ACTUALITÉS
03 Apr 2023
ACE Education X ELEVATE : la bonne connexion !
AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education
La principale ambition d’ACE Education est d’assurer une formation de qualité, des expériences enrichissantes et un avenir serein à nos milliers d’étudiants. Notre promesse est de transformer leur passion pour le sport, l’hôtellerie, la mode ou le design, en un métier durable. C’est pourquoi, nous sommes heureux d’annoncer le nouveau contrat que nous venons de signer avec Elevate jusqu’en 2024, dans le cadre du plus grand évènement sportif qui aura lieu en France et auquel Elevate aura l’occasion de contribuer. Elevate est une agence internationale centrée sur l’humain, et spécialisée dans le recrutement, la formation et le management du staff événementiel. Elle met en relation les talents, les données et les marques afin d'optimiser l'impact des activations marketing. Ce partenariat prometteur permettra le recrutement des étudiants de nos écoles AMOS Sport Business School, CMH Centre de Management Hôtelier, ESDAC Ecole Supérieure de Design, sur les événements sportifs majeurs en 2023 et 2024, ainsi que sur d’autres secteurs allant de l’hospitalité à la mode. Toutes les écoles du groupe ACE Education ont pour vocation d’aider les jeunes à réussir leur entrée sur le marché du travail, et de leur permettre d’évoluer rapidement vers des postes de Top Management, dans leurs domaines de prédilection. « Ce partenariat majeur rapproche deux entités qui se développent en Europe et à l’international et marquent leur volonté commune de renforcer leur capacité à développer et soutenir l’employabilité et les expériences professionnelles des étudiants dans l’évènementiel sportif et haut de gamme. Elevate, agence de staffing événementiel présente en France, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Autriche et en Grande Bretagne, propose des solutions innovantes en termes de recrutement à ses clients. ACE Education par ce partenariat plonge ses étudiants dans des expériences professionnelles immersives en lien direct avec leur formation. » Audrey Léger, Directrice des Partenariats ACE Education. « Le rapprochement entre ACE Éducation et Elevate est à nos yeux un partenariat qui a beaucoup de sens tant en France qu’à l’international. Elevate a pour ambition de contribuer à la formation professionnelle des jeunes et des étudiants et de leurs permettre d’acquérir une première expérience professionnelle sur le terrain dans le cadre d’évènements prestigieux. Ce partenariat a un double enjeu car au-delà d’être porteur d’opportunités professionnelles pour tous ces étudiants et de participer à l’éco système sportif, il nous permet également de mieux faire connaître le secteur de l’évènementiel dans sa globalité » Julie Reed, Directrice Générale Elevate France & DACH.À propos du Groupe ACE Education
ACE Education est un acteur majeur de l'enseignement supérieur en France, proposant des formations certifiées de Bac+3 à Bac+5 à plus de 7 000 étudiants dans les domaines du management du sport, de l’hôtellerie, du tourisme de luxe, des arts appliqués, du design et de la mode, au travers de ses six écoles : AMOS Sport Business School et ESBS, écoles de sport management, ESDAC, école de design, CMH, Centre de Management Hôtelier International de Luxe, EIDM, Ecole Internationale de Mode et Luxe, ENAAI, Ecole d’Arts Appliqués, BD et Illustration. Le groupe offre une variété de programmes sur ses 42 campus en France et à l’étranger. Il met l'accent sur les expériences internationales et sur la professionnalisation au cœur même de l’expérience étudiante.23 Mar 2023
Témoignage Etudiant, Lilou Serrano, joueuse de rugby
« Come on girls »
En cette période de Tournoi des 6 Nations Féminin, Lilou Serrano, étudiante au campus AMOS Toulouse et joueuse de rugby, nous livre son histoire avec le ballon ovale, son ressenti en tant que femme dans un sport dit masculin mais aussi ses aspirations et sa vision. C’est une bouffée d’air frais, de détermination et d’optimisme à faire lire à toutes les futures AMOSciennes : « COME ON GIRLS! »Lilou, peux-tu te présenter s’il te plaît ? Et nous raconter ton histoire avec le rugby ?
Lilou Serrano, 21 ans, je suis actuellement en première année de Mastère à AMOS Toulouse. Connaisseuse du rugby à XV, c’est le XIII qui m’anime depuis maintenant 10 ans. J’ai commencé au Collège en UNSS en rugby à XIII. Ce sport m’a plu et, en plus de l’UNSS, j’ai intégré rapidement un club. Par la suite, j’ai continué en section rugby au Lycée en XV et toujours en club en XIII. Par ailleurs, j’ai effectué un service civique sur la pratique du rugby à XIII et le développement du fair-play pendant un an auprès de jeunes enfants. Petit à petit, ce sport a pris une place importante dans mon quotidien entre entraînements et compétitions.
Que penses-tu de la place des femmes dans le rugby et le sport business ? Est-ce que tu vois une différence entre les deux ?
