ACTUALITÉS
03 Apr 2023
ACE Education X ELEVATE : la bonne connexion !
AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education
La principale ambition d’ACE Education est d’assurer une formation de qualité, des expériences enrichissantes et un avenir serein à nos milliers d’étudiants. Notre promesse est de transformer leur passion pour le sport, l’hôtellerie, la mode ou le design, en un métier durable. C’est pourquoi, nous sommes heureux d’annoncer le nouveau contrat que nous venons de signer avec Elevate jusqu’en 2024, dans le cadre du plus grand évènement sportif qui aura lieu en France et auquel Elevate aura l’occasion de contribuer. Elevate est une agence internationale centrée sur l’humain, et spécialisée dans le recrutement, la formation et le management du staff événementiel. Elle met en relation les talents, les données et les marques afin d'optimiser l'impact des activations marketing. Ce partenariat prometteur permettra le recrutement des étudiants de nos écoles AMOS Sport Business School, CMH Centre de Management Hôtelier, ESDAC Ecole Supérieure de Design, sur les événements sportifs majeurs en 2023 et 2024, ainsi que sur d’autres secteurs allant de l’hospitalité à la mode. Toutes les écoles du groupe ACE Education ont pour vocation d’aider les jeunes à réussir leur entrée sur le marché du travail, et de leur permettre d’évoluer rapidement vers des postes de Top Management, dans leurs domaines de prédilection. « Ce partenariat majeur rapproche deux entités qui se développent en Europe et à l’international et marquent leur volonté commune de renforcer leur capacité à développer et soutenir l’employabilité et les expériences professionnelles des étudiants dans l’évènementiel sportif et haut de gamme. Elevate, agence de staffing événementiel présente en France, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Autriche et en Grande Bretagne, propose des solutions innovantes en termes de recrutement à ses clients. ACE Education par ce partenariat plonge ses étudiants dans des expériences professionnelles immersives en lien direct avec leur formation. » Audrey Léger, Directrice des Partenariats ACE Education. « Le rapprochement entre ACE Éducation et Elevate est à nos yeux un partenariat qui a beaucoup de sens tant en France qu’à l’international. Elevate a pour ambition de contribuer à la formation professionnelle des jeunes et des étudiants et de leurs permettre d’acquérir une première expérience professionnelle sur le terrain dans le cadre d’évènements prestigieux. Ce partenariat a un double enjeu car au-delà d’être porteur d’opportunités professionnelles pour tous ces étudiants et de participer à l’éco système sportif, il nous permet également de mieux faire connaître le secteur de l’évènementiel dans sa globalité » Julie Reed, Directrice Générale Elevate France & DACH.À propos du Groupe ACE Education
ACE Education est un acteur majeur de l'enseignement supérieur en France, proposant des formations certifiées de Bac+3 à Bac+5 à plus de 7 000 étudiants dans les domaines du management du sport, de l’hôtellerie, du tourisme de luxe, des arts appliqués, du design et de la mode, au travers de ses six écoles : AMOS Sport Business School et ESBS, écoles de sport management, ESDAC, école de design, CMH, Centre de Management Hôtelier International de Luxe, EIDM, Ecole Internationale de Mode et Luxe, ENAAI, Ecole d’Arts Appliqués, BD et Illustration. Le groupe offre une variété de programmes sur ses 42 campus en France et à l’étranger. Il met l'accent sur les expériences internationales et sur la professionnalisation au cœur même de l’expérience étudiante.23 Mar 2023
Interview Etudiant, alternance au Stade Bordelais Football
Peux-tu te présenter brièvement ?
Bonjour, je m'appelle Alix Di Martino et j'ai 24 ans. J'étudie actuellement en dernière année de mastère à AMOS Bordeaux en spécialité Event Manager. Avant cela, j'ai fait une licence STAPS. J’ai toujours aimé le sport, et j’ai vite su que je voulais travailler en lien avec cette passion. En ce moment, je travaille en alternance comme chargée de communication pour le Stade Bordelais Football, club qui évolue en National 2. Mon rôle principal consiste à promouvoir la vie associative et académique du club, et aussi la section féminine.Quelles sont tes principales missions ?
En tant que chargée de communication, mes principales missions sont de communiquer sur toutes les actions et projets du club, comme la programmation et résultats des matchs, la gestion du site internet, création d’article, promouvoir les bénévole et entraineurs… Je m'occupe également de la promotion de la vie associative et académique du club, en particulier pour la section féminine. Pour la communication événementielle, je crée des visuels et des affiches pour les tous événements du club. Avec mon équipe, nous cherchons toujours à innover pour fidéliser notre public et en attirer un nouveau.Comment gères-tu ton emploi du temps ?
Je dois avouer que gérer mon emploi du temps entre l'alternance, les études, les dossiers à rendre et ma vie personnelle peut être un vrai défi. Cela demande une grande organisation personnelle, mais je suis motivée pour remplir au mieux mes missions dans le cadre de mon alternance tout en maintenant un bon équilibre entre ma vie professionnelle et personnelle. Heureusement, j'ai la chance de travailler avec des amis de classe qui peuvent également m'aider à gérer les devoirs et les projets scolaires. Notre directeur Grégoire Darcel, ancien étudiant à AMOS Bordeaux, nous offre des conseils et des orientations pour nous aider à atteindre nos objectifs.Quelles sont les compétences que tu as acquises au cours de ton alternance ?
J'ai appris à gérer la communication autour des événements, des projets et des actions menées par l'entreprise. J'ai également développé mes compétences en matière de création de supports de communication, tels que affiches, flyers et visuels pour les réseaux sociaux. Ensuite, j'ai appris à travailler efficacement en équipe et à communiquer davantage avec mes collègues, mes supérieurs hiérarchiques et les partenaires externes. J'ai également acquis des compétences en gestion de projet, ce qui m'a permis de planifier et d'organiser efficacement les tâches à accomplir pour atteindre les objectifs fixés. Enfin, j'ai appris à m'adapter à différents contextes et à gérer les imprévus. Dans le domaine de l'événementiel en particulier, il est fréquent que les plans changent à la dernière minute, j'ai donc développé ma capacité à faire face à ces situations et à trouver des solutions rapidement.
Quels sont les cours qui te servent dans ta vie professionnelle ?
J'ai vraiment trouvé que les études de cas dans le domaine de l'événementiel ont été bénéfiques pour moi. Les cours de gestion de projet, stratégie de communication, finance, management opérationnel, négociation, ont vraiment été les plus utiles pour mon travail en alternance. Les études de cas m'ont aidé à aborder les situations professionnelles plus facilement, en connaissant les démarches à suivre et en ayant confiance dans mon travail. De plus, les cours m'ont aussi appris à mieux anticiper les changements et les problèmes de dernière minute, ce qui est toujours utile dans un environnement professionnel.Comment cette expérience a contribuée à ton développement personnel et professionnel ?
