Masterclass : la féminisation du marché du sport en question

Sous forme de visioconférence, les étudiants poursuivent les rencontres et échanges avec différents acteurs du sport. Les AMOSciens du campus de bordeaux de 1ère et 2ème année ont échangé avec deux professionnelles françaises sur le thème de la féminisation du sport. Retour sur leurs expériences et visions autour d’un sujet qui dépasse le simple cadre du sport.
Pour ce nouveau rendez-vous autour du marché du sport, AMOS Bordeaux a décidé de mettre les femmes et le sport au cœur de leur actualité. Le 4 mars dernier, une Masterclass a été organisée en visioconférence, portant sur la féminisation du marché sportif. Pour les étudiants de 1ère et 2ème année de Bachelor, ce rendez-vous aura été une excellente occasion de débattre sur un sujet d’actualité aussi bien relayé par les médias que les instances sportives.
Pour débattre sur ce sujet, nous avons eu le plaisir de recevoir en visio Hélène Watson et Valérie Domain.
Hélène Watson : ancienne triathlète de haut niveau avec plusieurs titres de championne de France à son actif, elle est la première vainqueure féminine d’un Ironman (Gérardmer 2003). Hélène a figuré également comme entraineuse fédére de triathlon et monitrice d’équitation, mais aussi professeure d’EPS en collège et lycée.
A l’issue de sa carrière sportive, Hélène a lancé une marque de textile pour le triathlon et le trail en 2003 avec son mari : la marque KIWAMI.
Valérie Domain : Journaliste reconnue depuis plus de vingt ans, elle est aussi auteure d’une dizaine de livres, dont plusieurs titres à succès. Grand-reporter dans la presse écrite, elle a ensuite lancé gala.fr avant de rejoindre aufeminin.com puis nouvelobs.com à des postes de direction éditoriale. Elle a créé et dirige depuis cinq ans une agence de contenus à destination des médias (L’Équipe, Prisma Media, Le Parisien, Elle, Version Femina…).
Valérie a créé en 2020 un média digital dédié au sport féminin : ABLOCK!.
Nos deux invitées ont présenté leur parcours et leur entreprise.
En créant la société avec son époux néo-zélandais et également triathlète, Hélène Watson a voulu réaliser un savant mélange de culture pour le nom de l’entreprise : en référence au kiwi, espèce d’oiseau en voie de disparition en Nouvelle-Zélande et le mot « ami », soit la réelle signification « l’ami des kiwis ». Pour apporter une touche française à la marque, ils ont décidé d’intégrer un béret sur le logo. Kiwami représente leur idée du triathlon : international mais unique, plein de vie et de caractère, amical, sain et fier.
Les deux athlètes se sont donc lancés dans l’aventure de l’entrepreneuriat. Grâce à leur grande connaissance du milieu du triathlon, ils proposent un ensemble de produits textiles, techniques et haut de gamme pour les trois univers de la discipline (également celui du trail) et ciblent une catégorie de sportifs tournée vers la performance et le haut niveau.
Portée par le souci du détail et l’exigence de la performance, la marque a su s’imposer avec des innovations majeures avant d’être légitimement récompensée à l’ISPO Munich, le plus grand salon international multisectoriel de l'industrie du sport. Kiwami est reconnue par l’industrie du sport comme porteur de nouveaux concepts et appréciée par les professionnels du secteur.
Leurs principaux clients se trouvent en Europe, notamment en Allemagne, mais aussi aux États-Unis.
Créée en 2003, Hélène et son mari ont d’emblée fait le pari de la commercialisation en ligne : un gros risque à l’époque puisque Internet n’était pas encore le canal marketing majeur qu’il est aujourd’hui ! Un pari réussi puisque Kiwami équipe aujourd’hui plus de 350 clubs et équipes dans le monde entier avec des tenues de triathlon techniques, confortables et de qualité.
Quant à Valérie DOMAIN, dopée par les endorphines et la confiance d’entreprendre, elle va conjuguer son métier de journaliste et sa nouvelle passion vitale, le sport, pour créer le média digital ÀBLOCK!
ÀBLOCK! n’est pas un énième média sportif traditionnel, pas de résultats ni de comptes-rendus mais la parole donnée à des femmes, championnes ou anonymes, plutôt issues de disciplines peu médiatisées, qui ont toutes en commun de vivre leur sport avec « leurs tripes ». Le sport y est traité comme un vecteur d’émancipation, une incitation à trouver la meilleure formule de soi-même !
