L’AFFECTIF AU COEUR DU MERCHANDISING DE l’OL

Diplômé en septembre 2018, Alexis Manson revient sur son parcours à AMOS pour présenter son métier de « commercial GMS à l’OL Merchandising ». Alexis a débuté en alternance puis en contrat de professionnalisation au sein de l’OL Merchandising avant d’être embauché en CDI avant même la remise des diplômes où il a reçu le prix du meilleur mémoire. Alexis nous présente le marché des produits dérivés d’un club de football prestigieux, les particularités de l’OL dans son approche de la distribution de produits et de sa Business Unit Merchandising. Notre alumni lyonnais revient en détail sur ses missions et les qualités requises pour réaliser ce métier.
Peux-tu nous présenter ton parcours avant d’intégrer l’OL merchandising ?
« J’ai obtenu un bac Economique et Social en 2012, ensuite j’ai effectué une licence STAPS Education et Motricité à Nice. A l’origine, j’ai choisi cette orientation car je voulais être prof d’EPS mais finalement je me suis aperçu que ce n’était pas ma vocation. Je suis venu à Lyon où j’ai fait une première année de Master préparation physique, préparation mentale et réathlétisation au STAPS de Lyon. A la fin de cette année de Master, c’était un moment charnière où je me suis demandé ce que je voulais faire. On m’avait parlé d’AMOS, j’ai passé le concours et j’ai intégré AMOS en 4ème année Programme Grande Ecole.
Lors de cette 1ère année de Master, j’ai fait mon alternance en tant que Market Manager à la Centrale du Sport. Je m’occupais de la partie BDE, BDS mais également des clubs de sport, je prospectais énormément afin de vendre différentes solutions textiles pour leurs événements. »
En 5ème année Programme Grande Ecole, tu as intégré l’OL Merchandising ?
« J’ai débuté à l’OL Merchandising en tant que stagiaire en fin de 4ème année puis dès la rentrée de 5ème année, l’OL Merchandising m’a proposé un contrat de professionnalisation en tant qu’attaché commercial GMS. Ensuite, à la fin de mes études, ils m’ont embauché en CDI. »
Peux-tu nous présenter la branche « OL Merchandising » ?
« L’objectif de la Business Unit OL Merchandising est de promouvoir la marque au travers de ses produits dérivés. De la conception à la distribution, l’ensemble des métiers sont intégrés au sein de la BU Merchandising : création produits, marketing, achats, logistique, E-commerce, boutiques, commerciaux, finance etc …
Les circuits de distributions sont les boutiques OL STORE (Lyon, Décines et Villefranche-sur-Saône), le site E-commerce (intégré à 100%), les ventes Jour d’event (Match, concerts, …), la grande distribution sportive et alimentaire et le B2B avec nos partenaires. »
Quels sont les différents types d’enseignes où sont commercialisés les produits dérivés de l’OL ?
« Nous commercialisons nos produits de l’Olympique Lyonnais en B to B dans des enseignes de grande distribution alimentaire comme Carrefour, Carrefour Market, Leclerc, Intermarché, Auchan ; dans des enseignes sportives comme Intersport, Decathlon, GoSport, Sport2000, ou encore dans des magasins tels que Cultura, Relay et Total par exemple en complément des canaux de distribution spécifiques OL comme les boutiques officielles et le E-Commerce.
Nous avons aussi des points de vente stade qui ne sont pas gérés par la même personne que la boutique du stade. Ce sont des kiosques qui sont autour et dans le stade et qui font partie intégrante d’un parcours d’achat du client puisqu’ils sont à l’intérieur du stade et à l’extérieur sur le parvis. Cela génère des revenus assez intéressants les soirs de matchs. »
Quel CA représente l’OL Merchandising ?
« L’OL Groupe est côté en Bourse, l’ensemble des chiffres est communiqué publiquement. La catégorie merchandising comptabilise l’ensemble des ventes de produits sur l’ensemble des canaux de distribution. Selon SportBuzz Business, « Pour la catégorie « marque », le merchandising est lui en légère baisse à 8,5M€ contre 8,8M€ il y a un an. Le club justifie ce recul par le climat social de fin d’année (Gilets jaunes) qui a impacté directement les ventes dans ses boutiques. » 1
Peux-tu nous exposer le marché, le paysage concurrentiel et les spécificités de l’OL Merchandising ?