Mon expérience en tant qu'alternante m'a permis de beaucoup apprendre, tant sur le plan professionnel que personnel. En travaillant au sein d'associations, j'ai appris à m'adapter aux exigences et aux contraintes du monde professionnel. J'ai également acquis de nouvelles compétences et je me suis familiarisée avec des outils et des méthodes que je ne connaissais pas auparavant. En termes de développement personnel, j'ai appris à être plus autonome et organisée, car il est important de gérer son temps de manière efficace lorsque l'on travaille et étudie en même temps. J'ai également appris à mieux communiquer et à travailler en équipe, en collaborant avec mes collègues et en participant à des projets d'équipe. Cette expérience m'a vraiment aidé à grandir et à me développer en tant que personne et professionnel. Je suis vraiment reconnaissante d'avoir eu cette opportunité au SBF et j'espère pouvoir continuer à apprendre et à me développer dans mes futurs projets professionnels.Quels sont tes objectifs de carrière à long terme ?
J’aimerais poursuivre ma carrière dans le domaine de l'événementiel sportif. Mon objectif à long terme serait de travailler pour un club professionnel et contribuer à la création d'une expérience unique pour les supporters et les VIP. J'ai une passion pour la gestion de projets événementiels et j'aimerais continuer à développer mes compétences dans ce domaine. Cependant, je suis également ouverte à d'autres opportunités qui me permettront de progresser professionnellement et d'élargir mes horizons. En réalité, après l’obtention de mon mastère, je ne me ferme aucune porte !Peux-tu nous partager une expérience positive ou inspirante vécue ?
Ce qui me vient tout de suite à l’esprit, c’est l'organisation du match de coupe de France entre le Stade Bordelais et les Girondins de Bordeaux, les deux équipes locales. Nous avons dû tout organiser en seulement deux semaines, ce qui était un défi énorme, mais nous avons réussi à le faire en équipe. Ce derby fut une expérience de travail intense, mais il m'a beaucoup appris sur la planification et la gestion de projet. J'ai également eu l'occasion de rencontrer beaucoup de personnes comme les bénévoles et des membres de l'équipe, puisque je n’étais pas en poste depuis longtemps. Le jour du match était incroyable, et voir tout ce monde dans les gradins était un moment vraiment spécial. Cela m'a fait réaliser à quel point j'aime travailler dans le domaine de l'événementiel sportif et que c'est vraiment ce que je veux faire à long terme. Cette expérience m'a également appris que même dans des situations difficiles, lorsque l'on travaille en équipe et que l'on reste positif, on peut accomplir de grandes choses.Un conseil à un étudiant qui souhaite faire son alternance à ce poste ?
Si j'avais un conseil à donner à un étudiant, ce serait de toujours rester motivé et curieux. L'alternance peut être intense et exigeante, mais elle offre également une occasion unique d'apprendre et de se développer professionnellement. Je pense qu’il ne faut vraiment pas hésiter à poser des questions, à chercher à comprendre les différentes tâches et responsabilités, et à être proactif dans la prise en charge de nouveaux projets. Je recommanderais aussi de profiter de l'expérience pour établir des relations avec les collègues et les membres de l'équipe, car cela peut aider à établir un réseau professionnel utile pour l'avenir, parce que cela arrive très vite !23 Mar 2023
Alternance en communication dans le monde du football
Découvrez les témoignages de deux étudiants
A l'occasion de la semaine du foot, le campus AMOS Bordeaux met en avant deux étudiants en alternance. Tous deux chargés de communication dans des clubs de foot, l’un à l’ACFC Angoulême Charente Football Club, l’autre, au Stade Bordelais.Pourquoi le secteur du football ?
Pour Enzo, cela s’explique par son passé de joueur en National 2, connaissant bien l’ACFC et étant en adéquation avec les projets réalisés, il a souhaité voir le côté salarié du club. Pour Alix, il s’agit plus d'élargir son champ de compétence après quelques années passées dans un club de gymnastique durant lesquelles elle a été confrontée aux manques de moyens. Elle a voulu rejoindre le monde du foot, d’abord, car c’est un sport qui la passionne, mais aussi pour les opportunités que ce milieu peut offrir.Les missions principales ?
Leurs postes consistent principalement en la gestion des réseaux sociaux et du site internet. Cela inclut donc entre autres la création d'articles, la promotion des actions et de l’actualité du club. Pour Alix et Enzo, c’est un poste qui permet de développer sa créativité, mais aussi son autonomie. Étant amenés à beaucoup travailler sur des événements, ce poste nécessite une bonne capacité d’adaptation et d’organisation. Au niveau du travail en équipe, il est essentiel de bien communiquer avec l’ensemble de ses collègues et de savoir travailler efficacement. Concernant l’agencement de leur emploi du temps, Alix et Enzo se rejoignent en partageant que cela peut être parfois un vrai défi de mêler études, alternance et vie personnelle, mais qu’avec une bonne organisation, les choses se déroulent bien. L’alternance leur permet d’alimenter leur travail en entreprise et inversement, rendant cette voie très formatrice et riche en expériences. En effet, que ce soit dans la pratique par les travaux de groupes ou le type d’outils à mettre en place, les étudiants se servent des connaissances acquises pour mener à bien leur alternance. « En termes de développement personnel, j'ai appris à être plus autonome et organisée, car il est important de gérer son temps de manière efficace lorsque l'on travaille et étudie en même temps. J'ai également appris à mieux communiquer et à travailler en équipe, en collaborant avec mes collègues et en participant à des projets d'équipe. » Alix Di Martino
Une expérience positive qui se démarque ?