On y parle donc de sport mais de façon inédite avec une ligne sociétale assumée et constante, portée par des portraits, tribunes et interviews d’illustres championnes autant que d’illustres inconnues.
Laissant de côté, le culte de la performance à tout prix, ÀBLOCK! est avant tout conçu comme un vecteur d’émancipation pour les femmes, avec un seul crédo : faire bouger les lignes ! Pour cette initiative, Valérie vient de recevoir le soutien du Ministère de la Culture (lauréat de la bourse Emergence et innovation dans les médias).
Suite à la présentation de leur structure, nos invitées ont débattu avec les étudiants sur l’évolution du marché sportif féminin, notamment à travers la médiatisation et le lien entre pratique sportive et commercialisation de produits sportifs féminins.
Nous avons pu échanger avec Hélène sur la vision « business » et les opportunités économiques qu’offre la croissance de la pratique sportive féminine, notamment autour des sports d’endurance (running, vélo, triathlon), et encouragée par les instances fédérales, comme en témoigne le « Projet Mixité », lancé par la Fédération Française de Triathlon en 2012 puis 2017. Nous sommes revenus sur la stratégie marketing de la marque pour attirer et fidéliser une communauté de pratiquantes.
Valérie est revenue sur la médiatisation du sport féminin et les freins au développement de la pratique. Selon elle, le manque de moyens alloués au sport féminin, notamment en termes de budget, d’infrastructures et de compétitions génèrent ces disparités dans le secteur sportif.
C’est en mettant en valeur le sport féminin que l’on atteindra une plus grande reconnaissance et parité. C’est pour cela qu’ABLOCK! a vu le jour !
Pour appréhender au mieux les idées développées au cours de cette conférence, les étudiants ont produit, en groupe, une note de synthèse et présenté un plan d’action pour la promotion du sport féminin à travers les structures Kiwami et ABLOCK ! Une mise en situation permettant de comprendre les enjeux du sport et ainsi être acteur des changements de demain.
Pour ce nouveau rendez-vous autour du marché du sport, AMOS Bordeaux a décidé de mettre les femmes et le sport au cœur de leur actualité. Le 4 mars dernier, une Masterclass a été organisée en visioconférence, portant sur la féminisation du marché sportif. Pour les étudiants de 1ère et 2ème année de Bachelor, ce rendez-vous aura été une excellente occasion de débattre sur un sujet d’actualité aussi bien relayé par les médias que les instances sportives.
Des invitées féminines au cœur du sport féminin
Pour débattre sur ce sujet, nous avons eu le plaisir de recevoir en visio Hélène Watson et Valérie Domain.
Hélène Watson : ancienne triathlète de haut niveau avec plusieurs titres de championne de France à son actif, elle est la première vainqueure féminine d’un Ironman (Gérardmer 2003). Hélène a figuré également comme entraineuse fédére de triathlon et monitrice d’équitation, mais aussi professeure d’EPS en collège et lycée.
A l’issue de sa carrière sportive, Hélène a lancé une marque de textile pour le triathlon et le trail en 2003 avec son mari : la marque KIWAMI.
Valérie Domain : Journaliste reconnue depuis plus de vingt ans, elle est aussi auteure d’une dizaine de livres, dont plusieurs titres à succès. Grand-reporter dans la presse écrite, elle a ensuite lancé gala.fr avant de rejoindre aufeminin.com puis nouvelobs.com à des postes de direction éditoriale. Elle a créé et dirige depuis cinq ans une agence de contenus à destination des médias (L’Équipe, Prisma Media, Le Parisien, Elle, Version Femina…).
Valérie a créé en 2020 un média digital dédié au sport féminin : ABLOCK!.
Des femmes et des métiers au sein de l’écosystème sportif
Nos deux invitées ont présenté leur parcours et leur entreprise.
En créant la société avec son époux néo-zélandais et également triathlète, Hélène Watson a voulu réaliser un savant mélange de culture pour le nom de l’entreprise : en référence au kiwi, espèce d’oiseau en voie de disparition en Nouvelle-Zélande et le mot « ami », soit la réelle signification « l’ami des kiwis ». Pour apporter une touche française à la marque, ils ont décidé d’intégrer un béret sur le logo. Kiwami représente leur idée du triathlon : international mais unique, plein de vie et de caractère, amical, sain et fier.
Les deux athlètes se sont donc lancés dans l’aventure de l’entrepreneuriat. Grâce à leur grande connaissance du milieu du triathlon, ils proposent un ensemble de produits textiles, techniques et haut de gamme pour les trois univers de la discipline (également celui du trail) et ciblent une catégorie de sportifs tournée vers la performance et le haut niveau.