Je suis une femme et je fais du rugby à XIII. Encore moins connu que le XV, le rugby à XIII est très peu médiatisé en France au-delà du débat des genres. Par conséquent, il y a peu de club féminin en rugby à XIII et peu de moyen pour faire connaître et développer ce sport. Néanmoins, ce n’est pas partout pareil. En effet, en Australie par exemple, le rugby à XIII est très développé et beaucoup d’équipes féminines sont professionnelles. Cela prouve bien qu’il est possible de professionnaliser les équipes féminines, ou dans un premier temps les valoriser. Pour parler un peu du XV, celui-ci est sur la bonne voie. En effet, la médiatisation a permis de faire connaître ce sport et de plus en plus de jeunes filles s’inscrivent en club et c’est génial. J’espère que le rugby à XIII aussi bien féminin que masculin arrivera un jour à être aussi connu et reconnu que le XV ! Dans le sport business c’est un peu la même chose, dans le sens où nous commençons tout juste à nous faire voir, entendre et respecter. Par chance, je pense faire partie de la bonne génération, le monde du travail et du sport en général commence à nous entendre et nous prendre au sérieux. Alors oui, les a priori ou stéréotypes sont toujours présents mais beaucoup moins systématiques. Les mentalités ont évolué, ainsi à l’heure actuelle, beaucoup de femmes occupent des postes importants, se lancent dans l’entreprenariat et n’ont pas peur de se positionner sur des postes dits pour les « hommes ». De par mon expérience personnelle, je trouve important de rajouter que beaucoup d’hommes se sentent concernés par ce combat et aident les femmes à atteindre cette égalité dans tous les domaines. Que cela soit dans le monde du rugby féminin ou dans le sport business, la place de la femme n’est pas encore totalement reconnue mais la situation évolue dans le bon sens.Quelles sont les valeurs que tu retrouves entre le rugby et le sport business ?
Les valeurs qui me viennent à l’esprit sont l’esprit d’équipe, la ténacité et le respect. Dans le rugby ou dans le sport business, je travaille directement ou indirectement en collaboration avec différentes personnes. Je pense qu’il est plus facile de réussir ensemble en unissant nos forces et nos compétences dans un but commun. La persévérance est aussi une valeur commune et qui est nécessaire dans ces deux secteurs. En effet, rien n’est jamais acquis facilement. Il ne faut « rien lâcher » et se battre pour réussir son objectif. Enfin, le respect de l’autre, des règles et surtout de soi-même !
Le rayonnement des femmes dans le sport est un enjeu fort pour nous. De ton côté, comment le perçois-tu ?
Il est vrai que chez AMOS Toulouse les femmes sont très bien représentées que ce soit dans l’équipe pédagogique, les intervenantes ou encore la directrice. Madame Naude, directrice du campus, est un exemple de femme qui réussit sa carrière professionnelle et sportive. Elle partage son expertise à travers par exemple des événements sportifs pour promouvoir l’égalité homme/femme dans toute l’agglomération toulousaine. Les intervenantes ont des parcours diversifiés, motivants et inspirants. Depuis trois ans, j’ai remarqué une augmentation de la présence de jeunes filles dans les promos.Quel conseil peux-tu donner à une future AMOScienne ou professionnelle du sport business ?
Je leur conseillerai d’aller au bout de leurs idées ou de leurs projets sans tenir compte des avis négatifs qui pourraient les entraver dans la poursuite de leurs objectifs. Je leur dirai aussi de ne pas se normaliser et de se battre contre les comportements sexistes et ou réflexions misogynes. Enfin, que ce soit pratiquer un sport ou évoluer dans le sport business, c’est la même chose, le plus important c’est croire en soi. Et pour finir, come on girls!Tu joues au rugby au Mans et tu es en alternance à l’Automobile Club de l’Ouest (24h du Mans) : 2 secteurs “dits” masculins : est-ce une force ?
Je ne sais pas si c’est une force. Je ne me suis pas posée de question. Je vis ma passion du rugby et je me sens bien dans ce milieu automobile où je m’épanouis professionnellement. Par ailleurs, les femmes pilotent depuis 1922 en France. Autre exemple, la 32ème édition du Rallye Aïcha des Gazelles réunit 400 participantes cette année. Le monde automobile n’est plus un secteur uniquement masculin. Force ou non, je me sens bien dans ces deux secteurs et c’est le plus important pour moi.Est-ce que tu suis le Tournoi des 6 Nations Féminin ? As-tu un pronostic sur les vainqueures ?
Evidement que j’ai un faible pour l’équipe de France. C’est une très belle équipe qui monte en puissance et nous faire vivre des matchs de haut niveau. Ce sont des femmes méritantes et combatives. Il faut souligner qu’elles ne vivent pas du rugby. Elles ont toutes un métier à coté et mènent de front leur vie professionnelle, leur vie familiale ainsi que les entraînements et les compétitions.Un dernier mot pour finir ?
