Interview étudiant, Julien Gravier Amos Marseille - Alternance

Âgé de 20 ans et actuellement en troisième année à AMOS Marseille, Julien a fait le choix de s’orienter dans un cursus en alternance. Passionné par le handball depuis tout jeune, il occupe aujourd’hui le poste de commercial au sein du club de Plan de Cuques (handball féminin).
Reconnaissant de la chance qu’il a d’évoluer dans un milieu familial, Julien s’épanouit au quotidien dans ses missions. Fervent supporter du sport féminin, il évoque avec conviction les devoirs de chacun pour accroître sa médiatisation.
Une interview insolite où l’humain est au cœur du sport business !
Moi c’est Julien, je suis en troisième année en alternance sur le campus d’AMOS Marseille que j’ai rejoint car j’adorais le sport et je voulais travailler dans le commerce. Quand j’ai vu qu’il était possible de cumuler les deux, je n’ai pas hésité et j’ai fait le nécessaire pour rejoindre le campus. Dans la vie, j’ai deux véritables passions :
- Le handball, c’est un sport que j’affectionne particulièrement. J’y joue depuis l’âge de 10 ans. Quand je suis sur le terrain, c’est le seul endroit où j’oublie tout.
- Ma deuxième passion est en totale contradiction avec la première : j’adore faire la fête, sortir avec mes amis, voir du monde ! J’ai tout le temps besoin de voir du monde, je déteste être enfermé chez moi seul (même si parfois ça serait bien car mon corps est fatigué...).
Enfin, je suis en alternance au club de handball de Plan de Cuques évoluant en première division. C’est un club professionnel féminin. Le poste que j’occupe actuellement est assistant commercial, un poste intéressant où je découvre de nombreuses compétences pour ma première année en entreprise. Les partenaires y sont très impliqués avec le club ce qui est un véritable plus !
Déjà, je voulais gagner un peu d’argent mais je voulais surtout découvrir le monde de l’entreprise afin d’acquérir un maximum d’expériences à la fin de mes études. J’avais aussi l’opportunité de travailler dans un club professionnel que je connais bien et qui est à 10 minutes de chez moi... J’avais également la chance de connaître quelques salariés donc ça m’a rassuré pour me lancer ! Enfin, je trouvais intéressant de pouvoir évoluer dans un club professionnel féminin : il y a énormément de différences entre un club professionnel masculin et un club professionnel féminin.
Pas vraiment au départ. Cependant, lorsque j’ai dû choisir mon alternance, je préférais travailler dans un club de sport car il y a une ambiance très familiale ! Au sein du club, je trouve qu’on ressent vraiment un esprit d’équipe et ça n’a pas de prix ! Aujourd’hui, je suis très heureux d’être en alternance dans un club de handball professionnel.
Au club, mes missions sont principalement commerciales, c’est-à-dire qu’il y a beaucoup de prospection. Je passe beaucoup d’appels téléphoniques pour présenter le club et essayer de fixer des rendez-vous. Cela demande de la patience, de la persévérance... Ensuite, je suis en charge de la fidélisation des partenaires actuels. J’ai la chance d’être dans un club où les partenaires sont très impliqués dans les activités proposées : j’ai même parfois trop de monde, ce qui est vraiment cool !
Enfin, j’ai d’autres missions les jours de matchs où j’installe le salon VIP et le gymnase. J’adore les jours de match car on est toujours en action ! J’attache également une importance particulière aux partenaires les soirs de match. J’échange avec eux afin qu’ils se sentent véritablement impliqués dans le club et dans ses valeurs.
Sincèrement, ce qui me plaît le plus dans ce club c’est l’ambiance qu’il y a au bureau ! Je l’évoque souvent quand je parle de l’alternance mais en termes de confort de travail, c’est exceptionnel. Tous les salariés sont fantastiques avec moi. Dès que j’ai une question, ils sont tous là pour y répondre. C’est vraiment une famille et je pense que c’est ça qui fait que le club fonctionne bien et surtout c’est grâce à ça que le club arrivera à durer dans le temps. Travailler dans ce club, c’est que du plaisir.
« Je suis fier de participer à la médiatisation du sport féminin »
Je trouve ça important de combattre les inégalités entre les hommes et les femmes dans le sport. Il y en a beaucoup trop donc bien sûr que je suis fier de participer à la médiatisation du sport féminin ! Dès qu’on commence à travailler dans un club féminin et que l’on constate toutes les inégalités, on est obligé de s’engager pour que le sport féminin soit reconnu à sa juste valeur.
