Interview de Xavier Jourson, parrain d’AMOS Lyon pour cette année 2021/22

Ancien rugbyman du LOU RUGBY et aujourd’hui parrain d’AMOS Lyon pour l’année 2021-2022, Xavier Jourson se lance l’immense défi de participer au triathlon le plus extrême au monde : le Norseman Xtreme Triathlon. Entrepreneur dans l’âme, il mène de front sa préparation sportive et ses aventures entrepreneuriales avec son projet La Transition et la réalisation d’un documentaire.
Son objectif : briser les stéréotypes pesant sur la communauté noire. Le triathlon est une discipline peu pratiquée par les minorités visibles. Nos AMOSciens participeront à son projet tout au long de l’année.
Mon projet est né pendant la première période de confinement. Suite à la lecture d’un livre, j’ai vraiment été fasciné par un ancien avocat qui avait décidé de faire l’IronMan. Une fois le livre terminé, il m’est venu l’idée d’acheter un vélo. Je me suis pris au jeu, j’ai perdu du poids et un soir un ami m’a demandé quel était mon prochain objectif. C’est lui qui m’a parlé du Norseman et quelques jours plus tard je décidais de m’inscrire sur un coup de tête.
Le site mettait en avant « this is not for you » alors je me suis dit qu’ils étaient fous et que j’allais le faire. Je ne maîtrisais pas tous les aspects d’un triathlète, je n’avais pas conscience des distances mais je voulais le faire. Deux jours plus tard, à défaut d’écrire un livre comme tout le monde ou d’en faire une chaîne YouTube, j’ai préféré en faire un film qui documente toute ma vie depuis que je suis arrivé dans le pays et tout ce que j’ai déjà réussi à faire. Plus tard, je rencontre mon réalisateur qui me suit aujourd’hui dans cette folie. Depuis maintenant deux ans, nous sommes sur ce projet-là et le 6 août 2022 je participerai donc au Norseman en Norvège.
Tout ce projet va au-delà du triathlon, il a différentes dimensions que j’amène dans ce projet. Il y a la dimension sociétale, la communauté noire n’est pas représentée dans le triathlon, et la dimension entrepreneuriale. Je suis arrivé au Canada, je ne connaissais rien du tout et je suis parti dans la finance. Deux ans après, je me retrouve dans le domaine de l’audiovisuel et des médias et c’est une belle aventure que je me dois de raconter. Je ne pensais pas entreprendre aussi loin que ça, parfois les choses t’emmènent loin. Il a fallu que je vienne ici pour monter un projet comme ça et pour pouvoir réaliser mon rêve. J’ai toujours voulu être dans l’audiovisuel et à force de prises de risque, aujourd’hui je vois les choses fonctionner donc c'est génial.
J’arrivais à mes 35 ans, j’avais envie de faire le marathon de Philadelphie mais il a été annulé à cause du Covid. Parfois, tu as juste envie de te remettre en question et tu as envie de savoir ce que tu vaux. Je me suis dit que si je faisais quelque chose, je voulais sortir de ma zone de confort, je voulais faire un truc BIG ! Je sens et j’estime que j’ai du mental, mais à quel niveau ?
Je veux me créer ma propre expérience. Cette aventure c’est un truc de fou, je créé mon propre film.
La partie entrepreneuriale est un très gros volet de ce projet. Il faut des sponsors, il faut des partenaires, de la communication, une équipe. Au début j’étais tout seul, je ne connaissais personne. Il y avait aussi des grosses contraintes comme le Covid. Le plus dur, c’est de vendre quelque chose que tu n’as pas fait, tu leur vends un projet. Il y a beaucoup de professionnels qui avancent des fonds, ils croient en toi mais si je me casse la jambe demain, tout est over. J’ai passé beaucoup de temps sur la partie entrepreneuriale : le type de communication que je voulais lancer, comment je voulais apparaître, quelle image je voulais partager…
Je travaille beaucoup, je lis beaucoup, je me documente beaucoup. Il a fallu que je monte une équipe de médecins, d’entraîneurs, d’ostéopathes et de kinésithérapeutes.
