Morgane en route vers le centenaire du CNM !

En Octobre 2003, Morgane Mascret est recrutée en tant que chargée de communication au Cercle des Nageurs de Marseille (CNM), l’emblématique et prestigieux club de natation et water-polo de la cité phocéenne. 16 ans plus tard, elle est directrice de la communication du marketing et du développement. Elle revient pour nous sur son parcours et sur la stratégie du CNM, qui aura vu éclore quelques-uns des plus grands nageurs de l’histoire de la natation française comme Fabien Gilot, Camille Lacourt ou encore Florent Manaudou.
Quel a été votre parcours pour arriver où vous êtes aujourd’hui ?
J'ai eu la chance grâce à mon passé de sportive de haut niveau (nageuse sur 100 et 200m brasse) d’avoir une passerelle privilégiée et d’intégrer l'école de journalisme du CFPJ à Paris avec une spécialisation relation presse/communication. Ma première expérience a durée 2 ans, à la Fédération Française de volley-ball en tant qu'attachée de presse. Je suis ensuite revenue à Marseille, pour travailler au Cercle des Nageurs
En quoi consiste votre responsabilité ?
Mon métier est très large, car nous sommes une petite structure et n’avons donc pas un effectif conséquent au service de communication. J’ai pendant longtemps été seule au service Marketing/Développement & Communication. En résumé je suis en charge de la communication interne & externe, ou encore des relations presse. Je gère également les partenariats, les événements, les réseaux sociaux, mais aussi toute la partie relation entreprise (séminaire…)
Qu’est ce qui a changé avec la victoire de la Coupe d’Europe en water-polo et le retour de Florent Manaudou ?
La victoire en coupe d’Europe a permis de mettre en lumière une discipline peu médiatisée. Cela a fait beaucoup de bien au water-polo en règle générale, et encore plus au CNM. Il est plus facile de communiquer face à des gens qui connaissent la discipline et la compétitivité du club. Economiquement, nous avons plusieurs entreprises qui ont été séduites par l’esprit du water-polo, avec notamment les 7 matchs de Ligue des Champions télévisés cette année (beIN SPORTS).
Par contre, le retour de Florent n’a pas changé énormément de choses d’autant plus qu’il partage son temps entre Marseille et Istanbul comme membre de la Ligue mondiale ISL qui se déplace dans le monde. Nous sommes très contents de son retour, car il tourne très bien, ce qui est prometteur pour les JO de Tokyo, mais cela ne modifie pas notre quotidien. Bien sûr, ses performances influent sur l’image du Cercle et sa notoriété car il est une star mais il n’y a pas de retombées particulières.
En quoi consiste le « Club entreprise » du CNM ?
Le Club entreprise a longtemps vivoter, et nous ne faisions pas énormément d’activations ou de mises en réseau. Depuis 2 ans, nous essayons vraiment de fédérer notre cercle d’entreprises grâce notamment à des petits déjeuners thématiques avec différents intervenants, dans le but de réunir nos partenaires en dehors de l’événementiel sportif pur (matchs VIP, rencontres des joueurs…). Il y a encore beaucoup de choses à faire, et c’est aujourd’hui un de nos axes de développement prioritaire.
Tout comme le Développement Durable ?
On s’implique dans ce domaine tout doucement. Il faut avouer que nous ne sommes pas très pointus encore là-dessus étant au commencement de cette aventure. Mais aujourd’hui c’est un axe incontournable premièrement car au vu de l’état de notre planète, nous sommes obligés de nous sentir concernés. Ensuite, c’est aussi un atout dans la communication globale qui sera très efficace et qui participe de notre image de marque.
Ainsi nous avons lancé cette année la première opération de nettoyage de la plage des Catalans (plage mitoyenne au CNM) avec l’aide d’associations spécialisées comme « Pur Océan ». C’est important, car nous nageons toute l’année dans la baie des Catalans, et cela concerne aussi le bienêtre de nos adhérents qui est en jeu. Nous avons également mis en place, entre autres, un système de recyclage des eaux usées, ce qui est était indispensable au vu de notre consommation d’eau due à l’utilisation des piscines. Nous avançons très concrètement.
