SPORT FEMININ, UN ENGAGEMENT TOTAL

Crédit photo : Getty images - handfacts
La journée internationale du sport au féminin a lieu chaque année le 24 janvier. Dans une valeur d’engagement total, AMOS a répondu présent pour soutenir le mouvement #PLUSDESPORTAUFEMININ.
La journée internationale du sport au féminin s’est tenue le dimanche 24 janvier dernier. Événement qui a initialement vu le jour en 2014 pour donner suite au constat d’une médiatisation jugée trop timide par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et le Comité Olympique et Sportif Français. L’objectif principal de cette journée étant de faire gagner une visibilité sur les performances de toutes ces athlètes, de contribuer à une représentation plus juste dans les médias ainsi que de développer la pratique sportive féminine.
Afin de promouvoir le sport féminin et lui apporter un rayonnement, le ministère des sports a mis en place le hashtag #PLUSDESPORTAUFEMININ.
Pour cette troisième édition, les médias sont mobilisés afin de traiter du sport au féminin sur les enjeux sociétaux, économiques et politiques.
L’objectif est de montrer l’importance de l’engagement de tous pour obtenir des évolutions significatives.
AMOS a subséquemment choisi de s’engager autour de cette cause en valorisant cette journée grâce à la mise en place sur ces différents réseaux sociaux, d’un programme étalé sur deux semaines dédiées au sport féminin
Au programme : une mise en lumière avec portraits d’AMOSciennes, des quiz sur le sport féminin avec des réponses de figures emblématiques du monde féminin en passant par des infographies.
Pour ce coup d’envoi d’exception, AMOS a eu le plaisir de recevoir lors de son afterwork, Estelle Nze Minko et Melvine Deba.
Handballeuses évoluant toutes les deux au plus haut niveau de leur championnat respectif, elles sont revenues sur les points qui ont marqué cette année 2020 dans leur carrière en tant que joueuses et entrepreneuses.
Championne du monde en 2017, Championne d’Europe en 2018, médaillée de bronze en 2020 et élue meilleure joueuse du tournoi, Estelle NZE MINKO, joueuse de Handball en Equipe de France poursuit sa carrière à l’étranger dans le prestigieux club de Gyor en Hongrie.
Une ville où le sport féminin est prédominant : « Le handball est très accessible en Hongrie, on joue dans une sale de près de 5 500 personnes, avant la situation sanitaire, c’était une salle quasiment pleine tous les week-ends. »
Figure emblématique dans l’équipe de France de Handball, Estelle fait partie de ces joueuses dont le handball n’est pas qu’une affaire de sport.
En effet, celle que l’on surnomme la « Jackson Richardson » au féminin n’hésite pas à briser les tabous autour des menstruations, sujet qui s’avère délicat dans le monde du sport.
Un rôle de modèle qui se retrouve aussi au bord des terrains avec la mise en place de ces stages de Handball dédiés aux jeunes filles de 13 à 17 ans. Une manière aussi de montrer que le sport est ouvert aux filles/femmes.
Estelle n’entreprend pas seulement sur le terrain. En effet, la joueuse du Gyori Audi ETO KC a développé un beau projet, The V box, en parallèle de son activité sur les parquets. Comme elle l’explique, elle a choisi de développer ces boîtes « surprises » adressées à un public féminin afin “d'ajouter une dimension sociale : celle de l’égalité et de la mixité professionnelle.”
« Je travaille de la Hongrie, je m’occupe de démarcher les créatrices sur des projets qui me plaisent »
L’objectif est de mettre en avant le côté entrepreneuse des femmes et prouver que chacune d’entre elles, en se donnant les moyens, peut se lancer.
« Sur le marché Français, la plupart des boxes qu’on dit féminines sont essentiellement pour du maquillage. J’ai donc voulu revisiter ce concept de box et apporter plutôt une culture féminine sans être dans le cliché femme/beauté. »
Les V box se présentent sous la forme d’une nouvelle thématique tous les 2 mois. Elle est constituée de 5 produits issus de start up, projets, associations ou initiatives fondées par des femmes. On retrouve aussi bien des produits de bien-être, d’hygiène, de lifestyle ou encore de la nourriture.
Estelle s’est lancée dans ce projet souhaitant véhiculer des messages en tant que sportive mais aussi et surtout en tant que femme.
Site officiel de THEVBOX : https://thevbox.fr/
Melvine Deba, jeune joueuse prometteuse du Metz Handball a dû mettre entre parenthèse ses exploits handballistiques. Une rupture du ligament croisé du genou est venue l'arrêter pour une période de six mois.
La championne d'Europe junior de 2017 continue tout de même à participer à la vie de groupe de son équipe en assistant aux entraînements. L’une des choses qu’elle aime le plus dans le sport de haut niveau, c’est l’ouverture aux autres. Elle nourrit son expérience par les rencontres, les remises en question et la progression qu’elle peut vivre au quotidien.
Elle est revenue sur son début de carrière fantastique et souhaite continuer à tracer son chemin. Melvine est une joueuse qui avance pas à pas et en cohérence avec une direction bien claire : vivre ce qu’elle est en train de vivre. Elle veut marquer le handball à sa façon.
Au-delà de ses talents d’handballeuse, comme Estelle, Melvine entreprend à sa manière. Melvine a lancé le podcast Handpapers afin d’évoquer le sport, le handball et les femmes.
Ce podcast a vu le jour en 2019. Au départ, l’envie était de partir sur des sujets très spécifiques avec les contrats professionnels, les droits, les syndicats, etc, permettant d’aider les joueuses dans l’apprentissage de leur métier.
Au vu de l’engouement, les thèmes ont été élargis, des pistes de réflexions ont vu le jour pour penser le sport féminin avec un regard affirmé (sexisme, médiatisation, maternité)
Chaque semaine, des femmes d’horizons différents interviennent et racontent leur expérience.
Elle invite différents experts pour parler du handball mais aussi du sport féminin dans sa globalité, des comportements alimentaires, des études, des règles et tous les sujets qui influencent la performance et l’activité des sportives. Tous ces sujets qui posent questions dans notre société.
Le but de ses Podcasts est d’exposer les différentes problématiques en représentant la voix des femmes par un autre système que le syndicat.
