Le marketing sportif de demain devra être « authentique » et « responsable »

Des tendances qui seront les tendances de demain. Celles qui parleront aux consommateurs et qui inciteront les marques à être plus responsables, plus solidaires... Reste que cette nouvelle direction ne pourra fonctionner que si les marques sont sincères. Fini l’opportunisme. Les temps ont changé.
L’un des enseignements que nous avons tirés de cette période compliquée, c’est que la contrainte stimule la créativité. Face à cette situation inédite, les marques ont été amenées à revoir leurs façons de communiquer, à enrichir les contenus qu’ils produisaient, à réinventer leurs événements. Celles qui ont su tirer leur épingle du jeu sont les marques qui ont fait preuve de sincérité et de simplicité. Celles qui ont montré de l’empathie et du respect. Des valeurs fondamentales en ces périodes d’inquiétude et de stress.
Erreur à ne pas commettre ? Se recroqueviller. Au contraire, il faut aller de l’avant, rester proche de ses cibles, essayer de montrer l’exemple en émettant des messages positifs et en élargissant sa vision à moyen et long terme. « Il est important de ne pas céder à l’opportunisme, car les consommateurs ne sont pas dupes, témoigne Antoine Robin, Associé fondateur chez Come#Together. Et surtout ne pas attendre un retour à la normale pour se remettre en question, récrire sa feuille de route, profiter des nouvelles perspectives qu’on subit pour en tirer les enseignements les plus constructifs. » En d’autres termes, être authentique et garder fidèlement sa ligne de conduite. Une vision partagée par Christophe Quiquandon Fondateur de l’agence Bros. « L’idéal est d’avoir été authentique, transparent et engagé avant la crise. Il est important d’éviter l’écueil de l’opportunisme. Mon conseil serait d’être authentique, engagé, et de faire preuve de créativité pour émerger dans un monde de la communication qui pourrait devenir vite uniforme du fait que tout le monde veuille cocher les mêmes cases. » Pour Christophe Quiquandon, le terrain est dorénavant miné. « Attention aux effets boomerangs. Pour ceux qui feront de grands statements ou s’érigeront en donneurs de leçons, il faudra qu’ils soient en mesure de pouvoir ouvrir leurs arrières-cuisines sereinement. Sinon, les revers de bâton seront sévères. »
L’exemple d’ASICS
Le 16 mai 2020, la marque japonaise lançait un challenge solidaire connecté, baptisé #unitedwerun. L’objectif était simple : enchaîner les kilomètres de course à pied pour la Fondation de France et la recherche contre la Covid-19. À chaque kilomètre parcouru le compteur défilait et enregistrait les scores. Objectif : atteindre 1 000 000 kilomètres. Une occasion pour chacun d’associer le plaisir de la course à pied à une action commune de solidarité. Simple, efficace, solidaire et ouvert à tous. À l’image de la marque.
« Nous n’avons pas changé de stratégie marketing, explique Arnaud Leroux, directeur Marketing d’ASICS pour l’Europe du Sud. Au contraire, la crise nous a confortés dans les principes que nous avions déjà identifiés. Favoriser la pratique sportive des Français, et notamment celle du running. Agir comme l’expert des catégories sur lesquelles nous sommes présents. Éduquer, accompagner, guider les consommateurs afin qu’ils choisissent le produit le plus adapté à leurs besoins et leurs pratiques. Et être porteur de sens, d’une vision pertinente et inspirante pour chacun. »
Pour Arnaud Leroux, « il ne faut pas être opportuniste, ne pas « profiter » de la crise pour pousser ses propres intérêts, alors que justement l’humanité entière a besoin d’une véritable solidarité ». Il poursuit : « Cette crise est extrêmement profonde, et chamboule énormément de choses. Nous avons besoin d’une perspective positive, motivante, inspirante. Nous avons besoin de valeurs fédératrices, d’une vision motivante. Il est temps de mettre en application les valeurs d’entreprise qui sont souvent placardées dans les bureaux... et véritablement les appliquer, les mettre en application. Si on ne le fait pas maintenant, alors quand ? Je pense que les consommateurs sauront voir, comprendre et suivre les marques dont les actes seront au diapason des discours. Et malheur à celles qui seront perçues comme opportunistes. »
Le marketing de demain doit être plus responsable et solidaire. L’éco-responsabilité doit être au centre des préoccupations... Nous devons TOUS être plus responsables et plus solidaires. « Mais ce n’est pas que l’enjeu du marketing, rappelle Arnaud Leroux. « C’est toute l’entreprise qui doit œuvrer pour changer les choses. Et sans tarder. Ce n’est plus une question. Plus un choix. De toute façon, les consommateurs le demandent de plus en plus. Les distributeurs aussi. Ceux qui seront réfractaires resteront sur le bord du chemin. ASICS prône l’esprit sain dans un corps sain. Désormais, il faut aussi rajouter « dans un monde sain ». Nous avons un bon nombre d’engagements d’ici 2025 et 2030, et chaque nouvelle collection intègre de plus en plus de produits avec des % de matériaux recyclés. C’est bien, mais pas encore suffisant -nous devrons perpétuellement accélérer, et ne jamais nous satisfaire des acquis. » A bon entendeur.
