Master Class « Free to Run : Liberté, Égalité, Course à pied »
« La course à pied, c’est le sport le plus libre qui puisse être : on n’a besoin que d’une paire de chaussures, on peut courir seul ou en groupe, où l’on veut. Le seul où les amateurs peuvent se retrouver sur la même ligne de départ que les athlètes d’élite. »
Nos AMOSciens sur le terrain, Juin 2022 - Engagement total
Engagement total
Zoom sur l’implication de nos étudiants sur des projets sociaux ou caritatifs...Maxime, grimpeur invétéré veut gravir les 7 grands sommets pour la ligue contre le cancer
Après avoir gravi le Mont-Blanc en 2020 et le Kilimandjaro en 2021, Maxime se lance à la conquête de l’Aconcagua en 2022. Passionné d’alpinisme et soucieux d’apporter son soutien à lutte contre le cancer, ce jeune AMOScien est un modèle de persévérance. Quelles sont tes motivations pour ce projet ? « Mes parents ont tous les deux été atteints du cancer, ma mère y a réchapée de peu. J'ai découvert un peu après que mon père avait escaladé le Mont Blanc en 1988. 32 ans plus tard, je souhaitais l'amener en photo avec moi au sommet du Mont Blanc une nouvelle fois. Réussissant mon ascension, je me permets de rêver des Seven Summits. C'est un rêve d'enfant que j'ai depuis plus de 15 ans. Voulant rendre fiers mes parents, je me lance dans ce projet, tout en réalisant des levées de fonds pour la recherche contre le cancer avant chaque ascension ».
Matthieu, étudiant en b3 à Paris, a créé son association Tiki Taka pour venir en aide aux clubs de football colombiens
Comment est né ce projet Tiki Taka ? Tout d’abord, ce projet a été motivé par une envie personnelle de découvrir un pays et de partager ma passion pour le football. J’arrivais à une période charnière dans mes études et il était primordial pour moi de réaliser un projet humanitaire en rapport avec mes études dans le sport. J’avais un réel souhait d’aider les autres et de pouvoir apporter mon aide à ses enfants. Ce qui me motive le plus reste le fait qu’on va apporter de meilleures perspectives à ces enfants autour de ma passion : le football. Quelles vont-être vos actions sur place ? Nos actions se concentrent principalement par l’apport d’équipements sportifs : ces centres n’ont presque aucun équipement, notre objectif est donc d’en fournir le plus possible. Ces équipements sont tout le matériel lié au football : des cages, des plots, des échelles, des ballons et tous les petits équipements qui seront utiles pour ces centres. En plus de ça, nous avons organisé avec les centres tout un programme d’entraînement et d’ateliers pour ces enfants. Par ailleurs, notre aide ne sera pas que sportive et financière mais surtout humaine : nous sommes conscients que ces centres vont surement avoir besoin de nous pour s’occuper des enfants et améliorer les centres. Comment comptes-tu pérenniser ce projet dans les années futures ? J’accorde énormément d’importance à l’héritage de mon association et de ce projet. Étant président de l’association et un élève d’AMOS Paris, je considère ça légitime que je transmette ce projet aux élèves d’AMOS qui le souhaitent. Je les aiderai à reconstruire un projet sur d’autres centres et à potentiellement essayer de réaliser un partenariat avec une université sur place pour faciliter les échanges. Pour soutenir le projet : cliquez iciDeux AMOSciens Lillois sélectionnés pour la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène
Deux de nos AMOSciens lillois ont été conviés à la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène au sein de l’UGC ciné cité du 19ème arrondissement de Paris.

Clément représente AMOS dans la course mythique du 4L Trophy
Un étudiant du campus AMOS Rennes, Clément Travers, a participé à la mythique course du 4L Trophy, un raid automobile solidaire destiné aux jeunes de moins de 28 ans et couru exclusivement en Renault 4L.

Nos AMOSciens sur le terrain, Juin 2022 - Engagement total
Engagement total
Zoom sur l’implication de nos étudiants sur des projets sociaux ou caritatifs...Maxime, grimpeur invétéré veut gravir les 7 grands sommets pour la ligue contre le cancer
Après avoir gravi le Mont-Blanc en 2020 et le Kilimandjaro en 2021, Maxime se lance à la conquête de l’Aconcagua en 2022. Passionné d’alpinisme et soucieux d’apporter son soutien à lutte contre le cancer, ce jeune AMOScien est un modèle de persévérance. Quelles sont tes motivations pour ce projet ? « Mes parents ont tous les deux été atteints du cancer, ma mère y a réchapée de peu. J'ai découvert un peu après que mon père avait escaladé le Mont Blanc en 1988. 32 ans plus tard, je souhaitais l'amener en photo avec moi au sommet du Mont Blanc une nouvelle fois. Réussissant mon ascension, je me permets de rêver des Seven Summits. C'est un rêve d'enfant que j'ai depuis plus de 15 ans. Voulant rendre fiers mes parents, je me lance dans ce projet, tout en réalisant des levées de fonds pour la recherche contre le cancer avant chaque ascension ».