On est à 10 mois de l’évènement, j’ai eu une blessure au coccyx donc je me remets doucement. Aujourd’hui, c’est réveil à 6h30 pour m’étirer, ensuite je regarde mes mails car je travaille entre le Canada, la France et les États-Unis. J’ai une réunion à 11h sur un autre projet, je m’entraîne ensuite jusqu’à midi. Plus tard à 17h, j’anime un congrès pour un partenaire qui est une grande entreprise de communication et marketing. J’ai mon deuxième entraînement de la journée de 19h à 20h et quand je rentre je mange et je retourne travailler sur ma campagne de financement. Chaque jour, j’écris mon journal de bord pour raconter mes expériences enrichissantes. On n’y pense pas mais il faut aussi prendre en compte les petites tâches du quotidien : les lessives, les repas, le ménage… Ce projet documentaire m’en a apporté 14 autres : bande dessiné, chronique TV, séminaires, conférences, animation…
Cela ne me rapporte pas des centaines ou des millions mais j’aime ce que je fais !
Je vais commencer par prendre un petit mois de congés. Je trouve ça extrêmement dur de rester concentré 3 ans. C’est différent de rester concentré pour une échéance proche : un match de rugby ou des examens. Depuis 3 ans, je suis concentré sur tous les volets, mes entraînements, mes interviews, mes conférences avec la télé, la radio et devant la caméra.
Ensuite, l’objectif sera une grosse partie promotion pour le documentaire. On va tout faire pour que le documentaire soit un big succès et que cela impacte beaucoup de gens. J’espère qu’on va enchaîner les émissions de télé et de radio. Je préfère avoir 10 followers sur Instagram mais que mon film soit vu dans 12 pays. Plus tard, c’est le volet entrepreneurial que je souhaite développer. J’ai envie de continuer à produire et à raconter des histoires.
Avant de refaire un défi, il faut que je vois comment se sent mon corps à la fin de tout ça. Une fois que ce sera terminé, je devrai retrouver une vie normale. Ce sont des questions que je ne me suis pas encore posé. Je vais continuer de créer une communauté impactante.
Depuis qu’AMOS s’est créé, j’ai toujours voulu intégrer l’école. Pour commencer AMOS c’est ce qu’il y a de mieux en Europe sur la partie programme, sur l’image véhiculée, sur le type d’études et les intervenants. Je soutiens vraiment le programme avec toute son homogénéité. J’aime le côté théorique et pratique, c’est vraiment une école que j’estime. J’ai été approché par d’autres écoles, mais je voulais vraiment aller à Lyon, à AMOS. J’ai un ami à Montréal qui est un ancien AMOSciens, qui a gardé des liens avec AMOS Lyon donc je lui ai envoyé mon projet. Nous avons beaucoup échangé avec l’équipe qui m’a ensuite proposé de devenir le parrain de la promotion 2021/22.
Quand j’ai appris que le lieu de la conférence était le Groupama Stadium, j’ai directement appeler mon équipe de tournage. Si j’ai du temps à donner, et une école avec qui collaborer, c’est AMOS Lyon !
Les étudiants de nos jours sont super connectés sur la partie marketing, communication, réseaux sociaux, entertainement. Un des points très importants est d’avoir une vision francophone, car en étant en Amérique du Nord, je veux toucher les anglophones mais aussi les francophones. Sur une campagne de financement et de communication, j’ai besoin d’avoir la vision de jeunes francophones. J’attends beaucoup de la partie ouverture. En Amérique, tu peux te permettre plus de choses, en France c’est un peu plus corporate. Les projets proposés sont intéressants pour eux comme pour moi.
J’ai été à leur place il y a quelques années, je connais leurs réalités. La personne que tu veux être, tu peux l’être. Je n’ai qu’une Licence mais j'étais déterminé à être l’homme que je voulais être. C’est vraiment le message que je veux faire passer. Le côté « is possible ». Je veux que les étudiants puissent s’appuyer sur mon expérience, mes inside, mes problématiques.