« Notre activité est assez spécifique, puisque lorsque nous réalisons un produit de l’OL forcément tu n’as pas de concurrence directe. En concurrence sportive, sur le territoire lyonnais, nous avons les autres clubs de la région comme le LOU rugby et LDLC ASVEL qui proposent également une offre sportive.
La vraie particularité de nos métiers liés à un club sportif et plus particulièrement à un club de football, est que nous touchons l’affectif de nos clients. Les achats de produits dérivés permettent d’entretenir une relation étroite avec nos fans, ce sont également des cadeaux qui peuvent être achetés pour faire plaisir à un proche fan de football.
Sur un territoire plus étendu, nous sommes en concurrence avec les autres clubs de football qui proposent également des produits. A l’OL, nous avons la particularité d’avoir notre propre « bureau produit ». Par conséquent le cycle de vie d’un produit chez nous est suivi de A à Z par le bureau produit de L’OL, ce qui n’est pas le cas dans la plupart des clubs.
Dans les autres clubs de football, bien souvent, c’est un prestataire extérieur qui fabrique le produit mais assure aussi sa distribution, ce qui n’est pas notre cas à l’OL. Le prestataire propose une écharpe personnalisée aux couleurs du club avec la couleur qui change pour chaque club sportif mais reste sur un modèle commun. Pour les autres clubs, ce prestataire se charge ensuite de la distribution de ces écharpes.
En revanche, à l’OL, nous pouvons sous-traiter la fabrication de certains produits mais nous nous occupons de la distribution ce qui permet une meilleure gestion économique. En comparaison à d’autres clubs qui sous-traitent la majorité de leurs étapes de productions et de distribution à des entreprises spécialisées.
L’avantage pour nous est de pouvoir contrôler et maitriser tout le process. C’est une des spécificités de l’OL, qui doit être un des seuls clubs en France à fonctionner ainsi. Les autres clubs vont proposer le produit et s’occuper de la distribution dans leurs boutiques officielles, mais pas dans la grande distribution, ce sont les commerciaux de l’entreprise qui ont créé l’écharpe qui se chargeront de cette partie. »
Quels types de produits dérivés sont fabriqués et distribués ?
« Nous avons un nombre de références faramineux, nous avons plusieurs milliers de produits chaque année et nous renouvelons plus d’un tiers des références chaque saison.
A l’OL Merchandising, nous avons trois grandes catégories de produits : Les produits équipementier Adidas, avec les ensembles, shorts, tee-shirts, parkas, survêtements… Ensuite l’ensemble des produits que l’on propose en « marque blanche ». Il s’agit de produits estampillés Olympique Lyonnais, qui ne sont pas des produits équipementiers Adidas, ce sont les seuls produits que j’ai le droit de vendre en grande distribution.
En grande distribution, je commercialise une partie du catalogue et non l’intégralité, pour des questions de faisabilité. Certains produits se vendent bien en boutique ou en vente à distance mais on ne peut pas spécialement les mettre en magasins, d’un point de vue packaging et support.
Enfin, la troisième catégorie de produit sont les produits sous licence. Ce sont principalement les produits électroniques avec les manettes de jeu, les écouteurs et casques, ou encore le Monopoly de l’Olympique Lyonnais. »
En tant que commercial GMS, quelles sont tes missions au quotidien ?
« Mon rôle en tant que commercial est d’accompagner mes clients et de vendre mes produits. Je m’occupe de rendre visite aux différents magasins avec qui on travaille pour être en contact avec le client, connaitre ses besoins, je m’assure que les prix soient bons, que la mise en rayon soit propre et que les produits ne soient pas détériorés. Je gère également les saisies de commandes, le suivi et la gestion client, ainsi que le service après-vente auprès des distributeurs.
La prospection fait partie intégrante de mes fonctions, je multiplie les rendez-vous avec différents clients pour commercialiser les produits de l’OL au sein de leur point de vente. »
Quel est ton territoire d’action ?
