Xavier Rivoire, Directeur de la communication du CNOSF

« On the olympic road again ! »
Tout était écrit de son parcours quand Xavier a atterri dans la famille des Rivoire au cœur de la capitale des Gaules. A peine debout, le garçon exprime sa passion sportive avec fratrie et parents dans la course, le ski, la montagne, ou encore la voile : déjà Décathlonien ? Non heptalonien dira ironiquement Michel son père. Avec une telle passion la valeur n’attend jamais le nombre des années chez ce lecteur assidu des auteurs noircissant carnets et mémoires durant l’adolescence. Jusqu’au bac de philosophie qui va faire briller son talent littéraire avec un 20/20 ! Sur le sujet qui résume sa première partie de vie « Suis-je le même en des temps différents ? » cela dit tout de l’homme qui effectue son service au SIRPA, tout en travaillant pour « But par But » d’Eugène Saccomano le journaliste iconique dont il reste toujours proche. Ensuite il endosse la tenue de journaliste à la BBC après un passage chez Bloomberg et crée le bureau de « L’Equipe » à Londres. Il se régale du festival des frenchies Gino and Canto (Ginola et Cantona à MU, Leeds, Newcastle) qui affolent les tabloïds et…. la gente féminine ! Sans oublier le compère lyonnais d’Arsenal, Remi Garde qui coache au Canada désormais. « La Gazzetta dello sport » l’accueille quand Zizou joue à la Juventus de Turin : et là un jour son père croise Zidane Via Lagrange en ayant Xavier au téléphone : il lui signale la présence de la star et Xavier lui demande de le prendre au bout du fil ! Zidane sobre et simple converse avec un de ses fans absolus : dans ces années 96- 2000 le Ballon d’Or sortait encore sans gardes du corps…..L’Equipe TV, France Football précédent DECATHLON avant que Xavier ne rejoigne le CNOSF, ce qui inaugure une nouvelle aventure tout aussi palpitante. Enfant après avoir collectionné les vignettes Panini et suivi plus tard sur place les JO de Sydney, Pékin, Londres, Xavier prend le temps d’écrire des ouvrages de vrai professionnel tant sur les Grands Stades que sur la vie d’Arsène d’Arsenal, ou encore sur les Bleus de la Reine évoluant en Premier League. De l’écriture au management en passant par les conférences d’un Mr Loyal toujours disponible face aux étudiants d’AMOS médusés, Xavier Rivoire continue sa course et ses trails en se consacrant à l’esprit d’équipe au service du sport français. Il est toujours porteur d’une seule flamme : la passion sportive désormais olympique. Vive 2024 et bonne chance Xavier !
Par Alain Arvin-Bérod, Directeur du Conseil de perfectionnement et des publications - AMOS Sport Business School
Communiqué AMOS du 06 septembre 2021 : « C’est avec une profonde émotion et une grande tristesse que nous avons appris le décès de Xavier Rivoire. Grand pédagogue, il a diffusé avec générosité ses passions sportives, son expérience unique de journaliste international et son sens du management empathique, auprès des étudiants d’AMOS dont il était proche. Nos équipes, et à leurs côtés toute la communauté AMOS, présentent leurs sincères condoléances à sa famille et ses proches. »
Tout était écrit de son parcours quand Xavier a atterri dans la famille des Rivoire au cœur de la capitale des Gaules. A peine debout, le garçon exprime sa passion sportive avec fratrie et parents dans la course, le ski, la montagne, ou encore la voile : déjà Décathlonien ? Non heptalonien dira ironiquement Michel son père. Avec une telle passion la valeur n’attend jamais le nombre des années chez ce lecteur assidu des auteurs noircissant carnets et mémoires durant l’adolescence. Jusqu’au bac de philosophie qui va faire briller son talent littéraire avec un 20/20 ! Sur le sujet qui résume sa première partie de vie « Suis-je le même en des temps différents ? » cela dit tout de l’homme qui effectue son service au SIRPA, tout en travaillant pour « But par But » d’Eugène Saccomano le journaliste iconique dont il reste toujours proche. Ensuite il endosse la tenue de journaliste à la BBC après un passage chez Bloomberg et crée le bureau de « L’Equipe » à Londres. Il se régale du festival des frenchies Gino and Canto (Ginola et Cantona à MU, Leeds, Newcastle) qui affolent les tabloïds et…. la gente féminine ! Sans oublier le compère lyonnais d’Arsenal, Remi Garde qui coache au Canada désormais. « La Gazzetta dello sport » l’accueille quand Zizou joue à la Juventus de Turin : et là un jour son père croise Zidane Via Lagrange