Alain Jouve, rédacteur en chef Sport Stratégies
Nathalie Deutsch, Young Sports Maker
It was the event not to be missed at the start of the year! The second edition of Global Sports Week took place from the 1st to 5th February, under the patronage of UNESCO and the high patronage of Mr. Emmanuel Macron, President of the French Republic. With a new format that integrated digital and physical experiences, in Paris, Beijing, Tokyo, Milan, Dakar, Los Angeles and online, a new hybrid edition was made possible to keep the event successful, despite the current health situation. As a new unmissable event for the global sports industry, Global Sports Week not only offers a unique opportunity for leaders in sport and business, it also provides a special stage for the younger generation to raise their voices and lead the future. “The Young Sports Makers programme is aimed at young people from across the world - athletes, social entrepreneurs, students and young professionals - who carry the voice of the Generation Z. The Young Sports Makers were one of the breakout successes of the inaugural edition of Global Sports Week in February 2020. They participated directly throughout the programme, expressing opinions, and challenging received ideas through on-stage interactions with global leaders.” – Young Sports Maker, Global Sports Week’s website. For this edition, a new squad of Young Sports Makers with 22 young women,12 young men and 16 nationalities represented was formed to support the new format of the event. With a mission to shape debates and challenge the speakers and leaders in person, or through virtual events depending on their location, the YSM raised suggestions for the future, especially by highlighting the changes they wanted to see in the six shifts of the event: health, lifestyle, equality, data, climate, and power. Out of the 34 Young Sports Makers selected, one of our second year Global Sport Business Master student at AMOS London, Nathalie Deutsch, was represented. We spoke with her about this once-in-a-lifetime opportunity to become a Global Sports Week Young Sports Maker during this second edition of the Global Sports Week. She explains her experience representing her generation by sharing her thoughts on the insightful sessions on the topic of Data.
How did you learn about the Young Sports Makers programme Global Sports Week?
I have been following GSW since their first edition, as I had work colleagues who attended and I found the speakers and programme quite interesting, like a breath of renewal for this type of event (that can sometimes be “boring” and too corporate). I heard about the impact the Young Sports Makers (YSM) had in 2020 but I did not think too much of it afterwards to be honest, probably because I was only following the event from far. It is by following GSW on social media and subscribing to their newsletter that I heard about the 2021 YSM applications.For what reasons did you decide to participate in the programme?
I’m in my final GSBM year and had some time to spare! (Not really). On a more serious note, I found the programme quite interesting and as an international individual I thought that it would be nice to meet sports makers from all around the world and to have an active role on the event. Learning more about current issues in sports and what the industry is doing to resolve them is also a plus and a good reason to get involved.How were you chosen to be part of the new 34 Young Sports Makers squad?
First, I had to apply online and answer a series of questions (why I want to join, what is the biggest challenge I find in sports etc.) and submit a video of me answering the question. Then once you have been selected – this is the first stage - you have to do a workshop with all the other preselected YSM. This year we had the chance to work with Yunus Sports Hub (a global social business network creating solutions to local problems in and through sport), and after a couple of presentations, we were put into groups and had an hour to get to know each other, solve questions and write a mini essay around the 6 shifts of the GSW (Health, Power, Equality, Climate, Lifestyle, Data). It was a hard task due to the time pressure and with everything being online, connecting with other participants behind a screen and working as a team is an extra challenge. After the group work, I had to submit another essay and answer further questions. For the 2021 edition, we were 34 YSM selected with around 200 applications.What was your role during the Global Sports Week?
