Le sport est un art à « La Piscine »

Connaissez-vous les célèbres douches du Vélodrome de Roubaix, celles embrumées du mythe cycliste Paris-Roubaix ? Sachez que ces douches à la forme carrée et en granit brut, possèdent chacune le patronyme d’un vainqueur de l’Enfer du Nord : Peter Sagan, Tom Boonen, Eddy Merckx, Fabian Cancellara… Si les décennies passent, les douches accompagnées de ses souvenirs restent. Un véritable lieu de culte. A Roubaix, une autre institution se dégage par son caractère hydrophile, mélange de sport, de culture et d’histoire : la piscine de Roubaix.
Un lieu de rencontres
Autrefois riche de son industrie textile, la ville de Roubaix décide d’ériger sa piscine en 1922. Implantée Rue des Champs, l’origine de sa construction est à attribuer au maire de l’époque Jean-Baptiste Lebas qui avait chargé l’architecte Albert Baert de construire la « plus belle piscine de France ». Considérée comme l’une des plus belles d’Europe, les métropolitains lillois aiment à s’y retrouver à partir de 1932, date à laquelle elle ouvre ses portes. Son style Art-Déco avec son entrée néo-byzantine font à l’époque, la fierté de toute une ville. A la fois piscine sportive avec un bassin olympique de 50 mètres et établissement public de bains-douches, le bâtiment propose alors un réfectoire, un salon de coiffure, de manucure et pédicure et une laverie industrielle.
Dans les années 1970, la piscine commence à se dégrader mais reste ouverte au public. Quinze ans plus tard, elle ferme ses portes pour raisons de sécurité.
En 1992, la ville de Roubaix accompagnée de quelques architectes, fait le pari fou de la démonter pour la restaurer… et transformer cet endroit jadis majestueux en un extraordinaire musée. A la suite d’un appel à projets international, le chantier est confié à l’architecte Jean-Paul Philippon. Coût du projet : 19,5 millions d’euros.
Une convention est également signée entre l’Etat et la Ville de Roubaix qui permet le transfert des collections de l’ancien musée national à la ville de Roubaix : des œuvres du musée d’Orsay, du Musée National d’Art Moderne et du Fons National d’Art Contemporain s’y installent.
La Piscine ouvre ses portes en octobre 2001. Depuis son ouverture, le succès médiatique et populaire ne cesse de croître.
Les innombrables galeries de ce musée réparties sur 8 000m², recensent environ 200 000 visiteurs par an. Lorsque Lille devient capitale européenne de la culture en 2004, un pic est atteint à 250 000 personnes.
Dans ce lieu chargé d’histoire se mêlent aujourd’hui des œuvres d’artistes régionaux, nationaux et internationaux. Telle la Joconde de Léonard de Vinci au Louvre, la Piscine de Roubaix détient son joyau : La petite châtelaine de Camille Claudel.
Côté régional, la peinture Combat de coqs en Flandre du roubaisien Rémy Cogghe (1889) fait office de référence. Rappelons que les combats de coqs sont étroitement liés à l’histoire du Nord et du Pas-de-Calais et que la région dénombre encore aujourd’hui, une vingtaine de gallodromes.
Vous l’aurez compris, la singularité de ce lieu est d’avoir réussi à assembler dans un même endroit de la connaissance, du bien-être, de la culture… et du sport !
Un lieu de rencontres
Autrefois riche de son industrie textile, la ville de Roubaix décide d’ériger sa piscine en 1922. Implantée Rue des Champs, l’origine de sa construction est à attribuer au maire de l’époque Jean-Baptiste Lebas qui avait chargé l’architecte Albert Baert de construire la « plus belle piscine de France ». Considérée comme l’une des plus belles d’Europe, les métropolitains lillois aiment à s’y retrouver à partir de 1932, date à laquelle elle ouvre ses portes. Son style Art-Déco avec son entrée néo-byzantine font à l’époque, la fierté de toute une ville. A la fois piscine sportive avec un bassin olympique de 50 mètres et établissement public de bains-douches, le bâtiment propose alors un réfectoire, un salon de coiffure, de manucure et pédicure et une laverie industrielle.
