Interview de Xavier Jourson, parrain d’AMOS Lyon pour cette année 2021/22

Ancien rugbyman du LOU RUGBY et aujourd’hui parrain d’AMOS Lyon pour l’année 2021-2022, Xavier Jourson se lance l’immense défi de participer au triathlon le plus extrême au monde : le Norseman Xtreme Triathlon. Entrepreneur dans l’âme, il mène de front sa préparation sportive et ses aventures entrepreneuriales avec son projet La Transition et la réalisation d’un documentaire.
Son objectif : briser les stéréotypes pesant sur la communauté noire. Le triathlon est une discipline peu pratiquée par les minorités visibles. Nos AMOSciens participeront à son projet tout au long de l’année.
Mon projet est né pendant la première période de confinement. Suite à la lecture d’un livre, j’ai vraiment été fasciné par un ancien avocat qui avait décidé de faire l’IronMan. Une fois le livre terminé, il m’est venu l’idée d’acheter un vélo. Je me suis pris au jeu, j’ai perdu du poids et un soir un ami m’a demandé quel était mon prochain objectif. C’est lui qui m’a parlé du Norseman et quelques jours plus tard je décidais de m’inscrire sur un coup de tête.
Le site mettait en avant « this is not for you » alors je me suis dit qu’ils étaient fous et que j’allais le faire. Je ne maîtrisais pas tous les aspects d’un triathlète, je n’avais pas conscience des distances mais je voulais le faire. Deux jours plus tard, à défaut d’écrire un livre comme tout le monde ou d’en faire une chaîne YouTube, j’ai préféré en faire un film qui documente toute ma vie depuis que je suis arrivé dans le pays et tout ce que j’ai déjà réussi à faire. Plus tard, je rencontre mon réalisateur qui me suit aujourd’hui dans cette folie. Depuis maintenant deux ans, nous sommes sur ce projet-là et le 6 août 2022 je participerai donc au Norseman en Norvège.
Tout ce projet va au-delà du triathlon, il a différentes dimensions que j’amène dans ce projet. Il y a la dimension sociétale, la communauté noire n’est pas représentée dans le triathlon, et la dimension entrepreneuriale. Je suis arrivé au Canada, je ne connaissais rien du tout et je suis parti dans la finance. Deux ans après, je me retrouve dans le domaine de l’audiovisuel et des médias et c’est une belle aventure que je me dois de raconter. Je ne pensais pas entreprendre aussi loin que ça, parfois les choses t’emmènent loin. Il a fallu que je vienne ici pour monter un projet comme ça et pour pouvoir réaliser mon rêve. J’ai toujours voulu être dans l’audiovisuel et à force de prises de risque, aujourd’hui je vois les choses fonctionner donc c'est génial.
J’arrivais à mes 35 ans, j’avais envie de faire le marathon de Philadelphie mais il a été annulé à cause du Covid. Parfois, tu as juste envie de te remettre en question et tu as envie de savoir ce que tu vaux. Je me suis dit que si je faisais quelque chose, je voulais sortir de ma zone de confort, je voulais faire un truc BIG ! Je sens et j’estime que j’ai du mental, mais à quel niveau ?
Je veux me créer ma propre expérience. Cette aventure c’est un truc de fou, je créé mon propre film.
La partie entrepreneuriale est un très gros volet de ce projet. Il faut des sponsors, il faut des partenaires, de la communication, une équipe. Au début j’étais tout seul, je ne connaissais personne. Il y avait aussi des grosses contraintes comme le Covid. Le plus dur, c’est de vendre quelque chose que tu n’as pas fait, tu leur vends un projet. Il y a beaucoup de professionnels qui avancent des fonds, ils croient en toi mais si je me casse la jambe demain, tout est over. J’ai passé beaucoup de temps sur la partie entrepreneuriale : le type de communication que je voulais lancer, comment je voulais apparaître, quelle image je voulais partager…
Je travaille beaucoup, je lis beaucoup, je me documente beaucoup. Il a fallu que je monte une équipe de médecins, d’entraîneurs, d’ostéopathes et de kinésithérapeutes.