Un tel engouement représente de réelles prouesses de changement en termes d'accès à des postes à responsabilités et du regard qui peut être porter sur le sport féminin.
POADCASTS Handpapers : https://anchor.fm/handpapers/episodes/Trailer-e8cejg
Deux semaines pleines de rencontres et d’apprentissages pour nos AMOScie(nne)s qui montrent que le sport féminin est bien présent en termes de pratique et de Sport business.
Un sujet d’actualité qui ne cesse de grandir dans l’espace public et médiatique et qui promet bien des projets chez AMOS…
Merci à l’ensemble des figures féminines sportives, AMOSciennes, directrices, travaillant dans le monde du sport business pour leurs interventions durant ces deux semaines.
La journée internationale du sport au féminin a lieu chaque année le 24 janvier. Dans une valeur d’engagement total, AMOS a répondu présent pour soutenir le mouvement #PLUSDESPORTAUFEMININ.
La journée internationale du sport au féminin s’est tenue le dimanche 24 janvier dernier. Événement qui a initialement vu le jour en 2014 pour donner suite au constat d’une médiatisation jugée trop timide par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et le Comité Olympique et Sportif Français. L’objectif principal de cette journée étant de faire gagner une visibilité sur les performances de toutes ces athlètes, de contribuer à une représentation plus juste dans les médias ainsi que de développer la pratique sportive féminine.
Afin de promouvoir le sport féminin et lui apporter un rayonnement, le ministère des sports a mis en place le hashtag #PLUSDESPORTAUFEMININ.
Pour cette troisième édition, les médias sont mobilisés afin de traiter du sport au féminin sur les enjeux sociétaux, économiques et politiques.
L’objectif est de montrer l’importance de l’engagement de tous pour obtenir des évolutions significatives.
AMOS, ENGAGEMENT TOTAL
AMOS a subséquemment choisi de s’engager autour de cette cause en valorisant cette journée grâce à la mise en place sur ces différents réseaux sociaux, d’un programme étalé sur deux semaines dédiées au sport féminin
Au programme : une mise en lumière avec portraits d’AMOSciennes, des quiz sur le sport féminin avec des réponses de figures emblématiques du monde féminin en passant par des infographies.
Pour ce coup d’envoi d’exception, AMOS a eu le plaisir de recevoir lors de son afterwork, Estelle Nze Minko et Melvine Deba.
Handballeuses évoluant toutes les deux au plus haut niveau de leur championnat respectif, elles sont revenues sur les points qui ont marqué cette année 2020 dans leur carrière en tant que joueuses et entrepreneuses.
Estelle NZE MINKO, une figure engagée
Championne du monde en 2017, Championne d’Europe en 2018, médaillée de bronze en 2020 et élue meilleure joueuse du tournoi, Estelle NZE MINKO, joueuse de Handball en Equipe de France poursuit sa carrière à l’étranger dans le prestigieux club de Gyor en Hongrie.
Une ville où le sport féminin est prédominant : « Le handball est très accessible en Hongrie, on joue dans une sale de près de 5 500 personnes, avant la situation sanitaire, c’était une salle quasiment pleine tous les week-ends. »
Figure emblématique dans l’équipe de France de Handball, Estelle fait partie de ces joueuses dont le handball n’est pas qu’une affaire de sport.
En effet, celle que l’on surnomme la « Jackson Richardson » au féminin n’hésite pas à briser les tabous autour des menstruations, sujet qui s’avère délicat dans le monde du sport.
Un rôle de modèle qui se retrouve aussi au bord des terrains avec la mise en place de ces stages de Handball dédiés aux jeunes filles de 13 à 17 ans. Une manière aussi de montrer que le sport est ouvert aux filles/femmes.
Création de son entreprise, V-BOX
Estelle n’entreprend pas seulement sur le terrain. En effet, la joueuse du Gyori Audi ETO KC a développé un beau projet, The V box, en parallèle de son activité sur les parquets. Comme elle l’explique, elle a choisi de développer ces boîtes « surprises » adressées à un public féminin afin “d'ajouter une dimension sociale : celle de l’égalité et de la mixité professionnelle.”
« Je travaille de la Hongrie, je m’occupe de démarcher les créatrices sur des projets qui me plaisent »

L’objectif est de mettre en avant le côté entrepreneuse des femmes et prouver que chacune d’entre elles, en se donnant les moyens, peut se lancer.
« Sur le marché Français, la plupart des boxes qu’on dit féminines sont essentiellement pour du maquillage. J’ai donc voulu revisiter ce concept de box et apporter plutôt une culture féminine sans être dans le cliché femme/beauté. »
Les V box se présentent sous la forme d’une nouvelle thématique tous les 2 mois. Elle est constituée de 5 produits issus de start up, projets, associations ou initiatives fondées par des femmes. On retrouve aussi bien des produits de bien-être, d’hygiène, de lifestyle ou encore de la nourriture.
Estelle s’est lancée dans ce projet souhaitant véhiculer des messages en tant que sportive mais aussi et surtout en tant que femme.
Site officiel de THEVBOX : https://thevbox.fr/
Un podcast 100% féminin

Melvine Deba, jeune joueuse prometteuse du Metz Handball a dû mettre entre parenthèse ses exploits handballistiques. Une rupture du ligament croisé du genou est venue l'arrêter pour une période de six mois.
La championne d'Europe junior de 2017 continue tout de même à participer à la vie de groupe de son équipe en assistant aux entraînements. L’une des choses qu’elle aime le plus dans le sport de haut niveau, c’est l’ouverture aux autres. Elle nourrit son expérience par les rencontres, les remises en question et la progression qu’elle peut vivre au quotidien.
Elle est revenue sur son début de carrière fantastique et souhaite continuer à tracer son chemin. Melvine est une joueuse qui avance pas à pas et en cohérence avec une direction bien claire : vivre ce qu’elle est en train de vivre. Elle veut marquer le handball à sa façon.
Le temps du changement au féminin ?
Au-delà de ses talents d’handballeuse, comme Estelle, Melvine entreprend à sa manière. Melvine a lancé le podcast Handpapers afin d’évoquer le sport, le handball et les femmes.
