Théo ROPARTZ, aux manettes de l'entrepreneuriat

Malgré une situation inédite, imputable à la crise sanitaire, le marché du esport continue sa croissance exponentielle constatée depuis quelques années maintenant ; il devrait même atteindre le milliard de revenus généré en 2020 ! Un engouement qui se traduit notamment par les recettes de billetterie des évènements majeurs. A titre d’exemple, pas loin de 885 évènements ont été organisés avec des ventes de billets avoisinant les 56 millions de dollars.
Actuel étudiant en dernière année du Programme Grande Ecole à AMOS Lille, Théo Ropartz s’est fait un nom dans cet univers en pleine expansion. Président de l’association Akademus esport et co-fondateur d’Elysium, une entreprise « e-sportive », ce dernier nous invite dans un voyage mêlant entrepreneuriat et « electronic sports ». Focus.
En 2018, lors de ma troisième année au sein d’AMOS Lille, j'ai créé Akademus esport qui est une association 1901. Composée d’un bureau de 3 personnes, elle a pour objet l’encadrement de jeunes talents. L'association vit en grande partie grâce au sponsoring, qui nous permet notamment d'acquérir du matériel et de financer les différents déplacements à effectuer lors des compétitions.
En parallèle, j’ai co-fondé la société Elysium. C'est une start-up événementielle qui organise des séminaires ou encore des team building. Via Elysium, nous pouvons également développer des événements e-sport (comme des tournois) pour des collectivités, des centres de loisir ou de vacances. Nous souhaitons créer du sur-mesure en utilisant le jeu vidéo pour répondre aux besoins de l'entreprise cliente et ainsi satisfaire ses attentes.
Tout d'abord, je pense que cette envie (voire ce besoin) d'entreprendre est liée à ma passion car je pratique l’esport depuis très jeune. Avant que ce secteur n’explose, je possédais déjà une team sur Call of Duty où je jouais avec mes amis et participais déjà à des tournois. Avec les études, j'ai dû ralentir au niveau de mes heures de jeu car j'y passais énormément de temps. Cette pause m'a permis de prendre du recul et d'acquérir des connaissances ainsi que des compétences dans d'autres domaines grâce à AMOS.
Il faut savoir qu’en 3ème année, un stage d’un semestre est obligatoire. Je rêvais de mettre à profit cette période pour créer ma propre entreprise. Afin de prouver cette envie, j’ai sollicité la direction AMOS Lille. Après différents entretiens avec elle et la création d’un dossier présentant mon projet d’association, j’ai obtenu cet accord assez exceptionnel. L’aventure était alors lancée : cela m’a permis de toucher à de nombreux domaines et ainsi apprendre directement sur le terrain. J’ai donc tout créé de A à Z.
Au début, il n'y avait qu'une personne et aujourd'hui nous sommes 65 ! La problématique est la gestion des membres car il y a beaucoup de va-et-vient dans le milieu du bénévolat. Certaines personnes qui ont acquis de l'expérience partent ensuite vers d'autres structures pour se professionnaliser.
Sans aucun doute, notre participation à la Paris Games Week avec notre association. Nous avons animé le stand d’Infomax Paris pendant 5 jours où circulaient environ 350 000 personnes ; stand qui était d’ailleurs en collaboration avec plusieurs marques. Petite anecdote : à un moment, j’ai dû prendre le relais du speaker… C’est la première fois que je me retrouvais devant autant de personnes avec un micro. C’était très impressionnant mais aussi très formateur puisque j’y suis retourné les 4 jours qui ont suivi.
Tout d’abord, il faut être prêt à emmagasiner énormément d'informations puis de savoir les synthétiser. Cela permet d'aller plus vite et de se positionner rapidement sur le marché avant d'autres personnes et de saisir les opportunités. Ensuite, la passion est essentielle. Il faut savoir accepter l’échec et sans la passion, il est difficile de continuer à être motivé pour son activité. Enfin, la persévérance : il faut rester « acharné » pour être toujours en avance car nous ne sommes pas les seuls sur le marché à vouloir se lancer.