Portée par le souci du détail et l’exigence de la performance, la marque a su s’imposer avec des innovations majeures avant d’être légitimement récompensée à l’ISPO Munich, le plus grand salon international multisectoriel de l'industrie du sport. Kiwami est reconnue par l’industrie du sport comme porteur de nouveaux concepts et appréciée par les professionnels du secteur.
Leurs principaux clients se trouvent en Europe, notamment en Allemagne, mais aussi aux États-Unis.
Créée en 2003, Hélène et son mari ont d’emblée fait le pari de la commercialisation en ligne : un gros risque à l’époque puisque Internet n’était pas encore le canal marketing majeur qu’il est aujourd’hui ! Un pari réussi puisque Kiwami équipe aujourd’hui plus de 350 clubs et équipes dans le monde entier avec des tenues de triathlon techniques, confortables et de qualité.
Quant à Valérie DOMAIN, dopée par les endorphines et la confiance d’entreprendre, elle va conjuguer son métier de journaliste et sa nouvelle passion vitale, le sport, pour créer le média digital ÀBLOCK!
ÀBLOCK! n’est pas un énième média sportif traditionnel, pas de résultats ni de comptes-rendus mais la parole donnée à des femmes, championnes ou anonymes, plutôt issues de disciplines peu médiatisées, qui ont toutes en commun de vivre leur sport avec « leurs tripes ». Le sport y est traité comme un vecteur d’émancipation, une incitation à trouver la meilleure formule de soi-même !
On y parle donc de sport mais de façon inédite avec une ligne sociétale assumée et constante, portée par des portraits, tribunes et interviews d’illustres championnes autant que d’illustres inconnues.
Laissant de côté, le culte de la performance à tout prix, ÀBLOCK! est avant tout conçu comme un vecteur d’émancipation pour les femmes, avec un seul crédo : faire bouger les lignes ! Pour cette initiative, Valérie vient de recevoir le soutien du Ministère de la Culture (lauréat de la bourse Emergence et innovation dans les médias).
Quel marché du sport féminin ?
Suite à la présentation de leur structure, nos invitées ont débattu avec les étudiants sur l’évolution du marché sportif féminin, notamment à travers la médiatisation et le lien entre pratique sportive et commercialisation de produits sportifs féminins.
Nous avons pu échanger avec Hélène sur la vision « business » et les opportunités économiques qu’offre la croissance de la pratique sportive féminine, notamment autour des sports d’endurance (running, vélo, triathlon), et encouragée par les instances fédérales, comme en témoigne le « Projet Mixité », lancé par la Fédération Française de Triathlon en 2012 puis 2017. Nous sommes revenus sur la stratégie marketing de la marque pour attirer et fidéliser une communauté de pratiquantes.
Valérie est revenue sur la médiatisation du sport féminin et les freins au développement de la pratique. Selon elle, le manque de moyens alloués au sport féminin, notamment en termes de budget, d’infrastructures et de compétitions génèrent ces disparités dans le secteur sportif.
C’est en mettant en valeur le sport féminin que l’on atteindra une plus grande reconnaissance et parité. C’est pour cela qu’ABLOCK! a vu le jour !
Pour appréhender au mieux les idées développées au cours de cette conférence, les étudiants ont produit, en groupe, une note de synthèse et présenté un plan d’action pour la promotion du sport féminin à travers les structures Kiwami et ABLOCK ! Une mise en situation permettant de comprendre les enjeux du sport et ainsi être acteur des changements de demain.

Article rédigé par Manon Gimet, étudiante en 3ème année Bachelor Métiers du Sport AMOS Bordeaux.