Aujourd’hui, quelle est la vision stratégique du CNM à moyen terme ?
Notre club aura 100 ans en 2021, et cela fait un an que grâce à l’aide d’une agence spécialisée, nous travaillons sur notre positionnement stratégique. Nous avons l’image d’un club prestigieux, huppé, un peu select auprès du grand public, notamment de par nos conditions d’admission : il est impossible d’intégrer le club sans le parrainage d’un adhérent. Malgré cela, c’est bel et bien le sport qui demeure notre vecteur le plus important. Nous aimerions aussi renforcer notre développement vers le monde de l’entreprise mais tout en préservant cette image de club familial. Nous avons par exemple des adhérents qui sont présents au club depuis 5 générations, et il est important pour nous de garder ces valeurs vivantes depuis la création du Cercle, comme de préserver notre ancrage territorial.
Quel a été votre parcours pour arriver où vous êtes aujourd’hui ?
J'ai eu la chance grâce à mon passé de sportive de haut niveau (nageuse sur 100 et 200m brasse) d’avoir une passerelle privilégiée et d’intégrer l'école de journalisme du CFPJ à Paris avec une spécialisation relation presse/communication. Ma première expérience a durée 2 ans, à la Fédération Française de volley-ball en tant qu'attachée de presse. Je suis ensuite revenue à Marseille, pour travailler au Cercle des Nageurs
En quoi consiste votre responsabilité ?
Mon métier est très large, car nous sommes une petite structure et n’avons donc pas un effectif conséquent au service de communication. J’ai pendant longtemps été seule au service Marketing/Développement & Communication. En résumé je suis en charge de la communication interne & externe, ou encore des relations presse. Je gère également les partenariats, les événements, les réseaux sociaux, mais aussi toute la partie relation entreprise (séminaire…)
Qu’est ce qui a changé avec la victoire de la Coupe d’Europe en water-polo et le retour de Florent Manaudou ?
La victoire en coupe d’Europe a permis de mettre en lumière une discipline peu médiatisée. Cela a fait beaucoup de bien au water-polo en règle générale, et encore plus au CNM. Il est plus facile de communiquer face à des gens qui connaissent la discipline et la compétitivité du club. Economiquement, nous avons plusieurs entreprises qui ont été séduites par l’esprit du water-polo, avec notamment les 7 matchs de Ligue des Champions télévisés cette année (beIN SPORTS).
Par contre, le retour de Florent n’a pas changé énormément de choses d’autant plus qu’il partage son temps entre Marseille et Istanbul comme membre de la Ligue mondiale ISL qui se déplace dans le monde. Nous sommes très contents de son retour, car il tourne très bien, ce qui est prometteur pour les JO de Tokyo, mais cela ne modifie pas notre quotidien. Bien sûr, ses performances influent sur l’image du Cercle et sa notoriété car il est une star mais il n’y a pas de retombées particulières.
En quoi consiste le « Club entreprise » du CNM ?
Le Club entreprise a longtemps vivoter, et nous ne faisions pas énormément d’activations ou de mises en réseau. Depuis 2 ans, nous essayons vraiment de fédérer notre cercle d’entreprises grâce notamment à des petits déjeuners thématiques avec différents intervenants, dans le but de réunir nos partenaires en dehors de l’événementiel sportif pur (matchs VIP, rencontres des joueurs…). Il y a encore beaucoup de choses à faire, et c’est aujourd’hui un de nos axes de développement prioritaire.
Tout comme le Développement Durable ?
On s’implique dans ce domaine tout doucement. Il faut avouer que nous ne sommes pas très pointus encore là-dessus étant au commencement de cette aventure. Mais aujourd’hui c’est un axe incontournable premièrement car au vu de l’état de notre planète, nous sommes obligés de nous sentir concernés. Ensuite, c’est aussi un atout dans la communication globale qui sera très efficace et qui participe de notre image de marque.