Qu’il ne faut justement pas avoir peur. Des échecs, il y en aura toujours. Il faut en permanence se demander ce que l'on peut faire d'un échec : soit le prendre du côté valorisant afin de s'améliorer, soit rester sur cet échec sans réagir. L’entreprenariat, c'est l'aventure ! C'est un projet qui nous anime tous les jours. Il ne faut pas avancer trop vite pour éviter de faire des erreurs mais il faut aussi tirer profit de ses erreurs pour avancer. Il faut aussi avoir en tête qu’il y aura forcément des moments difficiles où il ne faudra pas lâcher…
Au niveau d’Akademus esport, la crise a été perçue de façon plutôt positive puisque les bénévoles avaient beaucoup plus de temps à nous accorder. On a eu une belle montée en puissance. Toutefois, au niveau des partenariats, beaucoup de sociétés ont décalé leurs engagements.
Concernant Elysium, il y a eu 2 phases. Lors du premier confinement, nous nous sommes dit que nous n’allions rien lâcher car nous sommes sur un concept qui connaît un grand engouement. Nous avons donc voulu développer des séminaires et des team building en ligne. Une fois le produit prêt à être lancé, les entreprises ont eu du mal à y adhérer puisque le retour à l'activité était assez flou pour elles. Les ventes ont été très difficiles malgré un travail acharné pendant 3 mois.
Pour le deuxième confinement, nous avons donc décidé de réduire nos charges (locaux, comptable) au maximum car de nombreux événements ont été annulés. L'entreprise est donc en pause pour le moment.
Mon jeu du moment, c’est Valorant. Nous avons notamment recruté une team qui est très forte actuellement. C'est mon premier jeu « FPS », c'est-à-dire sur clavier où il faut apprendre toutes les touches. Ensuite, je dirais Call of Duty car il a toujours été mon jeu de prédilection.
La compétition sur Call of Duty se déroulait essentiellement sur Xbox, surtout à ses débuts, c'est pourquoi j'ai toujours eu cette console...Avec la transition sur PlayStation, beaucoup de joueurs consoles ont fait la transition mais pas moi. J'ai toujours été Xbox donc ça restera Xbox !
Actuel étudiant en dernière année du Programme Grande Ecole à AMOS Lille, Théo Ropartz s’est fait un nom dans cet univers en pleine expansion. Président de l’association Akademus esport et co-fondateur d’Elysium, une entreprise « e-sportive », ce dernier nous invite dans un voyage mêlant entrepreneuriat et « electronic sports ». Focus.
Théo, tu as créé Akademus esport et Elysium. Peux-tu nous présenter ces structures ?
En 2018, lors de ma troisième année au sein d’AMOS Lille, j'ai créé Akademus esport qui est une association 1901. Composée d’un bureau de 3 personnes, elle a pour objet l’encadrement de jeunes talents. L'association vit en grande partie grâce au sponsoring, qui nous permet notamment d'acquérir du matériel et de financer les différents déplacements à effectuer lors des compétitions.
En parallèle, j’ai co-fondé la société Elysium. C'est une start-up événementielle qui organise des séminaires ou encore des team building. Via Elysium, nous pouvons également développer des événements e-sport (comme des tournois) pour des collectivités, des centres de loisir ou de vacances. Nous souhaitons créer du sur-mesure en utilisant le jeu vidéo pour répondre aux besoins de l'entreprise cliente et ainsi satisfaire ses attentes.
Entreprendre peut faire peur… Raconte-nous cette envie !
Tout d'abord, je pense que cette envie (voire ce besoin) d'entreprendre est liée à ma passion car je pratique l’esport depuis très jeune. Avant que ce secteur n’explose, je possédais déjà une team sur Call of Duty où je jouais avec mes amis et participais déjà à des tournois. Avec les études, j'ai dû ralentir au niveau de mes heures de jeu car j'y passais énormément de temps. Cette pause m'a permis de prendre du recul et d'acquérir des connaissances ainsi que des compétences dans d'autres domaines grâce à AMOS.