My role would have been a bit different if we could all attend the event in-person… I chose the Paris Hub and would have been based at the Arena, but because of Covid-19 I had to change to the Digital Hub. As YSMs, we represent our Generation Z, and our main role is to let our voice be heard. Our role is to challenge speakers for more concrete answers or actions for the future of sports, meet and chat with participants, participate in talks and roundtables… Some YSMs had the chance to be on-stage live at the Eiffel Tower, either as speakers or as community managers picking out questions from the Live Chat. As for me, I had the chance to speak on the closing session, representing the Data shift, live from the Eiffel tower but from the comfort of my home.Did you have any specific preparations for your participation?
Every YSM was assigned to a shift according to experience, preferences, and prepared questions. After being assigned to Data, I had to think about questions for the different sessions, and underline the most compelling challenges of the industry, while always keeping in mind that I represented GenZ.From your perspective, what do you see as the most significant mega-trends affecting sport right now?
#Lifestyle Storytelling is at its peak. #Data Gamification and hyper personalisation are the future #Power Athlete’s platforms are powerful tools for “changemaking” #Equality Tackling issues should be considered as a team sport and what is happening on the field should be translated in governance faster (and the other way around) #Health Physical activity is the best opportunity to recover from the pandemic #Climate Sport has a real impact, and everyone should help out concerning climate fight, with sports events organisers needing to adorn the role.You are coming to the end of your second year of the Global Sport Business Master, what does the future hold for you?
It is a hard time for everyone, and I wish that we could all answer that question. For now, I will be interning at Rugby League World Cup 2021 as a Volunteer & Accreditation Coordinator, working on an event that is all about diversity and inclusion, social impact, and legacy. I do not know what the future holds for me after that, but I know that I want to work on major sports events so that is probably where you will find me in the next few years ;)As a great representative of the new generation in the sports industry, would you like to give some advice to AMOS students and those who desire to pursue a career in sports in the future?
Do not stay passive in your studies, always grab every opportunity you can. Whether it is volunteering on events, networking with lecturers, researching new trends in the sports industry etc., always do more than you would normally do and fight for what you believe in, for sports have the power to change lives, as long as you use them selflessly.
Written by Victoria Chacon, Communication and Events Officer AMOS London.
Nathalie Deutsch, Young Sports Maker
It was the event not to be missed at the start of the year! The second edition of Global Sports Week took place from the 1st to 5th February, under the patronage of UNESCO and the high patronage of Mr. Emmanuel Macron, President of the French Republic. With a new format that integrated digital and physical experiences, in Paris, Beijing, Tokyo, Milan, Dakar, Los Angeles and online, a new hybrid edition was made possible to keep the event successful, despite the current health situation. As a new unmissable event for the global sports industry, Global Sports Week not only offers a unique opportunity for leaders in sport and business, it also provides a special stage for the younger generation to raise their voices and lead the future. “The Young Sports Makers programme is aimed at young people from across the world - athletes, social entrepreneurs, students and young professionals - who carry the voice of the Generation Z. The Young Sports Makers were one of the breakout successes of the inaugural edition of Global Sports Week in February 2020. They participated directly throughout the programme, expressing opinions, and challenging received ideas through on-stage interactions with global leaders.” – Young Sports Maker, Global Sports Week’s website. For this edition, a new squad of Young Sports Makers with 22 young women,12 young men and 16 nationalities represented was formed to support the new format of the event. With a mission to shape debates and challenge the speakers and leaders in person, or through virtual events depending on their location, the YSM raised suggestions for the future, especially by highlighting the changes they wanted to see in the six shifts of the event: health, lifestyle, equality, data, climate, and power. Out of the 34 Young Sports Makers selected, one of our second year Global Sport Business Master student at AMOS London, Nathalie Deutsch, was represented. We spoke with her about this once-in-a-lifetime opportunity to become a Global Sports Week Young Sports Maker during this second edition of the Global Sports Week. She explains her experience representing her generation by sharing her thoughts on the insightful sessions on the topic of Data.