Je tiens à remercier Mathilde Lapeyre d’avoir pensé à moi pour cette interview. Pour finir, je suis optimiste quant au fait que la femme aura un jour la place qui lui revient sans devoir se justifier ou douter de sa légitimité. Merci à Lilou Serrano pour ses réponses et sa disponibilité. Crédit photo : Lilou Serrano23 Mar 2023
MasterClass Colosse aux pieds d’argile
COLOSSE AUX PIEDS D’ARGILE, UNE ASSOCIATION SUR TOUS LES TERRAINS
Dans le cadre d’une MasterClass à destination des étudiants en Bachelor et Mastère, le campus AMOS Toulouse a convié l’association Colosse aux pieds d’argile. Reconnue d’utilité publique, elle a pour missions : la sensibilisation et la formation aux risques de violences sexuelles, de bizutage et de harcèlement en milieu sportif ainsi que l’accompagnement des victimes. Cette venue a été sollicitée par deux étudiants, Lucas Monteil et Louis Fovet, soucieux d’aborder un sujet d’actualité mais aussi de découvrir l’univers associatif.
UNE « MASTER » MASTER CLASS
Organisée en trois temps, la MasterClass a débuté par un temps d’échange et de débat à l’Espace des Diversités et de la Laïcité de la Mairie de Toulouse en présence de Sébastien Boueilh, directeur et fondateur de l’association. Le deuxième jour était consacré à la réalisation d’ateliers autour de thématiques telles que la résilience par le sport, les victimes et victimes collatérales ou encore la relation athlète/entraineur. Ce fut l’occasion pour les étudiants de travailler en groupe, chapeauté par Simon Latournerie, directeur adjoint, Violaine Chabardes, responsable du pôle accompagnement des victimes et Sebastien Boueilh. Cette MasterClass s’est conclue au salon Prairie des Filtres du Stade Ernest Wallon avec la présentation des projets réalisés en ateliers. Devant 150 personnes, nos étudiants ont abordé avec brio des sujets pourtant difficiles et sensibles.
« IL FAUT PARLER »
« J'ai trouvé que c'était un sujet très intéressant, ce n'est pas un thème que l'on a l'habitude d'aborder surtout dans le milieu du sport. Les choses sont souvent étouffées. Le fait d'avoir eu un intervenant comme Mr Boueilh a fait ouvrir les yeux sur le sujet. Notamment sur le nombre de personnes atteintes d'agression sexuelle, qui était un nombre peu connu de beaucoup d'étudiants. Il faut parler ! » Emma Sernesi, etudiante en troisième année de Bachelor10 Feb 2023
Venez rencontrer nos équipes au Stade Toulousain
Découvrez notre école, échangez avec nos équipes
La réunion d'information est un rendez-vous idéal pour découvrir notre école, les cursus proposés et échanger sur vos perspectives d'avenir.Une réunion mais pas que…
Le 22 février prochain, le campus AMOS Toulouse tiendra une réunion d’information dans un cadre exceptionnel afin de donner un avant-goût concret aux futurs étudiants. En effet, ils seront accueillis au Stade Ernest Wallon, antre du Stade Toulousain pour une visite guidée des installations et un temps d’échange avec des AMOSciens ayant rejoint les équipes du mythique club de rugby.
Dans la peau d’un AMOScien
Et pour faire durer l’expérience immersive, les personnes présentes à la réunion d’information pourront assister à la « masterclass » donnée dans le cadre du programme scolaire AMOS. Vous hésitez encore sur votre avenir ? Vous avez des questions sur notre campus AMOS Toulouse ? N’attendez plus et inscrivez-vous à cette réunion d’information exceptionnelle le 22 février à partir de 17h30.
06 Feb 2023
Les différences entre le rugby et le football américain
A l’approche du Super Bowl, revoyons les bases...
Généralement connu du grand public grâce au spectacle « Halftime Super Bowl » offert à la mi-temps, le football américain est un sport encore peu côté en Europe. En effet, malgré la présence de nombreux clubs sur le vieux continent, les règles de ce sport restent encore méconnues pour la plupart d’entre nous. De plus, beaucoup prennent un malin plaisir à le comparer au rugby, ces deux sports similaires d’aspects mais bien différents de fond ! A l’approche du Super Bowl, les non-initiés se posent toujours les mêmes questions autour du rugby et du football américain. Si vous en faites partie, cet article est pour vous !Quelle est l’origine de ces sports ?
Connu officiellement en 1823, le rugby voit le jour en Angleterre à l'initiative de Williams Webb Ellis, étudiant au collège de Rugby. Selon une anecdote populaire, cette discipline a été créée lorsque Williams a décidé de ramasser un ballon et l’utiliser pour traverser tout le terrain afin de l’écraser dans l’en-but de l’équipe adverse au cours d’une partie de football. C’est d’ailleurs pour cette raison que le trophée de la plus grande compétition mondiale (Coupe du Monde de Rugby) porte son nom. Concernant le football américain, comme son nom l’indique, cette discipline a été créée aux Etats-Unis d’Amérique plusieurs décennies après le rugby. On estime qu’il trouve ses traces en 1860, avec l’arrivée des colons britanniques sur le sol américain. A cette époque, le rugby et le football (soccer) étant les disciplines les plus populaires dans le pays, Gerrat Smith Miller eut l’idée de les combiner. Dès 1870, des matchs sont joués dans certaines universités Nord-américaines. C’est quelques années après, soit en 1920 que l'American Professional Football Association voit le jour.
