Lumière sur Julie Gayet et son futur film sur les Joueuses de L’OL Féminin

Nos AMOSciens ont interviewé les invités d’honneur du Festival comme la championne de natation Christine Caron, l’immense champion de ski Jean-Claude Killy et Michel Platini triple Ballon d’Or, mais également Julie Gayet, Christian Prudhomme, Julien Camy, Luc Dardenne, célèbre réalisateur aux deux palmes d’Or au Festival de Cannes, Delphine Gleize (« Beau Joueur ») et le rugbyman Richard Choirat. Des moments exceptionnels d’échanges et de partage entre passionnés du sport et de cinéma ! A cette occasion, nous avons échangé avec l’actrice et productrice Julie Gayet qui a présenté les premières images de son film sur l’équipe féminine de l’Olympique Lyonnais, qu’elle produit avec la réalisatrice Stéphanie Gaillard.
Pouvez-vous nous en dire plus sur ce projet de film ?
« C’est un film non achevé et c’est très rare de venir présenter un petit bout de film. On est d’ailleurs à Lyon au pôle Pixel pour le mixage, où on vient de finir le son avant de commencer le traitement des images.
Il s’agit d’un film de cinéma. L’idée était de parler de la meilleure équipe du monde qui est une équipe française et lyonnaise mais féminine, nous avons parfois tendance à l’oublier. Nous parlons beaucoup du football d’hommes mais on ne se rend pas compte que c’est la meilleure équipe, elle est vraiment historique, elle a gagné la Ligue des Champions six fois ! A ce jour, un seul documentaire a été réalisé à leur sujet. Il s’agit de Canal + intitulé “Un vrai sport de gonzesses”, qui a été présenté au Festival Sport, Littérature et Cinéma.
Notre pari est de faire un film de cinéma parce qu’on a surtout l’habitude de voir le football filmé à la télévision via les matchs de football. Nous souhaitons montrer véritablement ce que vivent les joueuses avant et pendant leurs matchs, entendre ce qui se passe dans leur tête, assister aux entrainements, partager les coulisses des matchs et les émotions des joueuses. C’est ça le pari de ce film.
Je suis venue montrer un petit extrait du film sur lequel nous travaillons actuellement avec Stéphanie Gillard la réalisatrice. Nous ferons une première mondiale j’espère dans un festival de cinéma.
Lorsque nous avons appelé la Fédération Française de Foot, ils étaient très surpris de notre demande d’obtenir les droits pour 30 ans pour réaliser un film de cinéma et non juste des droits de diffusion en fonction de l’actualité footballistique.
On a rencontré Brigitte Henriques, ancienne footballeuse française internationale A, qui occupe actuellement le poste de vice-présidente de la Fédération française de football depuis 2011 qui est également chargée du développement du football féminin. Elle a trouvé formidable que l’on réalise un film sur des joueuses de football féminin. »
Est-ce que vous pouvez nous dire un mot sur votre passion pour le football ?
« C’est vrai que j’ai grandi dans une famille avec deux frères. J’ai toujours joué au foot, je trouve que c’est le sport universel par excellence ! On pourrait avoir une canette de coca, ou n’importe quoi, on tape dans quelque chose, on joue, c’est un sport d’équipe par excellence et j’adorais ça.
J’ai joué toute mon enfance jusqu’à ce que je me rende compte au collège, très tôt donc en fait, qu’il n’y avait pas de filles dans les équipes, ce n’était pas mixte et pour moi c’était une évidence. Je ne faisais pas la différence fille/garçon et c’est là où j’ai senti que j’étais renvoyée à ma condition de femme tout à coup. C’était un peu particulier, surtout que je suis d’une génération où il n’y avait pas de différence dans l’éducation, où les écoles étaient mixtes.
Quand Stéphanie Gillard, la réalisatrice, est venue me voir pour me parler de cette idée de faire un documentaire sur le football féminin, j’ai tout de suite été intéressée. C’est important de montrer l’évolution du sport féminin, comme le disait Christine Caron avant la projection du film « Une équipe hors du commun », les sportives, même de haut niveau étaient considérées comme des amatrices et n’avaient pas de contrat professionnel. Les choses ont bien évolué ces dernières années. Nous montrons également comment tout à coup à Lyon, un homme a pris une décision, une décision politique selon moi, de donner des moyens et la meilleure équipe de football féminin a vu le jour.