Pour moi, les hommes devraient davantage défendre le sport féminin surtout pour le handball. En France, le niveau du championnat féminin français est considéré comme l'un des meilleurs du monde ! L’équipe de France rayonne sur la scène internationale en atteignant les derniers carrés des grandes compétitions très régulièrement. En France, nous avons de bonnes équipes dans les sports collectifs. Nous devons les mettre en avant et arrêter de ne parler que des hommes.
Pour l’année prochaine, je souhaite continuer à AMOS Marseille. Je compte intégrer le mastère PGE et j’espère trouver une alternance dans un club de sport afin d’obtenir de nouvelles missions et d’accroître de nouvelles compétences dans le sport business !
Oui, il est possible d’être en alternance dès la troisième année et de s’épanouir dans ses missions. Oui, il est possible de travailler dans un club féminin et d’en faire sa promotion. Oui, il est possible de continuer ses études à AMOS après une troisième année en alternance. Oui, il est possible de réussir.
Merci pour ton temps et bonne continuation dans tes projets !
Reconnaissant de la chance qu’il a d’évoluer dans un milieu familial, Julien s’épanouit au quotidien dans ses missions. Fervent supporter du sport féminin, il évoque avec conviction les devoirs de chacun pour accroître sa médiatisation.
Une interview insolite où l’humain est au cœur du sport business !
Peux-tu te présenter ?
Moi c’est Julien, je suis en troisième année en alternance sur le campus d’AMOS Marseille que j’ai rejoint car j’adorais le sport et je voulais travailler dans le commerce. Quand j’ai vu qu’il était possible de cumuler les deux, je n’ai pas hésité et j’ai fait le nécessaire pour rejoindre le campus. Dans la vie, j’ai deux véritables passions :
- Le handball, c’est un sport que j’affectionne particulièrement. J’y joue depuis l’âge de 10 ans. Quand je suis sur le terrain, c’est le seul endroit où j’oublie tout.
- Ma deuxième passion est en totale contradiction avec la première : j’adore faire la fête, sortir avec mes amis, voir du monde ! J’ai tout le temps besoin de voir du monde, je déteste être enfermé chez moi seul (même si parfois ça serait bien car mon corps est fatigué...).
Enfin, je suis en alternance au club de handball de Plan de Cuques évoluant en première division. C’est un club professionnel féminin. Le poste que j’occupe actuellement est assistant commercial, un poste intéressant où je découvre de nombreuses compétences pour ma première année en entreprise. Les partenaires y sont très impliqués avec le club ce qui est un véritable plus !
Tu as choisi d’être en alternance dès la troisième année. Pourquoi as-tu fait ce choix ?
Déjà, je voulais gagner un peu d’argent mais je voulais surtout découvrir le monde de l’entreprise afin d’acquérir un maximum d’expériences à la fin de mes études. J’avais aussi l’opportunité de travailler dans un club professionnel que je connais bien et qui est à 10 minutes de chez moi... J’avais également la chance de connaître quelques salariés donc ça m’a rassuré pour me lancer ! Enfin, je trouvais intéressant de pouvoir évoluer dans un club professionnel féminin : il y a énormément de différences entre un club professionnel masculin et un club professionnel féminin.

Est-ce que c’était une volonté de travailler dans un club de hand professionnel ?
Pas vraiment au départ. Cependant, lorsque j’ai dû choisir mon alternance, je préférais travailler dans un club de sport car il y a une ambiance très familiale ! Au sein du club, je trouve qu’on ressent vraiment un esprit d’équipe et ça n’a pas de prix ! Aujourd’hui, je suis très heureux d’être en alternance dans un club de handball professionnel.
Quelles sont tes responsabilités et missions ?
Au club, mes missions sont principalement commerciales, c’est-à-dire qu’il y a beaucoup de prospection. Je passe beaucoup d’appels téléphoniques pour présenter le club et essayer de fixer des rendez-vous. Cela demande de la patience, de la persévérance... Ensuite, je suis en charge de la fidélisation des partenaires actuels. J’ai la chance d’être dans un club où les partenaires sont très impliqués dans les activités proposées : j’ai même parfois trop de monde, ce qui est vraiment cool !
Enfin, j’ai d’autres missions les jours de matchs où j’installe le salon VIP et le gymnase. J’adore les jours de match car on est toujours en action ! J’attache également une importance particulière aux partenaires les soirs de match. J’échange avec eux afin qu’ils se sentent véritablement impliqués dans le club et dans ses valeurs.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton alternance au sein du club de Plan de Cuques ?