On est à 10 mois de l’évènement, j’ai eu une blessure au coccyx donc je me remets doucement. Aujourd’hui, c’est réveil à 6h30 pour m’étirer, ensuite je regarde mes mails car je travaille entre le Canada, la France et les États-Unis. J’ai une réunion à 11h sur un autre projet, je m’entraîne ensuite jusqu’à midi. Plus tard à 17h, j’anime un congrès pour un partenaire qui est une grande entreprise de communication et marketing. J’ai mon deuxième entraînement de la journée de 19h à 20h et quand je rentre je mange et je retourne travailler sur ma campagne de financement. Chaque jour, j’écris mon journal de bord pour raconter mes expériences enrichissantes. On n’y pense pas mais il faut aussi prendre en compte les petites tâches du quotidien : les lessives, les repas, le ménage… Ce projet documentaire m’en a apporté 14 autres : bande dessiné, chronique TV, séminaires, conférences, animation…
Cela ne me rapporte pas des centaines ou des millions mais j’aime ce que je fais !
Je vais commencer par prendre un petit mois de congés. Je trouve ça extrêmement dur de rester concentré 3 ans. C’est différent de rester concentré pour une échéance proche : un match de rugby ou des examens. Depuis 3 ans, je suis concentré sur tous les volets, mes entraînements, mes interviews, mes conférences avec la télé, la radio et devant la caméra.
Ensuite, l’objectif sera une grosse partie promotion pour le documentaire. On va tout faire pour que le documentaire soit un big succès et que cela impacte beaucoup de gens. J’espère qu’on va enchaîner les émissions de télé et de radio. Je préfère avoir 10 followers sur Instagram mais que mon film soit vu dans 12 pays. Plus tard, c’est le volet entrepreneurial que je souhaite développer. J’ai envie de continuer à produire et à raconter des histoires.
Avant de refaire un défi, il faut que je vois comment se sent mon corps à la fin de tout ça. Une fois que ce sera terminé, je devrai retrouver une vie normale. Ce sont des questions que je ne me suis pas encore posé. Je vais continuer de créer une communauté impactante.
Depuis qu’AMOS s’est créé, j’ai toujours voulu intégrer l’école. Pour commencer AMOS c’est ce qu’il y a de mieux en Europe sur la partie programme, sur l’image véhiculée, sur le type d’études et les intervenants. Je soutiens vraiment le programme avec toute son homogénéité. J’aime le côté théorique et pratique, c’est vraiment une école que j’estime. J’ai été approché par d’autres écoles, mais je voulais vraiment aller à Lyon, à AMOS. J’ai un ami à Montréal qui est un ancien AMOSciens, qui a gardé des liens avec AMOS Lyon donc je lui ai envoyé mon projet. Nous avons beaucoup échangé avec l’équipe qui m’a ensuite proposé de devenir le parrain de la promotion 2021/22.
Quand j’ai appris que le lieu de la conférence était le Groupama Stadium, j’ai directement appeler mon équipe de tournage. Si j’ai du temps à donner, et une école avec qui collaborer, c’est AMOS Lyon !
Les étudiants de nos jours sont super connectés sur la partie marketing, communication, réseaux sociaux, entertainement. Un des points très importants est d’avoir une vision francophone, car en étant en Amérique du Nord, je veux toucher les anglophones mais aussi les francophones. Sur une campagne de financement et de communication, j’ai besoin d’avoir la vision de jeunes francophones. J’attends beaucoup de la partie ouverture. En Amérique, tu peux te permettre plus de choses, en France c’est un peu plus corporate. Les projets proposés sont intéressants pour eux comme pour moi.