« Notre zone de chalandise est assez étendue, avec tous les départements Rhône-Alpes sauf le 42, la Loire, et on monte jusqu’au Beaujolais avec Chalon-Sur-Saône, Macon, etc. Je suis en charge de la partie Sud de Lyon, je descends jusqu’à Montélimar avec Bourgoin, Vienne, Valence, Grenoble, nous restons sur un secteur régional, contrairement à d’autres clubs qui confient la gestion commerciale au niveau national à leur prestataire et fabricant. Mon collègue s’occupe plutôt du secteur Nord de Lyon, jusqu’à Chalon-Sur-Saône.
Nous nous concentrons principalement sur le régional, nous traitons en direct avec nos clients contrairement aux prestataires qui eux fonctionnent majoritairement auprès des centrales d’achat des distributeurs, qui regroupent toutes ces démarches. »
Quels sont les enjeux de ton poste, les qualités requises pour ce type de métier ?
« J’ai des objectifs à atteindre tous les mois et l’objectif de se challenger aussi. Les enjeux de ce poste sont d’assurer une présence sur le terrain, être un bon communicant et commercial. Le but premier est de faire du chiffre d’affaires, de vendre nos produits, mais au-delà de cela communiquer sur l’image de marque de l’Olympique Lyonnais à travers la diffusion de nos produits dans les magasins du territoire, de diffuser la marque et participer à l’image de marque.
Concernant les qualités requises, je dirais que ce sont des qualités inhérentes aux commerciaux en général, c’est-à-dire être un compétiteur, aller chercher ses objec tifs, en faire toujours plus. Il faut posséder des qualités relationnelles. La connaissance de son marché est une partie importante, connaitre son secteur, ses produits, on vend aussi bien sur de l’alimentaire avec les grandes surfaces que des magasins plus spécialisés dans le sport. Il faut rester au courant de ce qu’il peut se faire dans ces deux secteurs là avec les nouveaux produits, leurs tarifs, nous devons faire de la veille en permanence.
Il faut être curieux et s’intéresser à la concurrence et au marché. Il faut aussi être organisé, avec toutes les tournées, prévoir quel magasin aller voir et dans quel ordre pour être efficace, connaitre ses objectifs à chaque rendez-vous.
Selon moi, une qualité primordiale pour être commercial est l’empathie, travailler avec la personne pour connaitre ses besoins, quels produits sont plus susceptibles de l’intéresser. L’honnêteté est également de rigueur dans le milieu commercial, contrairement à l’image parfois peu reluisante des commerciaux, je pars du principe que l’honnêteté paye toujours dans notre métier. Il faut également être force de proposition, essayer d’apporter des solutions adaptées à ses clients. La persévérance et l’acceptation du refus sont des qualités de commercial, il m’est arrivé de prendre des refus, au début c’est compliqué mais cela fait partie du métier donc il faut persévérer et ne rien lâcher. »
Quelles sont tes perspectives d’évolution ?
« Sur mon poste, l’objectif que je me fixe est de prospecter davantage notamment pour augmenter notre chiffre d’affaires ! L’idée de découvrir l’aspect commercial dans un autre service comme la billetterie BtoB pourrait être une perspective d’évolution intéressante. »
Qu’est-ce que t’a apporté AMOS dans la construction de ton parcours ?
« Mes années à AMOS m’ont permis de prendre confiance en moi lors des différentes présentations orales que nous avons réalisées. Aujourd’hui, l’échange avec les interlocuteurs est primordial, c’est ce qui anime mon métier.
Les travaux de groupe m’ont conforté dans mon souhait de travailler en interaction avec différentes personnes, de multiplier les échanges. AMOS m’a également inculqué les bases commerciales appliquées au secteur du sport, au sens large du terme, avec la gestion d’une entreprise sportive, d’un point de vue financier, marketing, communication. Nous avons eu la chance d’échanger avec des intervenants de qualité, et spécialisés dans le sport tout au long de la scolarité. »
Peux-tu nous présenter ton parcours avant d’intégrer l’OL merchandising ?