Dans 3 ans, j’aimerais bien être un véritable entrepreneur accompli. Combien de personnes j’aurai impacté ? Combien de personne j’aurai mobilisé ? Combien de personnes j’aurai réussi à toucher ? Je ne sais pas comment je serai dans 5 ans, je rêve du Forbes ! Dans 5 ans, mon rêve c’est d’habiter en Californie. J’aimerais entreprendre aux Etats-Unis car c’est là qu’en entertainment, il se passe les choses les plus incroyables.
J’en ai un ! Vouloir versus faire. Beaucoup veulent, très peu font. Je voulais faire pleins de choses mais je n’avais pas la faculté ou les épaules assez larges pour le faire. C’est ça qui me guide.
Son objectif : briser les stéréotypes pesant sur la communauté noire. Le triathlon est une discipline peu pratiquée par les minorités visibles. Nos AMOSciens participeront à son projet tout au long de l’année.
Peux-tu nous parler de ton projet « La Transition » ?
Mon projet est né pendant la première période de confinement. Suite à la lecture d’un livre, j’ai vraiment été fasciné par un ancien avocat qui avait décidé de faire l’IronMan. Une fois le livre terminé, il m’est venu l’idée d’acheter un vélo. Je me suis pris au jeu, j’ai perdu du poids et un soir un ami m’a demandé quel était mon prochain objectif. C’est lui qui m’a parlé du Norseman et quelques jours plus tard je décidais de m’inscrire sur un coup de tête.
Le site mettait en avant « this is not for you » alors je me suis dit qu’ils étaient fous et que j’allais le faire. Je ne maîtrisais pas tous les aspects d’un triathlète, je n’avais pas conscience des distances mais je voulais le faire. Deux jours plus tard, à défaut d’écrire un livre comme tout le monde ou d’en faire une chaîne YouTube, j’ai préféré en faire un film qui documente toute ma vie depuis que je suis arrivé dans le pays et tout ce que j’ai déjà réussi à faire. Plus tard, je rencontre mon réalisateur qui me suit aujourd’hui dans cette folie. Depuis maintenant deux ans, nous sommes sur ce projet-là et le 6 août 2022 je participerai donc au Norseman en Norvège.
Tout ce projet va au-delà du triathlon, il a différentes dimensions que j’amène dans ce projet. Il y a la dimension sociétale, la communauté noire n’est pas représentée dans le triathlon, et la dimension entrepreneuriale. Je suis arrivé au Canada, je ne connaissais rien du tout et je suis parti dans la finance. Deux ans après, je me retrouve dans le domaine de l’audiovisuel et des médias et c’est une belle aventure que je me dois de raconter. Je ne pensais pas entreprendre aussi loin que ça, parfois les choses t’emmènent loin. Il a fallu que je vienne ici pour monter un projet comme ça et pour pouvoir réaliser mon rêve. J’ai toujours voulu être dans l’audiovisuel et à force de prises de risque, aujourd’hui je vois les choses fonctionner donc c'est génial.

Pourquoi le Norseman et pas une autre course ?
J’arrivais à mes 35 ans, j’avais envie de faire le marathon de Philadelphie mais il a été annulé à cause du Covid. Parfois, tu as juste envie de te remettre en question et tu as envie de savoir ce que tu vaux. Je me suis dit que si je faisais quelque chose, je voulais sortir de ma zone de confort, je voulais faire un truc BIG ! Je sens et j’estime que j’ai du mental, mais à quel niveau ?
Je veux me créer ma propre expérience. Cette aventure c’est un truc de fou, je créé mon propre film.
Quel est la démarche entrepreneuriale derrière ce projet ?
La partie entrepreneuriale est un très gros volet de ce projet. Il faut des sponsors, il faut des partenaires, de la communication, une équipe. Au début j’étais tout seul, je ne connaissais personne. Il y avait aussi des grosses contraintes comme le Covid. Le plus dur, c’est de vendre quelque chose que tu n’as pas fait, tu leur vends un projet. Il y a beaucoup de professionnels qui avancent des fonds, ils croient en toi mais si je me casse la jambe demain, tout est over. J’ai passé beaucoup de temps sur la partie entrepreneuriale : le type de communication que je voulais lancer, comment je voulais apparaître, quelle image je voulais partager…
Je travaille beaucoup, je lis beaucoup, je me documente beaucoup. Il a fallu que je monte une équipe de médecins, d’entraîneurs, d’ostéopathes et de kinésithérapeutes.