How did you learn about the Young Sports Makers programme Global Sports Week?
I have been following GSW since their first edition, as I had work colleagues who attended and I found the speakers and programme quite interesting, like a breath of renewal for this type of event (that can sometimes be “boring” and too corporate). I heard about the impact the Young Sports Makers (YSM) had in 2020 but I did not think too much of it afterwards to be honest, probably because I was only following the event from far. It is by following GSW on social media and subscribing to their newsletter that I heard about the 2021 YSM applications.For what reasons did you decide to participate in the programme?
I’m in my final GSBM year and had some time to spare! (Not really). On a more serious note, I found the programme quite interesting and as an international individual I thought that it would be nice to meet sports makers from all around the world and to have an active role on the event. Learning more about current issues in sports and what the industry is doing to resolve them is also a plus and a good reason to get involved.How were you chosen to be part of the new 34 Young Sports Makers squad?
First, I had to apply online and answer a series of questions (why I want to join, what is the biggest challenge I find in sports etc.) and submit a video of me answering the question. Then once you have been selected – this is the first stage - you have to do a workshop with all the other preselected YSM. This year we had the chance to work with Yunus Sports Hub (a global social business network creating solutions to local problems in and through sport), and after a couple of presentations, we were put into groups and had an hour to get to know each other, solve questions and write a mini essay around the 6 shifts of the GSW (Health, Power, Equality, Climate, Lifestyle, Data). It was a hard task due to the time pressure and with everything being online, connecting with other participants behind a screen and working as a team is an extra challenge. After the group work, I had to submit another essay and answer further questions. For the 2021 edition, we were 34 YSM selected with around 200 applications.What was your role during the Global Sports Week?
My role would have been a bit different if we could all attend the event in-person… I chose the Paris Hub and would have been based at the Arena, but because of Covid-19 I had to change to the Digital Hub. As YSMs, we represent our Generation Z, and our main role is to let our voice be heard. Our role is to challenge speakers for more concrete answers or actions for the future of sports, meet and chat with participants, participate in talks and roundtables… Some YSMs had the chance to be on-stage live at the Eiffel Tower, either as speakers or as community managers picking out questions from the Live Chat. As for me, I had the chance to speak on the closing session, representing the Data shift, live from the Eiffel tower but from the comfort of my home.Did you have any specific preparations for your participation?
Every YSM was assigned to a shift according to experience, preferences, and prepared questions. After being assigned to Data, I had to think about questions for the different sessions, and underline the most compelling challenges of the industry, while always keeping in mind that I represented GenZ.From your perspective, what do you see as the most significant mega-trends affecting sport right now?
#Lifestyle Storytelling is at its peak. #Data Gamification and hyper personalisation are the future #Power Athlete’s platforms are powerful tools for “changemaking” #Equality Tackling issues should be considered as a team sport and what is happening on the field should be translated in governance faster (and the other way around) #Health Physical activity is the best opportunity to recover from the pandemic #Climate Sport has a real impact, and everyone should help out concerning climate fight, with sports events organisers needing to adorn the role.You are coming to the end of your second year of the Global Sport Business Master, what does the future hold for you?
It is a hard time for everyone, and I wish that we could all answer that question. For now, I will be interning at Rugby League World Cup 2021 as a Volunteer & Accreditation Coordinator, working on an event that is all about diversity and inclusion, social impact, and legacy. I do not know what the future holds for me after that, but I know that I want to work on major sports events so that is probably where you will find me in the next few years ;)As a great representative of the new generation in the sports industry, would you like to give some advice to AMOS students and those who desire to pursue a career in sports in the future?
Do not stay passive in your studies, always grab every opportunity you can. Whether it is volunteering on events, networking with lecturers, researching new trends in the sports industry etc., always do more than you would normally do and fight for what you believe in, for sports have the power to change lives, as long as you use them selflessly.
Written by Victoria Chacon, Communication and Events Officer AMOS London.
Le Stade Rennais s’invite à AMOS Rennes !
Mercredi 17 février, les étudiants d’AMOS Rennes ont eu la chance d’accueillir comme invité et grand témoin de leur Masterclass, Richard DECLAUDE, directeur commercial du Stade Rennais Football Club !