Il faut savoir qu’en 3ème année, un stage d’un semestre est obligatoire. Je rêvais de mettre à profit cette période pour créer ma propre entreprise. Afin de prouver cette envie, j’ai sollicité la direction AMOS Lille. Après différents entretiens avec elle et la création d’un dossier présentant mon projet d’association, j’ai obtenu cet accord assez exceptionnel. L’aventure était alors lancée : cela m’a permis de toucher à de nombreux domaines et ainsi apprendre directement sur le terrain. J’ai donc tout créé de A à Z.

Aujourd’hui, combien de personnes participent à l’aventure Akademus ?
Au début, il n'y avait qu'une personne et aujourd'hui nous sommes 65 ! La problématique est la gestion des membres car il y a beaucoup de va-et-vient dans le milieu du bénévolat. Certaines personnes qui ont acquis de l'expérience partent ensuite vers d'autres structures pour se professionnaliser.
Dans cette jeune carrière, quel souvenir te vient directement à l’esprit ?
Sans aucun doute, notre participation à la Paris Games Week avec notre association. Nous avons animé le stand d’Infomax Paris pendant 5 jours où circulaient environ 350 000 personnes ; stand qui était d’ailleurs en collaboration avec plusieurs marques. Petite anecdote : à un moment, j’ai dû prendre le relais du speaker… C’est la première fois que je me retrouvais devant autant de personnes avec un micro. C’était très impressionnant mais aussi très formateur puisque j’y suis retourné les 4 jours qui ont suivi.

De ton point de vue, quelles sont les 3 forces que doit avoir un entrepreneur ?
Tout d’abord, il faut être prêt à emmagasiner énormément d'informations puis de savoir les synthétiser. Cela permet d'aller plus vite et de se positionner rapidement sur le marché avant d'autres personnes et de saisir les opportunités. Ensuite, la passion est essentielle. Il faut savoir accepter l’échec et sans la passion, il est difficile de continuer à être motivé pour son activité. Enfin, la persévérance : il faut rester « acharné » pour être toujours en avance car nous ne sommes pas les seuls sur le marché à vouloir se lancer.
Que dirais-tu aux personnes qui ont peur de se lancer dans l’entreprenariat ?
Qu’il ne faut justement pas avoir peur. Des échecs, il y en aura toujours. Il faut en permanence se demander ce que l'on peut faire d'un échec : soit le prendre du côté valorisant afin de s'améliorer, soit rester sur cet échec sans réagir. L’entreprenariat, c'est l'aventure ! C'est un projet qui nous anime tous les jours. Il ne faut pas avancer trop vite pour éviter de faire des erreurs mais il faut aussi tirer profit de ses erreurs pour avancer. Il faut aussi avoir en tête qu’il y aura forcément des moments difficiles où il ne faudra pas lâcher…
Tes structures ont-elles été impactées par la crise sanitaire ? Le sont-elles encore ?
Au niveau d’Akademus esport, la crise a été perçue de façon plutôt positive puisque les bénévoles avaient beaucoup plus de temps à nous accorder. On a eu une belle montée en puissance. Toutefois, au niveau des partenariats, beaucoup de sociétés ont décalé leurs engagements.
Concernant Elysium, il y a eu 2 phases. Lors du premier confinement, nous nous sommes dit que nous n’allions rien lâcher car nous sommes sur un concept qui connaît un grand engouement. Nous avons donc voulu développer des séminaires et des team building en ligne. Une fois le produit prêt à être lancé, les entreprises ont eu du mal à y adhérer puisque le retour à l'activité était assez flou pour elles. Les ventes ont été très difficiles malgré un travail acharné pendant 3 mois.
Pour le deuxième confinement, nous avons donc décidé de réduire nos charges (locaux, comptable) au maximum car de nombreux événements ont été annulés. L'entreprise est donc en pause pour le moment.
En tant que passionné de esport, tu as probablement un jeu favori ?