Le but du jeu...
Dans les deux disciplines, l’objectif est de gagner du terrain afin de se rapprocher de la zone d’en-but de l’équipe adverse. Plusieurs actions permettent aux équipes de gagner des points, et même si les règles diffèrent, on retrouve quelques similitudes entre les deux disciplines : L’action qui octroie le plus de points est le fait de passer dans la zone d’en-but de l’adversaire avec le ballon. Au Rugby, il s’agit d’aplatir le ballon dans la zone pour marquer un essai (5 points). Au football américain, on réalise un Touchdown (6 points) en pénétrant la zone avec le ballon, ou en réceptionnant une passe dedans. Ces actions peuvent être bonifiées par une transformation au pied, le ballon doit passer entre les deux poteaux (au rugby +2 points, au football américain +1 point). Au Football américain, on peut aussi tenter “l’extrapoint”, il s’agit d’une seule tentative pour repénétrer dans la zone d’en-but et ainsi gagner 2 points. Alors qu’elles tentent de gagner du terrain, les équipes sont confrontées à quelques règles. De manière très simplifiée, on notera qu’au rugby, toutes les passes à la main doivent se faire vers l’arrière, la progression se fait donc balle en main ou avec une passe au pied. Au football Américain l’équipe attaquante a 4 tentatives pour progresser de 10 yards. Si elle y arrive, elle a le droit à un nouveau cycle de 4 tentatives et ainsi de suite jusqu’à tenter un touchdown. Si elle n'atteint pas le palier à l’issu des 4 tentatives, le ballon est rendu à l’équipe adverse. Pour progresser, l’équipe qui attaque a le droit à une passe par tentative, chaque action s’arrête lorsque le porteur du ballon est mis au sol, ou que la passe n’aboutit pas. Il existe d’autres moyens de gagner des points, notamment au pied. Au rugby on gagne 3 points lorsqu’on fait passer la balle entre les poteaux. Soit après une faute commise par l’équipe adverse (appelé pénalité). Soit durant une phase de jeu, en tirant la balle au pied après l’avoir fait rebondir au sol (appelé drop). Au football américain, lors de la 4ème tentative d’une équipe, on peut tenter de faire passer le ballon entre les poteaux au pied pour gagner 3 points. Les points sont calculés selon la valeur suivante :- Au rugby : un essai (5 points), une transformation (2 points), un drop (3 points), une pénalité (3 points)
- Au football américain : un touchdown (6 points), un extra-points (1 ou 2 points), un field Goal (3 points), une sécurité (2 points pour l’équipe adverse
Le terrain...
En dehors de la forme du ballon, l’autre élément de similarité créant la confusion entre le football américain et le rugby est l'étendue terrain. Bien que possédant une zone d’en-but, les deux terrains sont différents. En effet, les distinctions entre les deux se font au niveau de la taille du terrain et des poteaux. Ainsi les poteaux d’un stade de rugby sont en forme de H tandis que ceux du football américain sont en Y. Pour la taille du terrain de rugby, les dimensions sont d’environ 100 mètres de long et 70 mètres de largeur. Concernant le football américain, l’unité de mesure est différente. Ici, on parle de « yard » soit 1 yard égale à 0,91mètres. La taille d’un stade de football américain est ainsi de 120 yards de long soit 109,2 mètres et 53,33 yards de large soit 48,53 mètres.
Les règles du jeu
Le premier élément de différenciation est la durée. Au rugby, le temps de jeu est fixé à 80 minutes au total avec deux mi-temps de 40 minutes contre 4 quart-temps de 15 minutes pour le football américain. Ces périodes de jeu sont suivis d’une pause de 12 minutes après la fin des deux premiers quart-temps. Le deuxième élément est le nombre de joueurs total sur le terrain. Au rugby la confrontation sera plus communément de 15 joueurs contre 15 (il existe également le rugby à XIII et à 7). Tandis qu’au football américain, c’est 11 joueurs contre 11. On note aussi une particularité sur le nombre de remplacement possible. Pour le Rugby, les joueurs jouent les phases offensives et défensives, et seuls 7 changements peuvent être effectués durant la rencontre. Au Football américain, il n’y a pas de limite de remplacement puisque les équipes changent presque entièrement entre les phases d’attaque et de défense.
Les accessoires...