J’ai été à leur place il y a quelques années, je connais leurs réalités. La personne que tu veux être, tu peux l’être. Je n’ai qu’une Licence mais j'étais déterminé à être l’homme que je voulais être. C’est vraiment le message que je veux faire passer. Le côté « is possible ». Je veux que les étudiants puissent s’appuyer sur mon expérience, mes inside, mes problématiques.
Dans 3 ans, j’aimerais bien être un véritable entrepreneur accompli. Combien de personnes j’aurai impacté ? Combien de personne j’aurai mobilisé ? Combien de personnes j’aurai réussi à toucher ? Je ne sais pas comment je serai dans 5 ans, je rêve du Forbes ! Dans 5 ans, mon rêve c’est d’habiter en Californie. J’aimerais entreprendre aux Etats-Unis car c’est là qu’en entertainment, il se passe les choses les plus incroyables.
J’en ai un ! Vouloir versus faire. Beaucoup veulent, très peu font. Je voulais faire pleins de choses mais je n’avais pas la faculté ou les épaules assez larges pour le faire. C’est ça qui me guide.
Son objectif : briser les stéréotypes pesant sur la communauté noire. Le triathlon est une discipline peu pratiquée par les minorités visibles. Nos AMOSciens participeront à son projet tout au long de l’année.
Peux-tu nous parler de ton projet « La Transition » ?
Mon projet est né pendant la première période de confinement. Suite à la lecture d’un livre, j’ai vraiment été fasciné par un ancien avocat qui avait décidé de faire l’IronMan. Une fois le livre terminé, il m’est venu l’idée d’acheter un vélo. Je me suis pris au jeu, j’ai perdu du poids et un soir un ami m’a demandé quel était mon prochain objectif. C’est lui qui m’a parlé du Norseman et quelques jours plus tard je décidais de m’inscrire sur un coup de tête.
Le site mettait en avant « this is not for you » alors je me suis dit qu’ils étaient fous et que j’allais le faire. Je ne maîtrisais pas tous les aspects d’un triathlète, je n’avais pas conscience des distances mais je voulais le faire. Deux jours plus tard, à défaut d’écrire un livre comme tout le monde ou d’en faire une chaîne YouTube, j’ai préféré en faire un film qui documente toute ma vie depuis que je suis arrivé dans le pays et tout ce que j’ai déjà réussi à faire. Plus tard, je rencontre mon réalisateur qui me suit aujourd’hui dans cette folie. Depuis maintenant deux ans, nous sommes sur ce projet-là et le 6 août 2022 je participerai donc au Norseman en Norvège.
Tout ce projet va au-delà du triathlon, il a différentes dimensions que j’amène dans ce projet. Il y a la dimension sociétale, la communauté noire n’est pas représentée dans le triathlon, et la dimension entrepreneuriale. Je suis arrivé au Canada, je ne connaissais rien du tout et je suis parti dans la finance. Deux ans après, je me retrouve dans le domaine de l’audiovisuel et des médias et c’est une belle aventure que je me dois de raconter. Je ne pensais pas entreprendre aussi loin que ça, parfois les choses t’emmènent loin. Il a fallu que je vienne ici pour monter un projet comme ça et pour pouvoir réaliser mon rêve. J’ai toujours voulu être dans l’audiovisuel et à force de prises de risque, aujourd’hui je vois les choses fonctionner donc c'est génial.

Pourquoi le Norseman et pas une autre course ?
J’arrivais à mes 35 ans, j’avais envie de faire le marathon de Philadelphie mais il a été annulé à cause du Covid. Parfois, tu as juste envie de te remettre en question et tu as envie de savoir ce que tu vaux. Je me suis dit que si je faisais quelque chose, je voulais sortir de ma zone de confort, je voulais faire un truc BIG ! Je sens et j’estime que j’ai du mental, mais à quel niveau ?
Je veux me créer ma propre expérience. Cette aventure c’est un truc de fou, je créé mon propre film.