« J’ai obtenu un bac Economique et Social en 2012, ensuite j’ai effectué une licence STAPS Education et Motricité à Nice. A l’origine, j’ai choisi cette orientation car je voulais être prof d’EPS mais finalement je me suis aperçu que ce n’était pas ma vocation. Je suis venu à Lyon où j’ai fait une première année de Master préparation physique, préparation mentale et réathlétisation au STAPS de Lyon. A la fin de cette année de Master, c’était un moment charnière où je me suis demandé ce que je voulais faire. On m’avait parlé d’AMOS, j’ai passé le concours et j’ai intégré AMOS en 4ème année Programme Grande Ecole.
Lors de cette 1ère année de Master, j’ai fait mon alternance en tant que Market Manager à la Centrale du Sport. Je m’occupais de la partie BDE, BDS mais également des clubs de sport, je prospectais énormément afin de vendre différentes solutions textiles pour leurs événements. »
En 5ème année Programme Grande Ecole, tu as intégré l’OL Merchandising ?
« J’ai débuté à l’OL Merchandising en tant que stagiaire en fin de 4ème année puis dès la rentrée de 5ème année, l’OL Merchandising m’a proposé un contrat de professionnalisation en tant qu’attaché commercial GMS. Ensuite, à la fin de mes études, ils m’ont embauché en CDI. »
Peux-tu nous présenter la branche « OL Merchandising » ?
« L’objectif de la Business Unit OL Merchandising est de promouvoir la marque au travers de ses produits dérivés. De la conception à la distribution, l’ensemble des métiers sont intégrés au sein de la BU Merchandising : création produits, marketing, achats, logistique, E-commerce, boutiques, commerciaux, finance etc …
Les circuits de distributions sont les boutiques OL STORE (Lyon, Décines et Villefranche-sur-Saône), le site E-commerce (intégré à 100%), les ventes Jour d’event (Match, concerts, …), la grande distribution sportive et alimentaire et le B2B avec nos partenaires. »
Quels sont les différents types d’enseignes où sont commercialisés les produits dérivés de l’OL ?
« Nous commercialisons nos produits de l’Olympique Lyonnais en B to B dans des enseignes de grande distribution alimentaire comme Carrefour, Carrefour Market, Leclerc, Intermarché, Auchan ; dans des enseignes sportives comme Intersport, Decathlon, GoSport, Sport2000, ou encore dans des magasins tels que Cultura, Relay et Total par exemple en complément des canaux de distribution spécifiques OL comme les boutiques officielles et le E-Commerce.
Nous avons aussi des points de vente stade qui ne sont pas gérés par la même personne que la boutique du stade. Ce sont des kiosques qui sont autour et dans le stade et qui font partie intégrante d’un parcours d’achat du client puisqu’ils sont à l’intérieur du stade et à l’extérieur sur le parvis. Cela génère des revenus assez intéressants les soirs de matchs. »
Quel CA représente l’OL Merchandising ?
« L’OL Groupe est côté en Bourse, l’ensemble des chiffres est communiqué publiquement. La catégorie merchandising comptabilise l’ensemble des ventes de produits sur l’ensemble des canaux de distribution. Selon SportBuzz Business, « Pour la catégorie « marque », le merchandising est lui en légère baisse à 8,5M€ contre 8,8M€ il y a un an. Le club justifie ce recul par le climat social de fin d’année (Gilets jaunes) qui a impacté directement les ventes dans ses boutiques. » 1
Peux-tu nous exposer le marché, le paysage concurrentiel et les spécificités de l’OL Merchandising ?
« Notre activité est assez spécifique, puisque lorsque nous réalisons un produit de l’OL forcément tu n’as pas de concurrence directe. En concurrence sportive, sur le territoire lyonnais, nous avons les autres clubs de la région comme le LOU rugby et LDLC ASVEL qui proposent également une offre sportive.
La vraie particularité de nos métiers liés à un club sportif et plus particulièrement à un club de football, est que nous touchons l’affectif de nos clients. Les achats de produits dérivés permettent d’entretenir une relation étroite avec nos fans, ce sont également des cadeaux qui peuvent être achetés pour faire plaisir à un proche fan de football.