« Ce qui me vient tout de suite à l’esprit, c’est l'organisation du match de coupe de France entre le Stade Bordelais et les Girondins de Bordeaux, les deux équipes locales. Nous avons dû tout organiser en seulement deux semaines, ce qui était un défi énorme, mais nous avons réussi à le faire en équipe. Ce derby fut une expérience de travail intense, mais il m'a beaucoup appris sur la planification et la gestion de projet. » Alix Di Martino « J'ai également eu l'occasion de rencontrer beaucoup de personnes comme les bénévoles et des membres de l'équipe, puisque je n’étais pas en poste depuis longtemps. Le jour du match était incroyable, et voir tout ce monde dans les gradins était un moment vraiment spécial. Cela m'a fait réaliser à quel point j'aime travailler dans le domaine de l'événementiel sportif et que c'est vraiment ce que je veux faire à long terme. Cette expérience m'a également appris que même dans des situations difficiles, lorsque l'on travaille en équipe et que l'on reste positif, on peut accomplir de grandes choses. » Alix Di Martino « Oui ! Dans mon club, un projet de websérie a été développé, je l’ai donc repris à mon arrivée. Il a pour but de filmer les coulisses des vestiaires et montrer un peu ce que l’on ne connaît pas, par exemple, ce qu’il peut se passer avant et après un match. J'ai commencé à trouver ça assez redondant. Du coup, pour pouvoir améliorer ce format, j’ai réalisé une veille et contacté différentes personnes pour savoir comment c’était organisé de leur côté, quel matériel était utilisé... » Enzo « J’ai pu présenter le nouveau format et mes recherches à mon directeur, qui a très bien accueilli ma proposition ! Aujourd’hui, nous travaillons sur un projet vidéo format zapping de deux à trois minutes et un autre format de 20 minutes où ici, on aborde une thématique précise. » EnzoUn conseil à partager ?
« L’important est de toujours rester motivé et curieux, d’être proactif et ne pas hésiter à construire un réseau professionnel. » Alix Di Martino « Il est important d’avoir toujours une boîte à idées avec soi pour ne pas manquer d’inspiration. Bien choisir son entreprise pour que le management soit en cohérence avec celui qui te convient. » Enzo23 Feb 2023
Interview Etudiant Matthieu, échange universitaire à Munich
Mobilité à l'international chez AMOS
La mobilité académique consiste à étudier ou à effectuer un stage à l'étranger, en dehors de son pays d'origine. Cette expérience est une occasion pour nos étudiants de développer leur compréhension culturelle, linguistique et professionnelle. Elle est également très avantageuse pour les étudiants, car ils peuvent acquérir de nouvelles compétences et se démarquer dans un monde de plus en plus concurrentiel où la maîtrise des langues étrangères est un vrai critère d’embauche. Lors de cette mobilité, les étudiants peuvent rencontrer quelques difficultés : la gestion de la langue, des différences culturelles ou encore la recherche d'un logement et l’apprentissage dans un nouveau système académique. Cependant, ces défis peuvent également être des opportunités de se développer personnellement et de découvrir de nouveaux horizons. En plus de l'épanouissement personnel, la mobilité peut avoir un impact positif sur la carrière des étudiants. Les employeurs apprécient souvent les candidats qui ont de l'expérience internationale et une compréhension de différentes cultures. La mobilité académique peut également offrir aux étudiants des opportunités de travail à l'étranger, leur permettant de développer leur carrière sur une base mondiale.
Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Matthieu GOZE, je suis actuellement en deuxième année de Mastère à AMOS Bordeaux. Dans le cadre du programme international, je suis parti deux fois en échange universitaire à l’étranger. Une fois en 3ème année en Autriche à Kufstein et en 5ème année à Munich en Allemagne.Pourquoi partir étudier à l'étranger ?
Je voulais voyager, améliorer mon niveau d’anglais et découvrir de nouveaux pays que je n’aurais peut-être pas visiter en temps normal. Je voulais également découvrir d’autres cultures grâce à l’Erasmus qui te fait rencontrer des étudiants qui viennent d’un peu partout.
Pourquoi as-tu eu envie d’aller dans ce pays ?
Pour l’Autriche, je n’ai pas eu trop le choix, je devais partir en Australie au départ, mais le COVID m’a coupé l’herbe sous le pied.... J’ai donc dû me rabattre sur une destination européenne et l’Autriche est le pays qui me tentait le plus. En ce qui concerne l’Allemagne, c’était dans un but purement professionnel, Munich est une ville importante avec beaucoup de sièges sociaux d’entreprises internationales et avec beaucoup d’opportunités de travail. C’est également une zone géographique intéressante car proche de la Suisse, l’Autriche et l’Italie.Comment décrirais-tu ton expérience ?
C’est très enrichissant, tu découvres une nouvelle culture, de nouvelles mœurs et s’y adapter est quelque chose de très intéressant. Tu as même une double adaptation, car à l’université, tu dois composer avec des étudiants qui viennent de tout horizon et notamment de pays hors européens (Inde, Iran, Mexique, Indonésie, Thaïlande...). C’est donc super intéressant d’apprendre à découvrir ces personnes qui ont des cultures et des visions très différentes des nôtres.
Comment as-tu géré les défis linguistiques et culturels rencontrés pendant ta mobilité ?
Au niveau linguistique, très peu de difficultés, tout le monde parle anglais que ce soit les étudiants ou les gens à l’extérieur (les Allemands sont très bons en anglais). Au niveau culturel, il faut s’adapter et apprendre à connaître chacun, mais c’est relativement facile et on arrive à partager des choses en commun. En ce qui concerne la vie de tous les jours, la vie en Allemagne n’est pas très différente de la vie en France, tu restes en Europe dans un pays frontalier, c’est relativement simple malgré les quelques différences qui existent. Avec les étudiants étrangers, tu apprends à les connaître pour savoir comment te comporter avec eux, quel est leur seuil de tolérance, comment leur humour fonctionne. Mais nous partageons également beaucoup de choses en commun.Comment as-tu géré l'adaptation à une nouvelle vie loin de chez toi, de ta famille et de tes amis ?
Au-delà des séjours universitaires, j’ai aussi fait mes stages à l’étranger, je suis donc parti relativement longtemps. Au début, ça ne me faisait rien, je rentrais soit entre la période de cours et la période de stage soit une fois au milieu de mon séjour à l’étranger quand je pouvais. Puis avec le temps, ça a commencé à me manquer. Mais je pense que la solution, c’est de rester en contact avec sa famille et ses amis et de vivre pleinement l’expérience à l'étranger, car cela va atténuer le mal du pays. Si tu penses tout le temps à chez toi, ça va amplifier le manque, faire des rencontres, découvrir son environnement, c’est la meilleure façon de le gérer selon moi.
Est-ce que ça a été dur de trouver un logement à l’étranger ?
Le seul endroit où ça a été compliqué, c’est l’Allemagne. J’ai trouvé mon appartement 2 jours avant mon départ alors que je m’y suis pris 4 mois à l’avance.Qu’est-ce que cette expérience t’a apporté ?
De très belles rencontres, des souvenirs, une amélioration considérable de mon niveau d’anglais et une ouverture d’esprit.Quelle est la chose dont tu te souviens le plus ?
Mon séjour en Autriche sur le plan relationnel était incroyable, j’ai noué de très fortes amitiés et j’ai partagé de très bons moments là-bas. Le tout dans un cadre splendide, au pied des montagnes avec des lacs magnifiques. Les personnes que j’ai rencontrées sont aujourd’hui des amis.