Quel est la démarche entrepreneuriale derrière ce projet ?
La partie entrepreneuriale est un très gros volet de ce projet. Il faut des sponsors, il faut des partenaires, de la communication, une équipe. Au début j’étais tout seul, je ne connaissais personne. Il y avait aussi des grosses contraintes comme le Covid. Le plus dur, c’est de vendre quelque chose que tu n’as pas fait, tu leur vends un projet. Il y a beaucoup de professionnels qui avancent des fonds, ils croient en toi mais si je me casse la jambe demain, tout est over. J’ai passé beaucoup de temps sur la partie entrepreneuriale : le type de communication que je voulais lancer, comment je voulais apparaître, quelle image je voulais partager…
Je travaille beaucoup, je lis beaucoup, je me documente beaucoup. Il a fallu que je monte une équipe de médecins, d’entraîneurs, d’ostéopathes et de kinésithérapeutes.
Comment se déroule une journée dans la peau de Xavier Jourson ?
On est à 10 mois de l’évènement, j’ai eu une blessure au coccyx donc je me remets doucement. Aujourd’hui, c’est réveil à 6h30 pour m’étirer, ensuite je regarde mes mails car je travaille entre le Canada, la France et les États-Unis. J’ai une réunion à 11h sur un autre projet, je m’entraîne ensuite jusqu’à midi. Plus tard à 17h, j’anime un congrès pour un partenaire qui est une grande entreprise de communication et marketing. J’ai mon deuxième entraînement de la journée de 19h à 20h et quand je rentre je mange et je retourne travailler sur ma campagne de financement. Chaque jour, j’écris mon journal de bord pour raconter mes expériences enrichissantes. On n’y pense pas mais il faut aussi prendre en compte les petites tâches du quotidien : les lessives, les repas, le ménage… Ce projet documentaire m’en a apporté 14 autres : bande dessiné, chronique TV, séminaires, conférences, animation…
Cela ne me rapporte pas des centaines ou des millions mais j’aime ce que je fais !

Quels sont tes projets une fois que le Norseman sera terminé ?
Je vais commencer par prendre un petit mois de congés. Je trouve ça extrêmement dur de rester concentré 3 ans. C’est différent de rester concentré pour une échéance proche : un match de rugby ou des examens. Depuis 3 ans, je suis concentré sur tous les volets, mes entraînements, mes interviews, mes conférences avec la télé, la radio et devant la caméra.
Ensuite, l’objectif sera une grosse partie promotion pour le documentaire. On va tout faire pour que le documentaire soit un big succès et que cela impacte beaucoup de gens. J’espère qu’on va enchaîner les émissions de télé et de radio. Je préfère avoir 10 followers sur Instagram mais que mon film soit vu dans 12 pays. Plus tard, c’est le volet entrepreneurial que je souhaite développer. J’ai envie de continuer à produire et à raconter des histoires.
Avant de refaire un défi, il faut que je vois comment se sent mon corps à la fin de tout ça. Une fois que ce sera terminé, je devrai retrouver une vie normale. Ce sont des questions que je ne me suis pas encore posé. Je vais continuer de créer une communauté impactante.
Pourquoi avoir voulu devenir le parrain AMOS de la promotion 2021/2022 ?
Depuis qu’AMOS s’est créé, j’ai toujours voulu intégrer l’école. Pour commencer AMOS c’est ce qu’il y a de mieux en Europe sur la partie programme, sur l’image véhiculée, sur le type d’études et les intervenants. Je soutiens vraiment le programme avec toute son homogénéité. J’aime le côté théorique et pratique, c’est vraiment une école que j’estime. J’ai été approché par d’autres écoles, mais je voulais vraiment aller à Lyon, à AMOS. J’ai un ami à Montréal qui est un ancien AMOSciens, qui a gardé des liens avec AMOS Lyon donc je lui ai envoyé mon projet. Nous avons beaucoup échangé avec l’équipe qui m’a ensuite proposé de devenir le parrain de la promotion 2021/22.