Sur un territoire plus étendu, nous sommes en concurrence avec les autres clubs de football qui proposent également des produits. A l’OL, nous avons la particularité d’avoir notre propre « bureau produit ». Par conséquent le cycle de vie d’un produit chez nous est suivi de A à Z par le bureau produit de L’OL, ce qui n’est pas le cas dans la plupart des clubs.
Dans les autres clubs de football, bien souvent, c’est un prestataire extérieur qui fabrique le produit mais assure aussi sa distribution, ce qui n’est pas notre cas à l’OL. Le prestataire propose une écharpe personnalisée aux couleurs du club avec la couleur qui change pour chaque club sportif mais reste sur un modèle commun. Pour les autres clubs, ce prestataire se charge ensuite de la distribution de ces écharpes.
En revanche, à l’OL, nous pouvons sous-traiter la fabrication de certains produits mais nous nous occupons de la distribution ce qui permet une meilleure gestion économique. En comparaison à d’autres clubs qui sous-traitent la majorité de leurs étapes de productions et de distribution à des entreprises spécialisées.
L’avantage pour nous est de pouvoir contrôler et maitriser tout le process. C’est une des spécificités de l’OL, qui doit être un des seuls clubs en France à fonctionner ainsi. Les autres clubs vont proposer le produit et s’occuper de la distribution dans leurs boutiques officielles, mais pas dans la grande distribution, ce sont les commerciaux de l’entreprise qui ont créé l’écharpe qui se chargeront de cette partie. »
Quels types de produits dérivés sont fabriqués et distribués ?
« Nous avons un nombre de références faramineux, nous avons plusieurs milliers de produits chaque année et nous renouvelons plus d’un tiers des références chaque saison.
A l’OL Merchandising, nous avons trois grandes catégories de produits : Les produits équipementier Adidas, avec les ensembles, shorts, tee-shirts, parkas, survêtements… Ensuite l’ensemble des produits que l’on propose en « marque blanche ». Il s’agit de produits estampillés Olympique Lyonnais, qui ne sont pas des produits équipementiers Adidas, ce sont les seuls produits que j’ai le droit de vendre en grande distribution.
En grande distribution, je commercialise une partie du catalogue et non l’intégralité, pour des questions de faisabilité. Certains produits se vendent bien en boutique ou en vente à distance mais on ne peut pas spécialement les mettre en magasins, d’un point de vue packaging et support.
Enfin, la troisième catégorie de produit sont les produits sous licence. Ce sont principalement les produits électroniques avec les manettes de jeu, les écouteurs et casques, ou encore le Monopoly de l’Olympique Lyonnais. »
En tant que commercial GMS, quelles sont tes missions au quotidien ?
« Mon rôle en tant que commercial est d’accompagner mes clients et de vendre mes produits. Je m’occupe de rendre visite aux différents magasins avec qui on travaille pour être en contact avec le client, connaitre ses besoins, je m’assure que les prix soient bons, que la mise en rayon soit propre et que les produits ne soient pas détériorés. Je gère également les saisies de commandes, le suivi et la gestion client, ainsi que le service après-vente auprès des distributeurs.
La prospection fait partie intégrante de mes fonctions, je multiplie les rendez-vous avec différents clients pour commercialiser les produits de l’OL au sein de leur point de vente. »
Quel est ton territoire d’action ?
« Notre zone de chalandise est assez étendue, avec tous les départements Rhône-Alpes sauf le 42, la Loire, et on monte jusqu’au Beaujolais avec Chalon-Sur-Saône, Macon, etc. Je suis en charge de la partie Sud de Lyon, je descends jusqu’à Montélimar avec Bourgoin, Vienne, Valence, Grenoble, nous restons sur un secteur régional, contrairement à d’autres clubs qui confient la gestion commerciale au niveau national à leur prestataire et fabricant. Mon collègue s’occupe plutôt du secteur Nord de Lyon, jusqu’à Chalon-Sur-Saône.