Ainsi nous avons lancé cette année la première opération de nettoyage de la plage des Catalans (plage mitoyenne au CNM) avec l’aide d’associations spécialisées comme « Pur Océan ». C’est important, car nous nageons toute l’année dans la baie des Catalans, et cela concerne aussi le bienêtre de nos adhérents qui est en jeu. Nous avons également mis en place, entre autres, un système de recyclage des eaux usées, ce qui est était indispensable au vu de notre consommation d’eau due à l’utilisation des piscines. Nous avançons très concrètement.
Aujourd’hui, quelle est la vision stratégique du CNM à moyen terme ?
Notre club aura 100 ans en 2021, et cela fait un an que grâce à l’aide d’une agence spécialisée, nous travaillons sur notre positionnement stratégique. Nous avons l’image d’un club prestigieux, huppé, un peu select auprès du grand public, notamment de par nos conditions d’admission : il est impossible d’intégrer le club sans le parrainage d’un adhérent. Malgré cela, c’est bel et bien le sport qui demeure notre vecteur le plus important. Nous aimerions aussi renforcer notre développement vers le monde de l’entreprise mais tout en préservant cette image de club familial. Nous avons par exemple des adhérents qui sont présents au club depuis 5 générations, et il est important pour nous de garder ces valeurs vivantes depuis la création du Cercle, comme de préserver notre ancrage territorial.
Propos recuillis par Pierre-Emilien Bellec, chargé de communication et développement AMOS Marseille
Plus d'actus :
11 May 2023
Interview Etudiant Romane, ESBS by AMOS à Madrid
Le temps d'un semestre à Madrid, Espagne...
Découvrez le témoignage de notre étudiante Romane Tiran, en deuxième année de Bachelor à AMOS Marseille, partie un semestre dans notre école ESBS by AMOS à Madrid.Pourquoi avoir choisi Madrid pour ton second semestre ?
J’ai choisi de rejoindre AMOS en septembre 2021 à la suite de la classe préparatoire hypokhâgne à Paris, afin de corréler passion et profession. J’ai toujours pratiqué beaucoup de sport : l’équitation en compétition en CSO (course de saut d'obstacles), du surf ou encore de la natation. J’ai choisi de réaliser mon expatriation à ESBS by AMOS Madrid plutôt que Londres, dans la mesure où l’espagnol est une langue que j’avais besoin de travailler contrairement à l’anglais, alors j’ai saisi cette opportunité !Comment s’est déroulé ton semestre dans la capitale espagnole ?
Je connaissais l’Espagne et plus particulièrement Barcelone, mais je n’étais jamais allée à Madrid. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette ville, tant pour son histoire, sa culture sportive, que sa langue, sa dolce vita et son ambiance tapas ! C’est une ville propre où il fait bon vivre, les Espagnols sont accueillants et la nourriture délicieuse. En tant que femme, il est important de noter que c’est très sécurisé et que l’on se sent constamment en confiance.
Quelles ont été les conditions d'admission pour rejoindre AMOS à Madrid ?
Il faut avoir au minimum un niveau d’anglais B2 (intermédiaire) puisque la totalité des cours sont dispensés en anglais, en classe entière (pas de classe par niveau). Pour être sélectionné, il faut aussi avoir un bon dossier de première année, les élèves avec les moyennes les plus hautes sont prioritaires sur les autres. Le niveau d’espagnol quant à lui n’est pas important dans la sélection puisque des cours d’espagnols sont dispensées sur le campus par petits groupes, allant de débutant à intermédiaire.Comment se déroule une journée sur le campus ?
Cela dépend des périodes. Pour les journées classiques, nous commençons à 8h et finissons environ vers 14h. Les intervenants sont des professionnels du Sport Business, nous devons ainsi nous adapter à leurs horaires. À ce titre, il arrive de commencer les cours à 16h et de finir à 20h. Il est important de noter que l’expatriation a aussi pour but de découvrir le pays dans lequel on se trouve, de visiter. Les emplois du temps sont donc parfaitement en adéquation avec la vie étudiante.Comment s’est passé ton intégration à Madrid et avec les étudiant.e.s des autres campus ?