Le principal accessoire de jeu de ces sports est le ballon ovale. Bien qu’ayant la même forme, la taille d’un ballon de rugby est d’environ 27 cm contre 28 cm pour le football américain. Pour se protéger pendant les matchs, les joueurs portent également des équipements. Au rugby, les joueurs ont la possibilité d’avoir des protections pour les cuisses, des casques et des protections dentaires qui sont souples et non obligatoires. Au football américain, tenant compte de la puissance des chocs, les joueurs portent obligatoirement des protections dentaires, des casques « plus protecteurs », des épaulettes, des protections de genoux et de coudes rigides pendant les matchs.La technologie au service du jeu
Malgré toutes ces différences, les deux disciplines sont assez similaires quant à leur rapport à la technologie. De nombreuses innovations ont vu le jour sur les terrains de Football américain et de Rugby, d’autres disciplines s’inspirent d’ailleurs de ces avancées afin de fluidifier le jeu, ou d’améliorer l’expérience du spectateur. L'arbitrage vidéo est apparu dès 1978 en NFL et a considérablement évolué afin d’augmenter le nombre de situations dans lesquelles il peut être utilisé. Au Rugby, au-delà de la VAR, utilisée depuis les années 2000, c’est l’équipement des arbitres par un micro qui séduit les téléspectateurs et les autres disciplines. En Ligue 1, le nouveau diffuseur Amazon Prime avait d’ailleurs équipé l’arbitre de St-Etienne – Monaco en avril 2022. Une action qui a relancé les débats au sein des institutions, qui souhaitent rendre l’arbitrage plus transparent envers les différents acteurs de ce sport. Au-delà de l’arbitrage, on peut noter de belles avancées technologiques chez nos amis américains. La communication entre les joueurs et les coachs se fait désormais par un micro intégré au casque du quarterback. Cela s'additionne à la mise à disposition par la Ligue de tablettes au bord du terrain pour l’analyse en temps réel des actions. Enfin, on note quelques innovations au service de l’intégrité physique des joueurs : Un concours a été organisé par la NFL pour repenser les casques des joueurs afin de limiter les commotions. Les équipes médicales ont également accès à des données de santé des joueurs en temps réel.Business is business…
Au niveau business, les chiffres penchent en faveur du Football US. Même si le sport a du mal à se démocratiser en dehors des frontières américaines, la NFL et notamment le Super Bowl (la finale de la ligue) présentent des audiences et des revenus colossaux comparés à ceux du Rugby. Le prochain contrat de diffusion de la NFL portera sur 11 saisons (2023-2033) et rapportera entre 105 et 110 milliards de dollars à la Ligue, soit près de 10 milliards par saison. Autre chiffre qui montre la super puissance américaine, le coût d’un spot publicitaire lors de la mi-temps du Super Bowl : il faudra débourser 7 millions d’euros pour 30s de publicité. A ce prix-là, les annonceurs font forcément preuve d’une grande créativité pour se démarquer... Côté Rugby, on notera tout de même de belles perspectives, surtout en France avec la prochaine Coupe du Monde en septembre 2023. D’après les prévisions de l’organisateur, la compétition devrait générer un bénéfice net de 68 millions d’euros destiné au développement du rugby en France. Avec toutes ces informations, vous disposez de quelques arguments solides pour un débat entre amis sur le rugby et le football américain. Article rédigé par Vanillie EKOUMA01 Feb 2023
Des portes ouvertes pas comme les autres à Toulouse...
Une surprise de taille...
Le 21 janvier 2023, notre campus toulousain ouvrait ses portes au grand public pour lui faire vivre une immersion au cœur de l’univers AMOS. Pour l’occasion, AMOS Toulouse a réservé une surprise de taille à ses visiteurs avec la présence de deux acteurs majeurs du rugby toulousain...Une immersion au cœur du campus
S’engager dans une formation AMOS, c’est choisir de faire de sa passion un métier. Première école spécialisée dans le sport, AMOS forme chaque année des milliers d’étudiants à devenir des experts du sport business et à évoluer au sein d’un environnement passionnant en constante mutation. Les portes ouvertes AMOS permettent à nos futur(e)s étudiant(e)s de trouver les réponses à leurs questions et de choisir une formation adaptée à leurs aspirations et projets professionnels. Ces journées sont également l’occasion idéale d’échanger avec nos étudiants, nos intervenants et découvrir l’école de l’intérieur.
Une rencontre privilégiée avec deux acteurs majeurs du rugby toulousain


A vos agendas !
Les prochaines rencontres avec AMOS Toulouse se tiendront le 22 février et seront délocalisées dans un lieu emblématique de la ville rose... En attendant ce rendez-vous, des réunions d’informations sont organisées tous les mercredis en présentiel sur le campus ou en visioconférence. Article rédigé par Mélek Mestiri, chargée de communication et d’événementiel.19 Jan 2023
Rencontre avec la Maison du Sport au Féminin, AMOS Toulouse
Un lieu unique au service des femmes
Le sport féminin a connu une évolution significative ces dernières années. Cependant, il existe toujours des disparités importantes quant au soutien et à la reconnaissance accordé aux sportives de haut niveau comparée à leurs homologues masculins. La lutte pour l’égalité des sexes dans le sport se poursuit et nécessite des efforts majeurs pour combler les écarts de salaire, l’accès à la pratique sportive pour toutes et améliorer la couverture médiatique. Malgré ces nombreux défis, l’avenir du sport féminin semble prometteur et des organisations telles que la Maison du Sport au Féminin s’efforcent d’éliminer ces obstacles pour faire bouger les lignes. Inaugurée en décembre 2022 à Toulouse, la Maison du Sport au Féminin se veut être un lieu unique et de référence, au service des femmes et des initiatives existantes. Rencontre avec Maguelone Pontier et Léa Durand de la Maison du Sport au Féminin !Quelles est la vocation de la Maison au Sport au Féminin ?