en ayant Xavier au téléphone : il lui signale la présence de la star et Xavier lui demande de le prendre au bout du fil ! Zidane sobre et simple converse avec un de ses fans absolus : dans ces années 96- 2000 le Ballon d’Or sortait encore sans gardes du corps…..L’Equipe TV, France Football précédent DECATHLON avant que Xavier ne rejoigne le CNOSF, ce qui inaugure une nouvelle aventure tout aussi palpitante. Enfant après avoir collectionné les vignettes Panini et suivi plus tard sur place les JO de Sydney, Pékin, Londres, Xavier prend le temps d’écrire des ouvrages de vrai professionnel tant sur les Grands Stades que sur la vie d’Arsène d’Arsenal, ou encore sur les Bleus de la Reine évoluant en Premier League. De l’écriture au management en passant par les conférences d’un Mr Loyal toujours disponible face aux étudiants d’AMOS médusés, Xavier Rivoire continue sa course et ses trails en se consacrant à l’esprit d’équipe au service du sport français. Il est toujours porteur d’une seule flamme : la passion sportive désormais olympique. Vive 2024 et bonne chance Xavier !
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01 Jul 2022
Nos AMOSciens sur le terrain, Juin 2022 - Engagement total
Engagement total
Zoom sur l’implication de nos étudiants sur des projets sociaux ou caritatifs...Maxime, grimpeur invétéré veut gravir les 7 grands sommets pour la ligue contre le cancer
Après avoir gravi le Mont-Blanc en 2020 et le Kilimandjaro en 2021, Maxime se lance à la conquête de l’Aconcagua en 2022. Passionné d’alpinisme et soucieux d’apporter son soutien à lutte contre le cancer, ce jeune AMOScien est un modèle de persévérance. Quelles sont tes motivations pour ce projet ? « Mes parents ont tous les deux été atteints du cancer, ma mère y a réchapée de peu. J'ai découvert un peu après que mon père avait escaladé le Mont Blanc en 1988. 32 ans plus tard, je souhaitais l'amener en photo avec moi au sommet du Mont Blanc une nouvelle fois. Réussissant mon ascension, je me permets de rêver des Seven Summits. C'est un rêve d'enfant que j'ai depuis plus de 15 ans. Voulant rendre fiers mes parents, je me lance dans ce projet, tout en réalisant des levées de fonds pour la recherche contre le cancer avant chaque ascension ».
Matthieu, étudiant en b3 à Paris, a créé son association Tiki Taka pour venir en aide aux clubs de football colombiens
Comment est né ce projet Tiki Taka ? Tout d’abord, ce projet a été motivé par une envie personnelle de découvrir un pays et de partager ma passion pour le football. J’arrivais à une période charnière dans mes études et il était primordial pour moi de réaliser un projet humanitaire en rapport avec mes études dans le sport. J’avais un réel souhait d’aider les autres et de pouvoir apporter mon aide à ses enfants. Ce qui me motive le plus reste le fait qu’on va apporter de meilleures perspectives à ces enfants autour de ma passion : le football. Quelles vont-être vos actions sur place ? Nos actions se concentrent principalement par l’apport d’équipements sportifs : ces centres n’ont presque aucun équipement, notre objectif est donc d’en fournir le plus possible. Ces équipements sont tout le matériel lié au football : des cages, des plots, des échelles, des ballons et tous les petits équipements qui seront utiles pour ces centres. En plus de ça, nous avons organisé avec les centres tout un programme d’entraînement et d’ateliers pour ces enfants. Par ailleurs, notre aide ne sera pas que sportive et financière mais surtout humaine : nous sommes conscients que ces centres vont surement avoir besoin de nous pour s’occuper des enfants et améliorer les centres. Comment comptes-tu pérenniser ce projet dans les années futures ? J’accorde énormément d’importance à l’héritage de mon association et de ce projet. Étant président de l’association et un élève d’AMOS Paris, je considère ça légitime que je transmette ce projet aux élèves d’AMOS qui le souhaitent. Je les aiderai à reconstruire un projet sur d’autres centres et à potentiellement essayer de réaliser un partenariat avec une université sur place pour faciliter les échanges. Pour soutenir le projet : cliquez iciDeux AMOSciens Lillois sélectionnés pour la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène
Deux de nos AMOSciens lillois ont été conviés à la cérémonie du 10ème anniversaire du concours national étudiants de Tous HanScène au sein de l’UGC ciné cité du 19ème arrondissement de Paris.