Comment cette expérience a influencé ta vie personnelle et professionnelle ?
Personnellement, ça m’a aidé en termes d’adaptation à l’environnement, et professionnellement, ça m’a permis d’avoir des opportunités de travail, de m’améliorer en langues étrangères, et d’évoluer dans des environnements professionnels différents de ce qu’on a l’habitude de côtoyer en France.Quel conseil tu pourrais donner à quelqu’un qui hésite à partir ?
Partir à l’étranger afin d’y accomplir ses études permet un gain de temps considérable, car tout en te formant professionnellement, tu visites des destinations qui te plaisent. Tu associes donc l’utile à l’agréable d’autant plus que l’expérience que tu en retires n’est pas la même à 20 ans qu’à 40 ans. Je lui conseille donc de partir, car ce sont des expériences très utiles et enrichissantes qui mettent en valeur la personne que tu es, ainsi que ton bagage professionnel et intellectuel !09 Feb 2023
Super Bowl, bien plus qu’un événement sportif...
L'événement le plus important du calendrier de la Ligue Nationale de Football
Le Super Bowl est considéré comme le plus grand événement sportif de l’année aux États-Unis. Il a lieu tous les ans à la fin de la saison NFL, en général au début du mois de février. Cette année, il se déroulera le 12 février 2023. Le Super Bowl est un match de championnat qui oppose les deux meilleures équipes de la NFL dans un stade rempli de fans enthousiastes et de stars du monde du divertissement. Ce n'est pas seulement un match de football, c'est un véritable spectacle avec une grande production musicale et des performances des plus grands artistes. Pour cette édition 2023, c’est Rihanna qui a été contactée pour performer durant la mi-temps, le célèbre « Halftime Show ». DJ Snake sera aussi de la partie, puisqu’il a été choisi par la NFL pour mixer avant le coup d’envoi. Cet événement est également connu pour les sports publicitaires, qui attire de nombreux annonceurs en raison de son audience massive. Les publicités lors du Super Bowl sont les plus coûteuses au monde et les attendues de l'année : elles sont devenues cultes en raison de leur créativité et de leur humour. Considéré comme un événement de fête nationale aux États-Unis, des millions de personnes se réunissent en famille et entre amis pour assister à ce match exceptionnel. Le Super Bowl est donc bien plus qu'un simple match de football. Il s'agit d'un événement culturel majeur qui rassemble pour célébrer le sport, la musique, la publicité et la camaraderie. Un spectacle à ne pas manquer !
Nos étudiants en parlent...
Nous avons interviewé deux étudiants AMOS Bordeaux, Tahitoa Roomataaroa dit « Paipai » et Vito Cavallo, tous les deux 22 ans et joueurs aux Lions de Bordeaux club de football américain en deuxième division. Bien qu’ayant des postes différents, l’un rusher, et le second running back, ils se rejoignent sur le côté stratégique et de cohésion qu’offre leur sport. Ils évoquent notamment comment la NFL a su créer un événement aussi célèbre et soulignent la qualité des publicités et du show à la mi-temps. C’est effectivement grâce à cet événement que des personnes découvrent ce sport. C’est ce qui s’est passé pour nos deux étudiants. « L’événement qui m’a marqué vient du Super Bowl XLIX (celui de 2014), opposant les Seahawks de Seattle et les Patriots de New-England même si le concert de Katy Perry était impressionnant, c’est le dernier jeu offensif de Seattle qui a retenu mon attention » Tahitoa « Quatrième et dernier quart-temps, Seattle est menée 24 à 28, 25 secondes au chronomètre, 2ème tentative et 2 yards à parcourir pour marquer, Marshawn Lynch est en position, la balle est mise en jeu et lorsqu’on pensait voir une course en plein centre de celui que l’on surnomme Beast Mode, c’est une passe qui est lancée par Russell Wilson en direction du receveur numéro 83, Ricardo Lockette. Cette balle ne finira pas sa trajectoire dans les mains de ce destinataire mais sera interceptée par Malcolm Butler, cornerback de New-England et scellera mon premier match de football américain ». Vito, étudiant Global Sport Business Master
09 Feb 2023
Interview étudiants BDA Bordeaux, un challenge au quotidien
Sens de l'engagement, organisation...
Faire partie du BDA (Bureau des AMOSciens), apporte un sens de l'engagement et une première expérience au sein d'une association. Mais c'est aussi un défi quotidien qui demande beaucoup d'organisation. Antoine Ragueneau et Victor Beaudry, président et vice-président, nous font part de leur expérience.Pouvez-vous vous présenter ? Quel est votre projet professionnel ?
« Je m’appelle Antoine, j’ai 22 ans, je viens de Clermont-Ferrand. Je suis actuellement en troisième année du Programme Grande Ecole à AMOS Bordeaux. Mon projet professionnel s’oriente vers les métiers de l’évènementiel. J’aimerais bien travailler plus tard au sein d’une structure professionnelle dans le monde du rugby. » Antoine Ragueneau. « Moi c'est Victor Beaudry, j’ai 21 ans, je suis en deuxième année de Bachelor à AMOS Bordeaux. J'ai comme objectif de travailler dans l’entreprenariat et le développement. Sinon, je n'ai pas vraiment de domaine qui se détache, je me donne le temps de mes études pour mûrir mon projet on va dire. » Victor BeaudryPratiquez-vous un sport ?
« Oui je suis assez sportif, j’aime bien pratiquer différents sports comme le padel ou le basket. Mais mon sport de prédilection depuis que j’ai 8 ans, est le rugby. J’ai eu la chance de pratiquer ce sport en catégorie jeune dans des structures professionnelles comme l’ASM. Maintenant j’évolue à l’Union Sportive Bouscataise en régionale 1. » Antoine Ragueneau « Oui je suis sportif, je fais du basket en 5 par 5 durant la saison et l’été je passe sur du basket 3 par 3 pour pouvoir jouer entre amis. Je fais également du crossfit. » Victor BeaudryAntoine, tu es directeur du BDA, peux-tu présenter l’association ?
« Le Bureau des AMOSciens (BDA) a pour objectif d’animer la vie étudiante de tous les élèves d’AMOS. Il y a différentes missions au sein du BDA, elles sont redistribuées vers différents pôles. Il y a d’abord le bureau avec un président, un vice-président, Victor Beaudry et un trésorier, Corentin Duc. Ensuite il y a 3 pôles, avec un responsable pour chaque pôle. » Antoine Ragueneau « Un pôle communication qui s’occupe de la gestion de notre compte Instagram et de la création de contenus sur notre actualité et nos divers événements. La responsable est Mélissa Goulée. Le pôle Event qui s’occupe des événements, soirées, projets vie de l’école. Il y a aussi le pôle Sport Universitaire qui s’occupe des différentes équipes, cette année foot et basket. » Antoine Ragueneau
Victor, tu es vice-président du BDA, peux-tu présenter sa mission ?