Mon jeu du moment, c’est Valorant. Nous avons notamment recruté une team qui est très forte actuellement. C'est mon premier jeu « FPS », c'est-à-dire sur clavier où il faut apprendre toutes les touches. Ensuite, je dirais Call of Duty car il a toujours été mon jeu de prédilection.
Et pour conclure : plutôt PS5 ou Xbox ?
La compétition sur Call of Duty se déroulait essentiellement sur Xbox, surtout à ses débuts, c'est pourquoi j'ai toujours eu cette console...Avec la transition sur PlayStation, beaucoup de joueurs consoles ont fait la transition mais pas moi. J'ai toujours été Xbox donc ça restera Xbox !
Article rédigé par Tanguy DHALLUIN, chef de projet à AMOS LAB Lille.
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19 May 2022
Rendez-vous métiers : deviens le pilote de ta propre com !
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Je m’appelle Baptiste Brun, je travaille pour l’agence de communication Drive Your Com sur la partie mise en place de projets, suivi de projets et gestion des partenariats. Mon intitulé de poste : Manager de projets et partenariats.Peux-tu nous présenter Drive Your Com ?
Drive Your Com est une agence spécialisée dans les sports mécaniques. Elle a été lancée par son fondateur Nicolas, passionné d’automobile. Il a suivi un master en communication avec pour objectif de lancer ce type d’agence. Drive Your Com est animée par les sports mécaniques ! On est directement basés au Mans et ce n’est pas anodin. L’implantation dans cette ville est une réelle aubaine pour notre activité, notamment boostée par les 24H du Mans ou Le Grand Prix moto. Nicolas, le fondateur, a eu l’occasion d’accompagner des amis pilotes dans la gestion de leurs réseaux sociaux et d’image. Il s’est rapidement rendu compte qu’il y avait un besoin quasi-vital pour ces sportifs et pilotes de mettre en place une communication adaptée à leur activité. Cumuler sport et image est aujourd’hui devenu primordial ! Il a donc suivi un master en communication pour ouvrir cette agence.
En quoi consiste ton métier aujourd'hui ?
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Il n’y a pas vraiment de journée type, on avance sur les différents projets. Nous n’avons pas ce sentiment routinier, car les clients et les typologies d’événements diffèrent sur chacun de nos projets. On est dans un métier qui évolue constamment, c’est toujours rythmé, on ne s’ennuie pas (rire). Cependant, et c’est vraiment important de le prendre en compte, on peut avoir des rythmes en décalé et ne pas compter nos heures.Quelles sont les qualités requises pour travailler au sein de Drive Your Com ?
Je pense qu’il faut avoir un profil « assez jeune » dans la tête, pas forcément dans l’âge. Il faut être dynamique, avoir envie de créer, de se lancer de nouveaux défis. Il faut aussi être force de proposition, être novateur dans les idées, dans les concepts. Pour résumer, il faut constamment adopter une posture d’écoute, de remise en question et apporter de la fraicheur avec du dynamisme.Quels conseils peux-tu donner à nos AMOScien.e.s ?
On passe plus de la moitié de notre vie à travailler, donc faites-vous plaisir au travail avant tout ! Vous devez être dans un métier passion, pour aimer ce que vous faites. Faites vos armes, écouter les anciens, ils ont énormément à vous apporter. De votre côté, votre rôle est vraiment d’apporter une vision nouvelle, dynamique. Je suis convaincu que le mélange entre expérience et jeunesse peut apporter énormément et créer des profils très intéressants. Investissez-vous, c’est vraiment la clé ! Propos recueillis par Noémie GIBET, chargée de communication AMOS Nantes19 May 2022
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12 May 2022
Journée de l’entrepreneuriat AMOS avec Sportihome
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Rien de tel pour prendre des forces pour cette épreuve que de partager un bon petit-déjeuner tous ensemble avant le début des hostilités ! Entre étudiants on se questionne, on se demande comment va se dérouler la journée et on a surtout hâte de débuter... 08h45 : les équipes sont rassemblées, c’est le coup d’envoi de l’événement, donné par Sylvain de Sportihome, à travers une vidéo de présentation ! Les AMOSciens ont à leur disposition un kit pédagogique qui leur permettra de répondre à la problématique suivante : “Comment doubler la taille du parc de locations sport & nature de sportihome.com?”. Toutes les ressources à leur disposition sont mobilisables : internet, intervenants AMOS, connaissances personnelles... Les équipes pédagogiques prennent également plaisir à passer auprès de tous les groupes afin d’aider et d’orienter nos étudiants. 11h, 14h et 17h : des challenges tout au long de l’événement ! Les étudiants ont découvert sur le compte Instagram national AMOS, de petites épreuves à réaliser : partager un "spot" de Sportihome, partager une photo de soi en pleine activité sportive ou encore porter le plus d’accessoires sportifs possible avant de se prendre en photo. La réalisation de ces challenges accordaient des points bonus aux équipes ! 18h : fin de cette journée de l’entrepreneuriat ! Place aux corrections... Nos équipes pédagogiques devaient retenir une seule équipe par campus pour participer à la grande finale nationale.