Clément représente AMOS dans la course mythique du 4L Trophy
Un étudiant du campus AMOS Rennes, Clément Travers, a participé à la mythique course du 4L Trophy, un raid automobile solidaire destiné aux jeunes de moins de 28 ans et couru exclusivement en Renault 4L.

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24 Jun 2022
Témoignage Etudiant, Critérium du Dauphiné 2022
Rencontre avec notre étudiant Louis SORIA
Etudiant en 2ème année sur le campus AMOS Lyon, Louis a eu la chance de vivre l’une des courses mythiques de cyclisme en France durant toute la durée de l’événement grâce à Sporeo. Dans le cadre des expériences professionnelles proposées par AMOS, ce passionné de cyclisme a eu l’occasion de participer à toutes étapes du Critérium du Dauphiné 2022 via notre partenariat avec Sporeo créé en janvier 2019 par deux alumni, Mathieu Baillet et Thibaut Houot, diplômés en 2016-2017. La start-up accompagne et conseille les détenteurs de droits sur le merchandising et licensing, en apportant une expérience consommateur, fan, spectateur... novatrice et personnalisée, faisant vivre l’événement tout au long de l’année. Cette 74e édition accueillait donc 22 équipes pour s’affronter sur toute la Région Auvergne-Rhône-Alpes entre le 5 et le 12 juin dernier. Cette course est réputée pour proposer des étapes très montagneuses et être en quelques sortes une « répétition générale » à deux semaines et demie du départ du Tour de France.Sur quels types de missions étais-tu positionné durant le Critérium du Dauphiné ?
Cette mission était proposée par Sporeo sur toute la durée de la course. L’entreprise est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de produits dérivés sur les événements sportifs. Dans le monde du cyclisme, ils sont présents sur les principales courses en France : Tour de France, Critérium du Dauphiné, Paris-Nice, Paris-Roubaix, etc… mais également sur des courses à l’étranger comme le Deutschland Tour ou la Liège-Bastogne-Liège. Je travaillais donc comme vendeur pour la boutique officielle où nous vendions tous les produits brandés « Critérium du Dauphiné ». Il y avait donc tout ce qui était produits dérivés (décapsuleurs, porte-clefs, mugs, peluches, etc…), une gamme vêtements au nom de la course et made in France, une gamme Tour de France et enfin une gamme sportive Santini, qui est le distributeur des maillots de course distinctifs (à poids, jaune, blanc, etc …).
Comment se déroulait ta journée type ?
Tout d’abord, j’ai débuté cette expérience un jour avant le départ officiel de la course à La Voulte sur-Rhône en Ardèche. Cette journée a permis à l’équipe de se rencontrer et de se roder pour les 8 prochains jours. On m’a donc expliqué comment monter/démonter la boutique, l’organisation générale et j’ai dû également me familiariser avec tous les produits à vendre. En réalité, il y a deux boutiques à chaque étape : une au départ et une sur le village d’arrivée avec de nombreuses animations, foodtrucks, etc... J’étais donc placé sur l’arrivée lors des 3 premiers jours, puis au départ pour le reste de la course. A l’arrivée, le plus gros de la vente se fait entre 16h30 et 18h, une fois que les premiers coureurs terminent l’étape et sur le départ, nous vendions principalement entre 12h et 13h. Dans les villes et villages, c’était une clientèle assez variée entre locaux curieux et véritables connaisseurs.Quel a été ton meilleur souvenir sur la course ?
Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !
As-tu eu des moments plus compliqués sur la semaine ?
Le montage et démontage tous les jours devient fatigant vers la fin de l’événement, surtout lorsqu’on le fait sous la pluie ! Il ne faut pas craindre de se lever tôt également. C’est formateur pour découvrir les métiers liés à l’évènementiel sportif !Que retiendras-tu au final de cette belle expérience ?
C’est un événement vraiment chouette et il y a une ambiance géniale. On rencontre plein de personnes, plein de métiers différents. On ne s’ennuie jamais car on bouge tous les jours sur l’étape suivante. Je recommande vraiment cette expérience à tous les passionnés de cyclisme, et pas uniquement ! Un grand merci à toute l’équipe de Sporeo pour son accueil et leur transmission d’expériences tout au long de la semaine !24 Jun 2022
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Cette mission était proposée par Sporeo sur toute la durée de la course. L’entreprise est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de produits dérivés sur les événements sportifs. Dans le monde du cyclisme, ils sont présents sur les principales courses en France : Tour de France, Critérium du Dauphiné, Paris-Nice, Paris-Roubaix, etc… mais également sur des courses à l’étranger comme le Deutschland Tour ou la Liège-Bastogne-Liège. Je travaillais donc comme vendeur pour la boutique officielle où nous vendions tous les produits brandés « Critérium du Dauphiné ». Il y avait donc tout ce qui était produits dérivés (décapsuleurs, porte-clefs, mugs, peluches, etc…), une gamme vêtements au nom de la course et made in France, une gamme Tour de France et enfin une gamme sportive Santini, qui est le distributeur des maillots de course distinctifs (à poids, jaune, blanc, etc …).
Comment se déroulait ta journée type ?
Tout d’abord, j’ai débuté cette expérience un jour avant le départ officiel de la course à La Voulte sur-Rhône en Ardèche. Cette journée a permis à l’équipe de se rencontrer et de se roder pour les 8 prochains jours. On m’a donc expliqué comment monter/démonter la boutique, l’organisation générale et j’ai dû également me familiariser avec tous les produits à vendre. En réalité, il y a deux boutiques à chaque étape : une au départ et une sur le village d’arrivée avec de nombreuses animations, foodtrucks, etc... J’étais donc placé sur l’arrivée lors des 3 premiers jours, puis au départ pour le reste de la course. A l’arrivée, le plus gros de la vente se fait entre 16h30 et 18h, une fois que les premiers coureurs terminent l’étape et sur le départ, nous vendions principalement entre 12h et 13h. Dans les villes et villages, c’était une clientèle assez variée entre locaux curieux et véritables connaisseurs.Quel a été ton meilleur souvenir sur la course ?
Je dirais tout d’abord le moment où j’ai pu vivre le départ d’une étape à 1 mètre des coureurs prêts à partir grâce au réseau de Sopreo qui m’a permis de vivre ce moment privilégié. Sur la boutique, on a également fait un très gros chiffre d’affaires durant la fin de l’événement. Je me souviens de moments de rush mémorables mais qui restent des supers souvenirs. J’ai également apprécié tenir la caisse pour la première fois, c’est tout de suite plus de responsabilités. Au début, on commet quelques erreurs avec le logiciel mais on s’y fait vite !
As-tu eu des moments plus compliqués sur la semaine ?
Le montage et démontage tous les jours devient fatigant vers la fin de l’événement, surtout lorsqu’on le fait sous la pluie ! Il ne faut pas craindre de se lever tôt également. C’est formateur pour découvrir les métiers liés à l’évènementiel sportif !Que retiendras-tu au final de cette belle expérience ?
