MARIO LEO : « "DATA" ? CHEZ RESULT SPORTS, NOUS AVONS PRIVILÉGIÉ LE TERME DE "DONNÉES PERTINENTES"»

Mario Leo est le fondateur et le PDG de « RESULT Sports », entreprise pionnière dans l’analyse des DATA dans l’univers sportif mondial. Autant dire que sa vision d’expert est éclairante quant à l’évolution et l’utilisation de ces données dans les années à venir. Pour Sport Stratégies, ce génie des données qui pourrait rejoindre AMOS Strasbourg dans quelques mois répond à toutes nos interrogations. Éclairage.
Je m’appelle Mario Leo et je suis le fondateur et PDG de « RESULT Sports ». « RESULT Sports » est une plateforme numérique pour les athlètes, les clubs, les ligues et les fédérations, qui a été créée en 2010 et travaille aujourd’hui avec plus de 100 entités sportives dans les domaines de la veille numérique, du marketing numérique, de la monétisation numérique, des stratégies numériques et de la transformation numérique.
Les deux ont évidemment eu une évolution exceptionnelle. Les réseaux sociaux d’abord.
Depuis 2010, Facebook, Twitter et YouTube ont été largement adoptés dans les structures sportives qui se créaient un peu partout en Europe. Ils constituent le premier point de contact pour tout utilisateur intéressé. Il existe des réseaux sociaux d’information, de contenu vidéo, de divertissement, de communication B2B.
À cela s’ajoutent des plateformes sociales disponibles dans le monde entier, mais aussi des plateformes à caractère régional ou culturel. Quelques exemples : vKontakte, une plateforme basée en Russie destinée aux publics d’Europe de l’Est. Naver, un réseau social basé en Corée, ou encore LINE, une plateforme installée au Japon.
Afin de sélectionner la « bonne » plateforme qui permettra d’atteindre sa communauté et de développer son audience comme espéré, la Data est l’atout majeur. C’est « la » donnée essentielle pour la communication globale et le mix marketing d’un athlète, d’un club, d’une ligue ou d’une fédération. Les données sont larges, beaucoup de termes existent... à l’instar de « Big Data » que l’on retrouve souvent.
Data ? Chez RESULT Sports, nous avons privilégié le terme de « Données Pertinentes ». Ce sont elles que nous recherchons en priorité. Pourquoi ? Parce que, dans un environnement numérique, il y a énormément de points de contact et de données différentes. De multiples entrées possibles. Et si vous suivez trop d’éléments, vous finirez par vous perdre en chemin et écarter au final la stratégie globale. Les données pertinentes permettent de garder le cap. Elles agissent comme un catalyseur et garantissent la bonne voie sur le chemin de la transformation numérique.
Si vous souhaitez créer une communauté forte et durable, les données et la présence sur les réseaux sociaux constituent une véritable nécessité. Comme les plateformes sociales existent maintenant depuis plus de dix ans, le lancement d’une nouvelle plateforme sociale doit nécessairement être appuyé par des KPI clairs. Concurrence oblige. La performance du contenu et l’évolution de la communauté en dépendent. Le numérique nécessite une approche agile, une exécution flexible avec des valeurs réelles, pertinentes à la fois dans les sujets et les visuels utilisés.
Si vous m’autorisez à parler de RESULT Sports, je peux vous affirmer que la Data est présente à tous les étages dans notre organisation. Chaque réunion, chaque conversation, chaque partenaire et chaque stratégie baigne dans les données. Nous surveillons 28 plateformes sociales, dans tous les sports majeurs, tels que le football, le handball, le basket-ball, le volley-ball, le hockey sur glace, le rugby, le cricket, la formule 1, le tennis, le base-ball et le football américain. Nous mesurons sans cesse le statut et l’évolution de la communauté. Portée, engagement et vues du format, du contenu. Déterminer le public local, régional, national et international ainsi que les exigences culturelles. Vous pouvez le constater par vous-même, les données sont partout.
