Lumière sur Julie Gayet et son futur film sur les Joueuses de L’OL Féminin

Du 29 janvier au 2 février 2020, nos AMOSciens Lyonnais ont eu la chance de participer à la 7ème Edition du Festival Sport, Littérature et Cinéma qui s’est déroulé à l’Institut Lumière, dans le cadre du soutien apporté depuis quelques années par AMOS. Au programme, des projections et échanges avec des personnalités sportives et cinéphiles, comme Hervé Mathoux et Laurent Kouchner, réalisateurs du documentaire Canal+ «C’est pas grave d’aimer le Football ».
Nos AMOSciens ont interviewé les invités d’honneur du Festival comme la championne de natation Christine Caron, l’immense champion de ski Jean-Claude Killy et Michel Platini triple Ballon d’Or, mais également Julie Gayet, Christian Prudhomme, Julien Camy, Luc Dardenne, célèbre réalisateur aux deux palmes d’Or au Festival de Cannes, Delphine Gleize (« Beau Joueur ») et le rugbyman Richard Choirat. Des moments exceptionnels d’échanges et de partage entre passionnés du sport et de cinéma ! A cette occasion, nous avons échangé avec l’actrice et productrice Julie Gayet qui a présenté les premières images de son film sur l’équipe féminine de l’Olympique Lyonnais, qu’elle produit avec la réalisatrice Stéphanie Gaillard.
« C’est un film non achevé et c’est très rare de venir présenter un petit bout de film. On est d’ailleurs à Lyon au pôle Pixel pour le mixage, où on vient de finir le son avant de commencer le traitement des images.
Il s’agit d’un film de cinéma. L’idée était de parler de la meilleure équipe du monde qui est une équipe française et lyonnaise mais féminine, nous avons parfois tendance à l’oublier. Nous parlons beaucoup du football d’hommes mais on ne se rend pas compte que c’est la meilleure équipe, elle est vraiment historique, elle a gagné la Ligue des Champions six fois ! A ce jour, un seul documentaire a été réalisé à leur sujet. Il s’agit de Canal + intitulé “Un vrai sport de gonzesses”, qui a été présenté au Festival Sport, Littérature et Cinéma.
Notre pari est de faire un film de cinéma parce qu’on a surtout l’habitude de voir le football filmé à la télévision via les matchs de football. Nous souhaitons montrer véritablement ce que vivent les joueuses avant et pendant leurs matchs, entendre ce qui se passe dans leur tête, assister aux entrainements, partager les coulisses des matchs et les émotions des joueuses. C’est ça le pari de ce film.
Je suis venue montrer un petit extrait du film sur lequel nous travaillons actuellement avec Stéphanie Gillard la réalisatrice. Nous ferons une première mondiale j’espère dans un festival de cinéma.
Lorsque nous avons appelé la Fédération Française de Foot, ils étaient très surpris de notre demande d’obtenir les droits pour 30 ans pour réaliser un film de cinéma et non juste des droits de diffusion en fonction de l’actualité footballistique.
On a rencontré Brigitte Henriques, ancienne footballeuse française internationale A, qui occupe actuellement le poste de vice-présidente de la Fédération française de football depuis 2011 qui est également chargée du développement du football féminin. Elle a trouvé formidable que l’on réalise un film sur des joueuses de football féminin. »
« C’est vrai que j’ai grandi dans une famille avec deux frères. J’ai toujours joué au foot, je trouve que c’est le sport universel par excellence ! On pourrait avoir une canette de coca, ou n’importe quoi, on tape dans quelque chose, on joue, c’est un sport d’équipe par excellence et j’adorais ça.
J’ai joué toute mon enfance jusqu’à ce que je me rende compte au collège, très tôt donc en fait, qu’il n’y avait pas de filles dans les équipes, ce n’était pas mixte et pour moi c’était une évidence. Je ne faisais pas la différence fille/garçon et c’est là où j’ai senti que j’étais renvoyée à ma condition de femme tout à coup. C’était un peu particulier, surtout que je suis d’une génération où il n’y avait pas de différence dans l’éducation, où les écoles étaient mixtes.