Une Masterclass en 2 mi-temps !
Cette Masterclass s’est déroulée en 2 mi-temps : la 1ère dédiée à un tour d’horizon du Stade Rennais à 360°, et la 2nde consacrée à la stratégie commerciale du club. Durant la première partie de son intervention, Richard DECLAUDE a évoqué l’histoire du club, de sa création en 1901 à aujourd’hui, en passant par les grandes étapes du club comme le rachat de la famille Pinault en 1998 ou la victoire en Coupe de France en 2019 face au Paris-Saint-Germain de Neymar et Mbappé. Il a également évoqué les objectifs sportifs à court, moyen et long terme. La stratégie globale et ultime peut se résumer à une ambition sportive affichée : gagner des matchs ! Sur le papier, l’objectif paraît simple mais cela demande une mobilisation de tous les instants ainsi qu’un investissement total de tous les acteurs du club. On utilise souvent cette expression du « diable dans les détails » : c’est définitivement ce qu’il faut chasser en permanence dans le sport de haut-niveau et le dupliquer à toutes les fonctions du club. Cette ambition se traduit pour le SRFC par la volonté de performer sur le terrain, notamment en Coupe de France et ainsi qualifier le club pour les compétitions européennes. Comment se passer de Ligue des Champions quand l’hymne officielle de la compétition a si magnifiquement résonné cette saison dans l’enceinte du Roazhon Park ? Richard nous a d’ailleurs livré une petite anecdote sur le palmarès du club… Si, officiellement, le Stade Rennais compte trois Coupes de France à son actif, personne ici n’oublie que le club a remporté la Coupe des Alliés (ancêtre de la « Vieille Dame ») en 1916. La Coupe est d’ailleurs visible dans la galerie des légendes au Roazhon Park porte 9 !Être directeur commercial d’un club de Ligue 1, en quoi cela consiste-il ?
Durant la seconde partie de la matinée, Richard est revenu sur le métier qu’il exerce au quotidien, celui de directeur commercial d’un club de Ligue 1. Il a pris la direction des activités générant des revenus pour le club (hors transfert de joueurs et droits TV). Dans le cas du SRFC cela concerne :- Les contrats de sponsoring
- Les activations marketing et communication
- L’hospitalité
- La billetterie grand public
- Le retail
- Le MICE (Meeting Incentive Conference & Exhibition)
Stratégie commerciale et marketing du club
Richard a ensuite évoqué les grandes lignes de la stratégie commerciale et marketing du club à savoir :- Développer toutes les sources de revenus notamment en gérant efficacement l’inventaire des assets disponibles
- Fidéliser les clients en délivrant les prestations
- Conquérir de nouveaux marchés / de nouveaux acteurs en démontrant les bénéfices clients
Article rédigé par Tony ROLLAND, chargé de développement et communication AMOS Rennes.
Le Stade Rennais s’invite à AMOS Rennes !
Mercredi 17 février, les étudiants d’AMOS Rennes ont eu la chance d’accueillir comme invité et grand témoin de leur Masterclass, Richard DECLAUDE, directeur commercial du Stade Rennais Football Club !
Une Masterclass en 2 mi-temps !
Cette Masterclass s’est déroulée en 2 mi-temps : la 1ère dédiée à un tour d’horizon du Stade Rennais à 360°, et la 2nde consacrée à la stratégie commerciale du club. Durant la première partie de son intervention, Richard DECLAUDE a évoqué l’histoire du club, de sa création en 1901 à aujourd’hui, en passant par les grandes étapes du club comme le rachat de la famille Pinault en 1998 ou la victoire en Coupe de France en 2019 face au Paris-Saint-Germain de Neymar et Mbappé. Il a également évoqué les objectifs sportifs à court, moyen et long terme. La stratégie globale et ultime peut se résumer à une ambition sportive affichée : gagner des matchs ! Sur le papier, l’objectif paraît simple mais cela demande une mobilisation de tous les instants ainsi qu’un investissement total de tous les acteurs du club. On utilise souvent cette expression du « diable dans les détails » : c’est définitivement ce qu’il faut chasser en permanence dans le sport de haut-niveau et le dupliquer à toutes les fonctions du club. Cette ambition se traduit pour le SRFC par la volonté de performer sur le terrain, notamment en Coupe de France et ainsi qualifier le club pour les compétitions européennes. Comment se passer de Ligue des Champions quand l’hymne officielle de la compétition a si magnifiquement résonné cette saison dans l’enceinte du Roazhon Park ? Richard nous a d’ailleurs livré une petite anecdote sur le palmarès du club… Si, officiellement, le Stade Rennais compte trois Coupes de France à son actif, personne ici n’oublie que le club a remporté la Coupe des Alliés (ancêtre de la « Vieille Dame ») en 1916. La Coupe est d’ailleurs visible dans la galerie des légendes au Roazhon Park porte 9 !Être directeur commercial d’un club de Ligue 1, en quoi cela consiste-il ?