Dans l’industrie du sport, nous voyons que toutes les disciplines exercées au plus haut niveau s’améliorent constamment et offrent une multitude de données pertinentes. Utiles pour les communautés, mais aussi pour les différentes plateformes. Ainsi, le département des médias et des communications mûrit sans cesse grâce à l’utilisation des données. Les analystes et les scientifiques des données intègrent les organisations sportives dans des départements stratégiques. La transformation numérique nécessite, je le répète, une approche agile et flexible. Idéalement, elle doit se baser sur des indicateurs de performance clés, des objectifs et des résultats clés.
Il y a un changement organisationnel qui se produit en ce moment dans les principaux clubs, ligues et associations innovantes. Initialement et encore fréquemment, compte tenu de l’importance toujours croissante des plateformes sociales, c’était un journaliste ou un profil journalistique qui s’occupait, la plupart du temps, de ces questions.
Les journalistes étaient préférés pour les postes de responsables des médias sociaux en raison de leur expérience dans les médias et le journalisme. Mais les temps changent. Les attentes du public sont différentes. Et à l’échelle mondiale. Dire que « le contenu est essentiel » n’est que partiellement correct. Car si ce contenu est placé sur la mauvaise plateforme, le contenu ne sera pas vu ou ne permettra pas d’interagir avec sa communauté. La surveillance et l'analyse des données permettent à l'équipe créative des médias sociaux de placer le bon contenu sur la bonne plateforme. C’est ainsi que les données deviennent de plus en plus pertinentes au quotidien !
Google, Facebook, Instagram… Internet et les plateformes sociales basent l’ensemble de leurs modèles commerciaux sur des données. Chaque clic sur internet, le parcours de clic d'un seul utilisateur, l'audience des fans - tout peut être suivi, analysé et optimisé. Les « Données Pertinentes » devraient donc être le fondement de toute approche et stratégie dans l’environnement numérique. Chaque club de la Premier League britannique a engagé des analystes ou des scientifiques numériques, intégrés au cœur de leur organisation.
Ils travaillent en étroite collaboration avec les services « médias et communication », avec l’équipe en charge du marketing et de la vente. La stratégie est développée selon ce schéma spécifique. La réussite en dépendra. Jusqu’alors, chaque organisation bidouillait et s’adaptait en fonction de besoins pratiques.
À l’avenir, il sera primordial d’adopter une approche pédagogique standardisée. Mais la science et le pilier « éducation » nécessitent des connaissances plus pragmatiques et des experts pour partager leur expérience quotidienne. Et c’est notre ADN chez « RESULT Sports ».
Ils constituent probablement un élément essentiel, mais ne pourront jamais être la seule approche du marketing de demain ! Pourquoi ? Parce que les réseaux sociaux sont des tiers, avec leurs propres modèles commerciaux et leurs propres algorithmes. Autant d’éléments sur lesquels un athlète, un club, une ligue ou une fédération ne peuvent s’appuyer intégralement.
La valeur des réseaux sociaux réside dans le nombre d'utilisateurs. Un public cible souvent considérable. Dans le marketing de demain, une institution sportive devra être focus sur les fans, développer du contenu et des histoires présentant un grand intérêt pour le public, puis convertir ce public. Parvenir à ce canal de conversion bien connu : intérêt - sympathie - fan - consommateur.
Il est très important de mettre en œuvre un plan durable, d'exécuter de manière flexible et agile, avec des objectifs clairs et une observation / surveillance constante de toutes les données et facteurs d’influence pertinents.
Ne dépendez jamais uniquement de la performance ou des résultats d’un athlète ou de l’équipe ! Une stratégie numérique nécessite des esprits intelligents, de la patience et du dévouement !
Crédits photo : Sport Stratégies.
Si vous deviez vous présenter en quelques mots, Mario Leo, que diriez-vous ?
Je m’appelle Mario Leo et je suis le fondateur et PDG de « RESULT Sports ». « RESULT Sports » est une plateforme numérique pour les athlètes, les clubs, les ligues et les fédérations, qui a été créée en 2010 et travaille aujourd’hui avec plus de 100 entités sportives dans les domaines de la veille numérique, du marketing numérique, de la monétisation numérique, des stratégies numériques et de la transformation numérique.
En votre qualité d’expert de la Data et des réseaux sociaux, comment diriez-vous que ces deux domaines ont évolué ces dernières années ?
Les deux ont évidemment eu une évolution exceptionnelle. Les réseaux sociaux d’abord.
Depuis 2010, Facebook, Twitter et YouTube ont été largement adoptés dans les structures sportives qui se créaient un peu partout en Europe. Ils constituent le premier point de contact pour tout utilisateur intéressé. Il existe des réseaux sociaux d’information, de contenu vidéo, de divertissement, de communication B2B.
À cela s’ajoutent des plateformes sociales disponibles dans le monde entier, mais aussi des plateformes à caractère régional ou culturel. Quelques exemples : vKontakte, une plateforme basée en Russie destinée aux publics d’Europe de l’Est. Naver, un réseau social basé en Corée, ou encore LINE, une plateforme installée au Japon.
Afin de sélectionner la « bonne » plateforme qui permettra d’atteindre sa communauté et de développer son audience comme espéré, la Data est l’atout majeur. C’est « la » donnée essentielle pour la communication globale et le mix marketing d’un athlète, d’un club, d’une ligue ou d’une fédération. Les données sont larges, beaucoup de termes existent... à l’instar de « Big Data » que l’on retrouve souvent.
Data ? Chez RESULT Sports, nous avons privilégié le terme de « Données Pertinentes ». Ce sont elles que nous recherchons en priorité. Pourquoi ? Parce que, dans un environnement numérique, il y a énormément de points de contact et de données différentes. De multiples entrées possibles. Et si vous suivez trop d’éléments, vous finirez par vous perdre en chemin et écarter au final la stratégie globale. Les données pertinentes permettent de garder le cap. Elles agissent comme un catalyseur et garantissent la bonne voie sur le chemin de la transformation numérique.
L'utilisation des données et des réseaux sociaux est-elle aujourd'hui indispensable ?
Si vous souhaitez créer une communauté forte et durable, les données et la présence sur les réseaux sociaux constituent une véritable nécessité. Comme les plateformes sociales existent maintenant depuis plus de dix ans, le lancement d’une nouvelle plateforme sociale doit nécessairement être appuyé par des KPI clairs. Concurrence oblige. La performance du contenu et l’évolution de la communauté en dépendent. Le numérique nécessite une approche agile, une exécution flexible avec des valeurs réelles, pertinentes à la fois dans les sujets et les visuels utilisés.
Quels sont les métiers liés à la Data, aujourd'hui ? En particulier, pour fédérer les communautés ?
Si vous m’autorisez à parler de RESULT Sports, je peux vous affirmer que la Data est présente à tous les étages dans notre organisation. Chaque réunion, chaque conversation, chaque partenaire et chaque stratégie baigne dans les données. Nous surveillons 28 plateformes sociales, dans tous les sports majeurs, tels que le football, le handball, le basket-ball, le volley-ball, le hockey sur glace, le rugby, le cricket, la formule 1, le tennis, le base-ball et le football américain. Nous mesurons sans cesse le statut et l’évolution de la communauté. Portée, engagement et vues du format, du contenu. Déterminer le public local, régional, national et international ainsi que les exigences culturelles. Vous pouvez le constater par vous-même, les données sont partout.
Dans l’industrie du sport, nous voyons que toutes les disciplines exercées au plus haut niveau s’améliorent constamment et offrent une multitude de données pertinentes. Utiles pour les communautés, mais aussi pour les différentes plateformes. Ainsi, le département des médias et des communications mûrit sans cesse grâce à l’utilisation des données. Les analystes et les scientifiques des données intègrent les organisations sportives dans des départements stratégiques. La transformation numérique nécessite, je le répète, une approche agile et flexible. Idéalement, elle doit se baser sur des indicateurs de performance clés, des objectifs et des résultats clés.
Les métiers de la communication sont-ils aujourd'hui aussi étroitement liés à la Data?