Nous nous concentrons principalement sur le régional, nous traitons en direct avec nos clients contrairement aux prestataires qui eux fonctionnent majoritairement auprès des centrales d’achat des distributeurs, qui regroupent toutes ces démarches. »
Quels sont les enjeux de ton poste, les qualités requises pour ce type de métier ?
« J’ai des objectifs à atteindre tous les mois et l’objectif de se challenger aussi. Les enjeux de ce poste sont d’assurer une présence sur le terrain, être un bon communicant et commercial. Le but premier est de faire du chiffre d’affaires, de vendre nos produits, mais au-delà de cela communiquer sur l’image de marque de l’Olympique Lyonnais à travers la diffusion de nos produits dans les magasins du territoire, de diffuser la marque et participer à l’image de marque.
Concernant les qualités requises, je dirais que ce sont des qualités inhérentes aux commerciaux en général, c’est-à-dire être un compétiteur, aller chercher ses objec tifs, en faire toujours plus. Il faut posséder des qualités relationnelles. La connaissance de son marché est une partie importante, connaitre son secteur, ses produits, on vend aussi bien sur de l’alimentaire avec les grandes surfaces que des magasins plus spécialisés dans le sport. Il faut rester au courant de ce qu’il peut se faire dans ces deux secteurs là avec les nouveaux produits, leurs tarifs, nous devons faire de la veille en permanence.
Il faut être curieux et s’intéresser à la concurrence et au marché. Il faut aussi être organisé, avec toutes les tournées, prévoir quel magasin aller voir et dans quel ordre pour être efficace, connaitre ses objectifs à chaque rendez-vous.
Selon moi, une qualité primordiale pour être commercial est l’empathie, travailler avec la personne pour connaitre ses besoins, quels produits sont plus susceptibles de l’intéresser. L’honnêteté est également de rigueur dans le milieu commercial, contrairement à l’image parfois peu reluisante des commerciaux, je pars du principe que l’honnêteté paye toujours dans notre métier. Il faut également être force de proposition, essayer d’apporter des solutions adaptées à ses clients. La persévérance et l’acceptation du refus sont des qualités de commercial, il m’est arrivé de prendre des refus, au début c’est compliqué mais cela fait partie du métier donc il faut persévérer et ne rien lâcher. »
Quelles sont tes perspectives d’évolution ?
« Sur mon poste, l’objectif que je me fixe est de prospecter davantage notamment pour augmenter notre chiffre d’affaires ! L’idée de découvrir l’aspect commercial dans un autre service comme la billetterie BtoB pourrait être une perspective d’évolution intéressante. »
Qu’est-ce que t’a apporté AMOS dans la construction de ton parcours ?
« Mes années à AMOS m’ont permis de prendre confiance en moi lors des différentes présentations orales que nous avons réalisées. Aujourd’hui, l’échange avec les interlocuteurs est primordial, c’est ce qui anime mon métier.
Les travaux de groupe m’ont conforté dans mon souhait de travailler en interaction avec différentes personnes, de multiplier les échanges. AMOS m’a également inculqué les bases commerciales appliquées au secteur du sport, au sens large du terme, avec la gestion d’une entreprise sportive, d’un point de vue financier, marketing, communication. Nous avons eu la chance d’échanger avec des intervenants de qualité, et spécialisés dans le sport tout au long de la scolarité. »
Rédigé par Anne-Charlotte Meyer, Chargée de Communication à AMOS LYON

Groupama Stadium ©OL
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Témoignage Etudiant, Critérium du Dauphiné 2022
Rencontre avec notre étudiant Louis SORIA
Etudiant en 2ème année sur le campus AMOS Lyon, Louis a eu la chance de vivre l’une des courses mythiques de cyclisme en France durant toute la durée de l’événement grâce à Sporeo. Dans le cadre des expériences professionnelles proposées par AMOS, ce passionné de cyclisme a eu l’occasion de participer à toutes étapes du Critérium du Dauphiné 2022 via notre partenariat avec Sporeo créé en janvier 2019 par deux alumni, Mathieu Baillet et Thibaut Houot, diplômés en 2016-2017. La start-up accompagne et conseille les détenteurs de droits sur le merchandising et licensing, en apportant une expérience consommateur, fan, spectateur... novatrice et personnalisée, faisant vivre l’événement tout au long de l’année. Cette 74e édition accueillait donc 22 équipes pour s’affronter sur toute la Région Auvergne-Rhône-Alpes entre le 5 et le 12 juin dernier. Cette course est réputée pour proposer des étapes très montagneuses et être en quelques sortes une « répétition générale » à deux semaines et demie du départ du Tour de France.Sur quels types de missions étais-tu positionné durant le Critérium du Dauphiné ?
Cette mission était proposée par Sporeo sur toute la durée de la course. L’entreprise est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de produits dérivés sur les événements sportifs. Dans le monde du cyclisme, ils sont présents sur les principales courses en France : Tour de France, Critérium du Dauphiné, Paris-Nice, Paris-Roubaix, etc… mais également sur des courses à l’étranger comme le Deutschland Tour ou la Liège-Bastogne-Liège. Je travaillais donc comme vendeur pour la boutique officielle où nous vendions tous les produits brandés « Critérium du Dauphiné ». Il y avait donc tout ce qui était produits dérivés (décapsuleurs, porte-clefs, mugs, peluches, etc…), une gamme vêtements au nom de la course et made in France, une gamme Tour de France et enfin une gamme sportive Santini, qui est le distributeur des maillots de course distinctifs (à poids, jaune, blanc, etc …).
Comment se déroulait ta journée type ?
Tout d’abord, j’ai débuté cette expérience un jour avant le départ officiel de la course à La Voulte sur-Rhône en Ardèche. Cette journée a permis à l’équipe de se rencontrer et de se roder pour les 8 prochains jours. On m’a donc expliqué comment monter/démonter la boutique, l’organisation générale et j’ai dû également me familiariser avec tous les produits à vendre. En réalité, il y a deux boutiques à chaque étape : une au départ et une sur le village d’arrivée avec de nombreuses animations, foodtrucks, etc... J’étais donc placé sur l’arrivée lors des 3 premiers jours, puis au départ pour le reste de la course. A l’arrivée, le plus gros de la vente se fait entre 16h30 et 18h, une fois que les premiers coureurs terminent l’étape et sur le départ, nous vendions principalement entre 12h et 13h. Dans les villes et villages, c’était une clientèle assez variée entre locaux curieux et véritables connaisseurs.Quel a été ton meilleur souvenir sur la course ?
Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !
As-tu eu des moments plus compliqués sur la semaine ?
Le montage et démontage tous les jours devient fatigant vers la fin de l’événement, surtout lorsqu’on le fait sous la pluie ! Il ne faut pas craindre de se lever tôt également. C’est formateur pour découvrir les métiers liés à l’évènementiel sportif !Que retiendras-tu au final de cette belle expérience ?
C’est un événement vraiment chouette et il y a une ambiance géniale. On rencontre plein de personnes, plein de métiers différents. On ne s’ennuie jamais car on bouge tous les jours sur l’étape suivante. Je recommande vraiment cette expérience à tous les passionnés de cyclisme, et pas uniquement ! Un grand merci à toute l’équipe de Sporeo pour son accueil et leur transmission d’expériences tout au long de la semaine !24 Jun 2022
Témoignage Etudiant, Critérium du Dauphiné 2022
Rencontre avec notre étudiant Louis SORIA
Etudiant en 2ème année sur le campus AMOS Lyon, Louis a eu la chance de vivre l’une des courses mythiques de cyclisme en France durant toute la durée de l’événement grâce à Sporeo. Dans le cadre des expériences professionnelles proposées par AMOS, ce passionné de cyclisme a eu l’occasion de participer à toutes étapes du Critérium du Dauphiné 2022 via notre partenariat avec Sporeo créé en janvier 2019 par deux alumni, Mathieu Baillet et Thibaut Houot, diplômés en 2016-2017. La start-up accompagne et conseille les détenteurs de droits sur le merchandising et licensing, en apportant une expérience consommateur, fan, spectateur... novatrice et personnalisée, faisant vivre l’événement tout au long de l’année. Cette 74e édition accueillait donc 22 équipes pour s’affronter sur toute la Région Auvergne-Rhône-Alpes entre le 5 et le 12 juin dernier. Cette course est réputée pour proposer des étapes très montagneuses et être en quelques sortes une « répétition générale » à deux semaines et demie du départ du Tour de France.Sur quels types de missions étais-tu positionné durant le Critérium du Dauphiné ?