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Matthieu, étudiant en b3 à Paris, a créé son association Tiki Taka pour venir en aide aux clubs de football colombiens
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22 Jun 2022
AMOS Sport Business School obtient le Label Génération 2024
AMOS Sport Business School inscrit son nom à la liste des établissements labellisés Génération 2024
Destiné aux écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur, le Label Génération 2024 est délivré par le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pour rappel, le Label Génération 2024 est pensé pour soutenir le développement de la pratique sportive dans l’enseignement supérieur et renforcer ses objectifs d’inclusion, de santé, de respect et d’engagement citoyen en partenariat avec le mouvement sportif et le Comité d’organisation des prochains Jeux Olympiques. AMOS Sport Business School soutient un peu plus les Jeux de Paris 2024 en inscrivant son nom à la liste des établissements labellisés « Génération 2024 ». Obtenu en janvier 2021, ce Label est la concrétisation d’un investissement pérenne du Groupe AMOS auprès des différents acteurs sportifs, publics et privés. L’objectif de ce Label est de valoriser les établissements qui souhaitent s’inscrire dans une exploitation durable et structurée autour de 3 critères principaux :1. Développer des projets structurants avec les clubs sportifs du territoire
Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).22 Jun 2022
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Destiné aux écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur, le Label Génération 2024 est délivré par le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pour rappel, le Label Génération 2024 est pensé pour soutenir le développement de la pratique sportive dans l’enseignement supérieur et renforcer ses objectifs d’inclusion, de santé, de respect et d’engagement citoyen en partenariat avec le mouvement sportif et le Comité d’organisation des prochains Jeux Olympiques. AMOS Sport Business School soutient un peu plus les Jeux de Paris 2024 en inscrivant son nom à la liste des établissements labellisés « Génération 2024 ». Obtenu en janvier 2021, ce Label est la concrétisation d’un investissement pérenne du Groupe AMOS auprès des différents acteurs sportifs, publics et privés. L’objectif de ce Label est de valoriser les établissements qui souhaitent s’inscrire dans une exploitation durable et structurée autour de 3 critères principaux :1. Développer des projets structurants avec les clubs sportifs du territoire
Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).02 Jun 2022
Rendez-vous métiers : agent sportif, Top Five Management
Rencontre avec Thibault Olliver, alumni de la promotion 2017
Une vie à deux cents à l’heure qui l’emmène aux quatre coins du monde aux côtés de joueuses de renommée mondiale comme Elina Svitolina ou Ons Jabeur. Découvrez le quotidien d’un ancien AMOScien qui vit aujourd’hui pleinement sa passion !Quelles sont tes missions et responsabilités au sein de l’agence ?
La première, c'est d’être agent sportif, je représente des joueurs de tennis qui sont sur le circuit ou en junior. La représentation d'athlètes, ce sont plusieurs axes. D'abord, c'est de les accompagner dans leur carrière, les aider à sélectionner un coach, à choisir le bon staff et les bons outils. Aujourd’hui avec le développement des analytics, cela va même à trouver les bons analystes data pour les aider à structurer leur staff et leur permettre de se focaliser sur une seule chose : leur performance sur le terrain, sans se soucier de tous les à-côtés. Au-delà de cet aspect sportif, notre service chez Top Five Management, couvre également tout un tas d'autres réalités qui sont liées aux joueurs. On gère tout ce qui est droits d'image, ce qui est essentiel dans le tennis puisque la différenciation entre le modèle d'un agent tennis et le modèle d'un agent football par exemple, c’est qu’il n'y a pas de contrat avec une structure, entre un employeur et un employé. Les joueurs sont absolument indépendants. En tant qu'agents sportifs dans le tennis, nous sommes rémunérés sur les contrats que nous apportons donc évidemment, le business model, c’est de réussir à créer des contrats de partenariat autour des athlètes et de trouver le meilleur « fit » avec la marque. Pour cela, il faut gérer tout au long de l'année l'image de l'athlète, sa communication. Pour réussir à avoir une image la plus attrayante possible pour de potentiels sponsors. Cela passe donc par la gestion des réseaux sociaux, des briefs media ou encore de la création d’associations ou de fondations.Quels athlètes représentes-tu chez Top Five Management ?
On représente aujourd'hui une quarantaine de clients, environ la moitié de notre roster est composée de joueurs professionnels, l'autre moitié est composée de juniors puisqu’il faut aussi assurer une transition. On fait beaucoup de travail de détection pour essayer de repérer les talents de demain. Les plus gros clients de l'agence sont Elina Svitolina, Ons Jabeur, Arthur Rinderknech, Katarina Siniakova ou encore Anastasia Pavlyuchenkova, qui était en finale ici à Roland l'année dernière.Peux-tu nous parler de la deuxième partie de tes missions ?