Dans ce film, nous essayons de montrer que si nous donnions les moyens (pas forcément financiers) aux joueuses, nous pourrons monter haut.
Ce qui évolue positivement depuis la Coupe du Monde de football féminin, est le fait de professionnaliser le football féminin : avoir des entraîneurs, un suivi sportif, avoir tout simplement un vestiaire, un jeu de maillots. Toutes ces conditions sont réunies pour être professionnelle avec un contrat, même si nous ne sommes pas encore au niveau du football masculin avec les audiences TV et les salaires des joueurs. Ce film a pour vocation de traiter de la place des femmes dans le football à travers l’OL Féminin. Les choses sont en train d’évoluer avec la Women’s March, #MeToo sur les questions du Féminisme.
Puisque nous sommes dans la librairie du Festival Sport, Littérature et Cinéma, je vous conseille cet ouvrage « Du sexisme dans le sport » (de Béatrice Barbusse, édité par ANAMOSA, 2016), je m’en suis inspirée pour poser toutes ces questions. »
Vous supportez une équipe ?
« L’OL féminin. Je suis pro Jean-Michel Aulas[1]. Avec Noël Le Graët, il a changé la face du football féminin. Parce que je pense qu’il faut des gestes forts politiquement pour que les choses changent et une volonté pour faire bouger les lignes. »

[1] 1http://www.leparisien.fr/sports/football/julie-gayet-il-y-avait-urgence-a-faire-connaitre-l-equipe-de-france-feminine-de-foot-31-05-2019-8083707.php
Propos recueillis par Anne-Charlotte Meyer, Chargée de communication AMOS Lyon
Dorian Hauterville, parrain 2020 d’AMOS Lyon
Copyright : IBSF De l'athlétisme au bobsleigh Après des débuts en athlétisme de 2009 à 2016, plusieurs participations aux Championnats de France de 100m et un record en 10’’55, Dorian Hauterville est devenu membre de l’équipe de France de Bobsleigh. Après de très bons débuts dans la discipline et une participation à plusieurs étapes de Coupe du Monde, il ambitionne maintenant de décrocher une médaille olympique lors des Jeux de Pékin 2022.
Une vitesse de course impressionnante et un gabarit de pousseur

Décrocher une médaille olympique à Pékin
« Aujourd’hui, nous sommes installés depuis 2 ans dans le Top 6 mondial, nous avons même accroché une 5ème place l'année dernière. On est proche des Jeux Olympiques donc le but c'est toujours de monter en puissance. Ayant déjà fait les Jeux de 2018 et terminé 11ème, cette fois-ci j'aimerais bien y retourner pour jouer les premiers rôles. L'objectif est clair, c'est de décrocher une médaille en 2022 à Pékin ! » nous explique Dorian. En bobsleigh, il y a un pilote et des pousseurs. À l’ombre du pilote, le pousseur est indispensable et sa performance a un impact considérable. Il est décisif lors de la poussée où son rôle est d’emmener le bobsleigh le plus vite et longtemps possible. L’année dernière, une étape de la Coupe du monde s’est déroulée sur la piste olympique de la Plagne. Cela a changé beaucoup de choses pour Dorian et son pilote Romain Heinrich. En effet, les étapes mondiales se disputent majoritairement au Canada, aux États-Unis puis en Europe avec des manches en Autriche, en Lettonie ou encore en Norvège. Mais très rarement en France. Ils ont donc pu être encouragés par les membres du Club de bob, luge skeleton de Mâcot-la-Plagne, mais aussi par tous les spectateurs au bord du tube. Cette étape à la Plagne a été un réel plaisir pour eux, ils ont ainsi pu montrer tout leur savoir-faire à leur communauté qui les suivent notamment sur les réseaux sociaux.French Glisse pour développer et pérenniser le bobsleigh


Article rédigé par Florentin GERBET, chargé de communication AMOS Lyon.