Cette mission était proposée par Sporeo sur toute la durée de la course. L’entreprise est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de produits dérivés sur les événements sportifs. Dans le monde du cyclisme, ils sont présents sur les principales courses en France : Tour de France, Critérium du Dauphiné, Paris-Nice, Paris-Roubaix, etc… mais également sur des courses à l’étranger comme le Deutschland Tour ou la Liège-Bastogne-Liège. Je travaillais donc comme vendeur pour la boutique officielle où nous vendions tous les produits brandés « Critérium du Dauphiné ». Il y avait donc tout ce qui était produits dérivés (décapsuleurs, porte-clefs, mugs, peluches, etc…), une gamme vêtements au nom de la course et made in France, une gamme Tour de France et enfin une gamme sportive Santini, qui est le distributeur des maillots de course distinctifs (à poids, jaune, blanc, etc …).
Comment se déroulait ta journée type ?
Tout d’abord, j’ai débuté cette expérience un jour avant le départ officiel de la course à La Voulte sur-Rhône en Ardèche. Cette journée a permis à l’équipe de se rencontrer et de se roder pour les 8 prochains jours. On m’a donc expliqué comment monter/démonter la boutique, l’organisation générale et j’ai dû également me familiariser avec tous les produits à vendre. En réalité, il y a deux boutiques à chaque étape : une au départ et une sur le village d’arrivée avec de nombreuses animations, foodtrucks, etc... J’étais donc placé sur l’arrivée lors des 3 premiers jours, puis au départ pour le reste de la course. A l’arrivée, le plus gros de la vente se fait entre 16h30 et 18h, une fois que les premiers coureurs terminent l’étape et sur le départ, nous vendions principalement entre 12h et 13h. Dans les villes et villages, c’était une clientèle assez variée entre locaux curieux et véritables connaisseurs.Quel a été ton meilleur souvenir sur la course ?
Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !
As-tu eu des moments plus compliqués sur la semaine ?
Le montage et démontage tous les jours devient fatigant vers la fin de l’événement, surtout lorsqu’on le fait sous la pluie ! Il ne faut pas craindre de se lever tôt également. C’est formateur pour découvrir les métiers liés à l’évènementiel sportif !Que retiendras-tu au final de cette belle expérience ?
C’est un événement vraiment chouette et il y a une ambiance géniale. On rencontre plein de personnes, plein de métiers différents. On ne s’ennuie jamais car on bouge tous les jours sur l’étape suivante. Je recommande vraiment cette expérience à tous les passionnés de cyclisme, et pas uniquement ! Un grand merci à toute l’équipe de Sporeo pour son accueil et leur transmission d’expériences tout au long de la semaine !22 Jun 2022
AMOS Sport Business School obtient le Label Génération 2024
AMOS Sport Business School inscrit son nom à la liste des établissements labellisés Génération 2024
Destiné aux écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur, le Label Génération 2024 est délivré par le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pour rappel, le Label Génération 2024 est pensé pour soutenir le développement de la pratique sportive dans l’enseignement supérieur et renforcer ses objectifs d’inclusion, de santé, de respect et d’engagement citoyen en partenariat avec le mouvement sportif et le Comité d’organisation des prochains Jeux Olympiques. AMOS Sport Business School soutient un peu plus les Jeux de Paris 2024 en inscrivant son nom à la liste des établissements labellisés « Génération 2024 ». Obtenu en janvier 2021, ce Label est la concrétisation d’un investissement pérenne du Groupe AMOS auprès des différents acteurs sportifs, publics et privés. L’objectif de ce Label est de valoriser les établissements qui souhaitent s’inscrire dans une exploitation durable et structurée autour de 3 critères principaux :1. Développer des projets structurants avec les clubs sportifs du territoire
Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).22 Jun 2022