L’heure de la finale a sonné...
Un semaine après cette journée dédiée à l’entrepreneuriat, les équipes retenues présentent leur projet en concurrence avec tous les campus lors de cette grande finale : elles ont 10 mins pour convaincre le jury composé de Sylvain de Sportihome et d'Eric Alard, directeur du campus AMOS Nantes. Après délibération, c’est AMOS Lille qui remporte ce challenge national, suivi par Nantes, Nice et Montpellier à égalité. "Les travaux sont super qualis et nous ont permis de découvrir de très bonnes recommandations pour notre entreprise. Tout ne pourra évidemment pas être réalisé mais nos équipes ont déjà pris le relais à différents niveaux ! Certaines actions ont déjà démarré !" Sylvain Morel, Sportihome"Tout simplement génial !"
"La journée de l’entreprenariat nous a permis de réaliser un projet concret. Cela change des exercices que nous pouvons habituellement réaliser en cours. Nous avons apprécié réfléchir et résoudre une problématique réelle d’une entreprise. Être choisis pour représenter AMOS Lille lors de la grande finale était déjà une grande victoire ! Nous avions un léger désavantage étant donné que nous étions une petite équipe en termes d’effectif. Participer à la grande finale nationale était une excellente expérience, la gagner était encore plus exceptionnel ! Soutenir notre projet face à un jury nous a permis de nous entraîner à l’oral et nous a appris à être convaincants. Nous espérons avoir représenté fièrement AMOS Lille !" L'équipe lilloise, gagnante de cette JDE
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L’heure de la finale a sonné...
Un semaine après cette journée dédiée à l’entrepreneuriat, les équipes retenues présentent leur projet en concurrence avec tous les campus lors de cette grande finale : elles ont 10 mins pour convaincre le jury composé de Sylvain de Sportihome et d'Eric Alard, directeur du campus AMOS Nantes. Après délibération, c’est AMOS Lille qui remporte ce challenge national, suivi par Nantes, Nice et Montpellier à égalité. "Les travaux sont super qualis et nous ont permis de découvrir de très bonnes recommandations pour notre entreprise. Tout ne pourra évidemment pas être réalisé mais nos équipes ont déjà pris le relais à différents niveaux ! Certaines actions ont déjà démarré !" Sylvain Morel, Sportihome"Tout simplement génial !"
"La journée de l’entreprenariat nous a permis de réaliser un projet concret. Cela change des exercices que nous pouvons habituellement réaliser en cours. Nous avons apprécié réfléchir et résoudre une problématique réelle d’une entreprise. Être choisis pour représenter AMOS Lille lors de la grande finale était déjà une grande victoire ! Nous avions un léger désavantage étant donné que nous étions une petite équipe en termes d’effectif. Participer à la grande finale nationale était une excellente expérience, la gagner était encore plus exceptionnel ! Soutenir notre projet face à un jury nous a permis de nous entraîner à l’oral et nous a appris à être convaincants. Nous espérons avoir représenté fièrement AMOS Lille !" L'équipe lilloise, gagnante de cette JDE