Il y a un changement organisationnel qui se produit en ce moment dans les principaux clubs, ligues et associations innovantes. Initialement et encore fréquemment, compte tenu de l’importance toujours croissante des plateformes sociales, c’était un journaliste ou un profil journalistique qui s’occupait, la plupart du temps, de ces questions.
Les journalistes étaient préférés pour les postes de responsables des médias sociaux en raison de leur expérience dans les médias et le journalisme. Mais les temps changent. Les attentes du public sont différentes. Et à l’échelle mondiale. Dire que « le contenu est essentiel » n’est que partiellement correct. Car si ce contenu est placé sur la mauvaise plateforme, le contenu ne sera pas vu ou ne permettra pas d’interagir avec sa communauté. La surveillance et l'analyse des données permettent à l'équipe créative des médias sociaux de placer le bon contenu sur la bonne plateforme. C’est ainsi que les données deviennent de plus en plus pertinentes au quotidien !
Comment évolueront les Data, selon vous ? Et plus largement les métiers de la communication ?
Google, Facebook, Instagram… Internet et les plateformes sociales basent l’ensemble de leurs modèles commerciaux sur des données. Chaque clic sur internet, le parcours de clic d'un seul utilisateur, l'audience des fans - tout peut être suivi, analysé et optimisé. Les « Données Pertinentes » devraient donc être le fondement de toute approche et stratégie dans l’environnement numérique. Chaque club de la Premier League britannique a engagé des analystes ou des scientifiques numériques, intégrés au cœur de leur organisation.
Ils travaillent en étroite collaboration avec les services « médias et communication », avec l’équipe en charge du marketing et de la vente. La stratégie est développée selon ce schéma spécifique. La réussite en dépendra. Jusqu’alors, chaque organisation bidouillait et s’adaptait en fonction de besoins pratiques.
À l’avenir, il sera primordial d’adopter une approche pédagogique standardisée. Mais la science et le pilier « éducation » nécessitent des connaissances plus pragmatiques et des experts pour partager leur expérience quotidienne. Et c’est notre ADN chez « RESULT Sports ».
Les réseaux sociaux déterminent-ils la configuration du marketing de demain ?
Ils constituent probablement un élément essentiel, mais ne pourront jamais être la seule approche du marketing de demain ! Pourquoi ? Parce que les réseaux sociaux sont des tiers, avec leurs propres modèles commerciaux et leurs propres algorithmes. Autant d’éléments sur lesquels un athlète, un club, une ligue ou une fédération ne peuvent s’appuyer intégralement.
La valeur des réseaux sociaux réside dans le nombre d'utilisateurs. Un public cible souvent considérable. Dans le marketing de demain, une institution sportive devra être focus sur les fans, développer du contenu et des histoires présentant un grand intérêt pour le public, puis convertir ce public. Parvenir à ce canal de conversion bien connu : intérêt - sympathie - fan - consommateur.
Si vous deviez faire passer un message à un étudiant souhaitant progresser dans le marketing sportif, quel serait-il ?
Il est très important de mettre en œuvre un plan durable, d'exécuter de manière flexible et agile, avec des objectifs clairs et une observation / surveillance constante de toutes les données et facteurs d’influence pertinents.
Ne dépendez jamais uniquement de la performance ou des résultats d’un athlète ou de l’équipe ! Une stratégie numérique nécessite des esprits intelligents, de la patience et du dévouement !
Propos recueillis par Alain JOUVE, rédacteur en chef Sport Stratégies. Parution dans Sport Stratégies Hors-Série Formations avril 2021.
Crédits photo : Sport Stratégies.
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11 May 2023
Interview Etudiant Romane, ESBS by AMOS à Madrid
Le temps d'un semestre à Madrid, Espagne...
Découvrez le témoignage de notre étudiante Romane Tiran, en deuxième année de Bachelor à AMOS Marseille, partie un semestre dans notre école ESBS by AMOS à Madrid.Pourquoi avoir choisi Madrid pour ton second semestre ?