Quand Stéphanie Gillard, la réalisatrice, est venue me voir pour me parler de cette idée de faire un documentaire sur le football féminin, j’ai tout de suite été intéressée. C’est important de montrer l’évolution du sport féminin, comme le disait Christine Caron avant la projection du film « Une équipe hors du commun », les sportives, même de haut niveau étaient considérées comme des amatrices et n’avaient pas de contrat professionnel. Les choses ont bien évolué ces dernières années. Nous montrons également comment tout à coup à Lyon, un homme a pris une décision, une décision politique selon moi, de donner des moyens et la meilleure équipe de football féminin a vu le jour.
Dans ce film, nous essayons de montrer que si nous donnions les moyens (pas forcément financiers) aux joueuses, nous pourrons monter haut.
Ce qui évolue positivement depuis la Coupe du Monde de football féminin, est le fait de professionnaliser le football féminin : avoir des entraîneurs, un suivi sportif, avoir tout simplement un vestiaire, un jeu de maillots. Toutes ces conditions sont réunies pour être professionnelle avec un contrat, même si nous ne sommes pas encore au niveau du football masculin avec les audiences TV et les salaires des joueurs. Ce film a pour vocation de traiter de la place des femmes dans le football à travers l’OL Féminin. Les choses sont en train d’évoluer avec la Women’s March, #MeToo sur les questions du Féminisme.
Puisque nous sommes dans la librairie du Festival Sport, Littérature et Cinéma, je vous conseille cet ouvrage « Du sexisme dans le sport » (de Béatrice Barbusse, édité par ANAMOSA, 2016), je m’en suis inspirée pour poser toutes ces questions. »
« L’OL féminin. Je suis pro Jean-Michel Aulas[1]. Avec Noël Le Graët, il a changé la face du football féminin. Parce que je pense qu’il faut des gestes forts politiquement pour que les choses changent et une volonté pour faire bouger les lignes. »
Les AMOSciens lyonnais au Festival Sport, Littérature et Cinéma avec Julie Gayet
Nos AMOSciens ont interviewé les invités d’honneur du Festival comme la championne de natation Christine Caron, l’immense champion de ski Jean-Claude Killy et Michel Platini triple Ballon d’Or, mais également Julie Gayet, Christian Prudhomme, Julien Camy, Luc Dardenne, célèbre réalisateur aux deux palmes d’Or au Festival de Cannes, Delphine Gleize (« Beau Joueur ») et le rugbyman Richard Choirat. Des moments exceptionnels d’échanges et de partage entre passionnés du sport et de cinéma ! A cette occasion, nous avons échangé avec l’actrice et productrice Julie Gayet qui a présenté les premières images de son film sur l’équipe féminine de l’Olympique Lyonnais, qu’elle produit avec la réalisatrice Stéphanie Gaillard.
Pouvez-vous nous en dire plus sur ce projet de film ?
« C’est un film non achevé et c’est très rare de venir présenter un petit bout de film. On est d’ailleurs à Lyon au pôle Pixel pour le mixage, où on vient de finir le son avant de commencer le traitement des images.
Il s’agit d’un film de cinéma. L’idée était de parler de la meilleure équipe du monde qui est une équipe française et lyonnaise mais féminine, nous avons parfois tendance à l’oublier. Nous parlons beaucoup du football d’hommes mais on ne se rend pas compte que c’est la meilleure équipe, elle est vraiment historique, elle a gagné la Ligue des Champions six fois ! A ce jour, un seul documentaire a été réalisé à leur sujet. Il s’agit de Canal + intitulé “Un vrai sport de gonzesses”, qui a été présenté au Festival Sport, Littérature et Cinéma.
Notre pari est de faire un film de cinéma parce qu’on a surtout l’habitude de voir le football filmé à la télévision via les matchs de football. Nous souhaitons montrer véritablement ce que vivent les joueuses avant et pendant leurs matchs, entendre ce qui se passe dans leur tête, assister aux entrainements, partager les coulisses des matchs et les émotions des joueuses. C’est ça le pari de ce film.
