# SPORTAIDONS au rebond !

Gardien international de Handball et de l’équipe du HBC Nantes, Cyril Dumoulin conjugue sport et solidarité et a donné une impulsion remarquable en mobilisant la générosité au service des personnels soignants durant la crise sanitaire du COVID 19.
C’est quelque chose que je mène depuis 2 ans avec MyHandball, une boutique 100% en ligne. Nous avons souhaité lancer une vente aux enchères pour le personnel soignant et les conditions exceptionnelles ont fait que cela a pris une ampleur folle. De fil en aiguille de plus en plus de monde ont participés, nous avons récolté avec # SPORTAIDONS plus de 300 000 euros et nous sommes fiers d’avoir pu aider à notre échelle. Des amis handballeurs, beaucoup de gardiens, des handballeuses nantaises, des footballeurs français ont aussi participé, et grâce aux journalistes cela s’est propagé comme une chaine virale et nous avons eu une mobilisation de plus de 400 sportifs ! Ces sportifs sont issus de tous les sports, dans toute la France et on a eu presque toutes les couches du sport. Mon moment le plus émouvant a été lorsque le père d’Alexis Vastine, boxeur disparu tragiquement, a voulu participer en proposant une tenue de son fils, cette tenue a d’ailleurs été achetée par le footballeur international de Manchester City, Aymeric Laporte afin de le lui rendre. J’ai plein d’autres histoires magnifiques, ce fut une superbe aventure humaine. Au départ l’initiative était nantaise mais rapidement quand on a vu l’ampleur nous avons décidé de reverser les fonds à la fondation des Hôpitaux de Paris, qui a reçu près de 15 millions d’euros au total, puis nous avons décidé également d’aider sur le terrain en nous associant avec Anne Roumanoff, pour continuellement améliorer l'efficacité de la médecine humanitaire sur le terrain. L’envie de continuer est évidente, j’ai reçu beaucoup d’appels aux dons et on se rend compte qu’il y a énormément de gens dans le besoin. Nous allons donc vraiment essayer de continuer, maintenant que nous avons une audience plus importante l’idée va être de continuer le combat et pourquoi pas impliquer notre audience sur le choix de la cause même.
Cela m’est un peu tombé dessus par hasard, anciennement footballeur, c’est à l’école que j’ai découvert le handball et je m’y suis pris de passion très rapidement. J’ai directement été gardien (contrairement au foot ou j’évoluais à tous les postes), pour la petite histoire j’avais sauté une classe et c’est mon professeur de sport qui m’a mis dans les cages car ce poste est à responsabilité ce qui facilitait mon intégration, et j’ai adoré ça. Dans le handball, si je pouvais donner un conseil c’est de prendre du plaisir et de se régaler dans ce qu’on fait à 100%. La gestion mentale est aussi très importante, accepter l’échec permet de mieux avancer. J’ai mis en place depuis assez longtemps la sophrologie pour me préparer à la compétition. Cela me permet de me construire une visualisation positive et également d’avoir de la confiance en moi, gonflée grâce à ces projections mentales.Vis-à-vis des tireurs, il n’y a pas vraiment de préparation mais c’est un jeu. J’essaye quand même d’étudier chaque tireur, identifier ses savoirs faire et voir à quel endroit il va tirer en situation d’échec et en situation de fatigue afin d’être plus décisif.
On a fait avec les moyens du bord, il fallait maintenir un certain rythme afin de garder un cadre d’évolution et d’entrainement. Après on est beaucoup plus sur un travail physique que technique car clairement il est compliqué de vouloir améliorer sa technique sans matériel adapté… l’idée est surtout de limiter la casse. J’ai vécu cet arrêt du championnat de manière logique, pour moi il était inévitable. Il ne faut pas prendre de risque et la ligue a pris la bonne décision pour sereinement penser à l’après. Tous les clubs l’on accepté car les gens ont pris conscience que l’intérêt commun prime, et que la santé publique était en cause. De notre côté, on garde tous contact sur WhatsApp, après nous avions des calls avec le staff, etc. Pour les entrainements le chômage partiel est intervenu, le club ne peut pas nous donner des directives et il nous appartient de nous responsabiliser pour garder la forme. On maintient tous notre activité et on sera prêt pour la suite.