« En France la présidence de ligues et comités régionaux est assurée à 12% par des femmes contre 88% par des hommes, 20% seulement du volume horaire des retransmissions est consacré au sport féminin. Le chemin est donc encore long. Il ne s’agit pas de créer une égalité mathématique parfaite entre les hommes et les femmes, ni de céder à un dogmatisme effréné et inefficace mais simplement de faire en sorte que les femmes aient les mêmes possibilités que les hommes de s’engager dans le sport. La Maison entend promouvoir toutes les actions qui contribuent à la mise en œuvre concrète de deux grands principes fondamentaux de notre pays, à savoir l’égalité en droit et son corollaire juridique , le principe de non-discrimination. Cette Maison a été créée pour fédérer, être un guichet unique, répondre à des carences, susciter des collaborations, accélérer le changement et être au service des femmes et des initiatives existantes : nombreuses, inspirantes et précieuses. » Léa Durand « Améliorer l'accès à la pratique des femmes et des filles dans le sport qu'elles soient amateures ou professionnelles. Mettre en lumière les femmes dans le sport dans toutes ses acceptions. Il faut parler partout du sport au féminin, de la cause des femmes qui performent dans le sport, qui parlent du sport, qui vivent pour et par le sport. » Maguelone Pontier
Comment en êtes-vous arrivés à la mise en place de la Maison du Sport Féminin ?
« D'une conclusion de la commission Sport du MEDEF31 : l'inégal accès aux pratiques sportives pour les femmes et les filles. De ce constat et sous l’impulsion du monde sportif toulousain, clubs, associations, salles de sport ont uni forces, réseaux et compétences pour améliorer l’accès à la pratique sportive en Occitanie. » Maguelone PontierQuelles sont les thématiques sur lesquelles vous travaillez ? Pouvez-vous citer quelques-unes de vos actions ?
« Pour promouvoir, favoriser et encourager la pratique du sport au féminin en Occitanie, pour accompagner les problématiques d'égalité liées et au-delà du genre, nous avons opté pour le pragmatisme à travers la création de pôles pilotés par des professionnels. Notamment autour de 5 thématiques : l'accessibilité, le sport et la santé, la visibilité et la notoriété, la pédagogie et la culture, les carrières sportives féminines, dont Camille Naude, Directrice d’AMOS Toulouse et Fondatrice de la AMOS Women’s French Cup. Pour chacun de ces pôles, nous allons y associer des actions comme : de la sensibilisation dans les écoles, la création d'un guichet unique de référencement du sport féminin, un centre de ressources culturelles, la publication d'un livre qui suit des sportives de haut niveau jusqu'aux JO 2024, un podcast... Sur le long terme, nous souhaitons grâce à des actions de formations, créer un réseau d'ambassadrices et d'ambassadeurs du sport féminin au-delà de la région Occitanie. » Léa Durand « Pour compléter les propos de Léa, nous souhaitons changer le regard sur la place des femmes dans le sport. Nous travaillons à revoir les espaces dans les cours de récréations pour laisser enfin leur juste place à la pratique du sport chez les petites filles, œuvrer à féminiser les noms des équipements sportifs... » Maguelone PontierQuelle est votre mission au sein de la Maison du Sport au Féminin ?
« Il s'agit d'un mandat de présidente. J'anime et coordonne les volontés des membres du conseil d'administration. Je représente la Maison devant les acteurs économiques et politiques et cherche des financements et des compétences partout où il est possible d'aller. » Maguelone Pontier « Je suis directrice de la Maison. Mon rôle aujourd'hui est surtout celui de la mise en place des actions sur le terrain, du suivi de nos partenaires et bien sûr de faire connaître nos actions afin de mobiliser des acteurs et actrices autour de nous. » Léa Durand
Léa, vous êtes sociologue spécialisée en genre, égalité, politiques sociales. Pourquoi avoir choisi cette filière ? Quel est le lien avec le Sport ?
« J'ai choisi cette filière de spécialisation au début de mes études. J'ai toujours fait de la recherche sur la santé majoritairement. J'ai pris conscience assez vite qu'on ne pouvait pas penser les inégalités d'accès à la santé sans y inclure les inégalités de genre. J'ai travaillé notamment avec des patients et patientes atteints de cancer pour en voir les différences. Il est intéressant de voir que le genre se loge partout. Penser que les inégalités entre les femmes et les hommes n'est qu'une question de salaire, ce n'est pas suffisant. On pourrait croire que le sport n’est qu’un loisir, un divertissement… Pourtant c'est un réel miroir de nos relations et surtout un levier d'inclusion sociale. » Léa DurandQuels sont vos objectifs pour l’année 2023 ?