Sincèrement, ce qui me plaît le plus dans ce club c’est l’ambiance qu’il y a au bureau ! Je l’évoque souvent quand je parle de l’alternance mais en termes de confort de travail, c’est exceptionnel. Tous les salariés sont fantastiques avec moi. Dès que j’ai une question, ils sont tous là pour y répondre. C’est vraiment une famille et je pense que c’est ça qui fait que le club fonctionne bien et surtout c’est grâce à ça que le club arrivera à durer dans le temps. Travailler dans ce club, c’est que du plaisir.
« Je suis fier de participer à la médiatisation du sport féminin »

Est-ce une fierté pour toi de participer à la médiatisation du sport féminin à travers ton club ?
Je trouve ça important de combattre les inégalités entre les hommes et les femmes dans le sport. Il y en a beaucoup trop donc bien sûr que je suis fier de participer à la médiatisation du sport féminin ! Dès qu’on commence à travailler dans un club féminin et que l’on constate toutes les inégalités, on est obligé de s’engager pour que le sport féminin soit reconnu à sa juste valeur.
Est-ce important que les hommes travaillent et défendent le sport féminin ?
Pour moi, les hommes devraient davantage défendre le sport féminin surtout pour le handball. En France, le niveau du championnat féminin français est considéré comme l'un des meilleurs du monde ! L’équipe de France rayonne sur la scène internationale en atteignant les derniers carrés des grandes compétitions très régulièrement. En France, nous avons de bonnes équipes dans les sports collectifs. Nous devons les mettre en avant et arrêter de ne parler que des hommes.
Quelles sont tes perspectives pour l’année prochaine ?
Pour l’année prochaine, je souhaite continuer à AMOS Marseille. Je compte intégrer le mastère PGE et j’espère trouver une alternance dans un club de sport afin d’obtenir de nouvelles missions et d’accroître de nouvelles compétences dans le sport business !
Oui, il est possible d’être en alternance dès la troisième année et de s’épanouir dans ses missions. Oui, il est possible de travailler dans un club féminin et d’en faire sa promotion. Oui, il est possible de continuer ses études à AMOS après une troisième année en alternance. Oui, il est possible de réussir.
Merci pour ton temps et bonne continuation dans tes projets !
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19 May 2022
Rendez-vous métiers : deviens le pilote de ta propre com !
Rencontre avec Baptiste Brun de Drive Your Com
Sur le circuit exigeant et sinueux qu’est celui du parcours professionnel, Baptiste Brun est au volant du sien, bien accroché à deux mains pour continuer d’y mêler passion et métier. Au cœur du sport automobile, Baptiste nous partage son expérience. Bien installés sur la grille de départ ? Trois, deux, un, c’est parti !Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Baptiste Brun, je travaille pour l’agence de communication Drive Your Com sur la partie mise en place de projets, suivi de projets et gestion des partenariats. Mon intitulé de poste : Manager de projets et partenariats.Peux-tu nous présenter Drive Your Com ?
Drive Your Com est une agence spécialisée dans les sports mécaniques. Elle a été lancée par son fondateur Nicolas, passionné d’automobile. Il a suivi un master en communication avec pour objectif de lancer ce type d’agence. Drive Your Com est animée par les sports mécaniques ! On est directement basés au Mans et ce n’est pas anodin. L’implantation dans cette ville est une réelle aubaine pour notre activité, notamment boostée par les 24H du Mans ou Le Grand Prix moto. Nicolas, le fondateur, a eu l’occasion d’accompagner des amis pilotes dans la gestion de leurs réseaux sociaux et d’image. Il s’est rapidement rendu compte qu’il y avait un besoin quasi-vital pour ces sportifs et pilotes de mettre en place une communication adaptée à leur activité. Cumuler sport et image est aujourd’hui devenu primordial ! Il a donc suivi un master en communication pour ouvrir cette agence.
En quoi consiste ton métier aujourd'hui ?
De mon côté, j’apporte une vision commerciale sur l’ensemble des projets de Drive Your Com. Je participe aussi à la mise en place de suivi d’actions et de projets dans diverses entreprises. Je m’occupe principalement de l’optimisation des process, de la communication interne et externe. C’est un métier à multi-casquettes. Ce que j’apprécie le plus dans mon travail, c’est le lien entre les différents services. On dépend les uns des autres.Une journée type au sein de ton entreprise ?