Ce podcast a vu le jour en 2019. Au départ, l’envie était de partir sur des sujets très spécifiques avec les contrats professionnels, les droits, les syndicats, etc, permettant d’aider les joueuses dans l’apprentissage de leur métier.
Au vu de l’engouement, les thèmes ont été élargis, des pistes de réflexions ont vu le jour pour penser le sport féminin avec un regard affirmé (sexisme, médiatisation, maternité)
Chaque semaine, des femmes d’horizons différents interviennent et racontent leur expérience.
Elle invite différents experts pour parler du handball mais aussi du sport féminin dans sa globalité, des comportements alimentaires, des études, des règles et tous les sujets qui influencent la performance et l’activité des sportives. Tous ces sujets qui posent questions dans notre société.
Le but de ses Podcasts est d’exposer les différentes problématiques en représentant la voix des femmes par un autre système que le syndicat.
Un tel engouement représente de réelles prouesses de changement en termes d'accès à des postes à responsabilités et du regard qui peut être porter sur le sport féminin.
POADCASTS Handpapers : https://anchor.fm/handpapers/episodes/Trailer-e8cejg
Deux semaines pleines de rencontres et d’apprentissages pour nos AMOScie(nne)s qui montrent que le sport féminin est bien présent en termes de pratique et de Sport business.
Un sujet d’actualité qui ne cesse de grandir dans l’espace public et médiatique et qui promet bien des projets chez AMOS…
Merci à l’ensemble des figures féminines sportives, AMOSciennes, directrices, travaillant dans le monde du sport business pour leurs interventions durant ces deux semaines.
Article rédigé par Noémie GIBET, chargée de communication AMOS Nantes et Alexandre Franchot, étudiant AMOS Nantes.
Plus d'actus :
18 Apr 2023
Interview Etudiant Simon, des bancs de l’école à l’Entrepreneuriat...
Rencontre avec Simon Louis, AMOS Nantes
A l’occasion du mois 100% entrepreneurial sur le campus d’AMOS Nantes, Simon Louis, alumni AMOS depuis 2022 revient sur son parcours et le lancement de sa micro-entreprise dans l’univers de l’éco-communication. Zoom sur les nouvelles tendances de la com’ !Peux-tu te présenter brièvement ?
Simon Louis, breton pur beurre et passionné de sport, musique et voyage. Je suis un créatif qui adore relever de nouveaux défis ! J'évolue depuis 5 ans dans l'univers du sport business. Après avoir obtenu mon master à AMOS Nantes, je suis parti à la découverte du monde pendant 6 mois : Mexique, Italie, Costa Rica, Guatemala, Maroc... à mon retour en France l'aventure continue ! Je décide de me lancer à mon compte en tant que Community Manager. _ Aujourd'hui, je souhaite accompagner les entreprises, indépendants, athlètes, clubs dans le développement de leurs réseaux sociaux et de leur communauté tout en abordant des méthodes d’éco-communication.Pourquoi avoir suivi le parcours AMOS ?
Ma première motivation à m’être inscrit à AMOS était ma passion pour le sport. Après 5 années à étudier et suivre l’évolution du campus d’Amos Nantes, j’ai pris du recul. Je peux dire aujourd’hui, que j’ai choisi AMOS pour l’univers du sport business mais aussi pour son accompagnement entrepreneurial. L’équipe pédagogique comme les intervenants sont à notre écoute et nous aident dans la création et le lancement de notre projet. Je pense notamment au AMOS Business Creator qui est un accompagnement des projets des étudiants entrepreneurs, désireux de développer leurs idéesPourquoi devenir entrepreneur ?
La première raison, avoir le choix. En exerçant mon activité en freelance, j’ai le choix et la liberté de travailler pour des projets qui ont du sens pour moi. La seconde, la diversité. J’ai la chance de pouvoir travailler dans différents domaines d’activités, ainsi que sur différentes missions. Par exemple, la création de contenu ou l’élaboration d’une stratégie social média dans les domaines du sport, de la culture ou encore de l’écologie. La troisième, engager et sensibiliser. Il était capital pour moi de créer un projet entrepreneurial qui ait du sens. Avoir un impact environnemental et social c’est primordial pour moi. Aujourd'hui, j'ai fait le choix de proposer à mes clients des outils et modes de communication plus responsables et durables. Par exemple, je collabore avec Lovépub, un service de publicitaire responsable et solidaire. Ou encore, Prism, un éco-imprimeur Nantais.Peux-tu nous parler de ton entreprise ?
Mon activité de Community Manager consiste à accompagner les entreprises, marques, athlètes ou indépendants dans la construction de leur stratégie social media et la création de leurs contenus, tout en adoptant des méthodes de communication responsables et durables.Quel a été l'apport des intervenants AMOS pour monter ton entreprise ?
Un grand merci à Morgane Guérit et Laetitia Engrand pour leur soutien et leur aide dans mon projet. Elles m’ont donné de précieux conseils. Laetitia m’a ouvert son réseau et m'a conseillé sur les services que je pouvais proposer ainsi que les évènements ou outils que je pouvais utiliser pour trouver mes premiers clients. Le parcours de Morgane ainsi que son retour d’expérience ont été les éléments déclencheurs qui m’ont poussé à me lancer. Je retiendrais ces deux phrases “ Tu n’as rien à perdre”, “Fais ce que tu aimes”. Elle m'a aussi conseillé sur les outils à utiliser en tant que freelance, plateformes collaboratives ou encore outils de facturation.Qu'est-ce que l'éco-communication ?
L'éco-communication consiste à faire de la communication en lien avec les pratiques du développement durable. L’idée est d’utiliser des outils et mettre en place des actions de communications visant à diminuer son impact environnemental et social. Étant un fervent défenseur de l'environnement, il était important pour moi d'engager mon activité de Community Manager dans cette démarche.Pourquoi avoir choisi de travailler dans ce domaine ?
Après 4 années à travailler dans les métiers du marketing et de la communication, je souhaitais créer ma propre aventure. Un projet qui me ressemble, qui regroupe à la fois mes compétences et mes valeurs. Ma créativité et mon imagination autour du digital, mélangé à mon envie de travailler pour des projets à impacts .Voilà, la recette de mon activité !Sur quels types de projet travailles-tu ?