Quand j’ai appris que le lieu de la conférence était le Groupama Stadium, j’ai directement appeler mon équipe de tournage. Si j’ai du temps à donner, et une école avec qui collaborer, c’est AMOS Lyon !
Qu’attends-tu des AMOSiens pendant ce partenariat avec les projets tuteurés ?
Les étudiants de nos jours sont super connectés sur la partie marketing, communication, réseaux sociaux, entertainement. Un des points très importants est d’avoir une vision francophone, car en étant en Amérique du Nord, je veux toucher les anglophones mais aussi les francophones. Sur une campagne de financement et de communication, j’ai besoin d’avoir la vision de jeunes francophones. J’attends beaucoup de la partie ouverture. En Amérique, tu peux te permettre plus de choses, en France c’est un peu plus corporate. Les projets proposés sont intéressants pour eux comme pour moi.
Qu’est-ce que tu souhaites apporter comme connaissances, expériences aux étudiants ?
J’ai été à leur place il y a quelques années, je connais leurs réalités. La personne que tu veux être, tu peux l’être. Je n’ai qu’une Licence mais j'étais déterminé à être l’homme que je voulais être. C’est vraiment le message que je veux faire passer. Le côté « is possible ». Je veux que les étudiants puissent s’appuyer sur mon expérience, mes inside, mes problématiques.
Où est-ce que tu te vois dans 3/5 ans ?
Dans 3 ans, j’aimerais bien être un véritable entrepreneur accompli. Combien de personnes j’aurai impacté ? Combien de personne j’aurai mobilisé ? Combien de personnes j’aurai réussi à toucher ? Je ne sais pas comment je serai dans 5 ans, je rêve du Forbes ! Dans 5 ans, mon rêve c’est d’habiter en Californie. J’aimerais entreprendre aux Etats-Unis car c’est là qu’en entertainment, il se passe les choses les plus incroyables.
Est-ce que tu as un mantra personnel que tu as envie de partager ?
J’en ai un ! Vouloir versus faire. Beaucoup veulent, très peu font. Je voulais faire pleins de choses mais je n’avais pas la faculté ou les épaules assez larges pour le faire. C’est ça qui me guide.
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18 Apr 2023
Le Hackathon AMOS depuis le campus lyonnais
24 heures non-stop
Un seul objectif et 24 heures non-stop pour le mettre en œuvre : travailler en équipe mixant des étudiants provenant de différentes promotions pour créer un projet d'animations sur la ville de Lyon, dans le cadre de la Coupe du Monde de Rugby 2023. Ce sont tous les campus AMOS sur le territoire qui se sont lancés dans ce Hackaton AMOS mardi 14 février dernier pour un jeu d’entreprise qui mêle à la fois compétition et stratégie entrepreneuriale. Ce Hackaton mobilise l’ensemble des compétences délivrées dans les différents modules d’enseignement dispensés sur nos campus : marketing, communication, évènementiel sportif, finance, management d’équipe... Le défi était de taille puisqu’ils ont dû proposer un projet complet comprenant plusieurs actions, choix des partenaires, stratégies de communication et marketing territorial, tout en apportant un budget associé.
JOUR J, DECOUVERTE DU SUJET !
Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, les étudiants du campus ont été chaleureusement accueilli avec un petit déjeuner offert par le BDA. De quoi prendre des forces avant le début de ce challenge entrepreneurial. Les AMOScien(ne)s ont été répartis en 13 groupes dans toutes les salles du campus, qui leur avaient été attribuées au préalable. Tous les groupes ont dû faire preuve d'organisation pour s'assurer qu'il y ait au minimum 4 étudiants sur le campus durant les 24 heures suivantes. Les membres de chaque équipe ont pu alors se relayer pour travailler sur le projet, en vue de gagner la compétition.
