Rendez-vous métiers : agent sportif, Top Five Management

Rencontre avec Thibault Olliver, alumni de la promotion 2017
Une vie à deux cents à l’heure qui l’emmène aux quatre coins du monde aux côtés de joueuses de renommée mondiale comme Elina Svitolina ou Ons Jabeur. Découvrez le quotidien d’un ancien AMOScien qui vit aujourd’hui pleinement sa passion !
Quelles sont tes missions et responsabilités au sein de l’agence ?
La première, c'est d’être agent sportif, je représente des joueurs de tennis qui sont sur le circuit ou en junior. La représentation d'athlètes, ce sont plusieurs axes. D'abord, c'est de les accompagner dans leur carrière, les aider à sélectionner un coach, à choisir le bon staff et les bons outils. Aujourd’hui avec le développement des analytics, cela va même à trouver les bons analystes data pour les aider à structurer leur staff et leur permettre de se focaliser sur une seule chose : leur performance sur le terrain, sans se soucier de tous les à-côtés.
Au-delà de cet aspect sportif, notre service chez Top Five Management, couvre également tout un tas d'autres réalités qui sont liées aux joueurs. On gère tout ce qui est droits d'image, ce qui est essentiel dans le tennis puisque la différenciation entre le modèle d'un agent tennis et le modèle d'un agent football par exemple, c’est qu’il n'y a pas de contrat avec une structure, entre un employeur et un employé.
Les joueurs sont absolument indépendants. En tant qu'agents sportifs dans le tennis, nous sommes rémunérés sur les contrats que nous apportons donc évidemment, le business model, c’est de réussir à créer des contrats de partenariat autour des athlètes et de trouver le meilleur « fit » avec la marque.
Pour cela, il faut gérer tout au long de l'année l'image de l'athlète, sa communication. Pour réussir à avoir une image la plus attrayante possible pour de potentiels sponsors. Cela passe donc par la gestion des réseaux sociaux, des briefs media ou encore de la création d’associations ou de fondations.
Quels athlètes représentes-tu chez Top Five Management ?
On représente aujourd'hui une quarantaine de clients, environ la moitié de notre roster est composée de joueurs professionnels, l'autre moitié est composée de juniors puisqu’il faut aussi assurer une transition. On fait beaucoup de travail de détection pour essayer de repérer les talents de demain. Les plus gros clients de l'agence sont Elina Svitolina, Ons Jabeur, Arthur Rinderknech, Katarina Siniakova ou encore Anastasia Pavlyuchenkova, qui était en finale ici à Roland l'année dernière.
Peux-tu nous parler de la deuxième partie de tes missions ?
La deuxième partie, c'est responsable de la cellule événementielle de l'agence. On organise des événements à travers le monde, des tournois de tennis également. Je m'occupe de développer notre réseau d'événements, d'organiser les événements pour lesquels on a des droits et également de développer certains événements avec qui on a signé des partenariats. On travaille principalement sur les Petits AS, c'est une marque très reconnue en France mais aussi à l'international, c’est même le tournoi Junior le plus connu au monde, tout sport confondu.
En termes d’évènementiel, pour nous, c'est comme un événement professionnel. Nos missions dessus sont diverses, c'est tout d’abord le développement commercial du tournoi, c'est à dire amener des partenaires et créer du contenu engageant pour les marques qui souhaitent s’associer au tournoi.
On gère cette régie commerciale pour le tournoi à Tarbes qui a lieu chaque année et on a également la charge du développement international du tournoi, renforcer son exposition et sa résonnance sur les autres continents. Pour cela on a créé plusieurs tournois qualificatifs à travers le monde, qu'on a appelé les Play-offs. Ils ont lieu aux Etats-Unis, en Asie et à l'avenir, sur le continent africain, en Amérique du Sud et peut être au Moyen-Orient.
Une journée type à Roland Garros ?