« Transformer l'essai ! Concrétiser nos souhaits en actions le plus rapidement possible et voir naître le guichet unique et pourquoi pas le centre de ressources culturelles. » Maguelone Pontier « Pour 2023, il faut que la Maison ait une vraie visibilité sur le territoire pour que nos actions soient impactantes. Nous souhaitons lever les barrières d'accès au sport et bien sûr déconstruire les aprioris sur le sport féminin. » Léa DurandQuels conseils pourriez-vous donner à nos étudiants qui souhaitent évoluer dans le Sport Business Féminin ?
« D'être résolument féministe ! Il est indispensable d'œuvrer à l'égalité femmes hommes partout, toujours, s'indigner et faire bouger les lignes quel que soit son genre. » Maguelone Pontier20 Dec 2022
GSBM Study Trip, ISPO European’s leading sports trade fair
The ISPO Trade Fairs
At dawn, on a smoggy Sunday morning late November, our Global Sport Business Master students (GSBM 1) landed in Munich - one of the most iconic European cities when it comes to sports. During their first year of the international Masters programme, our AMOScians learn about the European market, and there is no better case study than the European’s leading sports trade fair: ISPO. During 4 days, hundreds of companies showcased their latest innovative products on outdoors winter sports, while looking for new partnerships, and clients to shape the future of sports together. ISPO Munich is certainly a stage for solutions-oriented dialogues. From digitalisation to sustainability, the sports industry is facing several challenges, and what better than uniting the main players in the market, to exchange ideas, visions, and perspectives.
An opportunity to network
When surrounded by many worldwide brands and truly innovative products, it is easy to forget the reason of your presence, but it did not blur the vision of our students. Armand Ronvel (AMOS London) describes it here, « Professionals were very accessible, it did not matter if we were students, they took time to explain their different ranges of products as well as giving us tips for our future careers, and insights about the market. » For Maxime Jos (AMOS London) it was « a superb opportunity. I did not realise how big it was before getting there, just mind-blowing. It is impossible not to find the aspect of sports that is of interest to you, I am passionate about the fashion and retail aspect of sports, and there was so much in there for me. »
What else has Munich to offer?
Leaving ISPO on the side, our students got to discover the other facets that make Munich a World Sports capital. The Allianz Arena Stadium On their second day, after a morning spent networking at the trade show, the AMOScians experienced the atmosphere of the Allianz Arena. As they walked out of the tunnel, they went through the changing and the press conference rooms and discovered the fascinating details that make this stadium unique in its structural design. After the tour, the AMOScians immersed themselves in the German champion’s history by heading to the FC Bayern Museum. From the founding of the club, in 1900, to its current successes, our students lived a journey through time in the largest football museum of the country.

09 Dec 2022
L'Équipe devient partenaire officiel d’AMOS, une école du groupe ACE Education
Un partenariat gagnant
Le groupe L’Équipe, première marque d’information sportive et référence du journalisme sportif en France et à l’international, devient partenaire officiel d’AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education. Organisation d’événements, nouvelles opportunités professionnelles pour les étudiants, rencontres et MasterClass inédites sont au programme de cette collaboration 100% gagnante. Depuis 2005, sur 12 campus en France, AMOS Sport Business School forme aux métiers du management du sport, de l’événementiel, du marketing sportif ou encore à l’entreprenariat. Son ambition : viser l’excellence afin de mener des étudiants passionnés de sport à un métier à haute responsabilité. Notre fierté ? Un réseau inégalé de partenaires dans le secteur du sport qui accompagnent la professionnalisation des étudiants, par ses intervenants qui sont des experts reconnus dans le secteur et la qualité d’enseignement qui a permis d’obtenir un taux d’insertion professionnel de 94,9%, 9 mois après obtention de la diplomation.AMOS devient ainsi la seule école de commerce 100% Sport Business partenaire officiel de L’Équipe
Sylvestre Louis, directeur général du Groupe ACE Education (à droite sur la photo) « Le Groupe ACE Education et AMOS Sport Business School sont heureux de signer ce partenariat officiel et innovant avec L’Equipe. C’est un rapprochement unique entre une école leader en management du sport et ce média sportif historique et de référence qu’est L’Equipe. Pour les étudiants du groupe ACE Education, ce partenariat permettra d’avoir accès à des expériences professionnelles innovantes pour mieux appréhender les enjeux des médias de demain. En lien avec nos approches de l’éducation, nous sommes convaincus que les immersions dans des environnements professionnels sont des opportunités uniques d’apprendre, mais aussi des opportunités pour de jeunes talents de se révéler en faisant naitre des vocations et d’accéder à des emplois qualifiés. » Laurent Prud’homme, directeur général du Groupe l’Equipe (à gauche sur la photo) « Je suis très fier d’être le parrain de cette promotion 2022/2023 d’AMOS Sport Business School et de représenter le groupe l’Equipe auprès de centaines de jeunes qui ont pour ambition de mener une carrière dans le management du sport. Cet engagement va dans le sens des actions que nous menons toute l’année à travers les stages d’études supérieures ou les contrats professionnels et d’apprentissage. Chaque année, l’Equipe ouvre ainsi ses portes à plus de 100 étudiants pour des échanges enrichissants où chacun peut apprendre et s’inspirer de l’autre ».08 Dec 2022
Nos AMOSciens sur le terrain - Spécial Bénévolat
Retour sur les dernières expériences pédagogiques et professionnelles...