Comment se déroule une journée dans la peau de Xavier Jourson ?
On est à 10 mois de l’évènement, j’ai eu une blessure au coccyx donc je me remets doucement. Aujourd’hui, c’est réveil à 6h30 pour m’étirer, ensuite je regarde mes mails car je travaille entre le Canada, la France et les États-Unis. J’ai une réunion à 11h sur un autre projet, je m’entraîne ensuite jusqu’à midi. Plus tard à 17h, j’anime un congrès pour un partenaire qui est une grande entreprise de communication et marketing. J’ai mon deuxième entraînement de la journée de 19h à 20h et quand je rentre je mange et je retourne travailler sur ma campagne de financement. Chaque jour, j’écris mon journal de bord pour raconter mes expériences enrichissantes. On n’y pense pas mais il faut aussi prendre en compte les petites tâches du quotidien : les lessives, les repas, le ménage… Ce projet documentaire m’en a apporté 14 autres : bande dessiné, chronique TV, séminaires, conférences, animation…
Cela ne me rapporte pas des centaines ou des millions mais j’aime ce que je fais !

Quels sont tes projets une fois que le Norseman sera terminé ?
Je vais commencer par prendre un petit mois de congés. Je trouve ça extrêmement dur de rester concentré 3 ans. C’est différent de rester concentré pour une échéance proche : un match de rugby ou des examens. Depuis 3 ans, je suis concentré sur tous les volets, mes entraînements, mes interviews, mes conférences avec la télé, la radio et devant la caméra.
Ensuite, l’objectif sera une grosse partie promotion pour le documentaire. On va tout faire pour que le documentaire soit un big succès et que cela impacte beaucoup de gens. J’espère qu’on va enchaîner les émissions de télé et de radio. Je préfère avoir 10 followers sur Instagram mais que mon film soit vu dans 12 pays. Plus tard, c’est le volet entrepreneurial que je souhaite développer. J’ai envie de continuer à produire et à raconter des histoires.
Avant de refaire un défi, il faut que je vois comment se sent mon corps à la fin de tout ça. Une fois que ce sera terminé, je devrai retrouver une vie normale. Ce sont des questions que je ne me suis pas encore posé. Je vais continuer de créer une communauté impactante.
Pourquoi avoir voulu devenir le parrain AMOS de la promotion 2021/2022 ?
Depuis qu’AMOS s’est créé, j’ai toujours voulu intégrer l’école. Pour commencer AMOS c’est ce qu’il y a de mieux en Europe sur la partie programme, sur l’image véhiculée, sur le type d’études et les intervenants. Je soutiens vraiment le programme avec toute son homogénéité. J’aime le côté théorique et pratique, c’est vraiment une école que j’estime. J’ai été approché par d’autres écoles, mais je voulais vraiment aller à Lyon, à AMOS. J’ai un ami à Montréal qui est un ancien AMOSciens, qui a gardé des liens avec AMOS Lyon donc je lui ai envoyé mon projet. Nous avons beaucoup échangé avec l’équipe qui m’a ensuite proposé de devenir le parrain de la promotion 2021/22.
Quand j’ai appris que le lieu de la conférence était le Groupama Stadium, j’ai directement appeler mon équipe de tournage. Si j’ai du temps à donner, et une école avec qui collaborer, c’est AMOS Lyon !
Qu’attends-tu des AMOSiens pendant ce partenariat avec les projets tuteurés ?
Les étudiants de nos jours sont super connectés sur la partie marketing, communication, réseaux sociaux, entertainement. Un des points très importants est d’avoir une vision francophone, car en étant en Amérique du Nord, je veux toucher les anglophones mais aussi les francophones. Sur une campagne de financement et de communication, j’ai besoin d’avoir la vision de jeunes francophones. J’attends beaucoup de la partie ouverture. En Amérique, tu peux te permettre plus de choses, en France c’est un peu plus corporate. Les projets proposés sont intéressants pour eux comme pour moi.
Qu’est-ce que tu souhaites apporter comme connaissances, expériences aux étudiants ?
J’ai été à leur place il y a quelques années, je connais leurs réalités. La personne que tu veux être, tu peux l’être. Je n’ai qu’une Licence mais j'étais déterminé à être l’homme que je voulais être. C’est vraiment le message que je veux faire passer. Le côté « is possible ». Je veux que les étudiants puissent s’appuyer sur mon expérience, mes inside, mes problématiques.
Où est-ce que tu te vois dans 3/5 ans ?
Dans 3 ans, j’aimerais bien être un véritable entrepreneur accompli. Combien de personnes j’aurai impacté ? Combien de personne j’aurai mobilisé ? Combien de personnes j’aurai réussi à toucher ? Je ne sais pas comment je serai dans 5 ans, je rêve du Forbes ! Dans 5 ans, mon rêve c’est d’habiter en Californie. J’aimerais entreprendre aux Etats-Unis car c’est là qu’en entertainment, il se passe les choses les plus incroyables.
Est-ce que tu as un mantra personnel que tu as envie de partager ?
J’en ai un ! Vouloir versus faire. Beaucoup veulent, très peu font. Je voulais faire pleins de choses mais je n’avais pas la faculté ou les épaules assez larges pour le faire. C’est ça qui me guide.
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19 May 2022
Rendez-vous métiers : deviens le pilote de ta propre com !
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Sur le circuit exigeant et sinueux qu’est celui du parcours professionnel, Baptiste Brun est au volant du sien, bien accroché à deux mains pour continuer d’y mêler passion et métier. Au cœur du sport automobile, Baptiste nous partage son expérience. Bien installés sur la grille de départ ? Trois, deux, un, c’est parti !Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Baptiste Brun, je travaille pour l’agence de communication Drive Your Com sur la partie mise en place de projets, suivi de projets et gestion des partenariats. Mon intitulé de poste : Manager de projets et partenariats.Peux-tu nous présenter Drive Your Com ?
Drive Your Com est une agence spécialisée dans les sports mécaniques. Elle a été lancée par son fondateur Nicolas, passionné d’automobile. Il a suivi un master en communication avec pour objectif de lancer ce type d’agence. Drive Your Com est animée par les sports mécaniques ! On est directement basés au Mans et ce n’est pas anodin. L’implantation dans cette ville est une réelle aubaine pour notre activité, notamment boostée par les 24H du Mans ou Le Grand Prix moto. Nicolas, le fondateur, a eu l’occasion d’accompagner des amis pilotes dans la gestion de leurs réseaux sociaux et d’image. Il s’est rapidement rendu compte qu’il y avait un besoin quasi-vital pour ces sportifs et pilotes de mettre en place une communication adaptée à leur activité. Cumuler sport et image est aujourd’hui devenu primordial ! Il a donc suivi un master en communication pour ouvrir cette agence.
En quoi consiste ton métier aujourd'hui ?
De mon côté, j’apporte une vision commerciale sur l’ensemble des projets de Drive Your Com. Je participe aussi à la mise en place de suivi d’actions et de projets dans diverses entreprises. Je m’occupe principalement de l’optimisation des process, de la communication interne et externe. C’est un métier à multi-casquettes. Ce que j’apprécie le plus dans mon travail, c’est le lien entre les différents services. On dépend les uns des autres.Une journée type au sein de ton entreprise ?
Il n’y a pas vraiment de journée type, on avance sur les différents projets. Nous n’avons pas ce sentiment routinier, car les clients et les typologies d’événements diffèrent sur chacun de nos projets. On est dans un métier qui évolue constamment, c’est toujours rythmé, on ne s’ennuie pas (rire). Cependant, et c’est vraiment important de le prendre en compte, on peut avoir des rythmes en décalé et ne pas compter nos heures.Quelles sont les qualités requises pour travailler au sein de Drive Your Com ?
Je pense qu’il faut avoir un profil « assez jeune » dans la tête, pas forcément dans l’âge. Il faut être dynamique, avoir envie de créer, de se lancer de nouveaux défis. Il faut aussi être force de proposition, être novateur dans les idées, dans les concepts. Pour résumer, il faut constamment adopter une posture d’écoute, de remise en question et apporter de la fraicheur avec du dynamisme.Quels conseils peux-tu donner à nos AMOScien.e.s ?