J’ai choisi de rejoindre AMOS en septembre 2021 à la suite de la classe préparatoire hypokhâgne à Paris, afin de corréler passion et profession. J’ai toujours pratiqué beaucoup de sport : l’équitation en compétition en CSO (course de saut d'obstacles), du surf ou encore de la natation. J’ai choisi de réaliser mon expatriation à ESBS by AMOS Madrid plutôt que Londres, dans la mesure où l’espagnol est une langue que j’avais besoin de travailler contrairement à l’anglais, alors j’ai saisi cette opportunité !Comment s’est déroulé ton semestre dans la capitale espagnole ?
Je connaissais l’Espagne et plus particulièrement Barcelone, mais je n’étais jamais allée à Madrid. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette ville, tant pour son histoire, sa culture sportive, que sa langue, sa dolce vita et son ambiance tapas ! C’est une ville propre où il fait bon vivre, les Espagnols sont accueillants et la nourriture délicieuse. En tant que femme, il est important de noter que c’est très sécurisé et que l’on se sent constamment en confiance.
Quelles ont été les conditions d'admission pour rejoindre AMOS à Madrid ?
Il faut avoir au minimum un niveau d’anglais B2 (intermédiaire) puisque la totalité des cours sont dispensés en anglais, en classe entière (pas de classe par niveau). Pour être sélectionné, il faut aussi avoir un bon dossier de première année, les élèves avec les moyennes les plus hautes sont prioritaires sur les autres. Le niveau d’espagnol quant à lui n’est pas important dans la sélection puisque des cours d’espagnols sont dispensées sur le campus par petits groupes, allant de débutant à intermédiaire.Comment se déroule une journée sur le campus ?
Cela dépend des périodes. Pour les journées classiques, nous commençons à 8h et finissons environ vers 14h. Les intervenants sont des professionnels du Sport Business, nous devons ainsi nous adapter à leurs horaires. À ce titre, il arrive de commencer les cours à 16h et de finir à 20h. Il est important de noter que l’expatriation a aussi pour but de découvrir le pays dans lequel on se trouve, de visiter. Les emplois du temps sont donc parfaitement en adéquation avec la vie étudiante.Comment s’est passé ton intégration à Madrid et avec les étudiant.e.s des autres campus ?
L’administration du campus de Madrid est très à l’écoute des étudiants, ils sont disponibles et répondent à nos interrogations. Les étudiants AMOSciens viennent de divers campus en France. L’intégration se passe bien, il est programmé des travaux d’équipes lors de journée team building. Le campus est en plein centre, à proximité du Parque del Retiro où on peut passer du temps avec ses amis.
Sur quels événements as-tu pu participer ? Quelles étaient tes missions ?
J'ai intégré le campus l’année de son ouverture. Il n’y a pas d’événements sportifs obligatoires, cependant nous sommes invités à des événement sportifs prestigieux notamment l’Open Communidad de Madrid où j’ai eu l’opportunité de rencontrer l’équipe organisationnelle, les photographes, les joueurs et d’assister pendant une journée à la compétition. Il appartient ensuite à chacun de découvrir le sport à Madrid. Enfin, passionnée de Formule 1, j’ai assisté à la seule exposition d’Europe de F1 qui se trouve à Madrid. J’ai pris l’initiative de voir un match de football du Real de Madrid au stade Santiago-Bernabéu et de l’Atlético de Madrid où j’ai été très bien placée et pu serrer la main de joueurs qui passaient !
Qu’est-ce que tu as le plus aimé dans ton semestre ?
Grâce à ce semestre, j’ai eu l’opportunité de perfectionner mon espagnol. J’ai rencontré des personnes extraordinaires, des amis partageant le même attrait pour le sport que moi. Madrid est une ville formidable dans laquelle on s’y sent bien. Elle a une culture sportive, exceptionnelle. La vie y est abordable, on peut assister à de belles compétitions à des prix raisonnables, laissant de très beaux souvenirs !Le dernier mot t’appartient...
Si c’était à refaire, je ne changerais rien. Madrid a été un choix logique pour moi et une occasion rêvée. J’ai beaucoup appris sur moi et sur cette ville. Je sais que si un jour j’ai une opportunité professionnelle dans le sport d’y travailler, je la saisirais immédiatement. Merci à l’équipe ESBS by AMOS pour tout, un fuerte abrazo, gracias !