Effectivement il a fallu prendre son mal en patience, accepter, écouter son corps car c’est notre outil de travail. On se reconstruit, on prend son temps, on fait les choses bien et ça m’a permis de revenir à mon meilleur niveau. La suite fait que je n’ai pas pu encore m’exprimer pleinement mais je saurais revenir prêt au combat.
Il y a des réflexions sur l’organisation des compétitions, les fédérations essayent de trouver des solutions comme la suppression ou fusion de certaines coupes, ou encore le passage à 16 clubs. Il y a un véritable intérêt économique qu’il faut relancer car les clubs ont énormément perdu durant cette crise sanitaire. On était en discussion par rapport à la reprise de l’entrainement, car à partir du moment où elle est pilotée par le club, cela signifiera que l’on sort du chômage partiel et donc il faudra pour le HBC Nantes assumer les salaires de toute la structure et cela on ne le maitrise pas, tout comme l’accès aux infrastructures. Nous étions dans le flou mais cela va vite évoluer avec désormais une reprise actée au 22 juin.
Ma première sélection ainsi que ma première marseillaise ont été des moments extrêmement forts que j’essaye de nourrir à chaque marseillaise que j’entends. Ensuite mes meilleurs souvenirs sont plutôt des moments en dehors des terrains, le partage, les amis, les célébrations, etc. C’est ce qui me fait avancer et me motive. Le pire moment restera mon éviction de la liste des JO car je m’étais investi, j’avais tout donné mais sans retour. Et c’est aussi cela qui motive et qui fait malheureusement aussi la beauté du sport. On m’a appris très tôt à compenser la difficulté et de me reconstruire rapidement mais il y a forcément des périodes de « crises » et il faut savoir faire pause pour se reconstruire.
Le handball a sa propre culture et ses propres valeurs. Si l’on veut y travailler il va falloir appréhender tout cela. Il ne faut pas avoir peur d’innover et d’être force de proposition, le sport business est quelque chose d’énorme, il y a encore beaucoup de chose à développer.
Comment avez-vous initié un élan de solidarité avec le personnel soignant ?
C’est quelque chose que je mène depuis 2 ans avec MyHandball, une boutique 100% en ligne. Nous avons souhaité lancer une vente aux enchères pour le personnel soignant et les conditions exceptionnelles ont fait que cela a pris une ampleur folle. De fil en aiguille de plus en plus de monde ont participés, nous avons récolté avec # SPORTAIDONS plus de 300 000 euros et nous sommes fiers d’avoir pu aider à notre échelle. Des amis handballeurs, beaucoup de gardiens, des handballeuses nantaises, des footballeurs français ont aussi participé, et grâce aux journalistes cela s’est propagé comme une chaine virale et nous avons eu une mobilisation de plus de 400 sportifs ! Ces sportifs sont issus de tous les sports, dans toute la France et on a eu presque toutes les couches du sport. Mon moment le plus émouvant a été lorsque le père d’Alexis Vastine, boxeur disparu tragiquement, a voulu participer en proposant une tenue de son fils, cette tenue a d’ailleurs été achetée par le footballeur international de Manchester City, Aymeric Laporte afin de le lui rendre. J’ai plein d’autres histoires magnifiques, ce fut une superbe aventure humaine. Au départ l’initiative était nantaise mais rapidement quand on a vu l’ampleur nous avons décidé de reverser les fonds à la fondation des Hôpitaux de Paris, qui a reçu près de 15 millions d’euros au total, puis nous avons décidé également d’aider sur le terrain en nous associant avec Anne Roumanoff, pour continuellement améliorer l'efficacité de la médecine humanitaire sur le terrain. L’envie de continuer est évidente, j’ai reçu beaucoup d’appels aux dons et on se rend compte qu’il y a énormément de gens dans le besoin. Nous allons donc vraiment essayer de continuer, maintenant que nous avons une audience plus importante l’idée va être de continuer le combat et pourquoi pas impliquer notre audience sur le choix de la cause même.
D’où vient votre passion pour le handball ?