C’est un événement vraiment chouette et il y a une ambiance géniale. On rencontre plein de personnes, plein de métiers différents. On ne s’ennuie jamais car on bouge tous les jours sur l’étape suivante. Je recommande vraiment cette expérience à tous les passionnés de cyclisme, et pas uniquement ! Un grand merci à toute l’équipe de Sporeo pour son accueil et leur transmission d’expériences tout au long de la semaine !22 Jun 2022
AMOS Sport Business School obtient le Label Génération 2024
AMOS Sport Business School inscrit son nom à la liste des établissements labellisés Génération 2024
Destiné aux écoles, établissements scolaires et établissements de l’enseignement supérieur, le Label Génération 2024 est délivré par le ministère de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pour rappel, le Label Génération 2024 est pensé pour soutenir le développement de la pratique sportive dans l’enseignement supérieur et renforcer ses objectifs d’inclusion, de santé, de respect et d’engagement citoyen en partenariat avec le mouvement sportif et le Comité d’organisation des prochains Jeux Olympiques. AMOS Sport Business School soutient un peu plus les Jeux de Paris 2024 en inscrivant son nom à la liste des établissements labellisés « Génération 2024 ». Obtenu en janvier 2021, ce Label est la concrétisation d’un investissement pérenne du Groupe AMOS auprès des différents acteurs sportifs, publics et privés. L’objectif de ce Label est de valoriser les établissements qui souhaitent s’inscrire dans une exploitation durable et structurée autour de 3 critères principaux :1. Développer des projets structurants avec les clubs sportifs du territoire
Sur l’ensemble du territoire, nous développons des projets RSE (le partenariat Fair Play for Planet par exemple vise à accompagner les clubs pro et/ou amateurs dans leurs démarches RSE), mais également des stratégies de communication, marketing, ou de développement avec plus de 200 clubs sportifs. Nous soutenons le sport amateur, et particulièrement le football, en étant partenaire des clubs associés OL x Madewis.2. Participer aux événements promotionnels olympiques et paralympiques
Jusqu’aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous participerons aux différents événements promotionnels mis en place par le Comité d’organisation des prochains Jeux. Sur l’ensemble de nos campus français, des étudiants bénévoles seront mobilisés lors de la journée Olympique du 23 juin, et tout autre événement en lien avec la promotion des Jeux.3. Accompagner et accueillir des sportifs de haut niveau
A date, nous accompagnons une trentaine de sportifs de niveau sur la France entière. Par exemple sur le campus de Bordeaux, Marie-Julie Bonnin, médaillée d’argent aux Championnats d’Europe Juniors en 2019, Vice-championne de France avec 4m15 en 2022, fera sa rentrée en 4e année en septembre prochain.Eric ALARD - Directeur Digital Learning ACE Education
“Par ses 12 campus répartis sur tout le territoire national, AMOS est un partenaire majeur de nombreux établissements publics comme privés. En formant les futurs décideurs et acteurs du Sport business de demain, en promouvant les pratiques sportives, la diversité et l'inclusion tout en accompagnant les sportifs de haut niveau, il était donc tout naturel pour AMOS de participer à ce fantastique évènement que seront les Jeux Olympiques de Pairs 2024 par le biais de l'obtention du label Génération 2024. Un label qui perpétuera les valeurs d'AMOS et qui font son ADN depuis bientôt 20 ans : le sport, l'international et la professionnalisation.”Thibaut Huvelle - Directeur AMOS Lille
“2024. Cette date fait vibrer de nombreux fans de sport français, impatients à l’idée de voir se tenir l’évènement le plus attendu au monde : les Jeux Olympiques et Paralympiques. Qui plus est, quand ces derniers se tiennent en France. Avec des initiatives locales tournées vers l’olympisme sur chaque campus AMOS, il était important d’accentuer l’attachement et l’engagement à cet évènement planétaire qui revient sur notre territoire cent ans après. L’obtention du label Génération 2024 par les écoles AMOS en est la parfaite preuve. A moins de 800 jours de la cérémonie d’ouverture, étudiant(e)s, intervenant(e)s, partenaires et salarié(e)s sont déjà prêts à partager, à vibrer et pour d’autres à travailler sur les JO 2024 !” Suivez donc les 12 campus AMOS Sport Business School qui mettront en avant le Label, durant les 2 années à venir, grâce à différents types d’activations qui nous tiennent à cœur. Ces actions s’articuleront notamment autour d’événements nationaux comme la Journée Olympique (23 juin), la Journée Nationale du Sport Scolaire (27 septembre) et la semaine Olympique et Paralympique (du 3 au 8 avril 2023, sur le thème de l’inclusion).22 Jun 2022