La journée type, elle n'existe pas à Roland-Garros ! Finalement, une journée à Roland c'est être au service de nos athlètes. Il y a énormément de choses à gérer dès la veille du départ, où il faut les accompagner sur toutes les interventions avec les media et les sponsors. Il faut s’assurer que toute la logistique est gérée. Dès qu’ils entrent sur le tableau, c'est la partie plus fun, on les accompagne sur les terrains, pour les encourager, leur montrer que la team est présente.
Il y a aussi toute la gestion des invitations pour leurs proches et les sponsors, gérer tout ce qui est afférent aux contrats et aux obligations qu'ils ont aujourd'hui, c'est à dire s'occuper de mettre les patchs sur les maillots, s’assurer des posts sur les réseaux sociaux qui sont prévus durant la quinzaine ou encore organiser des réunions avec certains de leurs sponsors.
Pour finir, on s’occupe également de la distribution de leurs produits, qu’ils arrivent au bon moment et bon endroit. Il y’a bien sûr plein d’autres missions et la quinzaine est faite d’imprévus mais pour résumer, c’est d'essayer de gérer au mieux leur planning pour que, encore une fois, la seule chose à laquelle ils pensent, c’est réserver un cours de practice avec leur coach, aller s'entraîner et jouer leurs matchs.
J’imagine que tu voyages beaucoup, cette dimension internationale c’est quelque chose que tu cherchais ?
C’est un métier où je voyage beaucoup, certains des voyages sont prévus de longue date, notamment sur la partie événementielle, mais c'est aussi un métier où on voyage beaucoup en réaction. On a besoin d'accompagner nos athlètes dans les moments clés de leur carrière et sur leurs pics de performance. Par exemple, lorsque Ons Jabeur gagne Madrid, je prends l'avion le vendredi soir pour être présent sur la finale. Le samedi de la semaine suivante, elle est en demi-finale à Rome. Je prends l'avion le samedi matin et je fais la demi le samedi et la finale le dimanche avec elle pour l'accompagner dans ces moments. Je dirais que je passe un peu plus trois mois de l'année en déplacement et c'est quelque chose que je recherchais finalement.
Déjà à l'époque, quand j'étais à l'école, c'était pour ça que j'avais choisi le cursus international et que j'avais choisi AMOS pour découvrir d’autres pays et pratiques, avec les différents séjours que j'ai pu faire à Valence ou à Chicago.
Donc vraiment, cette notion internationale m'avait beaucoup attirée à l'époque et c'est quelque chose que j'ai toujours recherché. Evidemment, parfois ce n'est pas facile de devoir partir du jour au lendemain sur un déplacement qui n'est pas prévu. Mais ce sont aussi les sacrifices qu'on est prêts à faire pour travailler dans ce milieu et c'est ce qui nous anime au quotidien.
Pour terminer, comment te sens tu dans ta vie professionnelle ?
Aujourd'hui, je suis complètement épanoui dans mon métier. J'ai toujours voulu être au plus près des acteurs du sport, complètement fasciné par le milieu du sport professionnel et du sport de haut niveau. Je suis heureux d’accompagner des sportifs de renommée internationale, de les aider dans la gestion de leur carrière, de leur image et dans la signature de partenariats mais encore plus dans leur développement personnel, parce qu'on les accompagne aussi sur beaucoup de choses qui concernent leur vie privée. C'est quelque chose qui me passionne !
Il faut être prêt à faire énormément de sacrifices parce qu’il n'y a pas d'horaires de bureau, il n'y a pas de week-end ou de jours fériés. C'est une vie à 200 à l'heure. Mais finalement, c'est la vie que je voulais mener et que j'espérais en entrant à AMOS !
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11 May 2023
Interview Etudiant Romane, ESBS by AMOS à Madrid
Le temps d'un semestre à Madrid, Espagne...
Découvrez le témoignage de notre étudiante Romane Tiran, en deuxième année de Bachelor à AMOS Marseille, partie un semestre dans notre école ESBS by AMOS à Madrid.Pourquoi avoir choisi Madrid pour ton second semestre ?
J’ai choisi de rejoindre AMOS en septembre 2021 à la suite de la classe préparatoire hypokhâgne à Paris, afin de corréler passion et profession. J’ai toujours pratiqué beaucoup de sport : l’équitation en compétition en CSO (course de saut d'obstacles), du surf ou encore de la natation. J’ai choisi de réaliser mon expatriation à ESBS by AMOS Madrid plutôt que Londres, dans la mesure où l’espagnol est une langue que j’avais besoin de travailler contrairement à l’anglais, alors j’ai saisi cette opportunité !Comment s’est déroulé ton semestre dans la capitale espagnole ?
Je connaissais l’Espagne et plus particulièrement Barcelone, mais je n’étais jamais allée à Madrid. J’ai eu un véritable coup de cœur pour cette ville, tant pour son histoire, sa culture sportive, que sa langue, sa dolce vita et son ambiance tapas ! C’est une ville propre où il fait bon vivre, les Espagnols sont accueillants et la nourriture délicieuse. En tant que femme, il est important de noter que c’est très sécurisé et que l’on se sent constamment en confiance.
Quelles ont été les conditions d'admission pour rejoindre AMOS à Madrid ?
Il faut avoir au minimum un niveau d’anglais B2 (intermédiaire) puisque la totalité des cours sont dispensés en anglais, en classe entière (pas de classe par niveau). Pour être sélectionné, il faut aussi avoir un bon dossier de première année, les élèves avec les moyennes les plus hautes sont prioritaires sur les autres. Le niveau d’espagnol quant à lui n’est pas important dans la sélection puisque des cours d’espagnols sont dispensées sur le campus par petits groupes, allant de débutant à intermédiaire.Comment se déroule une journée sur le campus ?
Cela dépend des périodes. Pour les journées classiques, nous commençons à 8h et finissons environ vers 14h. Les intervenants sont des professionnels du Sport Business, nous devons ainsi nous adapter à leurs horaires. À ce titre, il arrive de commencer les cours à 16h et de finir à 20h. Il est important de noter que l’expatriation a aussi pour but de découvrir le pays dans lequel on se trouve, de visiter. Les emplois du temps sont donc parfaitement en adéquation avec la vie étudiante.Comment s’est passé ton intégration à Madrid et avec les étudiant.e.s des autres campus ?
L’administration du campus de Madrid est très à l’écoute des étudiants, ils sont disponibles et répondent à nos interrogations. Les étudiants AMOSciens viennent de divers campus en France. L’intégration se passe bien, il est programmé des travaux d’équipes lors de journée team building. Le campus est en plein centre, à proximité du Parque del Retiro où on peut passer du temps avec ses amis.
Sur quels événements as-tu pu participer ? Quelles étaient tes missions ?
J'ai intégré le campus l’année de son ouverture. Il n’y a pas d’événements sportifs obligatoires, cependant nous sommes invités à des événement sportifs prestigieux notamment l’Open Communidad de Madrid où j’ai eu l’opportunité de rencontrer l’équipe organisationnelle, les photographes, les joueurs et d’assister pendant une journée à la compétition. Il appartient ensuite à chacun de découvrir le sport à Madrid. Enfin, passionnée de Formule 1, j’ai assisté à la seule exposition d’Europe de F1 qui se trouve à Madrid. J’ai pris l’initiative de voir un match de football du Real de Madrid au stade Santiago-Bernabéu et de l’Atlético de Madrid où j’ai été très bien placée et pu serrer la main de joueurs qui passaient !
Qu’est-ce que tu as le plus aimé dans ton semestre ?