La deuxième partie, c'est responsable de la cellule événementielle de l'agence. On organise des événements à travers le monde, des tournois de tennis également. Je m'occupe de développer notre réseau d'événements, d'organiser les événements pour lesquels on a des droits et également de développer certains événements avec qui on a signé des partenariats. On travaille principalement sur les Petits AS, c'est une marque très reconnue en France mais aussi à l'international, c’est même le tournoi Junior le plus connu au monde, tout sport confondu. En termes d’évènementiel, pour nous, c'est comme un événement professionnel. Nos missions dessus sont diverses, c'est tout d’abord le développement commercial du tournoi, c'est à dire amener des partenaires et créer du contenu engageant pour les marques qui souhaitent s’associer au tournoi. On gère cette régie commerciale pour le tournoi à Tarbes qui a lieu chaque année et on a également la charge du développement international du tournoi, renforcer son exposition et sa résonnance sur les autres continents. Pour cela on a créé plusieurs tournois qualificatifs à travers le monde, qu'on a appelé les Play-offs. Ils ont lieu aux Etats-Unis, en Asie et à l'avenir, sur le continent africain, en Amérique du Sud et peut être au Moyen-Orient.Une journée type à Roland Garros ?
La journée type, elle n'existe pas à Roland-Garros ! Finalement, une journée à Roland c'est être au service de nos athlètes. Il y a énormément de choses à gérer dès la veille du départ, où il faut les accompagner sur toutes les interventions avec les media et les sponsors. Il faut s’assurer que toute la logistique est gérée. Dès qu’ils entrent sur le tableau, c'est la partie plus fun, on les accompagne sur les terrains, pour les encourager, leur montrer que la team est présente. Il y a aussi toute la gestion des invitations pour leurs proches et les sponsors, gérer tout ce qui est afférent aux contrats et aux obligations qu'ils ont aujourd'hui, c'est à dire s'occuper de mettre les patchs sur les maillots, s’assurer des posts sur les réseaux sociaux qui sont prévus durant la quinzaine ou encore organiser des réunions avec certains de leurs sponsors. Pour finir, on s’occupe également de la distribution de leurs produits, qu’ils arrivent au bon moment et bon endroit. Il y’a bien sûr plein d’autres missions et la quinzaine est faite d’imprévus mais pour résumer, c’est d'essayer de gérer au mieux leur planning pour que, encore une fois, la seule chose à laquelle ils pensent, c’est réserver un cours de practice avec leur coach, aller s'entraîner et jouer leurs matchs.J’imagine que tu voyages beaucoup, cette dimension internationale c’est quelque chose que tu cherchais ?
C’est un métier où je voyage beaucoup, certains des voyages sont prévus de longue date, notamment sur la partie événementielle, mais c'est aussi un métier où on voyage beaucoup en réaction. On a besoin d'accompagner nos athlètes dans les moments clés de leur carrière et sur leurs pics de performance. Par exemple, lorsque Ons Jabeur gagne Madrid, je prends l'avion le vendredi soir pour être présent sur la finale. Le samedi de la semaine suivante, elle est en demi-finale à Rome. Je prends l'avion le samedi matin et je fais la demi le samedi et la finale le dimanche avec elle pour l'accompagner dans ces moments. Je dirais que je passe un peu plus trois mois de l'année en déplacement et c'est quelque chose que je recherchais finalement. Déjà à l'époque, quand j'étais à l'école, c'était pour ça que j'avais choisi le cursus international et que j'avais choisi AMOS pour découvrir d’autres pays et pratiques, avec les différents séjours que j'ai pu faire à Valence ou à Chicago. Donc vraiment, cette notion internationale m'avait beaucoup attirée à l'époque et c'est quelque chose que j'ai toujours recherché. Evidemment, parfois ce n'est pas facile de devoir partir du jour au lendemain sur un déplacement qui n'est pas prévu. Mais ce sont aussi les sacrifices qu'on est prêts à faire pour travailler dans ce milieu et c'est ce qui nous anime au quotidien.Pour terminer, comment te sens tu dans ta vie professionnelle ?
Aujourd'hui, je suis complètement épanoui dans mon métier. J'ai toujours voulu être au plus près des acteurs du sport, complètement fasciné par le milieu du sport professionnel et du sport de haut niveau. Je suis heureux d’accompagner des sportifs de renommée internationale, de les aider dans la gestion de leur carrière, de leur image et dans la signature de partenariats mais encore plus dans leur développement personnel, parce qu'on les accompagne aussi sur beaucoup de choses qui concernent leur vie privée. C'est quelque chose qui me passionne ! Il faut être prêt à faire énormément de sacrifices parce qu’il n'y a pas d'horaires de bureau, il n'y a pas de week-end ou de jours fériés. C'est une vie à 200 à l'heure. Mais finalement, c'est la vie que je voulais mener et que j'espérais en entrant à AMOS !02 Jun 2022