On passe plus de la moitié de notre vie à travailler, donc faites-vous plaisir au travail avant tout ! Vous devez être dans un métier passion, pour aimer ce que vous faites. Faites vos armes, écouter les anciens, ils ont énormément à vous apporter. De votre côté, votre rôle est vraiment d’apporter une vision nouvelle, dynamique. Je suis convaincu que le mélange entre expérience et jeunesse peut apporter énormément et créer des profils très intéressants. Investissez-vous, c’est vraiment la clé ! Propos recueillis par Noémie GIBET, chargée de communication AMOS Nantes19 May 2022
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Sur le circuit exigeant et sinueux qu’est celui du parcours professionnel, Baptiste Brun est au volant du sien, bien accroché à deux mains pour continuer d’y mêler passion et métier. Au cœur du sport automobile, Baptiste nous partage son expérience. Bien installés sur la grille de départ ? Trois, deux, un, c’est parti !Peux-tu te présenter ?
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En quoi consiste ton métier aujourd'hui ?
De mon côté, j’apporte une vision commerciale sur l’ensemble des projets de Drive Your Com. Je participe aussi à la mise en place de suivi d’actions et de projets dans diverses entreprises. Je m’occupe principalement de l’optimisation des process, de la communication interne et externe. C’est un métier à multi-casquettes. Ce que j’apprécie le plus dans mon travail, c’est le lien entre les différents services. On dépend les uns des autres.Une journée type au sein de ton entreprise ?
Il n’y a pas vraiment de journée type, on avance sur les différents projets. Nous n’avons pas ce sentiment routinier, car les clients et les typologies d’événements diffèrent sur chacun de nos projets. On est dans un métier qui évolue constamment, c’est toujours rythmé, on ne s’ennuie pas (rire). Cependant, et c’est vraiment important de le prendre en compte, on peut avoir des rythmes en décalé et ne pas compter nos heures.Quelles sont les qualités requises pour travailler au sein de Drive Your Com ?
Je pense qu’il faut avoir un profil « assez jeune » dans la tête, pas forcément dans l’âge. Il faut être dynamique, avoir envie de créer, de se lancer de nouveaux défis. Il faut aussi être force de proposition, être novateur dans les idées, dans les concepts. Pour résumer, il faut constamment adopter une posture d’écoute, de remise en question et apporter de la fraicheur avec du dynamisme.Quels conseils peux-tu donner à nos AMOScien.e.s ?
On passe plus de la moitié de notre vie à travailler, donc faites-vous plaisir au travail avant tout ! Vous devez être dans un métier passion, pour aimer ce que vous faites. Faites vos armes, écouter les anciens, ils ont énormément à vous apporter. De votre côté, votre rôle est vraiment d’apporter une vision nouvelle, dynamique. Je suis convaincu que le mélange entre expérience et jeunesse peut apporter énormément et créer des profils très intéressants. Investissez-vous, c’est vraiment la clé ! Propos recueillis par Noémie GIBET, chargée de communication AMOS Nantes19 May 2022
Focus Entrepreneuriat Energy Cycle Genlis, étudiant PGE AMOS Lyon
La passion de père en fils
A la fois étudiant et co-fondateur d’une entreprise, Mathias Schmitt a pour objectif d’aider le développement des transports "doux". Cet étudiant en Master 2 Programme Grande Ecole à AMOS Lyon spécialisation Business Developer & Entrepreneur a créé avec son père la marque Energy Cycle Genlis. Leur boutique ouvrira début juin dans la ville de Genlis, près de Dijon (21).Se déplacer à vélo pour un monde meilleur
Energy Cycle Genlis est une marque spécialisée dans la vente de vélos traditionnels et électriques. Mathias et Eric Schmitt souhaitent développer la mobilité douce en France. Ils souhaitent se battre au quotidien pour un monde meilleur et plus égalitaire. Tous deux sont convaincus que le vélo prendra une place importante dans les transports de demain. En effet, la vente des vélos électriques est en forte augmentation depuis ces deux dernières années.