A l’occasion de la Journée Mondiale du bénévolat le 5 décembre, retour sur quelques expériences pédagogiques organisées par les Labs AMOS de nos différents campus depuis la rentrée.Nos AMOSciens au cœur du volontariat sportif lyonnais

Du triathlon Bayman à La Route du Rhum, Théo, laborantin de Rennes en action

Les étudiants d'AMOS Toulouse au plus près des acteurs du sport

Le week-end international du Sport à Londres avec Armand

Timothée Skaghammar, un laborantin aux multiples compétences

Quentin Scherrer, laborantin Amos Strasbourg nous dévoile les coulisses de son travail

Les AMOSciens d'Aix et Marseille au cœur de l'événementiel sportif

AMOS Paris, la relève sur le TIBY Handball

Un début d'année actif pour le Lab de Bordeaux

02 Dec 2022
AMOS soulève les couleurs du volontariat...
Journée mondiale du bénévolat : 5 décembre
AMOS Sport Business School soulève les couleurs du volontariat à l’occasion de la journée du bénévolat afin de mettre en avant les étudiant.e.s qui s'impliquent au quotidien durant leurs expériences professionnelles grâce à la plateforme Volunteers4Sport. Dans le cadre de leur cursus, les AMOScien.ne.s participent tout au long de l'année à des évènements sportifs locaux, nationaux ou encore internationaux. En plus de l'expérience terrain sur des missions variées, ces heures dédiées à leur professionnalisation, leur permettent de gagner en responsabilité et en compétence tout en découvrant les coulisses de l'évènementiel, de la communication et ou encore du commerce.AMOS Lab : concepteur, organisateur, accélérateur de projets
Présent dans tous nos campus, l’association AMOS Lab a pour mission d'assurer à nos étudiants le lien entre le monde académique et le monde professionnel. Les AMOS Lab collaborent avec la plupart des acteurs du sport business sur les thématiques qui font leur quotidien. Ces expériences professionnelles permettent ainsi de mettre en pratique les différentes compétences acquises à l'école et contribuent à la construction de leur réseau dans le sport business. Les objectifs du AMOS Lab sont multiples : • Permettre aux étudiants de mieux définir leur projet professionnel • Construire un réseau avec les acteurs du secteur • Acquérir de l'expérience et des compétences terrain Autant d'aspects qui se révèleront être de vrais atouts lors de leur intégration professionnelle !
Exemple Montpellier avec l'Open Sud de France
« Grâce à AMOS Montpellier, j'ai pu participer à l'édition 2022 de l'Open Sud de France. Cela m'a permis de découvrir les coulisses d'un évènement de tennis international. Etre bénévole m'a donné l'opportunité d'avoir des missions autour de l'hospitalité comme l'accompagnement des joueurs et des entraîneurs, préparer le matériel pour les matchs ou encore être à la disposition des arbitres. Lier ma passion du tennis et côtoyer des athlètes internationaux m'a donné envie de réitérer l'expérience pour l'édition suivante ! » Thomas, étudiant AMOS Montpellier.
Exemple avec le Stade Nantais
Le Stade Nantais et AMOS sont partenaires depuis la saison 21-22. Ce partenariat s'articule autour de la mise en place d'un projet pour permettre aux étudiants de découvrir l'évènementiel sportif à travers différentes missions tutorées par AMOS ainsi que le club. Plus qu'un événement précis, c'est la présence des étudiants AMOS lors de chaque match à domicile qui est à saluer. Leurs missions sont diverses (billetterie, restauration, accueil, etc) et leur présence est essentielle pour le bon déroulement de nos évènements. » Bertrand Stephan, Responsable communication du Stade Nantais. Une année riche d’expériences pour nos AMOSciens.ne.s au cœur des événements sportifs ! L’ensemble des campus AMOS remercie ses partenaires pour la confiance accordée. Vos structures sont intéressées pour accueillir des AMOScien.ne.s qui ont soif d’expériences professionnelles ? N’hésitez pas à vous rapprocher des AMOS Lab cet effet ! Rédigé par Théo Gueydan, chargé de communication à AMOS Montpellier en alternance.24 Nov 2022
GSBM AMOS Students at the Sports Tech Nation 2022 in Tel-Aviv
A close partnership and a futuristic vision
On September 2022, AMOS Sport Business School and Colosseum Sports Tech Hub agreed to launch a close partnership with various elements and a futuristic vision. At first, Colosseum organized a Hackathon in collaboration with Pixellot, the well-known Sport AI Camera (TLV Born), on the Business theme: How the French education sector can leverage Pixellot Automated technology to help athletes in underprivileged communities get exposure? The GSBM (Global Sports Business Master) Master 1 students from London, Paris, Madrid, Bordeaux, and Lille Campus had 5 days to develop and present a strategic plan, in order to help Pixellot penetrate the French market.