Il n’y a pas vraiment de journée type, on avance sur les différents projets. Nous n’avons pas ce sentiment routinier, car les clients et les typologies d’événements diffèrent sur chacun de nos projets. On est dans un métier qui évolue constamment, c’est toujours rythmé, on ne s’ennuie pas (rire). Cependant, et c’est vraiment important de le prendre en compte, on peut avoir des rythmes en décalé et ne pas compter nos heures.Quelles sont les qualités requises pour travailler au sein de Drive Your Com ?
Je pense qu’il faut avoir un profil « assez jeune » dans la tête, pas forcément dans l’âge. Il faut être dynamique, avoir envie de créer, de se lancer de nouveaux défis. Il faut aussi être force de proposition, être novateur dans les idées, dans les concepts. Pour résumer, il faut constamment adopter une posture d’écoute, de remise en question et apporter de la fraicheur avec du dynamisme.Quels conseils peux-tu donner à nos AMOScien.e.s ?
On passe plus de la moitié de notre vie à travailler, donc faites-vous plaisir au travail avant tout ! Vous devez être dans un métier passion, pour aimer ce que vous faites. Faites vos armes, écouter les anciens, ils ont énormément à vous apporter. De votre côté, votre rôle est vraiment d’apporter une vision nouvelle, dynamique. Je suis convaincu que le mélange entre expérience et jeunesse peut apporter énormément et créer des profils très intéressants. Investissez-vous, c’est vraiment la clé ! Propos recueillis par Noémie GIBET, chargée de communication AMOS Nantes19 May 2022
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Il n’y a pas vraiment de journée type, on avance sur les différents projets. Nous n’avons pas ce sentiment routinier, car les clients et les typologies d’événements diffèrent sur chacun de nos projets. On est dans un métier qui évolue constamment, c’est toujours rythmé, on ne s’ennuie pas (rire). Cependant, et c’est vraiment important de le prendre en compte, on peut avoir des rythmes en décalé et ne pas compter nos heures.Quelles sont les qualités requises pour travailler au sein de Drive Your Com ?
Je pense qu’il faut avoir un profil « assez jeune » dans la tête, pas forcément dans l’âge. Il faut être dynamique, avoir envie de créer, de se lancer de nouveaux défis. Il faut aussi être force de proposition, être novateur dans les idées, dans les concepts. Pour résumer, il faut constamment adopter une posture d’écoute, de remise en question et apporter de la fraicheur avec du dynamisme.Quels conseils peux-tu donner à nos AMOScien.e.s ?
On passe plus de la moitié de notre vie à travailler, donc faites-vous plaisir au travail avant tout ! Vous devez être dans un métier passion, pour aimer ce que vous faites. Faites vos armes, écouter les anciens, ils ont énormément à vous apporter. De votre côté, votre rôle est vraiment d’apporter une vision nouvelle, dynamique. Je suis convaincu que le mélange entre expérience et jeunesse peut apporter énormément et créer des profils très intéressants. Investissez-vous, c’est vraiment la clé ! Propos recueillis par Noémie GIBET, chargée de communication AMOS Nantes12 May 2022
Journée de l’entrepreneuriat AMOS avec Sportihome
Challenge entrepreneurial inter-campus : à la conquête des logements sportifs
Entreprendre dans le Sport Business de nos jours... Une demande qui ne cesse de croître ! Nous avons donc tout naturellement organisé le jeudi 26 avril 2022, une journée de l’entrepreneuriat (JDE) pour nos étudiants de première année, challenge inter-campus sur l’entrepreneuriat dans le Sport Business. Un défi plus que réussi sur le plan pédagogique par nos AMOScien(ne)s qui leur a permis de reprendre l’ensemble des connaissances acquises en cours d'année et de les mettre en pratique autour d'une thématique concrète : Sportihome, premier site de location de vacances entre sportifs. "En tant que parrain du campus AMOS Montpellier, c’est avec grand plaisir que j’ai dit oui à Nadège Esteban pour participer à la journée JDE organisée sur les 11 campus AMOS en France. Collaborer avec autant d’étudiants en une seule fois était une première pour Sportihome. Les résultats fournis par tous ces Bachelors du Sport Business sont très inspirants pour nous ! Avoir la chance de faire découvrir son entreprise auprès d'autant de jeunes en les faisant pencher sur une problématique réelle, c’est vraiment canon ! Côté organisation, tout a été parfait, de la réunion de préparation à l’oral final. Côté timing, il faut compter une journée de disponibilité : 1h avec l’équipe des encadrants pour bien cadrer la mission et la problématique, 1h de mon côté pour la préparation des données, supports vidéo et challenges, et une bonne demi-journée pour l’oral en visio pour les finalistes." Sylvain Morel, Co-fondateur & COO, SportihomeRetour sur cette compétition nationale pour nos étudiants de première année