Durant la seconde partie de la matinée, Richard est revenu sur le métier qu’il exerce au quotidien, celui de directeur commercial d’un club de Ligue 1. Il a pris la direction des activités générant des revenus pour le club (hors transfert de joueurs et droits TV). Dans le cas du SRFC cela concerne :- Les contrats de sponsoring
- Les activations marketing et communication
- L’hospitalité
- La billetterie grand public
- Le retail
- Le MICE (Meeting Incentive Conference & Exhibition)
Stratégie commerciale et marketing du club
Richard a ensuite évoqué les grandes lignes de la stratégie commerciale et marketing du club à savoir :- Développer toutes les sources de revenus notamment en gérant efficacement l’inventaire des assets disponibles
- Fidéliser les clients en délivrant les prestations
- Conquérir de nouveaux marchés / de nouveaux acteurs en démontrant les bénéfices clients
Article rédigé par Tony ROLLAND, chargé de développement et communication AMOS Rennes.
Meeting de Liévin : les AMOSciens dans les starting-blocks
Organisé avec un protocole sanitaire très strict, le Meeting International de Lièvin 2021 a tenu toutes ses promesses : des athlètes prestigieux, des performances de choix et un record du monde du 1500 mètres pour l'Ethiopienne Gudaf Tseagy. Nos AMOSciens lillois ont eu la chance de participer à cet évènement dans la célèbre Arena Stade Couvert ! Retour sur cette belle journée de sport. Elu premier meeting indoor du monde pour la 11ème fois en 26 ans d’existence, le meeting de Liévin a émerveillé les amateurs d’athlétisme et de sport en général ! Malgré un contexte particulier et l'absence des 5 000 spectateurs habituels, cette édition 2021 a été un franc succès. Pour la 3ème année consécutive, nos étudiants ont de nouveau été impliqués dans l’organisation de l’événement en effectuant différentes missions. Le semaine précédent le Meeting, plusieurs étudiants ont aidé à la préparation et à la mise en place des équipements sportifs nécessaires à toutes les disciplines : du lancer de poids, en passant par le saut à la perche ou encore le triple saut. Le Jour-J, des étudiants se sont vus confier des missions très distinctes les unes des autres mais toutes indispensables au bon déroulement de la compétition. Ils ont ainsi pu apporter leur contribution sur les pôles sportif, communication ou encore logistique. Ces derniers nous ont donné leur avis sur cette nouvelle expérience.
Retour de notre étudiant Thomas Selin - 1ère année Programme Grande Ecole
« Ma mission sur le meeting a été de diriger toutes les personnes qui devaient réaliser un test antigénique. En effet, les athlètes, les coachs, les arbitres, les journalistes, les organisateurs étaient obligés d’être testés avant de pouvoir rentrer dans l’enceinte de l’arena. Mon rôle était indispensable puisqu’il faisait partie du protocole sanitaire en vigueur. Un protocole qui va sûrement être de plus en plus répandu au fur et à mesure que les compétitions sportives reprendront. Le résultat du test antigénique n’est disponible que 15-20 minutes après sa réalisation j’ai donc eu la chance de discuter avec plusieurs athlètes pendant leur temps d’attente. J’ai pu découvrir toute l’organisation du plus grand meeting indoor d’athlétisme du monde. Je ressors grandi de cette expérience, je reviendrai donc avec plaisir dès l’année prochaine, en espérant avoir la possibilité d’accueillir du public sur cette prochaine édition afin de pouvoir découvrir une organisation complétement différente. »
Retour de notre AMOScien, Armand Ronvel - 2ème année Programme Grande Ecole
« Ma mission principale a été de m’occuper de la plateforme Roster Athletics en anglais, le tout en collaboration avec le créateur de celle-ci. J’ai dû alimenter et répondre à chaque question des internautes et également ajouter tous les résultats de la compétition sur la plateforme. La télévision polonaise s’est même servie de mes statistiques durant la compétition. Le meeting était vraiment très attrayant étant donné la renommée des participants présents ! Je me suis vraiment plu dans mes missions et j’ai gardé contact avec le créateur de la plateforme pour de futures missions. Je ressors de cette expérience avec un très bon souvenir et encore plus confiant sur mon niveau d’anglais et mon adaptation aux différentes situations. »


Article rédigé par Lucas DEHEM, chargé de communication à AMOS Lille.