11 May 2023
Interview Etudiant Romane, ESBS by AMOS à Madrid
Le temps d'un semestre à Madrid, Espagne...
Découvrez le témoignage de notre étudiante Romane Tiran, en deuxième année de Bachelor à AMOS Marseille, partie un semestre dans notre école ESBS by AMOS à Madrid.Pourquoi avoir choisi Madrid pour ton second semestre ?
J’ai choisi de rejoindre AMOS en septembre 2021 à la suite de la classe préparatoire hypokhâgne à Paris, afin de corréler passion et profession. J’ai toujours pratiqué beaucoup de sport : l’équitation en compétition en CSO (course de saut d'obstacles), du surf ou encore de la natation. J’ai choisi de réaliser mon expatriation à ESBS by AMOS Madrid plutôt que Londres, dans la mesure où l’espagnol est une langue que j’avais besoin de travailler contrairement à l’anglais, alors j’ai saisi cette opportunité !Comment s’est déroulé ton semestre dans la capitale espagnole ?
Je connaissais l’Espagne et plus particulièrement Barcelone, mais je n’étais jamais allée à Madrid. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette ville, tant pour son histoire, sa culture sportive, que sa langue, sa dolce vita et son ambiance tapas ! C’est une ville propre où il fait bon vivre, les Espagnols sont accueillants et la nourriture délicieuse. En tant que femme, il est important de noter que c’est très sécurisé et que l’on se sent constamment en confiance.
Quelles ont été les conditions d'admission pour rejoindre AMOS à Madrid ?
Il faut avoir au minimum un niveau d’anglais B2 (intermédiaire) puisque la totalité des cours sont dispensés en anglais, en classe entière (pas de classe par niveau). Pour être sélectionné, il faut aussi avoir un bon dossier de première année, les élèves avec les moyennes les plus hautes sont prioritaires sur les autres. Le niveau d’espagnol quant à lui n’est pas important dans la sélection puisque des cours d’espagnols sont dispensées sur le campus par petits groupes, allant de débutant à intermédiaire.Comment se déroule une journée sur le campus ?
Cela dépend des périodes. Pour les journées classiques, nous commençons à 8h et finissons environ vers 14h. Les intervenants sont des professionnels du Sport Business, nous devons ainsi nous adapter à leurs horaires. À ce titre, il arrive de commencer les cours à 16h et de finir à 20h. Il est important de noter que l’expatriation a aussi pour but de découvrir le pays dans lequel on se trouve, de visiter. Les emplois du temps sont donc parfaitement en adéquation avec la vie étudiante.Comment s’est passé ton intégration à Madrid et avec les étudiant.e.s des autres campus ?
L’administration du campus de Madrid est très à l’écoute des étudiants, ils sont disponibles et répondent à nos interrogations. Les étudiants AMOSciens viennent de divers campus en France. L’intégration se passe bien, il est programmé des travaux d’équipes lors de journée team building. Le campus est en plein centre, à proximité du Parque del Retiro où on peut passer du temps avec ses amis.
Sur quels événements as-tu pu participer ? Quelles étaient tes missions ?
J'ai intégré le campus l’année de son ouverture. Il n’y a pas d’événements sportifs obligatoires, cependant nous sommes invités à des événement sportifs prestigieux notamment l’Open Communidad de Madrid où j’ai eu l’opportunité de rencontrer l’équipe organisationnelle, les photographes, les joueurs et d’assister pendant une journée à la compétition. Il appartient ensuite à chacun de découvrir le sport à Madrid. Enfin, passionnée de Formule 1, j’ai assisté à la seule exposition d’Europe de F1 qui se trouve à Madrid. J’ai pris l’initiative de voir un match de football du Real de Madrid au stade Santiago-Bernabéu et de l’Atlético de Madrid où j’ai été très bien placée et pu serrer la main de joueurs qui passaient !
Qu’est-ce que tu as le plus aimé dans ton semestre ?