« Le but principal du BDA, c’est de permettre à chaque étudiant de profiter de ses études tout en ayant une vie extra-scolaire chargée en rencontres et bons souvenirs. Si l’étudiant se sent épanoui dans l’enceinte de l’école et à-côté, alors c’est parfait. » Victor BeaudryQuelles sont vos missions précisément ?
« Cette année, ma mission principale est le Sport Universitaire. Je m’occupe de mettre en place et d’organiser les différents plannings et rencontres ainsi que toute la logistique en termes de matériel, de rendez-vous sur les lieux de rencontre sportive, par exemple. » Victor Beaudry « Pour ma part, je m’occupe des deux gros événements que le BDA organise dans l’année, c’est-à-dire le week-end d’intégration et le week-end ski. Mais je m’occupe aussi d’aider les différents pôles notamment le Sport Universitaire pour le foot et le basket. Je fais aussi un peu l’intendant, avec la gestion des entrainements, compositions, maillots, ballons... Je suis aussi amené à beaucoup aider le pôle Event, pour organiser des soirées sur Bordeaux. » Antoine RagueneauRencontrez-vous des difficultés lors des projets mis en place ?
« Oui constamment, notamment sur le Sport Universitaire pour construire des équipes complètes et compétitives. Avec les différents rythmes de cours des étudiants, il est très compliqué de réunir tous les joueurs les jours de match. Une autre difficulté, c'est de créer une cohésion, qu’on essaye d’avoir depuis deux ans. On essaye de créer des liens entre les promos, ce n’est pas toujours facile. L’autre grosse difficulté, c'est de susciter un engouement auprès des élèves autour des événements qu’on organise, comme le week-end ski, ou les soirées. Il faut constamment relancer les étudiants. Le défi, c’est d’être très proche de tous pour qu’on gagne leur confiance. » Antoine Ragueneau « Une des plus grosses difficultés qu'on ait eues, c'était après le Covid où il a fallu redonner l’envie à l’étudiant de sortir. Le BDA n’ayant rien fait durant quasiment deux ans, ça n'a pas été facile de remettre cette association dans l'esprit des étudiants et dans leur vie étudiante. C'est pourquoi, il est important de créer de bons souvenirs et week-ends, pour fédérer et rassembler un maximum de personnes à la cause du BDA. » Victor Beaudry
Quelles sont les compétences à avoir pour être directeur d’association ?
« Je pense qu’il faut être assez sociable, autonome, organisé et avoir le sens des décisions. » Victor Beaudry « Selon moi, il ne faut pas forcément avoir de compétences précises. Les compétences, je les ai acquises en prenant ce rôle. Il faut faire preuve d’une bonne cohésion d’équipe pour travailler et faire fédérer les différents pôles, il faut se rendre disponible, avoir une bonne aisance à l’oral en public et au téléphone, savoir gérer un budget, des étudiants sur des grands week-ends et savoir utiliser les outils bureautiques et digitaux. » Antoine RagueneauQue vous apporte cette expérience ?
« Cette expérience m’a beaucoup apporté personnellement, elle m’a permis de devenir plus autonome, de comprendre et appréhender tous les rudiments de l'évènementiel. J’ai également amélioré la gestion de mon stress pour la prise de parole en public. Elle m’apporte également tous les jours beaucoup de contacts pour mon réseau. Cela m’a permis d’avoir une première expérience managériale auprès des différents membres du BDA. J’ai également appris la gestion d’un budget. Cette expérience est pour moi un petit plus que je rajoute sur mon CV. » Antoine Ragueneau « Pour le coup, j’aime être présent pour les gens tout en m’assurant qu’ils sont heureux dans ce qu’ils font. Donc je pense que c’est naturel d’avoir envie de rentrer dans une association, car c’est la base de la vie en association à mon avis... Après, cela m'apporte une expérience en évènementiel et ça donne une vision de terrain qui est non négligeable pour l’avenir. » Victor Beaudry06 Feb 2023
Les différences entre le rugby et le football américain
A l’approche du Super Bowl, revoyons les bases...
Généralement connu du grand public grâce au spectacle « Halftime Super Bowl » offert à la mi-temps, le football américain est un sport encore peu côté en Europe. En effet, malgré la présence de nombreux clubs sur le vieux continent, les règles de ce sport restent encore méconnues pour la plupart d’entre nous. De plus, beaucoup prennent un malin plaisir à le comparer au rugby, ces deux sports similaires d’aspects mais bien différents de fond ! A l’approche du Super Bowl, les non-initiés se posent toujours les mêmes questions autour du rugby et du football américain. Si vous en faites partie, cet article est pour vous !Quelle est l’origine de ces sports ?
Connu officiellement en 1823, le rugby voit le jour en Angleterre à l'initiative de Williams Webb Ellis, étudiant au collège de Rugby. Selon une anecdote populaire, cette discipline a été créée lorsque Williams a décidé de ramasser un ballon et l’utiliser pour traverser tout le terrain afin de l’écraser dans l’en-but de l’équipe adverse au cours d’une partie de football. C’est d’ailleurs pour cette raison que le trophée de la plus grande compétition mondiale (Coupe du Monde de Rugby) porte son nom. Concernant le football américain, comme son nom l’indique, cette discipline a été créée aux Etats-Unis d’Amérique plusieurs décennies après le rugby. On estime qu’il trouve ses traces en 1860, avec l’arrivée des colons britanniques sur le sol américain. A cette époque, le rugby et le football (soccer) étant les disciplines les plus populaires dans le pays, Gerrat Smith Miller eut l’idée de les combiner. Dès 1870, des matchs sont joués dans certaines universités Nord-américaines. C’est quelques années après, soit en 1920 que l'American Professional Football Association voit le jour.
Le but du jeu...