Rien de tel pour prendre des forces pour cette épreuve que de partager un bon petit-déjeuner tous ensemble avant le début des hostilités ! Entre étudiants on se questionne, on se demande comment va se dérouler la journée et on a surtout hâte de débuter... 08h45 : les équipes sont rassemblées, c’est le coup d’envoi de l’événement, donné par Sylvain de Sportihome, à travers une vidéo de présentation ! Les AMOSciens ont à leur disposition un kit pédagogique qui leur permettra de répondre à la problématique suivante : “Comment doubler la taille du parc de locations sport & nature de sportihome.com?”. Toutes les ressources à leur disposition sont mobilisables : internet, intervenants AMOS, connaissances personnelles... Les équipes pédagogiques prennent également plaisir à passer auprès de tous les groupes afin d’aider et d’orienter nos étudiants. 11h, 14h et 17h : des challenges tout au long de l’événement ! Les étudiants ont découvert sur le compte Instagram national AMOS, de petites épreuves à réaliser : partager un "spot" de Sportihome, partager une photo de soi en pleine activité sportive ou encore porter le plus d’accessoires sportifs possible avant de se prendre en photo. La réalisation de ces challenges accordaient des points bonus aux équipes ! 18h : fin de cette journée de l’entrepreneuriat ! Place aux corrections... Nos équipes pédagogiques devaient retenir une seule équipe par campus pour participer à la grande finale nationale.
L’heure de la finale a sonné...
Un semaine après cette journée dédiée à l’entrepreneuriat, les équipes retenues présentent leur projet en concurrence avec tous les campus lors de cette grande finale : elles ont 10 mins pour convaincre le jury composé de Sylvain de Sportihome et d'Eric Alard, directeur du campus AMOS Nantes. Après délibération, c’est AMOS Lille qui remporte ce challenge national, suivi par Nantes, Nice et Montpellier à égalité. "Les travaux sont super qualis et nous ont permis de découvrir de très bonnes recommandations pour notre entreprise. Tout ne pourra évidemment pas être réalisé mais nos équipes ont déjà pris le relais à différents niveaux ! Certaines actions ont déjà démarré !" Sylvain Morel, Sportihome"Tout simplement génial !"
"La journée de l’entreprenariat nous a permis de réaliser un projet concret. Cela change des exercices que nous pouvons habituellement réaliser en cours. Nous avons apprécié réfléchir et résoudre une problématique réelle d’une entreprise. Être choisis pour représenter AMOS Lille lors de la grande finale était déjà une grande victoire ! Nous avions un léger désavantage étant donné que nous étions une petite équipe en termes d’effectif. Participer à la grande finale nationale était une excellente expérience, la gagner était encore plus exceptionnel ! Soutenir notre projet face à un jury nous a permis de nous entraîner à l’oral et nous a appris à être convaincants. Nous espérons avoir représenté fièrement AMOS Lille !" L'équipe lilloise, gagnante de cette JDE
12 May 2022
Journée de l’entrepreneuriat AMOS avec Sportihome
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Entreprendre dans le Sport Business de nos jours... Une demande qui ne cesse de croître ! Nous avons donc tout naturellement organisé le jeudi 26 avril 2022, une journée de l’entrepreneuriat (JDE) pour nos étudiants de première année, challenge inter-campus sur l’entrepreneuriat dans le Sport Business. Un défi plus que réussi sur le plan pédagogique par nos AMOScien(ne)s qui leur a permis de reprendre l’ensemble des connaissances acquises en cours d'année et de les mettre en pratique autour d'une thématique concrète : Sportihome, premier site de location de vacances entre sportifs. "En tant que parrain du campus AMOS Montpellier, c’est avec grand plaisir que j’ai dit oui à Nadège Esteban pour participer à la journée JDE organisée sur les 11 campus AMOS en France. Collaborer avec autant d’étudiants en une seule fois était une première pour Sportihome. Les résultats fournis par tous ces Bachelors du Sport Business sont très inspirants pour nous ! Avoir la chance de faire découvrir son entreprise auprès d'autant de jeunes en les faisant pencher sur une problématique réelle, c’est vraiment canon ! Côté organisation, tout a été parfait, de la réunion de préparation à l’oral final. Côté timing, il faut compter une journée de disponibilité : 1h avec l’équipe des encadrants pour bien cadrer la mission et la problématique, 1h de mon côté pour la préparation des données, supports vidéo et challenges, et une bonne demi-journée pour l’oral en visio pour les finalistes." Sylvain Morel, Co-fondateur & COO, SportihomeRetour sur cette compétition nationale pour nos étudiants de première année