Étant quelqu’un de très curieux. Je suis ouvert à tous types de projets. Le plus important est que ma personnalité, mes valeurs et mes méthodes de travail soient en adéquations avec mes clients ! Actuellement je travaille avec le festival “La P’art Belle” un festival écoresponsable et citoyen en plein cœur du Golfe du Morbihan. Je collabore aussi avec le Lieu-Dit festival, évènement musical lui aussi morbihannais.Quels sont les services que tu proposes ?
Je propose trois services :SOCIAL MEDIA MANAGEMENT
« Je t'aide à mettre en place la stratégie de contenu faite pour toi en 5 étapes ! »- Définissons ensemble ta stratégie social media et tes objectifs.
- Définir et planifier ta ligne éditoriale.
- Création de contenus (photos, vidéos, visuels).
- Rédaction et programmation du contenu.
- Rapport mensuel des statistiques.
COMMUNITY MANAGER
“Je prends en main tes réseaux sociaux !” - Animation story. (évènements, compétitions, salons, concerts...) - Interaction avec ta communauté.LES PETITS PLUS
- Création de ta charte graphique (logo, polices, couleurs) - Création de supports marketing et merchandising. - Stratégie influenceurs et partenariats. J’accompagne mes clients actuellement sur 6 réseaux sociaux : Instagram, Facebook, TikTok, Youtube, LinkedIn et Twitter.Quels seraient tes conseils pour l’utilisation de l’éco-communication ?
On peut y aller petit à petit mais ce qui ressort le plus va être :- L'éco-design
- Le green mailing
- En sensibilisant ta communauté
- En changeant tes habitudes de travail
- La slow communication
- En travaillant avec des prestataires ou fournisseurs engagés partageant tes valeurs
Qu'est-ce qu'on peut te souhaiter pour la suite ?
Pleins de nouveaux projets, de nouvelles collaborations. Je suis à 200% pour accompagner les entreprises ou indépendants. L’ensemble de l’équipe AMOS Nantes souhaite le meilleur à Simon dans sa nouvelle activité.18 Apr 2023
Interview Etudiant Simon, des bancs de l’école à l’Entrepreneuriat...
Rencontre avec Simon Louis, AMOS Nantes
A l’occasion du mois 100% entrepreneurial sur le campus d’AMOS Nantes, Simon Louis, alumni AMOS depuis 2022 revient sur son parcours et le lancement de sa micro-entreprise dans l’univers de l’éco-communication. Zoom sur les nouvelles tendances de la com’ !Peux-tu te présenter brièvement ?
Simon Louis, breton pur beurre et passionné de sport, musique et voyage. Je suis un créatif qui adore relever de nouveaux défis ! J'évolue depuis 5 ans dans l'univers du sport business. Après avoir obtenu mon master à AMOS Nantes, je suis parti à la découverte du monde pendant 6 mois : Mexique, Italie, Costa Rica, Guatemala, Maroc... à mon retour en France l'aventure continue ! Je décide de me lancer à mon compte en tant que Community Manager. _ Aujourd'hui, je souhaite accompagner les entreprises, indépendants, athlètes, clubs dans le développement de leurs réseaux sociaux et de leur communauté tout en abordant des méthodes d’éco-communication.Pourquoi avoir suivi le parcours AMOS ?
Ma première motivation à m’être inscrit à AMOS était ma passion pour le sport. Après 5 années à étudier et suivre l’évolution du campus d’Amos Nantes, j’ai pris du recul. Je peux dire aujourd’hui, que j’ai choisi AMOS pour l’univers du sport business mais aussi pour son accompagnement entrepreneurial. L’équipe pédagogique comme les intervenants sont à notre écoute et nous aident dans la création et le lancement de notre projet. Je pense notamment au AMOS Business Creator qui est un accompagnement des projets des étudiants entrepreneurs, désireux de développer leurs idéesPourquoi devenir entrepreneur ?
La première raison, avoir le choix. En exerçant mon activité en freelance, j’ai le choix et la liberté de travailler pour des projets qui ont du sens pour moi. La seconde, la diversité. J’ai la chance de pouvoir travailler dans différents domaines d’activités, ainsi que sur différentes missions. Par exemple, la création de contenu ou l’élaboration d’une stratégie social média dans les domaines du sport, de la culture ou encore de l’écologie. La troisième, engager et sensibiliser. Il était capital pour moi de créer un projet entrepreneurial qui ait du sens. Avoir un impact environnemental et social c’est primordial pour moi. Aujourd'hui, j'ai fait le choix de proposer à mes clients des outils et modes de communication plus responsables et durables. Par exemple, je collabore avec Lovépub, un service de publicitaire responsable et solidaire. Ou encore, Prism, un éco-imprimeur Nantais.Peux-tu nous parler de ton entreprise ?
Mon activité de Community Manager consiste à accompagner les entreprises, marques, athlètes ou indépendants dans la construction de leur stratégie social media et la création de leurs contenus, tout en adoptant des méthodes de communication responsables et durables.Quel a été l'apport des intervenants AMOS pour monter ton entreprise ?
Un grand merci à Morgane Guérit et Laetitia Engrand pour leur soutien et leur aide dans mon projet. Elles m’ont donné de précieux conseils. Laetitia m’a ouvert son réseau et m'a conseillé sur les services que je pouvais proposer ainsi que les évènements ou outils que je pouvais utiliser pour trouver mes premiers clients. Le parcours de Morgane ainsi que son retour d’expérience ont été les éléments déclencheurs qui m’ont poussé à me lancer. Je retiendrais ces deux phrases “ Tu n’as rien à perdre”, “Fais ce que tu aimes”. Elle m'a aussi conseillé sur les outils à utiliser en tant que freelance, plateformes collaboratives ou encore outils de facturation.Qu'est-ce que l'éco-communication ?
L'éco-communication consiste à faire de la communication en lien avec les pratiques du développement durable. L’idée est d’utiliser des outils et mettre en place des actions de communications visant à diminuer son impact environnemental et social. Étant un fervent défenseur de l'environnement, il était important pour moi d'engager mon activité de Community Manager dans cette démarche.Pourquoi avoir choisi de travailler dans ce domaine ?