Grâce à ce semestre, j’ai eu l’opportunité de perfectionner mon espagnol. J’ai rencontré des personnes extraordinaires, des amis partageant le même attrait pour le sport que moi. Madrid est une ville formidable dans laquelle on s’y sent bien. Elle a une culture sportive, exceptionnelle. La vie y est abordable, on peut assister à de belles compétitions à des prix raisonnables, laissant de très beaux souvenirs !Le dernier mot t’appartient...
Si c’était à refaire, je ne changerais rien. Madrid a été un choix logique pour moi et une occasion rêvée. J’ai beaucoup appris sur moi et sur cette ville. Je sais que si un jour j’ai une opportunité professionnelle dans le sport d’y travailler, je la saisirais immédiatement. Merci à l’équipe ESBS by AMOS pour tout, un fuerte abrazo, gracias !
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04 May 2023
Run For Trees : challenge sportif de développement durable
Tout au long du mois d’avril, les AMOSciens lillois ont relevé le défi Run For Trees...
Run For Trees est organisé par l'association Reforest'Action, une organisation à but non lucratif qui a pour but de restaurer les forêts dégradées et de promouvoir la biodiversité. Il s’agit d’un défi innovant qui combine la pratique de la course à pied à la protection de l'environnement. Le campus AMOS Lille s’est engagé avec l’association Reforest’Action à planter un arbre à chaque palier de 5 kilomètres franchi. L'objectif principal pour les étudiants était de parcourir 2024 kilomètres en référence aux Jeux Olympiques de Paris 2024.Déforestation : un enjeu global
La déforestation est un problème majeur dans notre monde actuel, ayant un impact considérable sur l'environnement et le changement climatique. Heureusement, il existe des initiatives comme Run For Trees qui visent à inverser cette tendance. En somme, ce défi a été créé pour sensibiliser à la déforestation, encourager la pratique de la course à pied et planter des arbres pour aider à reconstituer les écosystèmes dégradés. Plusieurs de nos étudiants, accompagnés de leur intervenant, l’éco-aventurier Nicolas Vandenelsken, ont organisé une journée de cohésion sportive autour du challenge afin de permettre à tous les étudiants d'y prendre part.
Au programme du Run For Trees
Un parcours de 5 km autour de la citadelle de Lille parsemé d’épreuves sportives ainsi que des ateliers de sensibilisation du développement durable mis en place par l’association Uni-Vert Sport. Après un mois de challenge, ce n’est pas moins de 2 200 kilomètres qui ont été parcourus ! L’objectif est donc atteint et permettra la plantation de 500 arbres.04 May 2023
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Immersion aux Spartiates de Marseille, hockey sur glace
Plus grande patinoire de France à Marseille
Marseille possède la plus grande patinoire de France où évoluent les Spartiates de Marseille au hockey sur glace en deuxième division. C’est aussi dans ce lieu qu’évolue trois anciens étudiants d’AMOS Marseille : Frédéric Casadepax, Baptiste Sanchez et Thomas Giraud. A eux trois, ils forment une Dream Team sur différents secteurs d’activité du club. Frédéric est en alternance en tant que responsable communication avec une appétence prononcée pour le graphisme. Baptiste est également en alternance, lui, en tant que responsable événementiel et marketing. Quant à Thomas, diplômé en 2021/22 est actuellement en CDI au poste de responsable billetterie et merchandising.
Trois profils, une ambition : celle de faire du hockey Marseille, le deuxième club de la ville !
Les ambitions du club sont à la hauteur des trois jeunes hommes. Passionnés et motivés, ils souhaitent faire vivre aux spectateurs et aux fans bien plus qu’un match de hockey. De nombreuses animations sont possibles lors d’une rencontre : karting sur glace, mascotte, patinage artistique, jeu du palais, restauration, merchandising... « Une folle expérience pleine de rebondissements qui nous prend aux tripes et nous fait vivre ! J’ai appris énormément grâce aux Spartiates et continuerai à apprendre grâce à eux. » Baptiste C’est aussi ça AMOS Marseille : des amitiés qui se créent à travers des métiers passion !
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