Matthieu, étudiant en b3 à Paris, a créé son association Tiki Taka pour venir en aide aux clubs de football colombiens
Comment est né ce projet Tiki Taka ? Tout d’abord, ce projet a été motivé par une envie personnelle de découvrir un pays et de partager ma passion pour le football. J’arrivais à une période charnière dans mes études et il était primordial pour moi de réaliser un projet humanitaire en rapport avec mes études dans le sport. J’avais un réel souhait d’aider les autres et de pouvoir apporter mon aide à ses enfants. Ce qui me motive le plus reste le fait qu’on va apporter de meilleures perspectives à ces enfants autour de ma passion : le football. Quelles vont-être vos actions sur place ? Nos actions se concentrent principalement par l’apport d’équipements sportifs : ces centres n’ont presque aucun équipement, notre objectif est donc d’en fournir le plus possible. Ces équipements sont tout le matériel lié au football : des cages, des plots, des échelles, des ballons et tous les petits équipements qui seront utiles pour ces centres. En plus de ça, nous avons organisé avec les centres tout un programme d’entraînement et d’ateliers pour ces enfants. Par ailleurs, notre aide ne sera pas que sportive et financière mais surtout humaine : nous sommes conscients que ces centres vont surement avoir besoin de nous pour s’occuper des enfants et améliorer les centres. Comment comptes-tu pérenniser ce projet dans les années futures ? J’accorde énormément d’importance à l’héritage de mon association et de ce projet. Étant président de l’association et un élève d’AMOS Paris, je considère ça légitime que je transmette ce projet aux élèves d’AMOS qui le souhaitent. Je les aiderai à reconstruire un projet sur d’autres centres et à potentiellement essayer de réaliser un partenariat avec une université sur place pour faciliter les échanges. Pour soutenir le projet : cliquez iciDeux AMOSciens Lillois sélectionnés pour la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène
Deux de nos AMOSciens lillois ont été conviés à la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène au sein de l’UGC ciné cité du 19ème arrondissement de Paris.

Clément représente AMOS dans la course mythique du 4L Trophy
Un étudiant du campus AMOS Rennes, Clément Travers, a participé à la mythique course du 4L Trophy, un raid automobile solidaire destiné aux jeunes de moins de 28 ans et couru exclusivement en Renault 4L.

Témoignage Etudiant, Critérium du Dauphiné 2022
Rencontre avec notre étudiant Louis SORIA
Etudiant en 2ème année sur le campus AMOS Lyon, Louis a eu la chance de vivre l’une des courses mythiques de cyclisme en France durant toute la durée de l’événement grâce à Sporeo. Dans le cadre des expériences professionnelles proposées par AMOS, ce passionné de cyclisme a eu l’occasion de participer à toutes étapes du Critérium du Dauphiné 2022 via notre partenariat avec Sporeo créé en janvier 2019 par deux alumni, Mathieu Baillet et Thibaut Houot, diplômés en 2016-2017. La start-up accompagne et conseille les détenteurs de droits sur le merchandising et licensing, en apportant une expérience consommateur, fan, spectateur... novatrice et personnalisée, faisant vivre l’événement tout au long de l’année. Cette 74e édition accueillait donc 22 équipes pour s’affronter sur toute la Région Auvergne-Rhône-Alpes entre le 5 et le 12 juin dernier. Cette course est réputée pour proposer des étapes très montagneuses et être en quelques sortes une « répétition générale » à deux semaines et demie du départ du Tour de France.Sur quels types de missions étais-tu positionné durant le Critérium du Dauphiné ?
Cette mission était proposée par Sporeo sur toute la durée de la course. L’entreprise est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de produits dérivés sur les événements sportifs. Dans le monde du cyclisme, ils sont présents sur les principales courses en France : Tour de France, Critérium du Dauphiné, Paris-Nice, Paris-Roubaix, etc… mais également sur des courses à l’étranger comme le Deutschland Tour ou la Liège-Bastogne-Liège. Je travaillais donc comme vendeur pour la boutique officielle où nous vendions tous les produits brandés « Critérium du Dauphiné ». Il y avait donc tout ce qui était produits dérivés (décapsuleurs, porte-clefs, mugs, peluches, etc…), une gamme vêtements au nom de la course et made in France, une gamme Tour de France et enfin une gamme sportive Santini, qui est le distributeur des maillots de course distinctifs (à poids, jaune, blanc, etc …).
Comment se déroulait ta journée type ?