Après 4 années à travailler dans les métiers du marketing et de la communication, je souhaitais créer ma propre aventure. Un projet qui me ressemble, qui regroupe à la fois mes compétences et mes valeurs. Ma créativité et mon imagination autour du digital, mélangé à mon envie de travailler pour des projets à impacts .Voilà, la recette de mon activité !Sur quels types de projet travailles-tu ?
Étant quelqu’un de très curieux. Je suis ouvert à tous types de projets. Le plus important est que ma personnalité, mes valeurs et mes méthodes de travail soient en adéquations avec mes clients ! Actuellement je travaille avec le festival “La P’art Belle” un festival écoresponsable et citoyen en plein cœur du Golfe du Morbihan. Je collabore aussi avec le Lieu-Dit festival, évènement musical lui aussi morbihannais.Quels sont les services que tu proposes ?
Je propose trois services :SOCIAL MEDIA MANAGEMENT
« Je t'aide à mettre en place la stratégie de contenu faite pour toi en 5 étapes ! »- Définissons ensemble ta stratégie social media et tes objectifs.
- Définir et planifier ta ligne éditoriale.
- Création de contenus (photos, vidéos, visuels).
- Rédaction et programmation du contenu.
- Rapport mensuel des statistiques.
COMMUNITY MANAGER
“Je prends en main tes réseaux sociaux !” - Animation story. (évènements, compétitions, salons, concerts...) - Interaction avec ta communauté.LES PETITS PLUS
- Création de ta charte graphique (logo, polices, couleurs) - Création de supports marketing et merchandising. - Stratégie influenceurs et partenariats. J’accompagne mes clients actuellement sur 6 réseaux sociaux : Instagram, Facebook, TikTok, Youtube, LinkedIn et Twitter.Quels seraient tes conseils pour l’utilisation de l’éco-communication ?
On peut y aller petit à petit mais ce qui ressort le plus va être :- L'éco-design
- Le green mailing
- En sensibilisant ta communauté
- En changeant tes habitudes de travail
- La slow communication
- En travaillant avec des prestataires ou fournisseurs engagés partageant tes valeurs
Qu'est-ce qu'on peut te souhaiter pour la suite ?
Pleins de nouveaux projets, de nouvelles collaborations. Je suis à 200% pour accompagner les entreprises ou indépendants. L’ensemble de l’équipe AMOS Nantes souhaite le meilleur à Simon dans sa nouvelle activité.03 Apr 2023
ACE Education X ELEVATE : la bonne connexion !
AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education
La principale ambition d’ACE Education est d’assurer une formation de qualité, des expériences enrichissantes et un avenir serein à nos milliers d’étudiants. Notre promesse est de transformer leur passion pour le sport, l’hôtellerie, la mode ou le design, en un métier durable. C’est pourquoi, nous sommes heureux d’annoncer le nouveau contrat que nous venons de signer avec Elevate jusqu’en 2024, dans le cadre du plus grand évènement sportif qui aura lieu en France et auquel Elevate aura l’occasion de contribuer. Elevate est une agence internationale centrée sur l’humain, et spécialisée dans le recrutement, la formation et le management du staff événementiel. Elle met en relation les talents, les données et les marques afin d'optimiser l'impact des activations marketing. Ce partenariat prometteur permettra le recrutement des étudiants de nos écoles AMOS Sport Business School, CMH Centre de Management Hôtelier, ESDAC Ecole Supérieure de Design, sur les événements sportifs majeurs en 2023 et 2024, ainsi que sur d’autres secteurs allant de l’hospitalité à la mode. Toutes les écoles du groupe ACE Education ont pour vocation d’aider les jeunes à réussir leur entrée sur le marché du travail, et de leur permettre d’évoluer rapidement vers des postes de Top Management, dans leurs domaines de prédilection. « Ce partenariat majeur rapproche deux entités qui se développent en Europe et à l’international et marquent leur volonté commune de renforcer leur capacité à développer et soutenir l’employabilité et les expériences professionnelles des étudiants dans l’évènementiel sportif et haut de gamme. Elevate, agence de staffing événementiel présente en France, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Autriche et en Grande Bretagne, propose des solutions innovantes en termes de recrutement à ses clients. ACE Education par ce partenariat plonge ses étudiants dans des expériences professionnelles immersives en lien direct avec leur formation. » Audrey Léger, Directrice des Partenariats ACE Education. « Le rapprochement entre ACE Éducation et Elevate est à nos yeux un partenariat qui a beaucoup de sens tant en France qu’à l’international. Elevate a pour ambition de contribuer à la formation professionnelle des jeunes et des étudiants et de leurs permettre d’acquérir une première expérience professionnelle sur le terrain dans le cadre d’évènements prestigieux. Ce partenariat a un double enjeu car au-delà d’être porteur d’opportunités professionnelles pour tous ces étudiants et de participer à l’éco système sportif, il nous permet également de mieux faire connaître le secteur de l’évènementiel dans sa globalité » Julie Reed, Directrice Générale Elevate France & DACH.À propos du Groupe ACE Education
ACE Education est un acteur majeur de l'enseignement supérieur en France, proposant des formations certifiées de Bac+3 à Bac+5 à plus de 7 000 étudiants dans les domaines du management du sport, de l’hôtellerie, du tourisme de luxe, des arts appliqués, du design et de la mode, au travers de ses six écoles : AMOS Sport Business School et ESBS, écoles de sport management, ESDAC, école de design, CMH, Centre de Management Hôtelier International de Luxe, EIDM, Ecole Internationale de Mode et Luxe, ENAAI, Ecole d’Arts Appliqués, BD et Illustration. Le groupe offre une variété de programmes sur ses 42 campus en France et à l’étranger. Il met l'accent sur les expériences internationales et sur la professionnalisation au cœur même de l’expérience étudiante.03 Apr 2023
ACE Education X ELEVATE : la bonne connexion !
AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education
La principale ambition d’ACE Education est d’assurer une formation de qualité, des expériences enrichissantes et un avenir serein à nos milliers d’étudiants. Notre promesse est de transformer leur passion pour le sport, l’hôtellerie, la mode ou le design, en un métier durable. C’est pourquoi, nous sommes heureux d’annoncer le nouveau contrat que nous venons de signer avec Elevate jusqu’en 2024, dans le cadre du plus grand évènement sportif qui aura lieu en France et auquel Elevate aura l’occasion de contribuer. Elevate est une agence internationale centrée sur l’humain, et spécialisée dans le recrutement, la formation et le management du staff événementiel. Elle met en relation les talents, les données et les marques afin d'optimiser l'impact des activations marketing. Ce partenariat prometteur permettra le recrutement des étudiants de nos écoles AMOS Sport Business School, CMH Centre de Management Hôtelier, ESDAC Ecole Supérieure de Design, sur les événements sportifs majeurs en 2023 et 2024, ainsi que sur d’autres secteurs allant de l’hospitalité à la mode. Toutes les écoles du groupe ACE Education ont pour vocation d’aider les jeunes à réussir leur entrée sur le marché du travail, et de leur permettre d’évoluer rapidement vers des postes de Top Management, dans leurs domaines de prédilection. « Ce partenariat majeur rapproche deux entités qui se développent en Europe et à l’international et marquent leur volonté commune de renforcer leur capacité à développer et soutenir l’employabilité et les expériences professionnelles des étudiants dans l’évènementiel sportif et haut de gamme. Elevate, agence de staffing événementiel présente en France, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Autriche et en Grande Bretagne, propose des solutions innovantes en termes de recrutement à ses clients. ACE Education par ce partenariat plonge ses étudiants dans des expériences professionnelles immersives en lien direct avec leur formation. » Audrey Léger, Directrice des Partenariats ACE Education. « Le rapprochement entre ACE Éducation et Elevate est à nos yeux un partenariat qui a beaucoup de sens tant en France qu’à l’international. Elevate a pour ambition de contribuer à la formation professionnelle des jeunes et des étudiants et de leurs permettre d’acquérir une première expérience professionnelle sur le terrain dans le cadre d’évènements prestigieux. Ce partenariat a un double enjeu car au-delà d’être porteur d’opportunités professionnelles pour tous ces étudiants et de participer à l’éco système sportif, il nous permet également de mieux faire connaître le secteur de l’évènementiel dans sa globalité » Julie Reed, Directrice Générale Elevate France & DACH.À propos du Groupe ACE Education
ACE Education est un acteur majeur de l'enseignement supérieur en France, proposant des formations certifiées de Bac+3 à Bac+5 à plus de 7 000 étudiants dans les domaines du management du sport, de l’hôtellerie, du tourisme de luxe, des arts appliqués, du design et de la mode, au travers de ses six écoles : AMOS Sport Business School et ESBS, écoles de sport management, ESDAC, école de design, CMH, Centre de Management Hôtelier International de Luxe, EIDM, Ecole Internationale de Mode et Luxe, ENAAI, Ecole d’Arts Appliqués, BD et Illustration. Le groupe offre une variété de programmes sur ses 42 campus en France et à l’étranger. Il met l'accent sur les expériences internationales et sur la professionnalisation au cœur même de l’expérience étudiante.06 Feb 2023
Les différences entre le rugby et le football américain
A l’approche du Super Bowl, revoyons les bases...
Généralement connu du grand public grâce au spectacle « Halftime Super Bowl » offert à la mi-temps, le football américain est un sport encore peu côté en Europe. En effet, malgré la présence de nombreux clubs sur le vieux continent, les règles de ce sport restent encore méconnues pour la plupart d’entre nous. De plus, beaucoup prennent un malin plaisir à le comparer au rugby, ces deux sports similaires d’aspects mais bien différents de fond ! A l’approche du Super Bowl, les non-initiés se posent toujours les mêmes questions autour du rugby et du football américain. Si vous en faites partie, cet article est pour vous !Quelle est l’origine de ces sports ?
Connu officiellement en 1823, le rugby voit le jour en Angleterre à l'initiative de Williams Webb Ellis, étudiant au collège de Rugby. Selon une anecdote populaire, cette discipline a été créée lorsque Williams a décidé de ramasser un ballon et l’utiliser pour traverser tout le terrain afin de l’écraser dans l’en-but de l’équipe adverse au cours d’une partie de football. C’est d’ailleurs pour cette raison que le trophée de la plus grande compétition mondiale (Coupe du Monde de Rugby) porte son nom. Concernant le football américain, comme son nom l’indique, cette discipline a été créée aux Etats-Unis d’Amérique plusieurs décennies après le rugby. On estime qu’il trouve ses traces en 1860, avec l’arrivée des colons britanniques sur le sol américain. A cette époque, le rugby et le football (soccer) étant les disciplines les plus populaires dans le pays, Gerrat Smith Miller eut l’idée de les combiner. Dès 1870, des matchs sont joués dans certaines universités Nord-américaines. C’est quelques années après, soit en 1920 que l'American Professional Football Association voit le jour.
Le but du jeu...