Dorian Hauterville, parrain 2020 d’AMOS Lyon
Copyright : IBSF De l'athlétisme au bobsleigh Après des débuts en athlétisme de 2009 à 2016, plusieurs participations aux Championnats de France de 100m et un record en 10’’55, Dorian Hauterville est devenu membre de l’équipe de France de Bobsleigh. Après de très bons débuts dans la discipline et une participation à plusieurs étapes de Coupe du Monde, il ambitionne maintenant de décrocher une médaille olympique lors des Jeux de Pékin 2022.
Une vitesse de course impressionnante et un gabarit de pousseur

Décrocher une médaille olympique à Pékin
« Aujourd’hui, nous sommes installés depuis 2 ans dans le Top 6 mondial, nous avons même accroché une 5ème place l'année dernière. On est proche des Jeux Olympiques donc le but c'est toujours de monter en puissance. Ayant déjà fait les Jeux de 2018 et terminé 11ème, cette fois-ci j'aimerais bien y retourner pour jouer les premiers rôles. L'objectif est clair, c'est de décrocher une médaille en 2022 à Pékin ! » nous explique Dorian. En bobsleigh, il y a un pilote et des pousseurs. À l’ombre du pilote, le pousseur est indispensable et sa performance a un impact considérable. Il est décisif lors de la poussée où son rôle est d’emmener le bobsleigh le plus vite et longtemps possible. L’année dernière, une étape de la Coupe du monde s’est déroulée sur la piste olympique de la Plagne. Cela a changé beaucoup de choses pour Dorian et son pilote Romain Heinrich. En effet, les étapes mondiales se disputent majoritairement au Canada, aux États-Unis puis en Europe avec des manches en Autriche, en Lettonie ou encore en Norvège. Mais très rarement en France. Ils ont donc pu être encouragés par les membres du Club de bob, luge skeleton de Mâcot-la-Plagne, mais aussi par tous les spectateurs au bord du tube. Cette étape à la Plagne a été un réel plaisir pour eux, ils ont ainsi pu montrer tout leur savoir-faire à leur communauté qui les suivent notamment sur les réseaux sociaux.French Glisse pour développer et pérenniser le bobsleigh


Article rédigé par Florentin GERBET, chargé de communication AMOS Lyon.
Aline Chamereau, rêve d’une médaille olympique à Paris.
Nous avons le plaisir de vous présenter Aline Chamereau, marraine de la promotion 2020-2021 du campus AMOS Lyon. Des plages du Brésil, au Japon, en passant par l’Australie, Aline parcourt le monde pour pratiquer son sport et sa passion, le beach-volley. Âgée de 23 ans, elle représente avec sa coéquipière Alexandra Jupiter, une des futures chances de médaille aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020 et de Paris 2024.
Les JO de Tokyo en ligne de mire
Elle a commencé le volley indoor il y a 10 ans au Club de Villette Paul Bert à Lyon, et a très rapidement intégré le Pôle France espoir de volley indoor. Elle s’est ensuite essayée au beach-volley, avec brio, et participe actuellement à des tournois World Tour aux quatre coins du globe. Aline est ambitieuse, elle se fixe des objectifs très élevés. À court terme, son but est de se qualifier pour les Jeux Olympiques de Tokyo. Et à plus long terme, elle a pour objectif d’être médaillée aux Jeux Olympiques de Paris 2024, « à la maison », mais également au Championnat du monde. En parallèle, elle souhaite continuer à développer et structurer la pratique du beach-volley français, qui est encore peu répandue.

De la 176ème à la 23ème place du classement mondial
Aline et sa coéquipière, Alexandra Jupiter, ont réalisé un Top 10 au championnat d’Europe cette année. Début 2018, elles étaient classées 176èmes mondiale. Depuis, elles ont réalisé une fantastique remontée puisqu’elles occupent actuellement la 23ème place! Il reste une dernière petite marche à gravir jusqu’aux Jeux Olympiques de Tokyo puisqu’uniquement les 15 premières équipes seront qualifiées.
Aline et les AMOSciens font désormais équipe
A l’occasion d’une masterclass organisée par notre campus AMOS Lyon, nous avons eu la chance d’accueillir Aline Chamereau, venue présenter son projet, sa discipline et parler de l’organisation et du développement du beach-volley en France et à l’international. Afin de renforcer son lien avec notre campus lyonnais, Aline a souhaité confier 2 projets à nos étudiants. Ces deux projets tuteurés permettent à nos AMOSciens de travailler sur sa stratégie de communication et sur la création de contenu pour ses réseaux, mais aussi sur sa recherche de partenariats avec des missions de réalisation de plaquettes sponsoring, le démarchage d’entreprise ou encore la création et l’alimentation d’une base de données. AMOS Lyon est fier d’accueillir Aline Chamereau comme marraine de l’année 2020-2021 et nous lui apportons tout notre soutien pour la réussite de ses objectifs !Article rédigé par Florentin Gerbet, chargé de communication AMOS Lyon.
Aline Chamereau, rêve d’une médaille olympique à Paris.
Nous avons le plaisir de vous présenter Aline Chamereau, marraine de la promotion 2020-2021 du campus AMOS Lyon. Des plages du Brésil, au Japon, en passant par l’Australie, Aline parcourt le monde pour pratiquer son sport et sa passion, le beach-volley. Âgée de 23 ans, elle représente avec sa coéquipière Alexandra Jupiter, une des futures chances de médaille aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020 et de Paris 2024.
Les JO de Tokyo en ligne de mire
Elle a commencé le volley indoor il y a 10 ans au Club de Villette Paul Bert à Lyon, et a très rapidement intégré le Pôle France espoir de volley indoor. Elle s’est ensuite essayée au beach-volley, avec brio, et participe actuellement à des tournois World Tour aux quatre coins du globe. Aline est ambitieuse, elle se fixe des objectifs très élevés. À court terme, son but est de se qualifier pour les Jeux Olympiques de Tokyo. Et à plus long terme, elle a pour objectif d’être médaillée aux Jeux Olympiques de Paris 2024, « à la maison », mais également au Championnat du monde. En parallèle, elle souhaite continuer à développer et structurer la pratique du beach-volley français, qui est encore peu répandue.

De la 176ème à la 23ème place du classement mondial
Aline et sa coéquipière, Alexandra Jupiter, ont réalisé un Top 10 au championnat d’Europe cette année. Début 2018, elles étaient classées 176èmes mondiale. Depuis, elles ont réalisé une fantastique remontée puisqu’elles occupent actuellement la 23ème place! Il reste une dernière petite marche à gravir jusqu’aux Jeux Olympiques de Tokyo puisqu’uniquement les 15 premières équipes seront qualifiées.
Aline et les AMOSciens font désormais équipe
A l’occasion d’une masterclass organisée par notre campus AMOS Lyon, nous avons eu la chance d’accueillir Aline Chamereau, venue présenter son projet, sa discipline et parler de l’organisation et du développement du beach-volley en France et à l’international. Afin de renforcer son lien avec notre campus lyonnais, Aline a souhaité confier 2 projets à nos étudiants. Ces deux projets tuteurés permettent à nos AMOSciens de travailler sur sa stratégie de communication et sur la création de contenu pour ses réseaux, mais aussi sur sa recherche de partenariats avec des missions de réalisation de plaquettes sponsoring, le démarchage d’entreprise ou encore la création et l’alimentation d’une base de données. AMOS Lyon est fier d’accueillir Aline Chamereau comme marraine de l’année 2020-2021 et nous lui apportons tout notre soutien pour la réussite de ses objectifs !Article rédigé par Florentin Gerbet, chargé de communication AMOS Lyon.
Babloland, du rêve à la réalité
Étudiant en Master 1 Programme Grande Ecole à AMOS Lyon spécialisation Business Developer & Entrepreneur, Mathias Schmitt est passionné de sports de nature. Il est en train de réaliser un de ses rêves : créer Babloland, un parc d’attraction d’activités sportives en pleine nature près de Dijon, en Côte d’Or. Sortir de sa zone de confort ne lui fait pas peur puisqu’il souhaite mener à bien son projet qui occupe ses journées depuis bientôt plus de 2 ans, en complément de ses cours à AMOS. Nous avons rencontré cet entrepreneur dans l’âme qui nous présente son projet et en quoi sa formation à AMOS lui permet de réaliser son rêve.