Dans les deux disciplines, l’objectif est de gagner du terrain afin de se rapprocher de la zone d’en-but de l’équipe adverse. Plusieurs actions permettent aux équipes de gagner des points, et même si les règles diffèrent, on retrouve quelques similitudes entre les deux disciplines : L’action qui octroie le plus de points est le fait de passer dans la zone d’en-but de l’adversaire avec le ballon. Au Rugby, il s’agit d’aplatir le ballon dans la zone pour marquer un essai (5 points). Au football américain, on réalise un Touchdown (6 points) en pénétrant la zone avec le ballon, ou en réceptionnant une passe dedans. Ces actions peuvent être bonifiées par une transformation au pied, le ballon doit passer entre les deux poteaux (au rugby +2 points, au football américain +1 point). Au Football américain, on peut aussi tenter “l’extrapoint”, il s’agit d’une seule tentative pour repénétrer dans la zone d’en-but et ainsi gagner 2 points. Alors qu’elles tentent de gagner du terrain, les équipes sont confrontées à quelques règles. De manière très simplifiée, on notera qu’au rugby, toutes les passes à la main doivent se faire vers l’arrière, la progression se fait donc balle en main ou avec une passe au pied. Au football Américain l’équipe attaquante a 4 tentatives pour progresser de 10 yards. Si elle y arrive, elle a le droit à un nouveau cycle de 4 tentatives et ainsi de suite jusqu’à tenter un touchdown. Si elle n'atteint pas le palier à l’issu des 4 tentatives, le ballon est rendu à l’équipe adverse. Pour progresser, l’équipe qui attaque a le droit à une passe par tentative, chaque action s’arrête lorsque le porteur du ballon est mis au sol, ou que la passe n’aboutit pas. Il existe d’autres moyens de gagner des points, notamment au pied. Au rugby on gagne 3 points lorsqu’on fait passer la balle entre les poteaux. Soit après une faute commise par l’équipe adverse (appelé pénalité). Soit durant une phase de jeu, en tirant la balle au pied après l’avoir fait rebondir au sol (appelé drop). Au football américain, lors de la 4ème tentative d’une équipe, on peut tenter de faire passer le ballon entre les poteaux au pied pour gagner 3 points. Les points sont calculés selon la valeur suivante :- Au rugby : un essai (5 points), une transformation (2 points), un drop (3 points), une pénalité (3 points)
- Au football américain : un touchdown (6 points), un extra-points (1 ou 2 points), un field Goal (3 points), une sécurité (2 points pour l’équipe adverse
Le terrain...
En dehors de la forme du ballon, l’autre élément de similarité créant la confusion entre le football américain et le rugby est l'étendue terrain. Bien que possédant une zone d’en-but, les deux terrains sont différents. En effet, les distinctions entre les deux se font au niveau de la taille du terrain et des poteaux. Ainsi les poteaux d’un stade de rugby sont en forme de H tandis que ceux du football américain sont en Y. Pour la taille du terrain de rugby, les dimensions sont d’environ 100 mètres de long et 70 mètres de largeur. Concernant le football américain, l’unité de mesure est différente. Ici, on parle de « yard » soit 1 yard égale à 0,91mètres. La taille d’un stade de football américain est ainsi de 120 yards de long soit 109,2 mètres et 53,33 yards de large soit 48,53 mètres.
Les règles du jeu
Le premier élément de différenciation est la durée. Au rugby, le temps de jeu est fixé à 80 minutes au total avec deux mi-temps de 40 minutes contre 4 quart-temps de 15 minutes pour le football américain. Ces périodes de jeu sont suivis d’une pause de 12 minutes après la fin des deux premiers quart-temps. Le deuxième élément est le nombre de joueurs total sur le terrain. Au rugby la confrontation sera plus communément de 15 joueurs contre 15 (il existe également le rugby à XIII et à 7). Tandis qu’au football américain, c’est 11 joueurs contre 11. On note aussi une particularité sur le nombre de remplacement possible. Pour le Rugby, les joueurs jouent les phases offensives et défensives, et seuls 7 changements peuvent être effectués durant la rencontre. Au Football américain, il n’y a pas de limite de remplacement puisque les équipes changent presque entièrement entre les phases d’attaque et de défense.
Les accessoires...
Le principal accessoire de jeu de ces sports est le ballon ovale. Bien qu’ayant la même forme, la taille d’un ballon de rugby est d’environ 27 cm contre 28 cm pour le football américain. Pour se protéger pendant les matchs, les joueurs portent également des équipements. Au rugby, les joueurs ont la possibilité d’avoir des protections pour les cuisses, des casques et des protections dentaires qui sont souples et non obligatoires. Au football américain, tenant compte de la puissance des chocs, les joueurs portent obligatoirement des protections dentaires, des casques « plus protecteurs », des épaulettes, des protections de genoux et de coudes rigides pendant les matchs.La technologie au service du jeu
Malgré toutes ces différences, les deux disciplines sont assez similaires quant à leur rapport à la technologie. De nombreuses innovations ont vu le jour sur les terrains de Football américain et de Rugby, d’autres disciplines s’inspirent d’ailleurs de ces avancées afin de fluidifier le jeu, ou d’améliorer l’expérience du spectateur. L'arbitrage vidéo est apparu dès 1978 en NFL et a considérablement évolué afin d’augmenter le nombre de situations dans lesquelles il peut être utilisé. Au Rugby, au-delà de la VAR, utilisée depuis les années 2000, c’est l’équipement des arbitres par un micro qui séduit les téléspectateurs et les autres disciplines. En Ligue 1, le nouveau diffuseur Amazon Prime avait d’ailleurs équipé l’arbitre de St-Etienne – Monaco en avril 2022. Une action qui a relancé les débats au sein des institutions, qui souhaitent rendre l’arbitrage plus transparent envers les différents acteurs de ce sport. Au-delà de l’arbitrage, on peut noter de belles avancées technologiques chez nos amis américains. La communication entre les joueurs et les coachs se fait désormais par un micro intégré au casque du quarterback. Cela s'additionne à la mise à disposition par la Ligue de tablettes au bord du terrain pour l’analyse en temps réel des actions. Enfin, on note quelques innovations au service de l’intégrité physique des joueurs : Un concours a été organisé par la NFL pour repenser les casques des joueurs afin de limiter les commotions. Les équipes médicales ont également accès à des données de santé des joueurs en temps réel.Business is business…
Au niveau business, les chiffres penchent en faveur du Football US. Même si le sport a du mal à se démocratiser en dehors des frontières américaines, la NFL et notamment le Super Bowl (la finale de la ligue) présentent des audiences et des revenus colossaux comparés à ceux du Rugby. Le prochain contrat de diffusion de la NFL portera sur 11 saisons (2023-2033) et rapportera entre 105 et 110 milliards de dollars à la Ligue, soit près de 10 milliards par saison. Autre chiffre qui montre la super puissance américaine, le coût d’un spot publicitaire lors de la mi-temps du Super Bowl : il faudra débourser 7 millions d’euros pour 30s de publicité. A ce prix-là, les annonceurs font forcément preuve d’une grande créativité pour se démarquer... Côté Rugby, on notera tout de même de belles perspectives, surtout en France avec la prochaine Coupe du Monde en septembre 2023. D’après les prévisions de l’organisateur, la compétition devrait générer un bénéfice net de 68 millions d’euros destiné au développement du rugby en France. Avec toutes ces informations, vous disposez de quelques arguments solides pour un débat entre amis sur le rugby et le football américain. Article rédigé par Vanillie EKOUMA17 Jan 2023
Nos étudiants ont du talent - Portrait de Matthieu Grugeau
Son mémoire de fin d'année sur l'égalité hommes/femmes dans le Sport
A l’occasion de la semaine du sport au féminin, nous avons interviewé notre étudiant Matthieu Grugeau, AMOS Bordeaux. Passionné de sport, il se rend bien compte que ce milieu est encore inégal entre les hommes et les femmes. Sensible à cette question d'égalité, il a dédié son mémoire de fin d'année à cette cause.Peux-tu te présenter ? Quel est ton projet professionnel ?