DÉBUT DES 24H CHRONO
Répartis dans les différentes salles du campus Lyonnais, les étudiants ont visionné à 12H précise la vidéo de lancement dans laquelle Matthieu Lartot (présentateur télé France TV), Dimitri Yachvili (2 fois vainqueur du Top 14) et Vincent Clerc (3 fois vainqueur du Top 14) leur ont dévoilé le sujet. Il était donc demandé aux étudiants de développer un programme de soutien local pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 qui optimise l'impact social de l'événement et implique tous les résidents de la métropole Lyonnaise. Chaque groupe devait s’organiser afin de se répartir le travail entre eux et de gérer au mieux son temps. « Dès le début, nous avons mis en place une organisation très efficace pour répartir les missions et les horaires de travail. Par des sessions de 6 heures, en nous relayant les uns les autres pour assurer une continuité dans le travail. Chacun avait ses préférences et nous avons réussi à coordonner parfaitement notre travail en fonction des disponibilités de chacun » - Cyril, AMOScien de 2ème année
DÉFIS, ANIMATIONS ET SUPRISES
Outre le challenge entrepreneurial principal, les étudiants devaient également relever plusieurs défis au cours de la journée, annoncés sur le compte Instagram AMOS Lyon. Il leur était par exemple demandé de réaliser une photo d’équipe originale ainsi que la création d’un Hacka. Grâce au BDA AMOS Lyon, des animations ont pu être organisées tout au long de ces 24 heures afin de tenir motivé(e)s et éveillé(e)s les AMOScien(ne)s : Retransmission du match PSG/Bayern de Munich, barbecue, billard, pétanque, basket-ball, etc… La surprise a été la réception d’un communiqué fictif demandant un protocole strict, à rendre en quelques heures pour montrer leur capacité d’adaptabilité et de flexibilité dans l’évènementiel , prévoyant la venue du Président souhaitant assister à un match de Rugby à Lyon.
PRÉSENTATIONS FINALES
Le mercredi 15 février à 12h, tous les groupes ont donc rendu leur dossier complet en attendant le début des soutenances prévu à 13H30. Les équipes ont alors défilé les unes après les autres devant un jury de spécialistes : 3 intervenants spécialistes en Sport Business et intervenants sur le campus AMOS Lyon ainsi que 3 membres du staff de l’école. Le verdict est tombé à 17H30 et l’équipe gagnante du campus Lyonnais a pu célébrer sa victoire. Bravo à tous les étudiants pour leur implication ! « C’était une très belle expérience, nous avons pu mettre à contribution toutes les compétences acquises en cours ces dernières années ! » - AMOScien de 4e année « Je suis contente d’avoir gagné, ça récompense tous nos efforts qu’on a fourni depuis le début de ce Hackathon. » - AMOSCienne de 2e année Article écrit par Cyril LE NUE, AMOScien de 2e année.18 Apr 2023
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Le 14 février, jour de la Saint-Valentin, les étudiants du campus ont été chaleureusement accueilli avec un petit déjeuner offert par le BDA. De quoi prendre des forces avant le début de ce challenge entrepreneurial. Les AMOScien(ne)s ont été répartis en 13 groupes dans toutes les salles du campus, qui leur avaient été attribuées au préalable. Tous les groupes ont dû faire preuve d'organisation pour s'assurer qu'il y ait au minimum 4 étudiants sur le campus durant les 24 heures suivantes. Les membres de chaque équipe ont pu alors se relayer pour travailler sur le projet, en vue de gagner la compétition.