Peux-tu nous présenter ton projet ?
« Mon projet est un rêve d’enfant, puisque j’ai commencé à le penser depuis mes 14 ans ! J’ai intégré AMOS afin de pouvoir le porter à son terme et le rendre concret. Mon idée est de proposer une offre d’activités aquatique, terrestre et aérienne, en un lieu unique, autour d’un personnage, Bablo. Les clients pourront ainsi, par exemple, profiter d’un aquapark, d’un accrobranche, d’un mur d’escalade, d’un parcours ninja ou encore d’un escape game. En parallèle, je proposerai un service de restauration rapide, un bar à thème, des logements insolites et un espace bien-être afin d’accueillir une clientèle plus large. Ma cible principale sont les familles avec enfants âgés entre 4 et 13 ans. Bien évidemment, je vise également les couples sans enfants et les groupes d’amis. Une offre événementielle B2B et B2C verra également le jour avec un espace de réception pour séminaires et mariages. L’ensemble des activités sportives seront à un prix unique, compris entre 20 et 30€ par personne. »
D’où viens ta fibre entrepreneuriale ?
« Ce n’est pas ma première aventure entrepreneuriale puisque j’ai déjà participé au 4L Trophy et à de nombreux autres projets personnels dans mon enfance. Je n’ai pas peur de sortir de ma zone de confort et je vois les choses en grand. Je suis membre du Réseau Entreprendre, une association qui aide les entrepreneurs à créer leur projet, et je bénéficie du statut national d’étudiant entrepreneur avec le réseau Pépite. »Où en es-tu dans ton projet ?
« Le projet a officiellement été lancé en 2018, à la suite d’une longue étude de marché. Actuellement, le parc est encore à l’état d’une maquette 100% digitale. Vous pouvez ainsi vivre une immersion totale à l’échelle 1:1 dans babloland.fr grâce à la réalité virtuelle. Le prochain jalon du projet est de trouver le terrain, en partenariat avec une collectivité locale qui puisse accueillir le projet Babloland avec un contrat de type concession comme cela peut être le cas pour les stations de ski. L’objectif est double, à la fois créer le parc d’attraction mais également redynamiser le territoire. En effet, Dijon est une ville de passage pour beaucoup de touristes partant en vacances l’été. Le tourisme est très développé au sud de Dijon grâce à l’activité viticole. Mais d’autres communautés de communes aux alentours ne disposent pas de ce patrimoine. C’est donc vers celles-ci que je vais me tourner pour créer mon parc dans le but de redynamiser la zone. Babloland s’implantera autour d’un lac naturel existant, afin de réduire les coûts de construction mais aussi pour préserver la faune et la flore. J’ai chiffré mon projet à environ 1,5 millions d’euros, et je vise une ouverture pour l’été 2022. Cependant, cette date pourra être adaptée en fonction de l’évolution de la situation sanitaire que nous connaissons actuellement. La prochaine étape, c’est le lancement de préventes via la plateforme KissKissBankBank. »
Quelles sont tes projections en termes de commercialisation et de chiffre d’affaires ?
« Le parc verra sa plage d’ouverture évoluer sur 5 ans. La première année, l’objectif est d’ouvrir 3 mois durant l’été pour un total de 20 000 tickets vendus. J’estime que nous pouvons doubler le nombre d’entrée chaque année. Au cours de la 5ème année, je vise les 100 000 entrées ! Afin de développer mon parc, j’ai prévu dans ma politique commerciale d’avoir des partenariats avec les offices du tourisme de la région dans un premier temps. Je compte aussi lancer une campagne de communication digitale, en m’appuyant sur les médias, les réseaux sociaux et je lancerai une campagne de publicité hors média. La finalité de Babloland est de pouvoir être ouvert également en hiver, avec une thématique spécifique comme cela peut-être le cas chez des concurrents avec Halloween.»
Combien de personnes va rassembler le projet ?