Je suis venue montrer un petit extrait du film sur lequel nous travaillons actuellement avec Stéphanie Gillard la réalisatrice. Nous ferons une première mondiale j’espère dans un festival de cinéma.
Lorsque nous avons appelé la Fédération Française de Foot, ils étaient très surpris de notre demande d’obtenir les droits pour 30 ans pour réaliser un film de cinéma et non juste des droits de diffusion en fonction de l’actualité footballistique.
On a rencontré Brigitte Henriques, ancienne footballeuse française internationale A, qui occupe actuellement le poste de vice-présidente de la Fédération française de football depuis 2011 qui est également chargée du développement du football féminin. Elle a trouvé formidable que l’on réalise un film sur des joueuses de football féminin. »
Est-ce que vous pouvez nous dire un mot sur votre passion pour le football ?
« C’est vrai que j’ai grandi dans une famille avec deux frères. J’ai toujours joué au foot, je trouve que c’est le sport universel par excellence ! On pourrait avoir une canette de coca, ou n’importe quoi, on tape dans quelque chose, on joue, c’est un sport d’équipe par excellence et j’adorais ça.
J’ai joué toute mon enfance jusqu’à ce que je me rende compte au collège, très tôt donc en fait, qu’il n’y avait pas de filles dans les équipes, ce n’était pas mixte et pour moi c’était une évidence. Je ne faisais pas la différence fille/garçon et c’est là où j’ai senti que j’étais renvoyée à ma condition de femme tout à coup. C’était un peu particulier, surtout que je suis d’une génération où il n’y avait pas de différence dans l’éducation, où les écoles étaient mixtes.
Quand Stéphanie Gillard, la réalisatrice, est venue me voir pour me parler de cette idée de faire un documentaire sur le football féminin, j’ai tout de suite été intéressée. C’est important de montrer l’évolution du sport féminin, comme le disait Christine Caron avant la projection du film « Une équipe hors du commun », les sportives, même de haut niveau étaient considérées comme des amatrices et n’avaient pas de contrat professionnel. Les choses ont bien évolué ces dernières années. Nous montrons également comment tout à coup à Lyon, un homme a pris une décision, une décision politique selon moi, de donner des moyens et la meilleure équipe de football féminin a vu le jour.
Dans ce film, nous essayons de montrer que si nous donnions les moyens (pas forcément financiers) aux joueuses, nous pourrons monter haut.
Ce qui évolue positivement depuis la Coupe du Monde de football féminin, est le fait de professionnaliser le football féminin : avoir des entraîneurs, un suivi sportif, avoir tout simplement un vestiaire, un jeu de maillots. Toutes ces conditions sont réunies pour être professionnelle avec un contrat, même si nous ne sommes pas encore au niveau du football masculin avec les audiences TV et les salaires des joueurs. Ce film a pour vocation de traiter de la place des femmes dans le football à travers l’OL Féminin. Les choses sont en train d’évoluer avec la Women’s March, #MeToo sur les questions du Féminisme.
Puisque nous sommes dans la librairie du Festival Sport, Littérature et Cinéma, je vous conseille cet ouvrage « Du sexisme dans le sport » (de Béatrice Barbusse, édité par ANAMOSA, 2016), je m’en suis inspirée pour poser toutes ces questions. »
Vous supportez une équipe ?