DÉBUT DES 24H CHRONO
Répartis dans les différentes salles du campus Lyonnais, les étudiants ont visionné à 12H précise la vidéo de lancement dans laquelle Matthieu Lartot (présentateur télé France TV), Dimitri Yachvili (2 fois vainqueur du Top 14) et Vincent Clerc (3 fois vainqueur du Top 14) leur ont dévoilé le sujet. Il était donc demandé aux étudiants de développer un programme de soutien local pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 qui optimise l'impact social de l'événement et implique tous les résidents de la métropole Lyonnaise. Chaque groupe devait s’organiser afin de se répartir le travail entre eux et de gérer au mieux son temps. « Dès le début, nous avons mis en place une organisation très efficace pour répartir les missions et les horaires de travail. Par des sessions de 6 heures, en nous relayant les uns les autres pour assurer une continuité dans le travail. Chacun avait ses préférences et nous avons réussi à coordonner parfaitement notre travail en fonction des disponibilités de chacun » - Cyril, AMOScien de 2ème année
DÉFIS, ANIMATIONS ET SUPRISES
Outre le challenge entrepreneurial principal, les étudiants devaient également relever plusieurs défis au cours de la journée, annoncés sur le compte Instagram AMOS Lyon. Il leur était par exemple demandé de réaliser une photo d’équipe originale ainsi que la création d’un Hacka. Grâce au BDA AMOS Lyon, des animations ont pu être organisées tout au long de ces 24 heures afin de tenir motivé(e)s et éveillé(e)s les AMOScien(ne)s : Retransmission du match PSG/Bayern de Munich, barbecue, billard, pétanque, basket-ball, etc… La surprise a été la réception d’un communiqué fictif demandant un protocole strict, à rendre en quelques heures pour montrer leur capacité d’adaptabilité et de flexibilité dans l’évènementiel , prévoyant la venue du Président souhaitant assister à un match de Rugby à Lyon.
PRÉSENTATIONS FINALES
Le mercredi 15 février à 12h, tous les groupes ont donc rendu leur dossier complet en attendant le début des soutenances prévu à 13H30. Les équipes ont alors défilé les unes après les autres devant un jury de spécialistes : 3 intervenants spécialistes en Sport Business et intervenants sur le campus AMOS Lyon ainsi que 3 membres du staff de l’école. Le verdict est tombé à 17H30 et l’équipe gagnante du campus Lyonnais a pu célébrer sa victoire. Bravo à tous les étudiants pour leur implication ! « C’était une très belle expérience, nous avons pu mettre à contribution toutes les compétences acquises en cours ces dernières années ! » - AMOScien de 4e année « Je suis contente d’avoir gagné, ça récompense tous nos efforts qu’on a fourni depuis le début de ce Hackathon. » - AMOSCienne de 2e année Article écrit par Cyril LE NUE, AMOScien de 2e année.18 Apr 2023
Retour sur la Masterclass : sponsoring sportif chez Groupama Rhône-Alpes-Auvergne
Un partage d’expérience et la présentation des stratégies de sponsoring sportif chez Groupama Rhône-Alpes-Auvergne
Lors de ce second semestre, nos AMOSciens Lyonnais ont pu assister à la 2e Master Class de l’année avec l’intervention de Manuel BARBANCHON (Responsable Régional Partenariats et Mécénats), Frank RATAJ (Chargé de Missions Partenariats) et Antoine BESSE (Para-triathlète Français) Manuel Barbanchon et Franck Rataj nous ont d’abord présenté la stratégie de partenariat du Groupe Groupama qui s’étend bien au-delà du Groupama Stadium que connaissent très bien les étudiants Lyonnais. Tout a commencé il y a une vingtaine d’année lorsque Groupama décida de sponsoriser son premier sportif, Franck CAMMAS navigateur et skipper français. A la suite de cette belle expérience partagée, l’assureur a cherché à toucher une pratique sportive populaire telle que le cyclisme, afin de s’imposer dans le monde du sponsoring sportif. La Team Groupama FDJ est donc créée en 1997 et devient par la suite la première équipe française de vélo route.