Rien de tel pour prendre des forces pour cette épreuve que de partager un bon petit-déjeuner tous ensemble avant le début des hostilités ! Entre étudiants on se questionne, on se demande comment va se dérouler la journée et on a surtout hâte de débuter... 08h45 : les équipes sont rassemblées, c’est le coup d’envoi de l’événement, donné par Sylvain de Sportihome, à travers une vidéo de présentation ! Les AMOSciens ont à leur disposition un kit pédagogique qui leur permettra de répondre à la problématique suivante : “Comment doubler la taille du parc de locations sport & nature de sportihome.com?”. Toutes les ressources à leur disposition sont mobilisables : internet, intervenants AMOS, connaissances personnelles... Les équipes pédagogiques prennent également plaisir à passer auprès de tous les groupes afin d’aider et d’orienter nos étudiants. 11h, 14h et 17h : des challenges tout au long de l’événement ! Les étudiants ont découvert sur le compte Instagram national AMOS, de petites épreuves à réaliser : partager un "spot" de Sportihome, partager une photo de soi en pleine activité sportive ou encore porter le plus d’accessoires sportifs possible avant de se prendre en photo. La réalisation de ces challenges accordaient des points bonus aux équipes ! 18h : fin de cette journée de l’entrepreneuriat ! Place aux corrections... Nos équipes pédagogiques devaient retenir une seule équipe par campus pour participer à la grande finale nationale.
L’heure de la finale a sonné...
Un semaine après cette journée dédiée à l’entrepreneuriat, les équipes retenues présentent leur projet en concurrence avec tous les campus lors de cette grande finale : elles ont 10 mins pour convaincre le jury composé de Sylvain de Sportihome et d'Eric Alard, directeur du campus AMOS Nantes. Après délibération, c’est AMOS Lille qui remporte ce challenge national, suivi par Nantes, Nice et Montpellier à égalité. "Les travaux sont super qualis et nous ont permis de découvrir de très bonnes recommandations pour notre entreprise. Tout ne pourra évidemment pas être réalisé mais nos équipes ont déjà pris le relais à différents niveaux ! Certaines actions ont déjà démarré !" Sylvain Morel, Sportihome"Tout simplement génial !"
"La journée de l’entreprenariat nous a permis de réaliser un projet concret. Cela change des exercices que nous pouvons habituellement réaliser en cours. Nous avons apprécié réfléchir et résoudre une problématique réelle d’une entreprise. Être choisis pour représenter AMOS Lille lors de la grande finale était déjà une grande victoire ! Nous avions un léger désavantage étant donné que nous étions une petite équipe en termes d’effectif. Participer à la grande finale nationale était une excellente expérience, la gagner était encore plus exceptionnel ! Soutenir notre projet face à un jury nous a permis de nous entraîner à l’oral et nous a appris à être convaincants. Nous espérons avoir représenté fièrement AMOS Lille !" L'équipe lilloise, gagnante de cette JDE
10 May 2022
Interview Etudiant, Kheira Mlanao - AMOS Valence, Espagne
Salut Kheira, comment vas-tu ? Comment s’est passée ton expérience à Valence ?
Ça va bien merci ! Alors ça s’est très bien passé, je pense avoir fait le meilleur choix de ma vie en choisissant de partir à l’étranger. Je n’aurais jamais pensé vivre aussi longtemps loin de ma famille mais tout s’est super bien passé. Nous étions une classe très soudée même si nous n’étions pas mélangés avec des étudiants étrangers. Nous avons également eu la chance de faire des visites académiques à Madrid et à Barcelone. Ces voyages de quelques jours ont été très intéressants avec la visite de stades et infrastructures mythiques tels que le Bernabeu, Wanda Metropolitano, le Camp Nou, le Stade Cornellà-El Pratque, le WiZink Center et le Reial Club de Tenis Barcelona.Peux-tu nous décrire les matières ainsi que le fonctionnement des cours et expériences pédagogiques ?
Toutes les personnes travaillant à ESBS by AMOS (AMOS Valence) que ce soit le directeur, l’administration ainsi que les intervenants étaient tous très accueillants et très sympas. Les intervenants sont de qualité et étaient investis. Certains venaient de Madrid pour nous faire cours. J’ai bien aimé la manière de travailler des intervenants : une partie de cours théorique et une partie concrète. Cela nous permet de mettre en pratique tout ce qu’on a pu apprendre et de finir par une présentation orale.Quel est ton meilleur souvenir ?