L’administration du campus de Madrid est très à l’écoute des étudiants, ils sont disponibles et répondent à nos interrogations. Les étudiants AMOSciens viennent de divers campus en France. L’intégration se passe bien, il est programmé des travaux d’équipes lors de journée team building. Le campus est en plein centre, à proximité du Parque del Retiro où on peut passer du temps avec ses amis.
Sur quels événements as-tu pu participer ? Quelles étaient tes missions ?
J'ai intégré le campus l’année de son ouverture. Il n’y a pas d’événements sportifs obligatoires, cependant nous sommes invités à des événement sportifs prestigieux notamment l’Open Communidad de Madrid où j’ai eu l’opportunité de rencontrer l’équipe organisationnelle, les photographes, les joueurs et d’assister pendant une journée à la compétition. Il appartient ensuite à chacun de découvrir le sport à Madrid. Enfin, passionnée de Formule 1, j’ai assisté à la seule exposition d’Europe de F1 qui se trouve à Madrid. J’ai pris l’initiative de voir un match de football du Real de Madrid au stade Santiago-Bernabéu et de l’Atlético de Madrid où j’ai été très bien placée et pu serrer la main de joueurs qui passaient !
Qu’est-ce que tu as le plus aimé dans ton semestre ?
Grâce à ce semestre, j’ai eu l’opportunité de perfectionner mon espagnol. J’ai rencontré des personnes extraordinaires, des amis partageant le même attrait pour le sport que moi. Madrid est une ville formidable dans laquelle on s’y sent bien. Elle a une culture sportive, exceptionnelle. La vie y est abordable, on peut assister à de belles compétitions à des prix raisonnables, laissant de très beaux souvenirs !Le dernier mot t’appartient...
Si c’était à refaire, je ne changerais rien. Madrid a été un choix logique pour moi et une occasion rêvée. J’ai beaucoup appris sur moi et sur cette ville. Je sais que si un jour j’ai une opportunité professionnelle dans le sport d’y travailler, je la saisirais immédiatement. Merci à l’équipe ESBS by AMOS pour tout, un fuerte abrazo, gracias !
11 May 2023
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Je connaissais l’Espagne et plus particulièrement Barcelone, mais je n’étais jamais allée à Madrid. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette ville, tant pour son histoire, sa culture sportive, que sa langue, sa dolce vita et son ambiance tapas ! C’est une ville propre où il fait bon vivre, les Espagnols sont accueillants et la nourriture délicieuse. En tant que femme, il est important de noter que c’est très sécurisé et que l’on se sent constamment en confiance.
Quelles ont été les conditions d'admission pour rejoindre AMOS à Madrid ?
Il faut avoir au minimum un niveau d’anglais B2 (intermédiaire) puisque la totalité des cours sont dispensés en anglais, en classe entière (pas de classe par niveau). Pour être sélectionné, il faut aussi avoir un bon dossier de première année, les élèves avec les moyennes les plus hautes sont prioritaires sur les autres. Le niveau d’espagnol quant à lui n’est pas important dans la sélection puisque des cours d’espagnols sont dispensées sur le campus par petits groupes, allant de débutant à intermédiaire.Comment se déroule une journée sur le campus ?
Cela dépend des périodes. Pour les journées classiques, nous commençons à 8h et finissons environ vers 14h. Les intervenants sont des professionnels du Sport Business, nous devons ainsi nous adapter à leurs horaires. À ce titre, il arrive de commencer les cours à 16h et de finir à 20h. Il est important de noter que l’expatriation a aussi pour but de découvrir le pays dans lequel on se trouve, de visiter. Les emplois du temps sont donc parfaitement en adéquation avec la vie étudiante.Comment s’est passé ton intégration à Madrid et avec les étudiant.e.s des autres campus ?
L’administration du campus de Madrid est très à l’écoute des étudiants, ils sont disponibles et répondent à nos interrogations. Les étudiants AMOSciens viennent de divers campus en France. L’intégration se passe bien, il est programmé des travaux d’équipes lors de journée team building. Le campus est en plein centre, à proximité du Parque del Retiro où on peut passer du temps avec ses amis.
Sur quels événements as-tu pu participer ? Quelles étaient tes missions ?