Dans les deux disciplines, l’objectif est de gagner du terrain afin de se rapprocher de la zone d’en-but de l’équipe adverse. Plusieurs actions permettent aux équipes de gagner des points, et même si les règles diffèrent, on retrouve quelques similitudes entre les deux disciplines : L’action qui octroie le plus de points est le fait de passer dans la zone d’en-but de l’adversaire avec le ballon. Au Rugby, il s’agit d’aplatir le ballon dans la zone pour marquer un essai (5 points). Au football américain, on réalise un Touchdown (6 points) en pénétrant la zone avec le ballon, ou en réceptionnant une passe dedans. Ces actions peuvent être bonifiées par une transformation au pied, le ballon doit passer entre les deux poteaux (au rugby +2 points, au football américain +1 point). Au Football américain, on peut aussi tenter “l’extrapoint”, il s’agit d’une seule tentative pour repénétrer dans la zone d’en-but et ainsi gagner 2 points. Alors qu’elles tentent de gagner du terrain, les équipes sont confrontées à quelques règles. De manière très simplifiée, on notera qu’au rugby, toutes les passes à la main doivent se faire vers l’arrière, la progression se fait donc balle en main ou avec une passe au pied. Au football Américain l’équipe attaquante a 4 tentatives pour progresser de 10 yards. Si elle y arrive, elle a le droit à un nouveau cycle de 4 tentatives et ainsi de suite jusqu’à tenter un touchdown. Si elle n'atteint pas le palier à l’issu des 4 tentatives, le ballon est rendu à l’équipe adverse. Pour progresser, l’équipe qui attaque a le droit à une passe par tentative, chaque action s’arrête lorsque le porteur du ballon est mis au sol, ou que la passe n’aboutit pas. Il existe d’autres moyens de gagner des points, notamment au pied. Au rugby on gagne 3 points lorsqu’on fait passer la balle entre les poteaux. Soit après une faute commise par l’équipe adverse (appelé pénalité). Soit durant une phase de jeu, en tirant la balle au pied après l’avoir fait rebondir au sol (appelé drop). Au football américain, lors de la 4ème tentative d’une équipe, on peut tenter de faire passer le ballon entre les poteaux au pied pour gagner 3 points. Les points sont calculés selon la valeur suivante :- Au rugby : un essai (5 points), une transformation (2 points), un drop (3 points), une pénalité (3 points)
- Au football américain : un touchdown (6 points), un extra-points (1 ou 2 points), un field Goal (3 points), une sécurité (2 points pour l’équipe adverse
Le terrain...
En dehors de la forme du ballon, l’autre élément de similarité créant la confusion entre le football américain et le rugby est l'étendue terrain. Bien que possédant une zone d’en-but, les deux terrains sont différents. En effet, les distinctions entre les deux se font au niveau de la taille du terrain et des poteaux. Ainsi les poteaux d’un stade de rugby sont en forme de H tandis que ceux du football américain sont en Y. Pour la taille du terrain de rugby, les dimensions sont d’environ 100 mètres de long et 70 mètres de largeur. Concernant le football américain, l’unité de mesure est différente. Ici, on parle de « yard » soit 1 yard égale à 0,91mètres. La taille d’un stade de football américain est ainsi de 120 yards de long soit 109,2 mètres et 53,33 yards de large soit 48,53 mètres.
Les règles du jeu
Le premier élément de différenciation est la durée. Au rugby, le temps de jeu est fixé à 80 minutes au total avec deux mi-temps de 40 minutes contre 4 quart-temps de 15 minutes pour le football américain. Ces périodes de jeu sont suivis d’une pause de 12 minutes après la fin des deux premiers quart-temps. Le deuxième élément est le nombre de joueurs total sur le terrain. Au rugby la confrontation sera plus communément de 15 joueurs contre 15 (il existe également le rugby à XIII et à 7). Tandis qu’au football américain, c’est 11 joueurs contre 11. On note aussi une particularité sur le nombre de remplacement possible. Pour le Rugby, les joueurs jouent les phases offensives et défensives, et seuls 7 changements peuvent être effectués durant la rencontre. Au Football américain, il n’y a pas de limite de remplacement puisque les équipes changent presque entièrement entre les phases d’attaque et de défense.
Les accessoires...
Le principal accessoire de jeu de ces sports est le ballon ovale. Bien qu’ayant la même forme, la taille d’un ballon de rugby est d’environ 27 cm contre 28 cm pour le football américain. Pour se protéger pendant les matchs, les joueurs portent également des équipements. Au rugby, les joueurs ont la possibilité d’avoir des protections pour les cuisses, des casques et des protections dentaires qui sont souples et non obligatoires. Au football américain, tenant compte de la puissance des chocs, les joueurs portent obligatoirement des protections dentaires, des casques « plus protecteurs », des épaulettes, des protections de genoux et de coudes rigides pendant les matchs.La technologie au service du jeu
Malgré toutes ces différences, les deux disciplines sont assez similaires quant à leur rapport à la technologie. De nombreuses innovations ont vu le jour sur les terrains de Football américain et de Rugby, d’autres disciplines s’inspirent d’ailleurs de ces avancées afin de fluidifier le jeu, ou d’améliorer l’expérience du spectateur. L'arbitrage vidéo est apparu dès 1978 en NFL et a considérablement évolué afin d’augmenter le nombre de situations dans lesquelles il peut être utilisé. Au Rugby, au-delà de la VAR, utilisée depuis les années 2000, c’est l’équipement des arbitres par un micro qui séduit les téléspectateurs et les autres disciplines. En Ligue 1, le nouveau diffuseur Amazon Prime avait d’ailleurs équipé l’arbitre de St-Etienne – Monaco en avril 2022. Une action qui a relancé les débats au sein des institutions, qui souhaitent rendre l’arbitrage plus transparent envers les différents acteurs de ce sport. Au-delà de l’arbitrage, on peut noter de belles avancées technologiques chez nos amis américains. La communication entre les joueurs et les coachs se fait désormais par un micro intégré au casque du quarterback. Cela s'additionne à la mise à disposition par la Ligue de tablettes au bord du terrain pour l’analyse en temps réel des actions. Enfin, on note quelques innovations au service de l’intégrité physique des joueurs : Un concours a été organisé par la NFL pour repenser les casques des joueurs afin de limiter les commotions. Les équipes médicales ont également accès à des données de santé des joueurs en temps réel.Business is business…
Au niveau business, les chiffres penchent en faveur du Football US. Même si le sport a du mal à se démocratiser en dehors des frontières américaines, la NFL et notamment le Super Bowl (la finale de la ligue) présentent des audiences et des revenus colossaux comparés à ceux du Rugby. Le prochain contrat de diffusion de la NFL portera sur 11 saisons (2023-2033) et rapportera entre 105 et 110 milliards de dollars à la Ligue, soit près de 10 milliards par saison. Autre chiffre qui montre la super puissance américaine, le coût d’un spot publicitaire lors de la mi-temps du Super Bowl : il faudra débourser 7 millions d’euros pour 30s de publicité. A ce prix-là, les annonceurs font forcément preuve d’une grande créativité pour se démarquer... Côté Rugby, on notera tout de même de belles perspectives, surtout en France avec la prochaine Coupe du Monde en septembre 2023. D’après les prévisions de l’organisateur, la compétition devrait générer un bénéfice net de 68 millions d’euros destiné au développement du rugby en France. Avec toutes ces informations, vous disposez de quelques arguments solides pour un débat entre amis sur le rugby et le football américain. Article rédigé par Vanillie EKOUMA06 Feb 2023
Les différences entre le rugby et le football américain
A l’approche du Super Bowl, revoyons les bases...