Je n’ai pas un souvenir en particulier, c’est l’ensemble de toutes les sorties, activités, galères et la vie en colocation avec mes copines que je retiens ! Cette expérience a créée encore plus de lien entre nous. Et pour garder un souvenir de cette année-là à Valence, nous nous sommes même fait un piercing en commun...
Tu es actuellement en stage à l’EuroProBasket à l’Alqueria del Basket à Valence. Comment as-tu trouvé ce stage ? Pourquoi le basket ?
Oui c’est ça, je suis à l’EuroProBasket à l’Alqueria à Valence. Je l’ai trouvé sur internet, en effectuant des recherches sur des entreprises, clubs, académies, agences de basket. Je voulais l’effectuer dans une entreprise qui vendait un service plutôt qu’un produit pour changer de mon premier stage dans la distribution. Je recherchais principalement à Valence car je voulais continuer mon apprentissage à l’étranger et m’améliorer en langues. L’académie de basket propose plusieurs programmes en fonction de ce que recherche le joueur. J’ai beaucoup aimé le concept et l’idée qu’a l’entreprise d’aider et de les mettre en avant. De plus, l’entreprise possède un événement chaque été : l’European Summer League. Lors de ma recherche de stage, j’étais ouverte sur toutes les disciplines sportives mais j’avais tout de même une préférence pour le basketball et le football. Ce sont des sports attrayants dans lesquels j’aimerais évoluer plus tard. J’ai notamment pratiqué le basket pendant 3 ans dont une année à AMOS Marseille avec l’équipe féminine de l’école mais nous avons été stoppés par la COVID et le confinement.Quelles sont tes missions au quotidien ? Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton stage ?
Les missions sont très polyvalentes, c’est ça que j’aime beaucoup ici. J’ai pu toucher à la communication, en prenant des photos et vidéos des entrainements et matchs des joueurs. J’ai également créé une base de données avec tous les clubs de basket français en National 1, 2 et 3 pour ensuite faire de la prospection par e-mail. Je peux être parfois amenée à aider le coach sur le terrain et préparer le matériel qui va être utilisé lors des entrainements et matchs. Ce que j’aime le plus dans ce stage, c’est la polyvalence des missions ainsi que la proximité avec le terrain car nous ne sommes pas dans des bureaux isolés mais notre espace de travail se trouve face au terrain d’entrainement. Il n’y a pas d’écart entre ce qui se passe sur le terrain et ce qui se passe au bureau. De plus, mon stage se trouve dans la plus grande structure de basket d’Europe, il y a 8 terrains intérieur, 4 terrains extérieur et un terrain central indoor où a lieu les matchs de l’équipe B de Valencia Basket. Je trouve ça incroyable de travailler dans une telle structure !
Qu’est-ce que cela t’a apporté d’être en PGI au sein d’AMOS ?
Ce choix d’être en PGI (Programme Grande Ecole International) m’a apporté beaucoup de maturité et d’expérience. Je me sens maintenant capable de travailler ou d’évoluer dans un milieu international. J’ai également énormément progressé en langues notamment en anglais car les cours étaient entièrement en anglais et mon stage se passe également en anglais car c’est une entreprise qui accueille des joueurs du monde entier. Ce programme m’a également permis de voir dans quel domaine j’aimerais évoluer !Un petit mot pour encourager des étudiant.e.s à se lancer dans le programme international ?
Je recommande à tout le monde de partir au moins une fois dans sa vie à l’étranger pendant une longue durée ! Tu apprends beaucoup sur toi-même, tu ressors différent et tu découvres un nouveau pays, une nouvelle ville et tu rencontres des gens exceptionnels.Est-ce que tu souhaites rajouter quelque chose d’important ?
« Le voyage est la seule chose qu'on achète qui nous rend plus riche »
10 May 2022
Interview Etudiant, Kheira Mlanao - AMOS Valence, Espagne
Salut Kheira, comment vas-tu ? Comment s’est passée ton expérience à Valence ?
Ça va bien merci ! Alors ça s’est très bien passé, je pense avoir fait le meilleur choix de ma vie en choisissant de partir à l’étranger. Je n’aurais jamais pensé vivre aussi longtemps loin de ma famille mais tout s’est super bien passé. Nous étions une classe très soudée même si nous n’étions pas mélangés avec des étudiants étrangers. Nous avons également eu la chance de faire des visites académiques à Madrid et à Barcelone. Ces voyages de quelques jours ont été très intéressants avec la visite de stades et infrastructures mythiques tels que le Bernabeu, Wanda Metropolitano, le Camp Nou, le Stade Cornellà-El Pratque, le WiZink Center et le Reial Club de Tenis Barcelona.Peux-tu nous décrire les matières ainsi que le fonctionnement des cours et expériences pédagogiques ?