« Pour m’accompagner dans mon projet, je devrai recruter 6 personnes à temps plein, mais aussi pas moins de 26 saisonniers. Ces effectifs auront bien évidemment vocation à grandir en même temps que l’évolution du parc. Je peux aussi compter sur l’enseignement d’AMOS qui me permet de mêler mon projet entrepreneurial avec les cas pratique à l’école. J’échange beaucoup avec les intervenants afin de glaner un maximum de précieux conseils. Je vais également pouvoir développer la communication, le site internet et les réseaux sociaux du parc avec des étudiants d’AMOS Lyon via des projets tuteurés.»En quoi tes études à AMOS te permettent de créer ton projet ?
« AMOS me permet d’être accompagné par des professionnels, de faire mûrir mon projet et d’en tirer le meilleur. Les intervenants sont très à l’écoute, ils m’aident à prendre les bonnes décisions et à passer les étapes clés de mon projet. Je bénéficie de retours d’expériences très enrichissants et l’école me permet aussi de fixer un cadre, pour traiter les étapes dans le bon ordre et ainsi concrétiser mon rêve. »Où te vois-tu dans 10 ans ?
« Tout d’abord, j’espère que mon projet ira à son terme. Le risque majeur, c’est de ne pas trouver les financements. Mais je ne lâcherai rien ! Dans 10 ans, mon parc sera totalement développé, l’offre se sera élargie. J’imagine pouvoir franchiser mon concept et ainsi le développer hors de Côte d’Or. Mais son identité et ses valeurs resteront les mêmes : créer des parcs à taille humaine plutôt que de gros parcs afin de redynamiser les territoires. » Vous pouvez suivre l’avancée du parc sur :- https://babloland.fr
- https://www.facebook.com/babloland.officiel
- https://www.instagram.com/babloland/
Article rédigé par Romain SIARA, étudiant en 5ème année AMOS Lyon.
Babloland, du rêve à la réalité
Étudiant en Master 1 Programme Grande Ecole à AMOS Lyon spécialisation Business Developer & Entrepreneur, Mathias Schmitt est passionné de sports de nature. Il est en train de réaliser un de ses rêves : créer Babloland, un parc d’attraction d’activités sportives en pleine nature près de Dijon, en Côte d’Or. Sortir de sa zone de confort ne lui fait pas peur puisqu’il souhaite mener à bien son projet qui occupe ses journées depuis bientôt plus de 2 ans, en complément de ses cours à AMOS. Nous avons rencontré cet entrepreneur dans l’âme qui nous présente son projet et en quoi sa formation à AMOS lui permet de réaliser son rêve.
Peux-tu nous présenter ton projet ?
« Mon projet est un rêve d’enfant, puisque j’ai commencé à le penser depuis mes 14 ans ! J’ai intégré AMOS afin de pouvoir le porter à son terme et le rendre concret. Mon idée est de proposer une offre d’activités aquatique, terrestre et aérienne, en un lieu unique, autour d’un personnage, Bablo. Les clients pourront ainsi, par exemple, profiter d’un aquapark, d’un accrobranche, d’un mur d’escalade, d’un parcours ninja ou encore d’un escape game. En parallèle, je proposerai un service de restauration rapide, un bar à thème, des logements insolites et un espace bien-être afin d’accueillir une clientèle plus large. Ma cible principale sont les familles avec enfants âgés entre 4 et 13 ans. Bien évidemment, je vise également les couples sans enfants et les groupes d’amis. Une offre événementielle B2B et B2C verra également le jour avec un espace de réception pour séminaires et mariages. L’ensemble des activités sportives seront à un prix unique, compris entre 20 et 30€ par personne. »
D’où viens ta fibre entrepreneuriale ?
« Ce n’est pas ma première aventure entrepreneuriale puisque j’ai déjà participé au 4L Trophy et à de nombreux autres projets personnels dans mon enfance. Je n’ai pas peur de sortir de ma zone de confort et je vois les choses en grand. Je suis membre du Réseau Entreprendre, une association qui aide les entrepreneurs à créer leur projet, et je bénéficie du statut national d’étudiant entrepreneur avec le réseau Pépite. »Où en es-tu dans ton projet ?