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27 Apr 2023
Immersion aux Spartiates de Marseille, hockey sur glace
Plus grande patinoire de France à Marseille
Marseille possède la plus grande patinoire de France où évoluent les Spartiates de Marseille au hockey sur glace en deuxième division. C’est aussi dans ce lieu qu’évolue trois anciens étudiants d’AMOS Marseille : Frédéric Casadepax, Baptiste Sanchez et Thomas Giraud. A eux trois, ils forment une Dream Team sur différents secteurs d’activité du club. Frédéric est en alternance en tant que responsable communication avec une appétence prononcée pour le graphisme. Baptiste est également en alternance, lui, en tant que responsable événementiel et marketing. Quant à Thomas, diplômé en 2021/22 est actuellement en CDI au poste de responsable billetterie et merchandising.
Trois profils, une ambition : celle de faire du hockey Marseille, le deuxième club de la ville !
Les ambitions du club sont à la hauteur des trois jeunes hommes. Passionnés et motivés, ils souhaitent faire vivre aux spectateurs et aux fans bien plus qu’un match de hockey. De nombreuses animations sont possibles lors d’une rencontre : karting sur glace, mascotte, patinage artistique, jeu du palais, restauration, merchandising... « Une folle expérience pleine de rebondissements qui nous prend aux tripes et nous fait vivre ! J’ai appris énormément grâce aux Spartiates et continuerai à apprendre grâce à eux. » Baptiste C’est aussi ça AMOS Marseille : des amitiés qui se créent à travers des métiers passion !
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27 Apr 2023
L’employabilité de nos étudiants après AMOS Marseille
Découvrez le parcours de quelques-uns de nos étudiants
L’employabilité représente la capacité d’un salarié, ici d’un étudiant diplômé, d’obtenir ou conserver un emploi après son cursus à AMOS Marseille. Il peut l’obtenir en changeant de structure après son alternance et ou conserver sa structure en prolongeant en CDD/CDI. Maxime Le Petit a réalisé ses deux années de Mastère en alternance au sein d'une agence d'événementiel CarmaSport. Après ses études, il a signé en tant que commercial pour l’entreprise E-appli : la solution digitale à toutes les associations, clubs et entreprises. Raphaël Bencoïl et Julie Dufour, ont tous les deux prolongé avec la structure dans laquelle ils étaient pendant leur formation. Raphaël a signé un CDI à l’Olympique de Marseille en tant que chargé de mission et sécurité. Julie à quant à elle décidé de poursuivre l’aventure du côté de Sport dans la Ville en tant que responsable insertion. L’employabilité s’acquiert à travers des notions théoriques et pratiques vues en cours mais aussi grâce à leurs différentes expériences en entreprise et en tant que bénévoles.
L’employabilité à AMOS Marseille en chiffres
Promotions 2019-2021 : 75% en activité professionnelle / 8% en poursuite d’études / 8% en création ou reprise d’entreprise / 8% en recherche d’emploi*. *Enquêtes d’insertion professionnelle (après 2 ans de diplomation d'un Mastère) dans le cadre du renouvellement des titres RNCP pour France Compétences.Quelles structures recrutent nos diplômés ?
Les structures sont multiples et proposent aux diplômés de nombreuses opportunités : clubs professionnels/amateurs, startups, entreprises, associations, ligues/fédérations, agences de communication/événementiel… Prenons le cas de Solène Amouzegh et Bradley Belo. Ces deux diplômés de la promotion 2020/21 ont tout de suite été recrutés à la sortie de leur Mastère à AMOS Marseille. Elle, en entreprise à Pernod Ricard. Lui, à la Fédération française de rugby. Elle est ambassadrice de marques pour Pernod Ricard, c’est-à-dire qu’elle (re)présente la marque sur divers événements, entreprises. Le lien avec le Sport Business ? Solène est notamment présente les soirs de match à l’Orange Vélodrome, au Grand Prix de France, à l’Open 13 et bien d’autres. Quant à Bradley, il est juriste à la FFR et s’occupe de tous les litiges des championnats nationaux.

27 Apr 2023
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