Toutes les personnes travaillant à ESBS by AMOS (AMOS Valence) que ce soit le directeur, l’administration ainsi que les intervenants étaient tous très accueillants et très sympas. Les intervenants sont de qualité et étaient investis. Certains venaient de Madrid pour nous faire cours. J’ai bien aimé la manière de travailler des intervenants : une partie de cours théorique et une partie concrète. Cela nous permet de mettre en pratique tout ce qu’on a pu apprendre et de finir par une présentation orale.Quel est ton meilleur souvenir ?
Je n’ai pas un souvenir en particulier, c’est l’ensemble de toutes les sorties, activités, galères et la vie en colocation avec mes copines que je retiens ! Cette expérience a créée encore plus de lien entre nous. Et pour garder un souvenir de cette année-là à Valence, nous nous sommes même fait un piercing en commun...
Tu es actuellement en stage à l’EuroProBasket à l’Alqueria del Basket à Valence. Comment as-tu trouvé ce stage ? Pourquoi le basket ?
Oui c’est ça, je suis à l’EuroProBasket à l’Alqueria à Valence. Je l’ai trouvé sur internet, en effectuant des recherches sur des entreprises, clubs, académies, agences de basket. Je voulais l’effectuer dans une entreprise qui vendait un service plutôt qu’un produit pour changer de mon premier stage dans la distribution. Je recherchais principalement à Valence car je voulais continuer mon apprentissage à l’étranger et m’améliorer en langues. L’académie de basket propose plusieurs programmes en fonction de ce que recherche le joueur. J’ai beaucoup aimé le concept et l’idée qu’a l’entreprise d’aider et de les mettre en avant. De plus, l’entreprise possède un événement chaque été : l’European Summer League. Lors de ma recherche de stage, j’étais ouverte sur toutes les disciplines sportives mais j’avais tout de même une préférence pour le basketball et le football. Ce sont des sports attrayants dans lesquels j’aimerais évoluer plus tard. J’ai notamment pratiqué le basket pendant 3 ans dont une année à AMOS Marseille avec l’équipe féminine de l’école mais nous avons été stoppés par la COVID et le confinement.Quelles sont tes missions au quotidien ? Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton stage ?
Les missions sont très polyvalentes, c’est ça que j’aime beaucoup ici. J’ai pu toucher à la communication, en prenant des photos et vidéos des entrainements et matchs des joueurs. J’ai également créé une base de données avec tous les clubs de basket français en National 1, 2 et 3 pour ensuite faire de la prospection par e-mail. Je peux être parfois amenée à aider le coach sur le terrain et préparer le matériel qui va être utilisé lors des entrainements et matchs. Ce que j’aime le plus dans ce stage, c’est la polyvalence des missions ainsi que la proximité avec le terrain car nous ne sommes pas dans des bureaux isolés mais notre espace de travail se trouve face au terrain d’entrainement. Il n’y a pas d’écart entre ce qui se passe sur le terrain et ce qui se passe au bureau. De plus, mon stage se trouve dans la plus grande structure de basket d’Europe, il y a 8 terrains intérieur, 4 terrains extérieur et un terrain central indoor où a lieu les matchs de l’équipe B de Valencia Basket. Je trouve ça incroyable de travailler dans une telle structure !
Qu’est-ce que cela t’a apporté d’être en PGI au sein d’AMOS ?
Ce choix d’être en PGI (Programme Grande Ecole International) m’a apporté beaucoup de maturité et d’expérience. Je me sens maintenant capable de travailler ou d’évoluer dans un milieu international. J’ai également énormément progressé en langues notamment en anglais car les cours étaient entièrement en anglais et mon stage se passe également en anglais car c’est une entreprise qui accueille des joueurs du monde entier. Ce programme m’a également permis de voir dans quel domaine j’aimerais évoluer !Un petit mot pour encourager des étudiant.e.s à se lancer dans le programme international ?
Je recommande à tout le monde de partir au moins une fois dans sa vie à l’étranger pendant une longue durée ! Tu apprends beaucoup sur toi-même, tu ressors différent et tu découvres un nouveau pays, une nouvelle ville et tu rencontres des gens exceptionnels.Est-ce que tu souhaites rajouter quelque chose d’important ?
« Le voyage est la seule chose qu'on achète qui nous rend plus riche »