Des compétences complémentaires
Mathias a gagné en compétences grâce à ses études et à ses différentes expériences professionnelles. Ancien collaborateur Decathlon, il a déjà travaillé dans la vente d’article de sport et connait très bien le secteur. Ses études à AMOS Lyon lui ont permis d’avoir de précieux conseils de la part des intervenants de l’école. « AMOS me permet d’être accompagné par des professionnels, de faire mûrir mon projet et d’en tirer le meilleur. Les intervenants sont très à l’écoute, ils m’aident à prendre les bonnes décisions et à passer les étapes clés de mon projet. » Mathias Schmitt Eric quant à lui est un ancien responsable de magasin spécialisé dans les pièces automobiles. Son expérience lui permet de connaitre le fonctionnement et la gestion d’une boutique.De la boutique au parc d’attraction
L’objectif d’Energy Cycle Genlis a moyen terme est dans un premier temps de sécuriser et valider leur budget. Ainsi, Éric pourrait être intégré dans la masse salariale de l’entreprise à temps plein. Par la suite, Mathias Schmitt a pour projet de réaliser son rêve en créant un parc d’attraction : Babloland. Toujours dans une démarche de respect de la biodiversité, ce parc regroupera des activités aquatiques, terrestres et aériennes sur un seul et même lieu, pour un tarif d'entrée unique. Energy Cycle Genlis servira de levier pour le projet Babloland grâce aux réinvestissements des bénéfices de la société. Suivez le projet Energy Cycle Genlis sur Facebook et Instagram. Article rédigé par Candice Hablizig, étudiante en 4e année à AMOS Lyon
19 May 2022
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Energy Cycle Genlis est une marque spécialisée dans la vente de vélos traditionnels et électriques. Mathias et Eric Schmitt souhaitent développer la mobilité douce en France. Ils souhaitent se battre au quotidien pour un monde meilleur et plus égalitaire. Tous deux sont convaincus que le vélo prendra une place importante dans les transports de demain. En effet, la vente des vélos électriques est en forte augmentation depuis ces deux dernières années.
Des compétences complémentaires
Mathias a gagné en compétences grâce à ses études et à ses différentes expériences professionnelles. Ancien collaborateur Decathlon, il a déjà travaillé dans la vente d’article de sport et connait très bien le secteur. Ses études à AMOS Lyon lui ont permis d’avoir de précieux conseils de la part des intervenants de l’école. « AMOS me permet d’être accompagné par des professionnels, de faire mûrir mon projet et d’en tirer le meilleur. Les intervenants sont très à l’écoute, ils m’aident à prendre les bonnes décisions et à passer les étapes clés de mon projet. » Mathias Schmitt Eric quant à lui est un ancien responsable de magasin spécialisé dans les pièces automobiles. Son expérience lui permet de connaitre le fonctionnement et la gestion d’une boutique.De la boutique au parc d’attraction
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Groupama Stadium : une année riche en événements et apprentissages
Retour sur notre partenariat avec le Groupama Stadium de Lyon
Ce samedi 14 mai 2022, le mythique club lyonnais recevait le FC Nantes pour le dernier match à domicile de l’exercice 2021-2022. Cette soirée a marqué la fin d’une première saison de partenariat accomplie avec le Groupama Stadium, que nous vous proposons de revivre dans cet article. AMOS Sport Business School Lyon officialisait, en septembre dernier, son partenariat avec le Groupama Stadium sur la saison 2021-22 pour une Fan Expérience et une Expérience Etudiante enrichies au cœur de ce stade mythique à Lyon. De cette manière, AMOS Sport Business School s’est implanté au cœur de cette enceinte sportive de référence et devenait Namer Officiel de la AMOS Like Zone du Groupama Stadium.
- En octobre pour une Masterclass présentant la Stratégie Full Entertainment de l’Olympique Lyonnais, animée par Sam Primaut, Brand & Marketing Director de l’Olympique Lyonnais et son équipe : Maëlle Trarieux, Direction RSE, Dorah Talbi, Responsable Marketing Développement et Nathan Constancias, Responsable Marketing B2B
- Et en février pour une conférence dédiée à la féminisation du sport avec notamment la présence de Camille Abily, Margot Dumont, Tess Harmand, Coralie Gassama et Estelle Poret.



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