Meeting de Liévin : les AMOSciens dans les starting-blocks
Organisé avec un protocole sanitaire très strict, le Meeting International de Lièvin 2021 a tenu toutes ses promesses : des athlètes prestigieux, des performances de choix et un record du monde du 1500 mètres pour l'Ethiopienne Gudaf Tseagy. Nos AMOSciens lillois ont eu la chance de participer à cet évènement dans la célèbre Arena Stade Couvert ! Retour sur cette belle journée de sport. Elu premier meeting indoor du monde pour la 11ème fois en 26 ans d’existence, le meeting de Liévin a émerveillé les amateurs d’athlétisme et de sport en général ! Malgré un contexte particulier et l'absence des 5 000 spectateurs habituels, cette édition 2021 a été un franc succès. Pour la 3ème année consécutive, nos étudiants ont de nouveau été impliqués dans l’organisation de l’événement en effectuant différentes missions. Le semaine précédent le Meeting, plusieurs étudiants ont aidé à la préparation et à la mise en place des équipements sportifs nécessaires à toutes les disciplines : du lancer de poids, en passant par le saut à la perche ou encore le triple saut. Le Jour-J, des étudiants se sont vus confier des missions très distinctes les unes des autres mais toutes indispensables au bon déroulement de la compétition. Ils ont ainsi pu apporter leur contribution sur les pôles sportif, communication ou encore logistique. Ces derniers nous ont donné leur avis sur cette nouvelle expérience.
Retour de notre étudiant Thomas Selin - 1ère année Programme Grande Ecole
« Ma mission sur le meeting a été de diriger toutes les personnes qui devaient réaliser un test antigénique. En effet, les athlètes, les coachs, les arbitres, les journalistes, les organisateurs étaient obligés d’être testés avant de pouvoir rentrer dans l’enceinte de l’arena. Mon rôle était indispensable puisqu’il faisait partie du protocole sanitaire en vigueur. Un protocole qui va sûrement être de plus en plus répandu au fur et à mesure que les compétitions sportives reprendront. Le résultat du test antigénique n’est disponible que 15-20 minutes après sa réalisation j’ai donc eu la chance de discuter avec plusieurs athlètes pendant leur temps d’attente. J’ai pu découvrir toute l’organisation du plus grand meeting indoor d’athlétisme du monde. Je ressors grandi de cette expérience, je reviendrai donc avec plaisir dès l’année prochaine, en espérant avoir la possibilité d’accueillir du public sur cette prochaine édition afin de pouvoir découvrir une organisation complétement différente. »
Retour de notre AMOScien, Armand Ronvel - 2ème année Programme Grande Ecole
« Ma mission principale a été de m’occuper de la plateforme Roster Athletics en anglais, le tout en collaboration avec le créateur de celle-ci. J’ai dû alimenter et répondre à chaque question des internautes et également ajouter tous les résultats de la compétition sur la plateforme. La télévision polonaise s’est même servie de mes statistiques durant la compétition. Le meeting était vraiment très attrayant étant donné la renommée des participants présents ! Je me suis vraiment plu dans mes missions et j’ai gardé contact avec le créateur de la plateforme pour de futures missions. Je ressors de cette expérience avec un très bon souvenir et encore plus confiant sur mon niveau d’anglais et mon adaptation aux différentes situations. »