« Je m’appelle Matthieu, j’ai 28 ans, je suis originaire de Poitiers. Plus tard, j’aimerais travailler dans le monde du sport, que ce soit dans l’événementiel ou la communication, c'est pour cela que je fais mon alternance au Stade Rochelais en tant qu’assistant communication. »Pratiques-tu un sport ?
« Je suis passionné de sport et pratique la course à pied depuis déjà six ans, toutes distances, que ce soit du 10 km ou de l’ultra. J’aime ce sport car tu te retrouves face à toi même, tu te dépasses physiquement et mentalement. Mais aussi pour le goût de l'adrénaline lorsque tu sors de ta zone de confort et pour les valeurs qu’il dégage comme son rapport avec la nature ou l’entraide par exemple. »Est-ce que dans ton sport, il t’est arrivé de pratiquer avec l’équipe féminine ou de faire des évènements ensemble ?
« Oui, sur les différentes courses tu te retrouves avec des femmes, des hommes, des jeunes, des plus vieux, c’est cette mixité que j’aime. C’est un sport qui est ouvert à tous et dans lequel les femmes sont aussi bien intégrées que les hommes. Tu le ressens sur les événements, il n’y a pas de différence, les femmes sont considérées à la même échelle que les hommes. »Pourquoi as-tu eu envie de faire ton mémoire sur ce sujet ?
« Premièrement, ce qui m’a donné envie de réaliser mon mémoire sur ce thème, c'est l’engouement que j’ai ressenti au Marathon du Mont blanc, où j’ai été impressionné par le nombre de femmes présentes et surtout de leur niveau. Certes, c’est un événement exigeant qui rassemble les meilleures traileuses du monde, mais je ne pensais pas me retrouver avec autant de femmes. Et puis deuxièmement, mon alternance m’offre la chance de travailler avec les équipes féminines de mon club, que ce soit sur le rugby, le basket ou le cyclisme féminin. » « Le fait d’être en immersion constante avec les équipes féminines Rochelaises m’a aussi donné envie de me pencher un peu plus sur la féminisation. »Les femmes sont-elles sous-représentées dans le milieu sportif ?
« Cela dépend des sports, mais en général je pense que les femmes sont effectivement sous-représentées dans le milieu sportif. On le voit notamment car beaucoup d’événements féminins restent aux oubliettes... »
Penses-tu qu’aujourd’hui les hommes et les femmes sont égaux dans le sport ?
« Je ne pense pas, même s’il y a de l’amélioration au fil des années, il y a encore beaucoup de travail à faire. On peut le remarquer grâce au niveau de salaire et des audiences audiovisuelles qui sont en total inadéquation avec celui des hommes. »D’après toi, pourquoi les gens sont moins intéressés par les compétitions féminines ?
« Je pense que c’est surtout une question d’habitude, c’est à dire que la place des femmes n’était pas la même dans notre société dans les générations précédentes. Une forte majorité de personnes t’aurait dit, il y a quelques dizaines d’années, que le sport était fait principalement pour les hommes, et que les femmes n’avaient pas les compétences physiques et mentales pour en faire ; ce qui est bien évidemment faux. Les mœurs sont en train de changer depuis quelques années mais ça prend du temps. Certains sports se démocratisent bien plus rapidement que d’autres, la course à pied par exemple en fait partie. »Que penses-tu des tenues sportives comparées à celles des sportifs ?
« La plupart des tenues que portent les femmes sont souvent assez sexy et ne sont pas forcément appréciées de toutes, c’est vrai. Cette hypersexualisation est ce que nous montre la société d’avant et d’aujourd’hui. Je pense que les objectifs ne sont pas les mêmes, c’est à dire que lorsque l’on parle de sport féminin on privilégie le regard du spectateur, plutôt que de mettre en avant leur niveau de jeu. »17 Jan 2023
Interview étudiant Kévin, sportif et en alternance aux JSA, AMOS Bordeaux
JSA Bordeaux Métropole Basket, partenaire d'AMOS Bordeaux
Kévin Mbaitoubam est étudiant en Master of Business in Sport à AMOS Bordeaux. Il est aussi l'un des joueurs des JSA Bordeaux Métropole Basket, l’un des partenaires d'AMOS cette saison.Où fais-tu ton alternance ?
« Je fais mon alternance dans mon club au JSA Bordeaux Métropole Basket où je suis aussi joueur. Mon numéro est le 23. Nous nous trouvons actuellement à la troisième place du classement en NM2. »Pourquoi avoir choisi les JSA ?
« J'ai choisi d'y faire mon alternance car premièrement c'est un club qui me tient à cœur car c’est ici que j’ai appris le basket et que j’ai été formé, puis parce que c'est plus pratique pour m'entraîner régulièrement. Nous avons entraînement tous les jours, même 2 fois par jour le mardi et le jeudi. »As-tu pu trouver un équilibre dans ton double projet ?
« Oui, j'ai un bon équilibre dans ce double projet, cela fait cinq ans que je fonctionne comme ça entre les cours et le basket donc j'ai un peu l'habitude maintenant. Le principal c'est d'être bien organisé ! J’essaye de prendre le maximum d’avance possible afin de ne pas me retrouver avec trop de travail. »
Ce double projet est-il difficile à vivre sur le plan mental et physique ? Une influence sur tes résultats sportifs et scolaires ?
« Oui c'est possible de ressentir de la fatigue mentale par moment car mon emploi du temps est très chargé et j'ai très peu de temps pour me détendre mais ça me convient car c'est un plaisir quand je vais à l'entraînement, ce n'est pas une corvée pour moi. Le plus dur serait le manque de sommeil et d'enchaîner des longues journées avec l’école en plus des entraînements, donc j'essaye de dormir au maximum. Et concernant les résultats sportifs ou scolaires, je n'ai jamais eu de mal dans les deux catégories donc pour l'instant tout se passe bien, en espérant que ça continue ! »Vas-tu participer à des événements sportifs de grande envergure ?