Témoignage de sportif : Antoine BESSE, para-triathlète Français
Pour clôturer la conférence, nos AMOSciens Lyonnais ont eu le privilège d’écouter Antoine BESSE, para-triathlète, qui est revenu sur son parcours de sportif et du partenariat établi avec Groupama Rhône-Alpes-Auvergne. Ancien rugbyman, il a commencé sa carrière de para-athlète à la suite d’un grave accident de vélo. Afin de le soutenir dans son projet Groupama a décidé de l’accompagner à réaliser ses objectifs et l’entreprise ne se focalise pas que sur ses résultats mais aussi beaucoup sur l’épanouissement personnel du sportif.
18 Apr 2023
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03 Apr 2023
ACE Education X ELEVATE : la bonne connexion !
AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education
La principale ambition d’ACE Education est d’assurer une formation de qualité, des expériences enrichissantes et un avenir serein à nos milliers d’étudiants. Notre promesse est de transformer leur passion pour le sport, l’hôtellerie, la mode ou le design, en un métier durable. C’est pourquoi, nous sommes heureux d’annoncer le nouveau contrat que nous venons de signer avec Elevate jusqu’en 2024, dans le cadre du plus grand évènement sportif qui aura lieu en France et auquel Elevate aura l’occasion de contribuer. Elevate est une agence internationale centrée sur l’humain, et spécialisée dans le recrutement, la formation et le management du staff événementiel. Elle met en relation les talents, les données et les marques afin d'optimiser l'impact des activations marketing. Ce partenariat prometteur permettra le recrutement des étudiants de nos écoles AMOS Sport Business School, CMH Centre de Management Hôtelier, ESDAC Ecole Supérieure de Design, sur les événements sportifs majeurs en 2023 et 2024, ainsi que sur d’autres secteurs allant de l’hospitalité à la mode. Toutes les écoles du groupe ACE Education ont pour vocation d’aider les jeunes à réussir leur entrée sur le marché du travail, et de leur permettre d’évoluer rapidement vers des postes de Top Management, dans leurs domaines de prédilection. « Ce partenariat majeur rapproche deux entités qui se développent en Europe et à l’international et marquent leur volonté commune de renforcer leur capacité à développer et soutenir l’employabilité et les expériences professionnelles des étudiants dans l’évènementiel sportif et haut de gamme. Elevate, agence de staffing événementiel présente en France, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Autriche et en Grande Bretagne, propose des solutions innovantes en termes de recrutement à ses clients. ACE Education par ce partenariat plonge ses étudiants dans des expériences professionnelles immersives en lien direct avec leur formation. » Audrey Léger, Directrice des Partenariats ACE Education. « Le rapprochement entre ACE Éducation et Elevate est à nos yeux un partenariat qui a beaucoup de sens tant en France qu’à l’international. Elevate a pour ambition de contribuer à la formation professionnelle des jeunes et des étudiants et de leurs permettre d’acquérir une première expérience professionnelle sur le terrain dans le cadre d’évènements prestigieux. Ce partenariat a un double enjeu car au-delà d’être porteur d’opportunités professionnelles pour tous ces étudiants et de participer à l’éco système sportif, il nous permet également de mieux faire connaître le secteur de l’évènementiel dans sa globalité » Julie Reed, Directrice Générale Elevate France & DACH.À propos du Groupe ACE Education
ACE Education est un acteur majeur de l'enseignement supérieur en France, proposant des formations certifiées de Bac+3 à Bac+5 à plus de 7 000 étudiants dans les domaines du management du sport, de l’hôtellerie, du tourisme de luxe, des arts appliqués, du design et de la mode, au travers de ses six écoles : AMOS Sport Business School et ESBS, écoles de sport management, ESDAC, école de design, CMH, Centre de Management Hôtelier International de Luxe, EIDM, Ecole Internationale de Mode et Luxe, ENAAI, Ecole d’Arts Appliqués, BD et Illustration. Le groupe offre une variété de programmes sur ses 42 campus en France et à l’étranger. Il met l'accent sur les expériences internationales et sur la professionnalisation au cœur même de l’expérience étudiante.03 Apr 2023