Généralement connu du grand public grâce au spectacle « Halftime Super Bowl » offert à la mi-temps, le football américain est un sport encore peu côté en Europe. En effet, malgré la présence de nombreux clubs sur le vieux continent, les règles de ce sport restent encore méconnues pour la plupart d’entre nous. De plus, beaucoup prennent un malin plaisir à le comparer au rugby, ces deux sports similaires d’aspects mais bien différents de fond ! A l’approche du Super Bowl, les non-initiés se posent toujours les mêmes questions autour du rugby et du football américain. Si vous en faites partie, cet article est pour vous !Quelle est l’origine de ces sports ?
Connu officiellement en 1823, le rugby voit le jour en Angleterre à l'initiative de Williams Webb Ellis, étudiant au collège de Rugby. Selon une anecdote populaire, cette discipline a été créée lorsque Williams a décidé de ramasser un ballon et l’utiliser pour traverser tout le terrain afin de l’écraser dans l’en-but de l’équipe adverse au cours d’une partie de football. C’est d’ailleurs pour cette raison que le trophée de la plus grande compétition mondiale (Coupe du Monde de Rugby) porte son nom. Concernant le football américain, comme son nom l’indique, cette discipline a été créée aux Etats-Unis d’Amérique plusieurs décennies après le rugby. On estime qu’il trouve ses traces en 1860, avec l’arrivée des colons britanniques sur le sol américain. A cette époque, le rugby et le football (soccer) étant les disciplines les plus populaires dans le pays, Gerrat Smith Miller eut l’idée de les combiner. Dès 1870, des matchs sont joués dans certaines universités Nord-américaines. C’est quelques années après, soit en 1920 que l'American Professional Football Association voit le jour.
Le but du jeu...
Dans les deux disciplines, l’objectif est de gagner du terrain afin de se rapprocher de la zone d’en-but de l’équipe adverse. Plusieurs actions permettent aux équipes de gagner des points, et même si les règles diffèrent, on retrouve quelques similitudes entre les deux disciplines : L’action qui octroie le plus de points est le fait de passer dans la zone d’en-but de l’adversaire avec le ballon. Au Rugby, il s’agit d’aplatir le ballon dans la zone pour marquer un essai (5 points). Au football américain, on réalise un Touchdown (6 points) en pénétrant la zone avec le ballon, ou en réceptionnant une passe dedans. Ces actions peuvent être bonifiées par une transformation au pied, le ballon doit passer entre les deux poteaux (au rugby +2 points, au football américain +1 point). Au Football américain, on peut aussi tenter “l’extrapoint”, il s’agit d’une seule tentative pour repénétrer dans la zone d’en-but et ainsi gagner 2 points. Alors qu’elles tentent de gagner du terrain, les équipes sont confrontées à quelques règles. De manière très simplifiée, on notera qu’au rugby, toutes les passes à la main doivent se faire vers l’arrière, la progression se fait donc balle en main ou avec une passe au pied. Au football Américain l’équipe attaquante a 4 tentatives pour progresser de 10 yards. Si elle y arrive, elle a le droit à un nouveau cycle de 4 tentatives et ainsi de suite jusqu’à tenter un touchdown. Si elle n'atteint pas le palier à l’issu des 4 tentatives, le ballon est rendu à l’équipe adverse. Pour progresser, l’équipe qui attaque a le droit à une passe par tentative, chaque action s’arrête lorsque le porteur du ballon est mis au sol, ou que la passe n’aboutit pas. Il existe d’autres moyens de gagner des points, notamment au pied. Au rugby on gagne 3 points lorsqu’on fait passer la balle entre les poteaux. Soit après une faute commise par l’équipe adverse (appelé pénalité). Soit durant une phase de jeu, en tirant la balle au pied après l’avoir fait rebondir au sol (appelé drop). Au football américain, lors de la 4ème tentative d’une équipe, on peut tenter de faire passer le ballon entre les poteaux au pied pour gagner 3 points. Les points sont calculés selon la valeur suivante :- Au rugby : un essai (5 points), une transformation (2 points), un drop (3 points), une pénalité (3 points)
- Au football américain : un touchdown (6 points), un extra-points (1 ou 2 points), un field Goal (3 points), une sécurité (2 points pour l’équipe adverse
Le terrain...
En dehors de la forme du ballon, l’autre élément de similarité créant la confusion entre le football américain et le rugby est l'étendue terrain. Bien que possédant une zone d’en-but, les deux terrains sont différents. En effet, les distinctions entre les deux se font au niveau de la taille du terrain et des poteaux. Ainsi les poteaux d’un stade de rugby sont en forme de H tandis que ceux du football américain sont en Y. Pour la taille du terrain de rugby, les dimensions sont d’environ 100 mètres de long et 70 mètres de largeur. Concernant le football américain, l’unité de mesure est différente. Ici, on parle de « yard » soit 1 yard égale à 0,91mètres. La taille d’un stade de football américain est ainsi de 120 yards de long soit 109,2 mètres et 53,33 yards de large soit 48,53 mètres.
Les règles du jeu
Le premier élément de différenciation est la durée. Au rugby, le temps de jeu est fixé à 80 minutes au total avec deux mi-temps de 40 minutes contre 4 quart-temps de 15 minutes pour le football américain. Ces périodes de jeu sont suivis d’une pause de 12 minutes après la fin des deux premiers quart-temps. Le deuxième élément est le nombre de joueurs total sur le terrain. Au rugby la confrontation sera plus communément de 15 joueurs contre 15 (il existe également le rugby à XIII et à 7). Tandis qu’au football américain, c’est 11 joueurs contre 11. On note aussi une particularité sur le nombre de remplacement possible. Pour le Rugby, les joueurs jouent les phases offensives et défensives, et seuls 7 changements peuvent être effectués durant la rencontre. Au Football américain, il n’y a pas de limite de remplacement puisque les équipes changent presque entièrement entre les phases d’attaque et de défense.