Tout d’abord, j’ai débuté cette expérience un jour avant le départ officiel de la course à La Voulte sur-Rhône en Ardèche. Cette journée a permis à l’équipe de se rencontrer et de se roder pour les 8 prochains jours. On m’a donc expliqué comment monter/démonter la boutique, l’organisation générale et j’ai dû également me familiariser avec tous les produits à vendre. En réalité, il y a deux boutiques à chaque étape : une au départ et une sur le village d’arrivée avec de nombreuses animations, foodtrucks, etc... J’étais donc placé sur l’arrivée lors des 3 premiers jours, puis au départ pour le reste de la course. A l’arrivée, le plus gros de la vente se fait entre 16h30 et 18h, une fois que les premiers coureurs terminent l’étape et sur le départ, nous vendions principalement entre 12h et 13h. Dans les villes et villages, c’était une clientèle assez variée entre locaux curieux et véritables connaisseurs.Quel a été ton meilleur souvenir sur la course ?
Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !
As-tu eu des moments plus compliqués sur la semaine ?
Le montage et démontage tous les jours devient fatigant vers la fin de l’événement, surtout lorsqu’on le fait sous la pluie ! Il ne faut pas craindre de se lever tôt également. C’est formateur pour découvrir les métiers liés à l’évènementiel sportif !Que retiendras-tu au final de cette belle expérience ?
C’est un événement vraiment chouette et il y a une ambiance géniale. On rencontre plein de personnes, plein de métiers différents. On ne s’ennuie jamais car on bouge tous les jours sur l’étape suivante. Je recommande vraiment cette expérience à tous les passionnés de cyclisme, et pas uniquement ! Un grand merci à toute l’équipe de Sporeo pour son accueil et leur transmission d’expériences tout au long de la semaine !Témoignage Etudiant, Critérium du Dauphiné 2022
Rencontre avec notre étudiant Louis SORIA
Etudiant en 2ème année sur le campus AMOS Lyon, Louis a eu la chance de vivre l’une des courses mythiques de cyclisme en France durant toute la durée de l’événement grâce à Sporeo. Dans le cadre des expériences professionnelles proposées par AMOS, ce passionné de cyclisme a eu l’occasion de participer à toutes étapes du Critérium du Dauphiné 2022 via notre partenariat avec Sporeo créé en janvier 2019 par deux alumni, Mathieu Baillet et Thibaut Houot, diplômés en 2016-2017. La start-up accompagne et conseille les détenteurs de droits sur le merchandising et licensing, en apportant une expérience consommateur, fan, spectateur... novatrice et personnalisée, faisant vivre l’événement tout au long de l’année. Cette 74e édition accueillait donc 22 équipes pour s’affronter sur toute la Région Auvergne-Rhône-Alpes entre le 5 et le 12 juin dernier. Cette course est réputée pour proposer des étapes très montagneuses et être en quelques sortes une « répétition générale » à deux semaines et demie du départ du Tour de France.Sur quels types de missions étais-tu positionné durant le Critérium du Dauphiné ?
Cette mission était proposée par Sporeo sur toute la durée de la course. L’entreprise est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de produits dérivés sur les événements sportifs. Dans le monde du cyclisme, ils sont présents sur les principales courses en France : Tour de France, Critérium du Dauphiné, Paris-Nice, Paris-Roubaix, etc… mais également sur des courses à l’étranger comme le Deutschland Tour ou la Liège-Bastogne-Liège. Je travaillais donc comme vendeur pour la boutique officielle où nous vendions tous les produits brandés « Critérium du Dauphiné ». Il y avait donc tout ce qui était produits dérivés (décapsuleurs, porte-clefs, mugs, peluches, etc…), une gamme vêtements au nom de la course et made in France, une gamme Tour de France et enfin une gamme sportive Santini, qui est le distributeur des maillots de course distinctifs (à poids, jaune, blanc, etc …).
Comment se déroulait ta journée type ?
Tout d’abord, j’ai débuté cette expérience un jour avant le départ officiel de la course à La Voulte sur-Rhône en Ardèche. Cette journée a permis à l’équipe de se rencontrer et de se roder pour les 8 prochains jours. On m’a donc expliqué comment monter/démonter la boutique, l’organisation générale et j’ai dû également me familiariser avec tous les produits à vendre. En réalité, il y a deux boutiques à chaque étape : une au départ et une sur le village d’arrivée avec de nombreuses animations, foodtrucks, etc... J’étais donc placé sur l’arrivée lors des 3 premiers jours, puis au départ pour le reste de la course. A l’arrivée, le plus gros de la vente se fait entre 16h30 et 18h, une fois que les premiers coureurs terminent l’étape et sur le départ, nous vendions principalement entre 12h et 13h. Dans les villes et villages, c’était une clientèle assez variée entre locaux curieux et véritables connaisseurs.Quel a été ton meilleur souvenir sur la course ?
Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !