction qui veuille bien me prendre pour mon second stage qui commence mi-mai, où là, je pourrais découvrir vraiment ce monde si spécial dans tous ses recoins. Le rêve serait bien sûr de rejoindre des grandes enseignes comme BeIn Sport, France TV ou l'Equipe qui est d'ailleurs devenu partenaire d'AMOS récemment. Sur le long terme, j'aimerais donc intégrer une grosse rédaction afin de devenir journaliste et commentateur sportif comme le sont Jacques Monclard et Rémi Reverchon dans leur émission NBA Extra. D’autres exemples sur les réseaux sociaux comme Erwan Abautret avec First Team sur YouTube ou Trashtalk sur Twitch. Tous sont des sources d'inspirations dans mon travail et j'espère pourquoi pas pouvoir les côtoyer dans le futur.Sur quel sujet aimes-tu le plus écrire ?
Il y a un sujet que j'affectionne beaucoup et c'est d'ailleurs l'équipe sur laquelle j'écris le plus : les Dallas Mavericks avec leur joueur star le Slovène Luka Dončić. Pour moi, il vient d'une autre planète, ce qu'il fait pour son âge dans une ligue aussi compliqué que la NBA, c'est juste hallucinant donc c'est toujours un plaisir de sortir des articles sur ses performances venues d'ailleurs ! A part cela, j'aimerais beaucoup écrire des articles sur les prochaines coupes internationales de l'équipe de France de basket. J’aime retranscrire les émotions par écrit à tous les français !Quel est l’article dont tu es le plus fier ?
J’ai deux articles où je suis plutôt fier, ils sont pourtant très différents l'un de l'autre. Tout d'abord, mon tout premier article qui lui forcément, restera gravé à jamais dans ma mémoire (article sur Gregg popovich qui vante sa nouvelle adjointe). Pour la petite anecdote, mes parents et grand-parents l’ont imprimé et encadré. Sinon, je pense forcément à l'interview réalisée avec Paul Rigot : joueur professionnel à l'ADA Blois basket. C’est pour moi l'aboutissement d’un journaliste : pouvoir poser des questions et interviewer un joueur de ce calibre, c'était un rêve !Le NBA Paris Game est-il un événement pour toi ? Qu’est-ce que tu en penses ?
Le NBA Paris Game, pour nous français, est forcément un évènement immanquable ! Un match a déjà été réalisé en janvier 2020 opposant Milwaukee à Charlotte. Après plusieurs années d'attentes, la grande ligue revient sur le sol français. C’est donc un réel plaisir pour nous de pouvoir assister à un match de cette envergure. On y verra les Bulls de Chicago affronter les Détroit Pistons avec en plus de ça la présence d'un joueur français côté Détroit, le jeune Killian Hayes ! Cet événement sera juste incroyable et j'ai déjà qu'une envie, c'est que la NBA reprogramme encore des matchs en France dans les prochaines années.Est-ce que tu aimerais écrire des articles sur le sport universitaire d’AMOS Aix ?
Pourquoi pas ! Je suis sûr que les équipes d'AMOS foot et basket seraient intéressées. D’autant plus, que les performances réalisées cette année sont incroyables. Faisant moi-même parti de l'équipe de basket d'AMOS, ce serait un plaisir immense de pouvoir écrire des articles sur nos résultats ou interviewer des joueurs !Le dernier mot t’appartient...
Je tiens juste à remercier AMOS pour les multiples opportunités que je peux saisir grâce à l’école. C'est juste un rêve pour l'instant ! J’espère pourvoir atteindre mes objectifs afin que mon rêve devienne réalité ! Pour tout ça, merci beaucoup ! Merci à toi Luca de nous avoir partagé ta double passion. Le meilleur pour la suite et bonne continuation avec Sport Business Mag !18 Jan 2023
Au cœur de Sport Business Mag avec notre étudiant Luca
Quand la passion de l’écriture se lie à celle de la NBA...
Luca Redziock est actuellement en première année à AMOS Aix-en-Provence. Passionné par le journalisme et le basket, il cumule ses deux passions grâce à Sport Business Mag. Partez à la découverte de cet étudiant, qui, à travers ses études touche déjà au plus près à son objectif : être journaliste sportif. Une immersion totale au cœur de Sport Business Mag et de la semaine du NBA Paris Game.Hello Luca, tu vas bien ? Est-ce que tu peux te présenter s’il te plaît ?
Salut ! Moi c'est Luca, j'ai 18 ans et je suis en première année de Bachelor Métiers du Sport à AMOS Aix-en-Provence ! Je suis donc bien évidemment passionné de sport en général mais plus particulièrement adepte du basketball que je pratique depuis quatre ans maintenant.Qu’est-ce que Sport Business Mag ? Qu’est-ce que tu y aimes le plus ?
Sport Business Mag est un journal en ligne où uniquement des étudiants peuvent y écrire des articles. Cette opportunité, j’ai pu la saisir grâce à AMOS. Cela nous permet donc de pouvoir rentrer directement dans le vif du sujet en pratiquant notamment le métier de journaliste sans pour autant avoir une réelle expérience et je trouve ça fantastique ! Laurent Clippe, directeur de Sport Business Mag est venu sur notre campus à Aix-en-Provence pour nous présenter cette opportunité et l'implication nécessaire. La rédaction d’articles est en effet une charge supplémentaire à prévoir chaque semaine. Cependant, j'ai tout de suite accroché à son discours et je me suis inscrit. Aujourd’hui, je touche au plus près à mon métier de rêve et j’en suis le plus heureux !Tu écris de nombreux articles sur le basket masculin et plus particulièrement la NBA. D’où vient cette double passion ?
J’ai toujours été attiré par la rédaction et le fait d’idéaliser par l’écrit différentes actions : décrire chaque action, sublimer certaines ou encore en critiquer d'autres sans pour autant être dans le jugement… C'est quelque chose auquel j'aspire depuis tout petit. Ma passion pour le basket, elle, est récente. En effet, étant plus jeune je pratiquais le football (pendant 10 ans) et cette passion me venait de mon père qui lui aussi jouait à un certain niveau étant plus jeune. Cependant, mon petit frère lui a voulu s'essayer à un autre sport et c'est grâce à lui que j'ai vraiment découvert le basket dans tous ses états jusqu'à moi-même vouloir essayer et au final j'ai jamais pu décrocher. Je suis complètement devenu accro à ce sport et je le suis au niveau professionnel sur les réseaux du soir au matin (car les matchs NBA sont souvent la nuit). Tout ça pour venir au fait que cette double passion a réussi à s'accorder après grâce à Sport Business Mag. J'écris depuis septembre 2022 des articles sur la NBA mais aussi le basket français qui se développe de plus en plus ces dernières années.
Quels sont tes objectifs ?
A court terme, mon objectif est de développer ma technique d'écriture en innovant sur certains points pour que mes articles arrivent à se démarquer d'autres, pour éviter que ça devienne « banal ». A moyen terme, mon objectif est d'arriver à trouver une rédaction qui veuille bien me prendre pour mon second stage qui commence mi-mai, où là, je pourrais découvrir vraiment ce monde si spécial dans tous ses recoins. Le rêve serait bien sûr de rejoindre des grandes enseignes comme BeIn Sport, France TV ou l'Equipe qui est d'ailleurs devenu partenaire d'AMOS récemment. Sur le long terme, j'aimerais donc intégrer une grosse rédaction afin de devenir journaliste et commentateur sportif comme le sont Jacques Monclard et Rémi Reverchon dans leur émission NBA Extra. D’autres exemples sur les réseaux sociaux comme Erwan Abautret avec First Team sur YouTube ou Trashtalk sur Twitch. Tous sont des sources d'inspirations dans mon travail et j'espère pourquoi pas pouvoir les côtoyer dans le futur.Sur quel sujet aimes-tu le plus écrire ?
Il y a un sujet que j'affectionne beaucoup et c'est d'ailleurs l'équipe sur laquelle j'écris le plus : les Dallas Mavericks avec leur joueur star le Slovène Luka Dončić. Pour moi, il vient d'une autre planète, ce qu'il fait pour son âge dans une ligue aussi compliqué que la NBA, c'est juste hallucinant donc c'est toujours un plaisir de sortir des articles sur ses performances venues d'ailleurs ! A part cela, j'aimerais beaucoup écrire des articles sur les prochaines coupes internationales de l'équipe de France de basket. J’aime retranscrire les émotions par écrit à tous les français !Quel est l’article dont tu es le plus fier ?
J’ai deux articles où je suis plutôt fier, ils sont pourtant très différents l'un de l'autre. Tout d'abord, mon tout premier article qui lui forcément, restera gravé à jamais dans ma mémoire (article sur Gregg popovich qui vante sa nouvelle adjointe). Pour la petite anecdote, mes parents et grand-parents l’ont imprimé et encadré. Sinon, je pense forcément à l'interview réalisée avec Paul Rigot : joueur professionnel à l'ADA Blois basket. C’est pour moi l'aboutissement d’un journaliste : pouvoir poser des questions et interviewer un joueur de ce calibre, c'était un rêve !Le NBA Paris Game est-il un événement pour toi ? Qu’est-ce que tu en penses ?
Le NBA Paris Game, pour nous français, est forcément un évènement immanquable ! Un match a déjà été réalisé en janvier 2020 opposant Milwaukee à Charlotte. Après plusieurs années d'attentes, la grande ligue revient sur le sol français. C’est donc un réel plaisir pour nous de pouvoir assister à un match de cette envergure. On y verra les Bulls de Chicago affronter les Détroit Pistons avec en plus de ça la présence d'un joueur français côté Détroit, le jeune Killian Hayes ! Cet événement sera juste incroyable et j'ai déjà qu'une envie, c'est que la NBA reprogramme encore des matchs en France dans les prochaines années.Est-ce que tu aimerais écrire des articles sur le sport universitaire d’AMOS Aix ?
Pourquoi pas ! Je suis sûr que les équipes d'AMOS foot et basket seraient intéressées. D’autant plus, que les performances réalisées cette année sont incroyables. Faisant moi-même parti de l'équipe de basket d'AMOS, ce serait un plaisir immense de pouvoir écrire des articles sur nos résultats ou interviewer des joueurs !Le dernier mot t’appartient...
Je tiens juste à remercier AMOS pour les multiples opportunités que je peux saisir grâce à l’école. C'est juste un rêve pour l'instant ! J’espère pourvoir atteindre mes objectifs afin que mon rêve devienne réalité ! Pour tout ça, merci beaucoup ! Merci à toi Luca de nous avoir partagé ta double passion. Le meilleur pour la suite et bonne continuation avec Sport Business Mag !17 Jan 2023
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