« Alors je vais d'abord terminer la saison avec les JSA en NM2, et cet été j'ai les championnats de France universitaire puis d'Europe si on gagne. Je pense que je vais aussi participer à différents tournois durant l'été mais je ne sais pas encore lesquels. »
Pourquoi avoir choisi d'étudier chez AMOS en parallèle de ta carrière de sportif ?
« Les études me permettent de préparer mon après carrière au mieux. Je pense que je vais rencontrer beaucoup de personnes dans le sport et que j’aurai des opportunités au fil de ma carrière de sportif. Il est donc important pour moi d’avoir ce bagage car je sais que cela me servira. Je ne sais pas encore si je serai gérant d’un club mais je pense qu’il est nécessaire pour moi d’avoir un diplôme en relation avec le sport. »As-tu d’autres ambitions sur le plan sportif ?
« Oui j'ai beaucoup d'ambition sur le plan sportif, j'aimerais jouer dans le meilleur championnat possible que ce soit la Pro B, la Betclic Elite ou voir même à l’étranger, et je vais travailler pour. J'aimerais aussi jouer au sein de l'équipe nationale du Cameroun, c'est un objectif important pour moi. »20 Dec 2022
GSBM Study Trip, ISPO European’s leading sports trade fair
The ISPO Trade Fairs
At dawn, on a smoggy Sunday morning late November, our Global Sport Business Master students (GSBM 1) landed in Munich - one of the most iconic European cities when it comes to sports. During their first year of the international Masters programme, our AMOScians learn about the European market, and there is no better case study than the European’s leading sports trade fair: ISPO. During 4 days, hundreds of companies showcased their latest innovative products on outdoors winter sports, while looking for new partnerships, and clients to shape the future of sports together. ISPO Munich is certainly a stage for solutions-oriented dialogues. From digitalisation to sustainability, the sports industry is facing several challenges, and what better than uniting the main players in the market, to exchange ideas, visions, and perspectives.
An opportunity to network
When surrounded by many worldwide brands and truly innovative products, it is easy to forget the reason of your presence, but it did not blur the vision of our students. Armand Ronvel (AMOS London) describes it here, « Professionals were very accessible, it did not matter if we were students, they took time to explain their different ranges of products as well as giving us tips for our future careers, and insights about the market. » For Maxime Jos (AMOS London) it was « a superb opportunity. I did not realise how big it was before getting there, just mind-blowing. It is impossible not to find the aspect of sports that is of interest to you, I am passionate about the fashion and retail aspect of sports, and there was so much in there for me. »
What else has Munich to offer?
Leaving ISPO on the side, our students got to discover the other facets that make Munich a World Sports capital. The Allianz Arena Stadium On their second day, after a morning spent networking at the trade show, the AMOScians experienced the atmosphere of the Allianz Arena. As they walked out of the tunnel, they went through the changing and the press conference rooms and discovered the fascinating details that make this stadium unique in its structural design. After the tour, the AMOScians immersed themselves in the German champion’s history by heading to the FC Bayern Museum. From the founding of the club, in 1900, to its current successes, our students lived a journey through time in the largest football museum of the country.

09 Dec 2022
L'Équipe devient partenaire officiel d’AMOS, une école du groupe ACE Education
Un partenariat gagnant
Le groupe L’Équipe, première marque d’information sportive et référence du journalisme sportif en France et à l’international, devient partenaire officiel d’AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education. Organisation d’événements, nouvelles opportunités professionnelles pour les étudiants, rencontres et MasterClass inédites sont au programme de cette collaboration 100% gagnante. Depuis 2005, sur 12 campus en France, AMOS Sport Business School forme aux métiers du management du sport, de l’événementiel, du marketing sportif ou encore à l’entreprenariat. Son ambition : viser l’excellence afin de mener des étudiants passionnés de sport à un métier à haute responsabilité. Notre fierté ? Un réseau inégalé de partenaires dans le secteur du sport qui accompagnent la professionnalisation des étudiants, par ses intervenants qui sont des experts reconnus dans le secteur et la qualité d’enseignement qui a permis d’obtenir un taux d’insertion professionnel de 94,9%, 9 mois après obtention de la diplomation.AMOS devient ainsi la seule école de commerce 100% Sport Business partenaire officiel de L’Équipe
Sylvestre Louis, directeur général du Groupe ACE Education (à droite sur la photo) « Le Groupe ACE Education et AMOS Sport Business School sont heureux de signer ce partenariat officiel et innovant avec L’Equipe. C’est un rapprochement unique entre une école leader en management du sport et ce média sportif historique et de référence qu’est L’Equipe. Pour les étudiants du groupe ACE Education, ce partenariat permettra d’avoir accès à des expériences professionnelles innovantes pour mieux appréhender les enjeux des médias de demain. En lien avec nos approches de l’éducation, nous sommes convaincus que les immersions dans des environnements professionnels sont des opportunités uniques d’apprendre, mais aussi des opportunités pour de jeunes talents de se révéler en faisant naitre des vocations et d’accéder à des emplois qualifiés. » Laurent Prud’homme, directeur général du Groupe l’Equipe (à gauche sur la photo) « Je suis très fier d’être le parrain de cette promotion 2022/2023 d’AMOS Sport Business School et de représenter le groupe l’Equipe auprès de centaines de jeunes qui ont pour ambition de mener une carrière dans le management du sport. Cet engagement va dans le sens des actions que nous menons toute l’année à travers les stages d’études supérieures ou les contrats professionnels et d’apprentissage. Chaque année, l’Equipe ouvre ainsi ses portes à plus de 100 étudiants pour des échanges enrichissants où chacun peut apprendre et s’inspirer de l’autre ».08 Dec 2022
Nos AMOSciens sur le terrain - Spécial Bénévolat
Retour sur les dernières expériences pédagogiques et professionnelles...
A l’occasion de la Journée Mondiale du bénévolat le 5 décembre, retour sur quelques expériences pédagogiques organisées par les Labs AMOS de nos différents campus depuis la rentrée.Nos AMOSciens au cœur du volontariat sportif lyonnais

Du triathlon Bayman à La Route du Rhum, Théo, laborantin de Rennes en action

Les étudiants d'AMOS Toulouse au plus près des acteurs du sport

Le week-end international du Sport à Londres avec Armand

Timothée Skaghammar, un laborantin aux multiples compétences

Quentin Scherrer, laborantin Amos Strasbourg nous dévoile les coulisses de son travail

Les AMOSciens d'Aix et Marseille au cœur de l'événementiel sportif

AMOS Paris, la relève sur le TIBY Handball

Un début d'année actif pour le Lab de Bordeaux