Dans les années 1970, la piscine commence à se dégrader mais reste ouverte au public. Quinze ans plus tard, elle ferme ses portes pour raisons de sécurité.
Un lieu de culture
En 1992, la ville de Roubaix accompagnée de quelques architectes, fait le pari fou de la démonter pour la restaurer… et transformer cet endroit jadis majestueux en un extraordinaire musée. A la suite d’un appel à projets international, le chantier est confié à l’architecte Jean-Paul Philippon. Coût du projet : 19,5 millions d’euros.
Une convention est également signée entre l’Etat et la Ville de Roubaix qui permet le transfert des collections de l’ancien musée national à la ville de Roubaix : des œuvres du musée d’Orsay, du Musée National d’Art Moderne et du Fons National d’Art Contemporain s’y installent.
La Piscine ouvre ses portes en octobre 2001. Depuis son ouverture, le succès médiatique et populaire ne cesse de croître.
Un lieu international
Les innombrables galeries de ce musée réparties sur 8 000m², recensent environ 200 000 visiteurs par an. Lorsque Lille devient capitale européenne de la culture en 2004, un pic est atteint à 250 000 personnes.
Dans ce lieu chargé d’histoire se mêlent aujourd’hui des œuvres d’artistes régionaux, nationaux et internationaux. Telle la Joconde de Léonard de Vinci au Louvre, la Piscine de Roubaix détient son joyau : La petite châtelaine de Camille Claudel.
Côté régional, la peinture Combat de coqs en Flandre du roubaisien Rémy Cogghe (1889) fait office de référence. Rappelons que les combats de coqs sont étroitement liés à l’histoire du Nord et du Pas-de-Calais et que la région dénombre encore aujourd’hui, une vingtaine de gallodromes.
Vous l’aurez compris, la singularité de ce lieu est d’avoir réussi à assembler dans un même endroit de la connaissance, du bien-être, de la culture… et du sport !
Propos recueillis par Thibaut Huvelle, directeur adjoint d'AMOS Lille
Plus d'actus :
01 Jul 2022
Nos AMOSciens sur le terrain, Juin 2022 - Engagement total
Engagement total
Zoom sur l’implication de nos étudiants sur des projets sociaux ou caritatifs...Maxime, grimpeur invétéré veut gravir les 7 grands sommets pour la ligue contre le cancer
Après avoir gravi le Mont-Blanc en 2020 et le Kilimandjaro en 2021, Maxime se lance à la conquête de l’Aconcagua en 2022. Passionné d’alpinisme et soucieux d’apporter son soutien à lutte contre le cancer, ce jeune AMOScien est un modèle de persévérance. Quelles sont tes motivations pour ce projet ? « Mes parents ont tous les deux été atteints du cancer, ma mère y a réchapée de peu. J'ai découvert un peu après que mon père avait escaladé le Mont Blanc en 1988. 32 ans plus tard, je souhaitais l'amener en photo avec moi au sommet du Mont Blanc une nouvelle fois. Réussissant mon ascension, je me permets de rêver des Seven Summits. C'est un rêve d'enfant que j'ai depuis plus de 15 ans. Voulant rendre fiers mes parents, je me lance dans ce projet, tout en réalisant des levées de fonds pour la recherche contre le cancer avant chaque ascension ».
Matthieu, étudiant en b3 à Paris, a créé son association Tiki Taka pour venir en aide aux clubs de football colombiens
Comment est né ce projet Tiki Taka ? Tout d’abord, ce projet a été motivé par une envie personnelle de découvrir un pays et de partager ma passion pour le football. J’arrivais à une période charnière dans mes études et il était primordial pour moi de réaliser un projet humanitaire en rapport avec mes études dans le sport. J’avais un réel souhait d’aider les autres et de pouvoir apporter mon aide à ses enfants. Ce qui me motive le plus reste le fait qu’on va apporter de meilleures perspectives à ces enfants autour de ma passion : le football. Quelles vont-être vos actions sur place ? Nos actions se concentrent principalement par l’apport d’équipements sportifs : ces centres n’ont presque aucun équipement, notre objectif est donc d’en fournir le plus possible. Ces équipements sont tout le matériel lié au football : des cages, des plots, des échelles, des ballons et tous les petits équipements qui seront utiles pour ces centres. En plus de ça, nous avons organisé avec les centres tout un programme d’entraînement et d’ateliers pour ces enfants. Par ailleurs, notre aide ne sera pas que sportive et financière mais surtout humaine : nous sommes conscients que ces centres vont surement avoir besoin de nous pour s’occuper des enfants et améliorer les centres. Comment comptes-tu pérenniser ce projet dans les années futures ? J’accorde énormément d’importance à l’héritage de mon association et de ce projet. Étant président de l’association et un élève d’AMOS Paris, je considère ça légitime que je transmette ce projet aux élèves d’AMOS qui le souhaitent. Je les aiderai à reconstruire un projet sur d’autres centres et à potentiellement essayer de réaliser un partenariat avec une université sur place pour faciliter les échanges. Pour soutenir le projet : cliquez iciDeux AMOSciens Lillois sélectionnés pour la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène
Deux de nos AMOSciens lillois ont été conviés à la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène au sein de l’UGC ciné cité du 19ème arrondissement de Paris.

Clément représente AMOS dans la course mythique du 4L Trophy
Un étudiant du campus AMOS Rennes, Clément Travers, a participé à la mythique course du 4L Trophy, un raid automobile solidaire destiné aux jeunes de moins de 28 ans et couru exclusivement en Renault 4L.

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01 Jul 2022
Témoignages Etudiants, Camille & Marius, deux frères passionnés
Une passion commune pour l'évènementiel sportif
Bien plus que deux étudiants, Camille et Marius sont avant tout deux frères passionnés par l’événementiel sportif. Pour faire de leur passion un métier, Camille et Marius ont décidé de rejoindre AMOS Lille et reviennent aujourd’hui sur leurs parcours...Pouvez-vous vous présenter ainsi que vos parcours ?
Camille : je m’appelle Camille Ballinger, j’ai 22 ans. Après un Bac ES à Reims, je suis parti à Lille pour intégrer le Bachelor Métiers du Sport que j’obtiens à AMOS en 2021. Je suis actuellement en 1ère année de Mastère Manager des Organisations Sportives. Marius : je m’appelle Marius Ballinger, étudiant en 3eme année du Bachelor Métiers du Sport à AMOS Lille.Pourquoi avoir choisi l'événementiel sportif ?
Camille : c’était évident pour moi de travailler dans un domaine qui me passionne. Dans la suite logique de mon Bac Economique et Social, j’ai simplement ajouté la dimension sportive et j’ai pu trouver la formation qui m’intéressait. J’ai toujours aimé assister à des événements sportifs, que ce soit depuis les tribunes ou directement sur le terrain, c’est quelque chose avec lequel j’ai grandi et qui m’anime au quotidien. Marius : je me suis tourné vers l’événementiel sportif car j’ai grandi dans un village dynamique qui organisait beaucoup d’événements auxquels j’ai pu participer en tant que bénévole depuis très jeune. Pratiquant énormément le sport et partageant ce même centre d’intérêt avec mon entourage, il était donc naturel que je m’oriente vers une formation en événementiel sportif.Quelles sont vos responsabilités et missions au sein de vos entreprises ?
Camille : cela fait maintenant 4 mois que j’occupe le poste d’Assistant Commercial au Circuit Paul Ricard. En liaison avec la stratégie commerciale du circuit, mon rôle est de vendre les différents espaces et prestations du complexe (Circuit, Xtrem Park, Karting, Aéroport...) à destination des entreprises. Mes principales tâches sont de constituer et de gérer les dossiers clients par le biais de devis ou de contrats, de renforcer la promotion des prestations et des infrastructures du Circuit Paul Ricard et d’assurer le bon déroulement de la partie opérationnelle des prestations (relationnel client, prise de contact). Marius : actuellement je suis en stage à l’UTMB (Ultra-Trail du Mont-Blanc) en tant que Chargé de Plateforme Digitale sur le projet « Expériences-Off ». L’enjeu est de créer et animer une plateforme digitale permettant aux coureurs de découvrir et repérer les territoires et parcours de l'UTMB tout au long de l’année. Mes missions sont de trier et segmenter les parcours de l’UTMB pour offrir une expérience de reconnaissance optimale, réunir et accumuler du contenu pour optimiser les territoires et valoriser le travail de tous les acteurs de l’événement, ainsi que sensibiliser les amateurs de trail à la pratique du sport en montagne et au respect de son environnement.
Qu'est-ce qui vous plaît le plus dans votre travail ?
Camille : travailler dans un lieu mythique tel que celui-ci est vraiment un pur bonheur ! C’est un lieu qui ne cesse d’évoluer et qui se transforme à chaque événement. Nos journées sont rythmées par le bruit des moteurs, ce qui apporte une nouvelle dimension au travail. Voir chaque jour des véhicules uniques ou historiques est aussi une satisfaction. Enfin, le fait de travailler avec des entreprises de renom, du milieu automobile ou non, c’est aussi quelque chose de plaisant au quotidien. Marius : ce qui me plaît le plus durant cette période de professionnalisation, c’est de découvrir de nouveaux territoires et de m’imprégner de leur culture. Mais aussi de me rendre sur les évènements à envergures internationales, de vivre l’ambiance et partager l’expérience des coureurs à travers l’organisation. J’arrive à trouver mon équilibre entre le travail de recherches et mes déplacements terrains.Quelle est votre journée type ?
Camille : je n’ai pas de journée type à proprement parler, c’est ça qui est cool ! Certes, certaines tâches sont essentielles et donc reviennent assez souvent, mais chaque demande est particulière et nécessite une approche différente. De plus, comme je l’ai dit juste avant, nos journées sont souvent rythmées par les événements qui se déroulent sur le Circuit et à côté. Marius : pour ce qui est de ma journée type, je dirais qu’elle commence lorsque je monte sur mon vélo pour me rendre au travail. Ensuite vient le café avec les briefings/débriefing avec les collègues puis j’effectue mes recherches de contenus et d’autres actions informatiques. Ensuite nous partons courir avec les plus motivés et nous mangeons ensemble dans la « Maison UTMB » qui est un lieu aménagé pour vivre collectivement. Puis je reprends les missions du matin pour cette deuxième partie de journée. Il arrive que nous organisions des sessions de couchers de soleil sur les hauteurs lorsque le temps le permet pour clôturer la journée.Quels sont les points forts de ton frère ?
Camille : je dirais qu’il est têtu et obstiné. Il sait où il veut aller et je sais qu’il y arrivera. Il se donne à fond dans ce qu’il fait et restera toujours motivé s’il est épanoui. Il n’a pas hésité à faire plus de 800km pour faire son stage dans le domaine qui le passionne le plus, la montagne, ce qui traduit une réelle témérité ! Marius : les points forts de mon frère sont sa facilité à s’adapter au milieu où il se trouve ainsi que ses compétences en création de contenu sur les réseaux sociaux.Quel est votre plus beau souvenir sportif ?
Camille : mon plus beau souvenir sportif reste les Jeux Olympiques de Rio en 2016. Il y avait une ambiance incroyable et la ville entière vibrait. Voir une multitude d’athlètes, de nationalités et d’horizons différents, tous réunis pendant plusieurs semaines, ça reste une expérience extraordinaire. Après, je suis obligé de parler de la Coupe du Monde 2018 de football remportée par les Bleus... Marius : mes plus beaux souvenirs avec mon fraternel sont sur le terrain de foot, lorsqu’il était défenseur et moi attaquant et que les passes en profondeurs fusaient tout le match.Où imagines-tu ton frère travailler à l'avenir ?
Camille : il vient de signer une alternance dans le prolongement de son stage au sein de la même entreprise. Non seulement il s’agit de son sport favori mais c’est aussi dans un lieu qu’il adore tout particulièrement, la montagne (logique pour un traileur !). Je pense donc ne pas me tromper en disant qu’il va travailler plus tard pour cette même entreprise ou du moins, une qui s’en rapproche fortement, avec les mêmes valeurs et le même dynamisme. Marius : je verrais bien Camille occuper le poste de stadium manager ou commercial à l’Olympique Lyonnais.Quelles sont vos perspectives d'avenir ?
Camille : à la suite de mon alternance au Circuit Paul Ricard, je compte bien me servir de mon expérience acquise pour évoluer au sein de cette entreprise ou bien pour intégrer un poste à responsabilités au sein d’une autre entité aussi prestigieuse. Je n’ai pas spécialement de plan détaillé dans ma tête mais je saurai saisir les occasions lorsqu’elles se présenteront. Cependant, je tiens avant tout à évoluer de façon horizontale pour développer et consolider mes compétences. J’aimerai ainsi améliorer mon niveau d’anglais et découvrir le management sportif à l’étranger, pourquoi pas aux États-Unis, pays du sport/show ! Marius : pour ma part, j’aimerais devenir chef de projet événementiel pour de grands événements internationaux ou créer mon propre événement.01 Jul 2022
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Camille : je m’appelle Camille Ballinger, j’ai 22 ans. Après un Bac ES à Reims, je suis parti à Lille pour intégrer le Bachelor Métiers du Sport que j’obtiens à AMOS en 2021. Je suis actuellement en 1ère année de Mastère Manager des Organisations Sportives. Marius : je m’appelle Marius Ballinger, étudiant en 3eme année du Bachelor Métiers du Sport à AMOS Lille.Pourquoi avoir choisi l'événementiel sportif ?
Camille : c’était évident pour moi de travailler dans un domaine qui me passionne. Dans la suite logique de mon Bac Economique et Social, j’ai simplement ajouté la dimension sportive et j’ai pu trouver la formation qui m’intéressait. J’ai toujours aimé assister à des événements sportifs, que ce soit depuis les tribunes ou directement sur le terrain, c’est quelque chose avec lequel j’ai grandi et qui m’anime au quotidien. Marius : je me suis tourné vers l’événementiel sportif car j’ai grandi dans un village dynamique qui organisait beaucoup d’événements auxquels j’ai pu participer en tant que bénévole depuis très jeune. Pratiquant énormément le sport et partageant ce même centre d’intérêt avec mon entourage, il était donc naturel que je m’oriente vers une formation en événementiel sportif.Quelles sont vos responsabilités et missions au sein de vos entreprises ?
Camille : cela fait maintenant 4 mois que j’occupe le poste d’Assistant Commercial au Circuit Paul Ricard. En liaison avec la stratégie commerciale du circuit, mon rôle est de vendre les différents espaces et prestations du complexe (Circuit, Xtrem Park, Karting, Aéroport...) à destination des entreprises. Mes principales tâches sont de constituer et de gérer les dossiers clients par le biais de devis ou de contrats, de renforcer la promotion des prestations et des infrastructures du Circuit Paul Ricard et d’assurer le bon déroulement de la partie opérationnelle des prestations (relationnel client, prise de contact). Marius : actuellement je suis en stage à l’UTMB (Ultra-Trail du Mont-Blanc) en tant que Chargé de Plateforme Digitale sur le projet « Expériences-Off ». L’enjeu est de créer et animer une plateforme digitale permettant aux coureurs de découvrir et repérer les territoires et parcours de l'UTMB tout au long de l’année. Mes missions sont de trier et segmenter les parcours de l’UTMB pour offrir une expérience de reconnaissance optimale, réunir et accumuler du contenu pour optimiser les territoires et valoriser le travail de tous les acteurs de l’événement, ainsi que sensibiliser les amateurs de trail à la pratique du sport en montagne et au respect de son environnement.
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Camille : je n’ai pas de journée type à proprement parler, c’est ça qui est cool ! Certes, certaines tâches sont essentielles et donc reviennent assez souvent, mais chaque demande est particulière et nécessite une approche différente. De plus, comme je l’ai dit juste avant, nos journées sont souvent rythmées par les événements qui se déroulent sur le Circuit et à côté. Marius : pour ce qui est de ma journée type, je dirais qu’elle commence lorsque je monte sur mon vélo pour me rendre au travail. Ensuite vient le café avec les briefings/débriefing avec les collègues puis j’effectue mes recherches de contenus et d’autres actions informatiques. Ensuite nous partons courir avec les plus motivés et nous mangeons ensemble dans la « Maison UTMB » qui est un lieu aménagé pour vivre collectivement. Puis je reprends les missions du matin pour cette deuxième partie de journée. Il arrive que nous organisions des sessions de couchers de soleil sur les hauteurs lorsque le temps le permet pour clôturer la journée.Quels sont les points forts de ton frère ?
Camille : je dirais qu’il est têtu et obstiné. Il sait où il veut aller et je sais qu’il y arrivera. Il se donne à fond dans ce qu’il fait et restera toujours motivé s’il est épanoui. Il n’a pas hésité à faire plus de 800km pour faire son stage dans le domaine qui le passionne le plus, la montagne, ce qui traduit une réelle témérité ! Marius : les points forts de mon frère sont sa facilité à s’adapter au milieu où il se trouve ainsi que ses compétences en création de contenu sur les réseaux sociaux.Quel est votre plus beau souvenir sportif ?
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Camille : à la suite de mon alternance au Circuit Paul Ricard, je compte bien me servir de mon expérience acquise pour évoluer au sein de cette entreprise ou bien pour intégrer un poste à responsabilités au sein d’une autre entité aussi prestigieuse. Je n’ai pas spécialement de plan détaillé dans ma tête mais je saurai saisir les occasions lorsqu’elles se présenteront. Cependant, je tiens avant tout à évoluer de façon horizontale pour développer et consolider mes compétences. J’aimerai ainsi améliorer mon niveau d’anglais et découvrir le management sportif à l’étranger, pourquoi pas aux États-Unis, pays du sport/show ! Marius : pour ma part, j’aimerais devenir chef de projet événementiel pour de grands événements internationaux ou créer mon propre événement.22 Jun 2022
AMOS Sport Business School obtient le Label Génération 2024
AMOS Sport Business School inscrit son nom à la liste des établissements labellisés Génération 2024
Destiné aux écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur, le Label Génération 2024 est délivré par le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pour rappel, le Label Génération 2024 est pensé pour soutenir le développement de la pratique sportive dans l’enseignement supérieur et renforcer ses objectifs d’inclusion, de santé, de respect et d’engagement citoyen en partenariat avec le mouvement sportif et le Comité d’organisation des prochains Jeux Olympiques. AMOS Sport Business School soutient un peu plus les Jeux de Paris 2024 en inscrivant son nom à la liste des établissements labellisés « Génération 2024 ». Obtenu en janvier 2021, ce Label est la concrétisation d’un investissement pérenne du Groupe AMOS auprès des différents acteurs sportifs, publics et privés. L’objectif de ce Label est de valoriser les établissements qui souhaitent s’inscrire dans une exploitation durable et structurée autour de 3 critères principaux :1. Développer des projets structurants avec les clubs sportifs du territoire
Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).22 Jun 2022