Grâce à ce semestre, j’ai eu l’opportunité de perfectionner mon espagnol. J’ai rencontré des personnes extraordinaires, des amis partageant le même attrait pour le sport que moi. Madrid est une ville formidable dans laquelle on s’y sent bien. Elle a une culture sportive, exceptionnelle. La vie y est abordable, on peut assister à de belles compétitions à des prix raisonnables, laissant de très beaux souvenirs !Le dernier mot t’appartient...
Si c’était à refaire, je ne changerais rien. Madrid a été un choix logique pour moi et une occasion rêvée. J’ai beaucoup appris sur moi et sur cette ville. Je sais que si un jour j’ai une opportunité professionnelle dans le sport d’y travailler, je la saisirais immédiatement. Merci à l’équipe ESBS by AMOS pour tout, un fuerte abrazo, gracias !
04 May 2023
Run For Trees : challenge sportif de développement durable
Tout au long du mois d’avril, les AMOSciens lillois ont relevé le défi Run For Trees...
Run For Trees est organisé par l'association Reforest'Action, une organisation à but non lucratif qui a pour but de restaurer les forêts dégradées et de promouvoir la biodiversité. Il s’agit d’un défi innovant qui combine la pratique de la course à pied à la protection de l'environnement. Le campus AMOS Lille s’est engagé avec l’association Reforest’Action à planter un arbre à chaque palier de 5 kilomètres franchi. L'objectif principal pour les étudiants était de parcourir 2024 kilomètres en référence aux Jeux Olympiques de Paris 2024.Déforestation : un enjeu global
La déforestation est un problème majeur dans notre monde actuel, ayant un impact considérable sur l'environnement et le changement climatique. Heureusement, il existe des initiatives comme Run For Trees qui visent à inverser cette tendance. En somme, ce défi a été créé pour sensibiliser à la déforestation, encourager la pratique de la course à pied et planter des arbres pour aider à reconstituer les écosystèmes dégradés. Plusieurs de nos étudiants, accompagnés de leur intervenant, l’éco-aventurier Nicolas Vandenelsken, ont organisé une journée de cohésion sportive autour du challenge afin de permettre à tous les étudiants d'y prendre part.
Au programme du Run For Trees
Un parcours de 5 km autour de la citadelle de Lille parsemé d’épreuves sportives ainsi que des ateliers de sensibilisation du développement durable mis en place par l’association Uni-Vert Sport. Après un mois de challenge, ce n’est pas moins de 2 200 kilomètres qui ont été parcourus ! L’objectif est donc atteint et permettra la plantation de 500 arbres.04 May 2023
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Immersion aux Spartiates de Marseille, hockey sur glace
Plus grande patinoire de France à Marseille
Marseille possède la plus grande patinoire de France où évoluent les Spartiates de Marseille au hockey sur glace en deuxième division. C’est aussi dans ce lieu qu’évolue trois anciens étudiants d’AMOS Marseille : Frédéric Casadepax, Baptiste Sanchez et Thomas Giraud. A eux trois, ils forment une Dream Team sur différents secteurs d’activité du club. Frédéric est en alternance en tant que responsable communication avec une appétence prononcée pour le graphisme. Baptiste est également en alternance, lui, en tant que responsable événementiel et marketing. Quant à Thomas, diplômé en 2021/22 est actuellement en CDI au poste de responsable billetterie et merchandising.
Trois profils, une ambition : celle de faire du hockey Marseille, le deuxième club de la ville !
Les ambitions du club sont à la hauteur des trois jeunes hommes. Passionnés et motivés, ils souhaitent faire vivre aux spectateurs et aux fans bien plus qu’un match de hockey. De nombreuses animations sont possibles lors d’une rencontre : karting sur glace, mascotte, patinage artistique, jeu du palais, restauration, merchandising... « Une folle expérience pleine de rebondissements qui nous prend aux tripes et nous fait vivre ! J’ai appris énormément grâce aux Spartiates et continuerai à apprendre grâce à eux. » Baptiste C’est aussi ça AMOS Marseille : des amitiés qui se créent à travers des métiers passion !
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