Cela m’est un peu tombé dessus par hasard, anciennement footballeur, c’est à l’école que j’ai découvert le handball et je m’y suis pris de passion très rapidement. J’ai directement été gardien (contrairement au foot ou j’évoluais à tous les postes), pour la petite histoire j’avais sauté une classe et c’est mon professeur de sport qui m’a mis dans les cages car ce poste est à responsabilité ce qui facilitait mon intégration, et j’ai adoré ça. Dans le handball, si je pouvais donner un conseil c’est de prendre du plaisir et de se régaler dans ce qu’on fait à 100%. La gestion mentale est aussi très importante, accepter l’échec permet de mieux avancer. J’ai mis en place depuis assez longtemps la sophrologie pour me préparer à la compétition. Cela me permet de me construire une visualisation positive et également d’avoir de la confiance en moi, gonflée grâce à ces projections mentales.Vis-à-vis des tireurs, il n’y a pas vraiment de préparation mais c’est un jeu. J’essaye quand même d’étudier chaque tireur, identifier ses savoirs faire et voir à quel endroit il va tirer en situation d’échec et en situation de fatigue afin d’être plus décisif.
Comment s’est passée cette période sans match pour vous ?
On a fait avec les moyens du bord, il fallait maintenir un certain rythme afin de garder un cadre d’évolution et d’entrainement. Après on est beaucoup plus sur un travail physique que technique car clairement il est compliqué de vouloir améliorer sa technique sans matériel adapté… l’idée est surtout de limiter la casse. J’ai vécu cet arrêt du championnat de manière logique, pour moi il était inévitable. Il ne faut pas prendre de risque et la ligue a pris la bonne décision pour sereinement penser à l’après. Tous les clubs l’on accepté car les gens ont pris conscience que l’intérêt commun prime, et que la santé publique était en cause. De notre côté, on garde tous contact sur WhatsApp, après nous avions des calls avec le staff, etc. Pour les entrainements le chômage partiel est intervenu, le club ne peut pas nous donner des directives et il nous appartient de nous responsabiliser pour garder la forme. On maintient tous notre activité et on sera prêt pour la suite.
Surtout que ce temps d’arrêt intervient peu après votre retour de grave blessure…
Effectivement il a fallu prendre son mal en patience, accepter, écouter son corps car c’est notre outil de travail. On se reconstruit, on prend son temps, on fait les choses bien et ça m’a permis de revenir à mon meilleur niveau. La suite fait que je n’ai pas pu encore m’exprimer pleinement mais je saurais revenir prêt au combat.
Désormais comment va se passer la suite ?
Il y a des réflexions sur l’organisation des compétitions, les fédérations essayent de trouver des solutions comme la suppression ou fusion de certaines coupes, ou encore le passage à 16 clubs. Il y a un véritable intérêt économique qu’il faut relancer car les clubs ont énormément perdu durant cette crise sanitaire. On était en discussion par rapport à la reprise de l’entrainement, car à partir du moment où elle est pilotée par le club, cela signifiera que l’on sort du chômage partiel et donc il faudra pour le HBC Nantes assumer les salaires de toute la structure et cela on ne le maitrise pas, tout comme l’accès aux infrastructures. Nous étions dans le flou mais cela va vite évoluer avec désormais une reprise actée au 22 juin.
Quels ont été vos meilleurs et pires moments en tant qu’handballeur professionnel ?
Ma première sélection ainsi que ma première marseillaise ont été des moments extrêmement forts que j’essaye de nourrir à chaque marseillaise que j’entends. Ensuite mes meilleurs souvenirs sont plutôt des moments en dehors des terrains, le partage, les amis, les célébrations, etc. C’est ce qui me fait avancer et me motive. Le pire moment restera mon éviction de la liste des JO car je m’étais investi, j’avais tout donné mais sans retour. Et c’est aussi cela qui motive et qui fait malheureusement aussi la beauté du sport. On m’a appris très tôt à compenser la difficulté et de me reconstruire rapidement mais il y a forcément des périodes de « crises » et il faut savoir faire pause pour se reconstruire.
Pour terminer, quels conseils donneriez-vous a un étudiant qui souhaite travailler dans le handball ?
Le handball a sa propre culture et ses propres valeurs. Si l’on veut y travailler il va falloir appréhender tout cela. Il ne faut pas avoir peur d’innover et d’être force de proposition, le sport business est quelque chose d’énorme, il y a encore beaucoup de chose à développer.

Propos recueillis par Elliot Tekpor, chargé de communication AMOS Nantes
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Matthieu, étudiant en b3 à Paris, a créé son association Tiki Taka pour venir en aide aux clubs de football colombiens
Comment est né ce projet Tiki Taka ? Tout d’abord, ce projet a été motivé par une envie personnelle de découvrir un pays et de partager ma passion pour le football. J’arrivais à une période charnière dans mes études et il était primordial pour moi de réaliser un projet humanitaire en rapport avec mes études dans le sport. J’avais un réel souhait d’aider les autres et de pouvoir apporter mon aide à ses enfants. Ce qui me motive le plus reste le fait qu’on va apporter de meilleures perspectives à ces enfants autour de ma passion : le football. Quelles vont-être vos actions sur place ? Nos actions se concentrent principalement par l’apport d’équipements sportifs : ces centres n’ont presque aucun équipement, notre objectif est donc d’en fournir le plus possible. Ces équipements sont tout le matériel lié au football : des cages, des plots, des échelles, des ballons et tous les petits équipements qui seront utiles pour ces centres. En plus de ça, nous avons organisé avec les centres tout un programme d’entraînement et d’ateliers pour ces enfants. Par ailleurs, notre aide ne sera pas que sportive et financière mais surtout humaine : nous sommes conscients que ces centres vont surement avoir besoin de nous pour s’occuper des enfants et améliorer les centres. Comment comptes-tu pérenniser ce projet dans les années futures ? J’accorde énormément d’importance à l’héritage de mon association et de ce projet. Étant président de l’association et un élève d’AMOS Paris, je considère ça légitime que je transmette ce projet aux élèves d’AMOS qui le souhaitent. Je les aiderai à reconstruire un projet sur d’autres centres et à potentiellement essayer de réaliser un partenariat avec une université sur place pour faciliter les échanges. Pour soutenir le projet : cliquez iciDeux AMOSciens Lillois sélectionnés pour la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène
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01 Jul 2022
Rencontre avec le skipper Lilian Mercier « On est mieux en mer qu’à l’hôpital ! »
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Atteint d’une leucémie en 2018, Lilian Mercier, skipper est venu à la rencontre des masters d’AMOS Nantes. Février 2022, le staff Nantais est invité par son partenaire, PréparAction, à découvrir le projet de Lilian Mercier, jeune skipper qui prépare la Mini-Transat à la suite de sa leucémie, survenue en 2018. « Quand Nicolas Burcea, « Team manager » de Lilian et intervenant au campus, nous a parlé du projet, il nous a semblé évident de créer des passerelles entre ce dernier et AMOS Nantes. Les valeurs défendues par la Mini-Transat de Lilian, son parcours de vie, et ce « cas concret » qui permet de faire monter en compétences les étudiants qui se sont greffés à son projet, apportent une réelle plus-value au campus. Même sans être sur le bateau au quotidien, nous sommes très fiers de faire partie, à notre niveau, de cette superbe aventure sportive, solidaire et humaine. » Théo Bachelier, co-directeur AMOS Nantes Passionné de voile depuis son plus jeune âge, sa pratique l’a emmené en sport étude pour surfer sur le toit de sa discipline ! Avec un palmarès, bien conséquent pour son âge, à 18 ans il devient champion du monde des moins de 18 ans en skiff 29er ainsi que Vice-champion du monde chez les séniors. C’est dans cette continuité que Lilian s’était engagé dans une Préparation Olympique en 49er. À peine celle-ci débutée, il est diagnostiqué d’une leucémie à 21ans. Sportif, passionné, doté d’un mental d’acier, le rêve de se lancer sur la Mini-Transat de 2023 l’a aidé à tenir durant son combat contre la maladie.« On est mieux en mer qu’à l’hôpital ! »
Après 1 an d’hospitalisation et un feu vert des médecins, c’est tout naturellement qu’il s’est tourné vers l’association Leucémie Espoir Atlantique Famille (LEAF) afin de créer le projet avec pour but ultime : permettre aux jeunes de combattre la maladie et vivre de jolies aventures sur le bateau « On est mieux en mer qu’à l’hôpital ! » Cette Mini-Transat aura lieu en 2023, le coup d’envoi sera donné au port des Sables d’Olonne, où se déroule le départ du Vendée Globe, direction la Guadeloupe ! En solitaire et sans moyen de communication, Lilian prendra le large pour 6500 kms sur un voilier de 6,5 m. Une Mini-Transat avec un double objectif : le défi sportif et populariser ce sport auprès des jeunes malades.
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Après 1 an d’hospitalisation et un feu vert des médecins, c’est tout naturellement qu’il s’est tourné vers l’association Leucémie Espoir Atlantique Famille (LEAF) afin de créer le projet avec pour but ultime : permettre aux jeunes de combattre la maladie et vivre de jolies aventures sur le bateau « On est mieux en mer qu’à l’hôpital ! » Cette Mini-Transat aura lieu en 2023, le coup d’envoi sera donné au port des Sables d’Olonne, où se déroule le départ du Vendée Globe, direction la Guadeloupe ! En solitaire et sans moyen de communication, Lilian prendra le large pour 6500 kms sur un voilier de 6,5 m. Une Mini-Transat avec un double objectif : le défi sportif et populariser ce sport auprès des jeunes malades.
24 Jun 2022
Lauréats des Trophées des Sports 2022, AMOS Nantes
Deuxième édition des Trophées des Sports, AMOS Nantes
Pour sa deuxième édition, les Trophées des Sports d’AMOS Nantes accueillaient, lundi 27 mai, les partenaires sportifs de l’école afin de récompenser les athlètes, staffs et clubs ayant illuminés la saison 2021/2022. Orchestrée par Gaelle Louis, intervenante au sein d’AMOS, la cérémonie était placée sous le signe du « Retour vers le futur ». Cette soirée était organisée par les étudiants de quatrième année dans le cadre de leur spécialisation, en collaboration avec Mathieu Leclère et Gaelle Louis. « Les Trophées des Sports sont une véritable opportunité, et ce, à deux niveaux. Cet événement permet, d'une part, de renforcer les liens entre les clubs sportifs locaux et le campus, et d'autre part, de permettre aux étudiants de travailler sur un cas concret d'organisation d'un événement. Au vu des remarquables performances individuelles et collectives des acteurs sportifs nantais sur la saison 2021-2022, il nous tenait à cœur de féliciter nos partenaires avec lesquels nous allons continuer de travailler main dans la main sur les saisons à venir. » Théo Bachelier, Co-directeur AMOS Nantes Véritables révélateurs de talents, de performances et de créativité déployée dans les organisations, les Trophées des Sports ont vu le jour il y a maintenant 2 ans, impulsés par l’ancien chef de projet LAB du campus, Maxime Martin. Remis dans l’arène des Neptunes au sein de Mangin Beaulieu, les trophées constituent une réelle opportunité pour apporter un coup de projecteur aux initiatives du sport nantais auprès des partenaires, et permettre aux AMOSciens de mettre en pratique la théorie acquise tout au long de leur cursus. « Organisés sur un laps de temps relativement court, ces trophées ont su tester les capacités d’adaptation d’étudiants de quatrième année mis à l’épreuve de l’organisation d’un rendez-vous phare dans le calendrier de l’école, à gérer en parallèle de leur alternance. Après deux années de jachère événementielle liée à la pandémie, se retrouver pour célébrer le sport sous toutes ses facettes a permis d’offrir une belle conclusion à toutes les actions sur et hors terrain réalisées par les entités de la métropole nantaise et tous ses représentants. Et les bonnes idées ne manquent déjà pas pour 2023 ! » Gaelle Louis.
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Ayant pour vocation première de pérenniser les liens forts déjà existants entre AMOS Nantes et ses partenaires, cette soirée festive aura également permis aux partenaires d’échanger sur leurs échéances respectives à venir. Avec une saison 2021- 2022 exceptionnelle pour l’ensemble des clubs de la région ligérienne mélangeant Coupe de France, Coupe d’Europe, nouvelle salle à la Trocardière, nouveau naming, et montée en Fédérale 1, l’année 2022 – 2023 s’annonce trépidante ! Le rendez-vous est plus qu’attendu pour la saison à venir !Découvrez le palmarès complet
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- Meilleur espoir masculin de l’année : Guillaume EYANGO
- Meilleure sportive de l’année : Orlane AHANDA
- Meilleur sportif de l’année : Aymeric MINNE
- Meilleur sportif handisport de l’année : Thibaud LEFRANCOIS
- Meilleure action caritative de l’année : Lilian MERCIER
- Meilleure performance : FC Nantes
- Meilleure communication : Les Neptunes de Nantes
- Meilleur club éco-responsable : Stade Nantais
- Meilleur public : HBC Nantes
- Meilleure offre merchandising : Les corsaires
- Trophée d’honneur : Nantes Hermine Basket
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- Meilleure action caritative de l’année : Lilian MERCIER
- Meilleure performance : FC Nantes
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- Meilleur public : HBC Nantes
- Meilleure offre merchandising : Les corsaires
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