« Le projet a officiellement été lancé en 2018, à la suite d’une longue étude de marché. Actuellement, le parc est encore à l’état d’une maquette 100% digitale. Vous pouvez ainsi vivre une immersion totale à l’échelle 1:1 dans babloland.fr grâce à la réalité virtuelle. Le prochain jalon du projet est de trouver le terrain, en partenariat avec une collectivité locale qui puisse accueillir le projet Babloland avec un contrat de type concession comme cela peut être le cas pour les stations de ski. L’objectif est double, à la fois créer le parc d’attraction mais également redynamiser le territoire. En effet, Dijon est une ville de passage pour beaucoup de touristes partant en vacances l’été. Le tourisme est très développé au sud de Dijon grâce à l’activité viticole. Mais d’autres communautés de communes aux alentours ne disposent pas de ce patrimoine. C’est donc vers celles-ci que je vais me tourner pour créer mon parc dans le but de redynamiser la zone. Babloland s’implantera autour d’un lac naturel existant, afin de réduire les coûts de construction mais aussi pour préserver la faune et la flore. J’ai chiffré mon projet à environ 1,5 millions d’euros, et je vise une ouverture pour l’été 2022. Cependant, cette date pourra être adaptée en fonction de l’évolution de la situation sanitaire que nous connaissons actuellement. La prochaine étape, c’est le lancement de préventes via la plateforme KissKissBankBank. »
Quelles sont tes projections en termes de commercialisation et de chiffre d’affaires ?
« Le parc verra sa plage d’ouverture évoluer sur 5 ans. La première année, l’objectif est d’ouvrir 3 mois durant l’été pour un total de 20 000 tickets vendus. J’estime que nous pouvons doubler le nombre d’entrée chaque année. Au cours de la 5ème année, je vise les 100 000 entrées ! Afin de développer mon parc, j’ai prévu dans ma politique commerciale d’avoir des partenariats avec les offices du tourisme de la région dans un premier temps. Je compte aussi lancer une campagne de communication digitale, en m’appuyant sur les médias, les réseaux sociaux et je lancerai une campagne de publicité hors média. La finalité de Babloland est de pouvoir être ouvert également en hiver, avec une thématique spécifique comme cela peut-être le cas chez des concurrents avec Halloween.»
Combien de personnes va rassembler le projet ?
« Pour m’accompagner dans mon projet, je devrai recruter 6 personnes à temps plein, mais aussi pas moins de 26 saisonniers. Ces effectifs auront bien évidemment vocation à grandir en même temps que l’évolution du parc. Je peux aussi compter sur l’enseignement d’AMOS qui me permet de mêler mon projet entrepreneurial avec les cas pratique à l’école. J’échange beaucoup avec les intervenants afin de glaner un maximum de précieux conseils. Je vais également pouvoir développer la communication, le site internet et les réseaux sociaux du parc avec des étudiants d’AMOS Lyon via des projets tuteurés.»En quoi tes études à AMOS te permettent de créer ton projet ?
« AMOS me permet d’être accompagné par des professionnels, de faire mûrir mon projet et d’en tirer le meilleur. Les intervenants sont très à l’écoute, ils m’aident à prendre les bonnes décisions et à passer les étapes clés de mon projet. Je bénéficie de retours d’expériences très enrichissants et l’école me permet aussi de fixer un cadre, pour traiter les étapes dans le bon ordre et ainsi concrétiser mon rêve. »Où te vois-tu dans 10 ans ?
« Tout d’abord, j’espère que mon projet ira à son terme. Le risque majeur, c’est de ne pas trouver les financements. Mais je ne lâcherai rien ! Dans 10 ans, mon parc sera totalement développé, l’offre se sera élargie. J’imagine pouvoir franchiser mon concept et ainsi le développer hors de Côte d’Or. Mais son identité et ses valeurs resteront les mêmes : créer des parcs à taille humaine plutôt que de gros parcs afin de redynamiser les territoires. » Vous pouvez suivre l’avancée du parc sur :- https://babloland.fr
- https://www.facebook.com/babloland.officiel
- https://www.instagram.com/babloland/