« L’OL féminin. Je suis pro Jean-Michel Aulas[1]. Avec Noël Le Graët, il a changé la face du football féminin. Parce que je pense qu’il faut des gestes forts politiquement pour que les choses changent et une volonté pour faire bouger les lignes. »

[1] 1http://www.leparisien.fr/sports/football/julie-gayet-il-y-avait-urgence-a-faire-connaitre-l-equipe-de-france-feminine-de-foot-31-05-2019-8083707.php
Propos recueillis par Anne-Charlotte Meyer, Chargée de communication AMOS Lyon
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01 Jul 2022
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Engagement total
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Après avoir gravi le Mont-Blanc en 2020 et le Kilimandjaro en 2021, Maxime se lance à la conquête de l’Aconcagua en 2022. Passionné d’alpinisme et soucieux d’apporter son soutien à lutte contre le cancer, ce jeune AMOScien est un modèle de persévérance. Quelles sont tes motivations pour ce projet ? « Mes parents ont tous les deux été atteints du cancer, ma mère y a réchapée de peu. J'ai découvert un peu après que mon père avait escaladé le Mont Blanc en 1988. 32 ans plus tard, je souhaitais l'amener en photo avec moi au sommet du Mont Blanc une nouvelle fois. Réussissant mon ascension, je me permets de rêver des Seven Summits. C'est un rêve d'enfant que j'ai depuis plus de 15 ans. Voulant rendre fiers mes parents, je me lance dans ce projet, tout en réalisant des levées de fonds pour la recherche contre le cancer avant chaque ascension ».
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24 Jun 2022
Témoignage Etudiant, Critérium du Dauphiné 2022
Rencontre avec notre étudiant Louis SORIA
Etudiant en 2ème année sur le campus AMOS Lyon, Louis a eu la chance de vivre l’une des courses mythiques de cyclisme en France durant toute la durée de l’événement grâce à Sporeo. Dans le cadre des expériences professionnelles proposées par AMOS, ce passionné de cyclisme a eu l’occasion de participer à toutes étapes du Critérium du Dauphiné 2022 via notre partenariat avec Sporeo créé en janvier 2019 par deux alumni, Mathieu Baillet et Thibaut Houot, diplômés en 2016-2017. La start-up accompagne et conseille les détenteurs de droits sur le merchandising et licensing, en apportant une expérience consommateur, fan, spectateur... novatrice et personnalisée, faisant vivre l’événement tout au long de l’année. Cette 74e édition accueillait donc 22 équipes pour s’affronter sur toute la Région Auvergne-Rhône-Alpes entre le 5 et le 12 juin dernier. Cette course est réputée pour proposer des étapes très montagneuses et être en quelques sortes une « répétition générale » à deux semaines et demie du départ du Tour de France.Sur quels types de missions étais-tu positionné durant le Critérium du Dauphiné ?
Cette mission était proposée par Sporeo sur toute la durée de la course. L’entreprise est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de produits dérivés sur les événements sportifs. Dans le monde du cyclisme, ils sont présents sur les principales courses en France : Tour de France, Critérium du Dauphiné, Paris-Nice, Paris-Roubaix, etc… mais également sur des courses à l’étranger comme le Deutschland Tour ou la Liège-Bastogne-Liège. Je travaillais donc comme vendeur pour la boutique officielle où nous vendions tous les produits brandés « Critérium du Dauphiné ». Il y avait donc tout ce qui était produits dérivés (décapsuleurs, porte-clefs, mugs, peluches, etc…), une gamme vêtements au nom de la course et made in France, une gamme Tour de France et enfin une gamme sportive Santini, qui est le distributeur des maillots de course distinctifs (à poids, jaune, blanc, etc …).
Comment se déroulait ta journée type ?
Tout d’abord, j’ai débuté cette expérience un jour avant le départ officiel de la course à La Voulte sur-Rhône en Ardèche. Cette journée a permis à l’équipe de se rencontrer et de se roder pour les 8 prochains jours. On m’a donc expliqué comment monter/démonter la boutique, l’organisation générale et j’ai dû également me familiariser avec tous les produits à vendre. En réalité, il y a deux boutiques à chaque étape : une au départ et une sur le village d’arrivée avec de nombreuses animations, foodtrucks, etc... J’étais donc placé sur l’arrivée lors des 3 premiers jours, puis au départ pour le reste de la course. A l’arrivée, le plus gros de la vente se fait entre 16h30 et 18h, une fois que les premiers coureurs terminent l’étape et sur le départ, nous vendions principalement entre 12h et 13h. Dans les villes et villages, c’était une clientèle assez variée entre locaux curieux et véritables connaisseurs.Quel a été ton meilleur souvenir sur la course ?
Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !
As-tu eu des moments plus compliqués sur la semaine ?
Le montage et démontage tous les jours devient fatigant vers la fin de l’événement, surtout lorsqu’on le fait sous la pluie ! Il ne faut pas craindre de se lever tôt également. C’est formateur pour découvrir les métiers liés à l’évènementiel sportif !Que retiendras-tu au final de cette belle expérience ?
C’est un événement vraiment chouette et il y a une ambiance géniale. On rencontre plein de personnes, plein de métiers différents. On ne s’ennuie jamais car on bouge tous les jours sur l’étape suivante. Je recommande vraiment cette expérience à tous les passionnés de cyclisme, et pas uniquement ! Un grand merci à toute l’équipe de Sporeo pour son accueil et leur transmission d’expériences tout au long de la semaine !24 Jun 2022
Témoignage Etudiant, Critérium du Dauphiné 2022
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Etudiant en 2ème année sur le campus AMOS Lyon, Louis a eu la chance de vivre l’une des courses mythiques de cyclisme en France durant toute la durée de l’événement grâce à Sporeo. Dans le cadre des expériences professionnelles proposées par AMOS, ce passionné de cyclisme a eu l’occasion de participer à toutes étapes du Critérium du Dauphiné 2022 via notre partenariat avec Sporeo créé en janvier 2019 par deux alumni, Mathieu Baillet et Thibaut Houot, diplômés en 2016-2017. La start-up accompagne et conseille les détenteurs de droits sur le merchandising et licensing, en apportant une expérience consommateur, fan, spectateur... novatrice et personnalisée, faisant vivre l’événement tout au long de l’année. Cette 74e édition accueillait donc 22 équipes pour s’affronter sur toute la Région Auvergne-Rhône-Alpes entre le 5 et le 12 juin dernier. Cette course est réputée pour proposer des étapes très montagneuses et être en quelques sortes une « répétition générale » à deux semaines et demie du départ du Tour de France.Sur quels types de missions étais-tu positionné durant le Critérium du Dauphiné ?
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Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !
As-tu eu des moments plus compliqués sur la semaine ?
Le montage et démontage tous les jours devient fatigant vers la fin de l’événement, surtout lorsqu’on le fait sous la pluie ! Il ne faut pas craindre de se lever tôt également. C’est formateur pour découvrir les métiers liés à l’évènementiel sportif !Que retiendras-tu au final de cette belle expérience ?
C’est un événement vraiment chouette et il y a une ambiance géniale. On rencontre plein de personnes, plein de métiers différents. On ne s’ennuie jamais car on bouge tous les jours sur l’étape suivante. Je recommande vraiment cette expérience à tous les passionnés de cyclisme, et pas uniquement ! Un grand merci à toute l’équipe de Sporeo pour son accueil et leur transmission d’expériences tout au long de la semaine !22 Jun 2022
AMOS Sport Business School obtient le Label Génération 2024
AMOS Sport Business School inscrit son nom à la liste des établissements labellisés Génération 2024
Destiné aux écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur, le Label Génération 2024 est délivré par le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pour rappel, le Label Génération 2024 est pensé pour soutenir le développement de la pratique sportive dans l’enseignement supérieur et renforcer ses objectifs d’inclusion, de santé, de respect et d’engagement citoyen en partenariat avec le mouvement sportif et le Comité d’organisation des prochains Jeux Olympiques. AMOS Sport Business School soutient un peu plus les Jeux de Paris 2024 en inscrivant son nom à la liste des établissements labellisés « Génération 2024 ». Obtenu en janvier 2021, ce Label est la concrétisation d’un investissement pérenne du Groupe AMOS auprès des différents acteurs sportifs, publics et privés. L’objectif de ce Label est de valoriser les établissements qui souhaitent s’inscrire dans une exploitation durable et structurée autour de 3 critères principaux :1. Développer des projets structurants avec les clubs sportifs du territoire
Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).22 Jun 2022