ACTUALITÉS
23 Feb 2023
Interview Etudiants, une année sur notre campus à Valence en Espagne
A la découverte du Sport Business en Espagne pour nos étudiantes...
Elles sont deux, Emma et Mathilde, parties découvrir le Sport Business au-delà de la France. Bagages en mains, elles ont décidé de rejoindre ESBS by AMOS Valence (Espagne) pour une année. Dans cet article, vous découvrirez leur univers, de la ville au Sport Business, en passant évidemment par les rencontres effectuées. Une envie d’ailleurs, mais toujours dans l’objectif de la montée en compétences. Bravo et merci les filles pour cette interview !Pouvez-vous vous présenter ?
« Hello, je m’appelle Mathilde Martinez, j’ai 20 ans, je suis en troisième année à AMOS Sport Business School au sein du programme international. J’ai décidé de réaliser mon année à Valence sur le campus ESBS by AMOS. » Mathilde « Salut, je m’appelle Amélia Baouz, j’ai 20 ans aussi et je suis actuellement en troisième année à l’ESBS by AMOS à Valence en Espagne. » AméliaAmélia : comment trouves-tu la ville de Valence ?
« La vie à Valence est très sympa ! C’est une cité cosmopolite, pas trop grande, avec beaucoup de charme. Ce que je préfère, c’est le climat avec ses 300 jours de soleil par an, ses plages urbaines de sable fin et eaux turquoises, la cité des arts et sciences, sans oublier la paëlla Valenciana et les tapas... Après, Valence étant une ville balnéaire : à partir de décembre, la vie économique, les activités et l’ambiance général sont au ralenti. » AméliaAmélia : qu’est-ce qui change le plus entre la France et l’Espagne ?
« Outre la langue, ici c’est le rythme de vie. Les Espagnols vivent en décalé par rapport à nous, et surtout la nuit. Je pensais que l’adaptation serait difficile, mais absolument pas, nous avons adopté leur mode de vie très rapidement et c’est très plaisant. » Amélia
Amélia : pourquoi avoir choisi notre programme international ? Et pourquoi Valence ?
« Consciente que l’apprentissage de l’anglais est un élément clé pour mon avenir professionnel, dès la fin de mon bac, j’ai envisagé de poursuivre mes études à l’étranger. J’ai alors découvert AMOS, qui m’offrait cette opportunité, je l’ai saisie. Notre semestre à Londres en deuxième année n’a fait qu’amplifier mon souhait de rejoindre le programme international. » Amélia « Après hésitation entre deux pays, j’ai opté pour l’Espagne, même si c’est un pays que je connais et pas si loin de la France. J’ai choisi Valence car tout d’abord, c’est une université partenaire d’AMOS, ça me permettait de continuer le même cursus à l’étranger. Ensuite, sachant que je suis passionnée de foot et souhaiterais évoluer dans ce secteur, l’Espagne était une bonne opportunité pour en apprendre plus sur le foot et ses divers métiers. » Amélia « Le dernier critère de mon choix et pas des moindre, à Valence tous les cours sont dispensés en anglais. Nous avons également un cours d’espagnol, que nous mettons en pratique, dans notre vie quotidienne d’étudiants. Un semestre, vraiment intéressant humainement et professionnellement ! » AméliaAmélia : penses-tu retenter une expérience à l’international avec AMOS ?
« Pour l’instant, je suis hésitante sur ma cinquième année, je suis tiraillée entre mon envie débordante de partir à l’étranger, découvrir de nouveaux horizons et mon envie de rester en France ! » AméliaMathilde : quelles structures as-tu visité ?
« Au niveau des structures sportives, nous avons pu visiter Mestalla, qui est le stade de foot du Valencia CF. Nous avons également eu l’occasion de visiter l’une des plus grandes infrastructures de basket en Europe, l’Alqueria del basket et pour finir notre année, nous allons visiter le circuit Ricardo Tormo, qui accueille des grands prix de moto. » Mathilde
Mathilde : comment se passent tes cours ?
« Les cours se passent bien, le système d’intervenants est le même qu’en France : ce ne sont que des professionnels qui viennent nous faire part de leurs connaissances. Et parfois, ce sont des personnes qui ont un poste très important, par exemple en droit nous avons eu Juan de Dios Crespo, avocat qui s’est notamment occupé du transfert de Neymar au PSG. » MathildeMathilde : as-tu le sentiment d’avoir grandi après cette expérience ?
« Oui, j’ai l’impression de continuer mon évolution, c’est pour ça qu’après Londres, je voulais de nouveau partir. Je voulais continuer de découvrir de nouvelles cultures et surtout de nouvelles façons d’appréhender le Sport Business. » Mathilde « Le fait de se retrouver de nouveau dans un autre pays, avec de nouvelles personnes, de nouveaux intervenants, permet de sortir de sa zone de confort et d’en apprendre encore plus sur qui on est et ce que l’on veut dans la vie. » Mathilde
Mathilde : que retiens-tu de cette année ?
« Ce que je retiendrais le plus, ce sont les rencontres que j’ai pu faire. Nous avons formé un bon petit groupe de copains sans qui cette année n’aurait pas été la même. » MathildeMathilde : quel conseil peux-tu donner à un étudiant qui hésite à se lancer à l’international ?
« Surtout qu’il n’hésite pas, c’est le meilleur moment pour se lancer à l’international. C’est une expérience unique, peu importe le pays. Et le petit plus, c’est que ça plait aux employeurs. » Mathilde16 Feb 2023
Bravo à notre équipe universitaire de basket, championne PACA 2022/23
Les campus AMOS Aix-en-Provence et Marseille brillent via le sport universitaire
Après le foot et la série dédiée du Bureau des Sports d’AMOS Marseille, c’est le basket qui fait parler de lui. Notre équipe, composée d'étudiants de différentes promotions de nos deux campus, a en effet été sacrée championne PACA ! L'équipe : Mattéo Borghino, Luca Redziock – 1ère année de Bachelor, AMOS Aix-en-Provence / Matteo Guisbert – 1ère année de Bachelor, AMOS Marseille / Grégory Heinrich – 2ème année de Bachelor, AMOS Marseille / Mehdi Defranoux – 3ème année de Bachelor, AMOS Aix-en-Provence / Julien Massimelli, Baptiste Sanchez – 3ème année de Bachelor, AMOS Marseille / Benjamin Dhalluin, Dao Nguyen – 1ère année de Mastère, AMOS Marseille / Benjamin Lelanek, Marvin Massadila – 2ème année de Mastère, AMOS Marseille / Fabien Mikikian – ancien étudiant, AMOS Marseille.

Le retour de Benjamin Dhalluin sur leur saison de basket


16 Feb 2023
Conférence Métier MHR, Castres olympique : responsable com
Présentée par Lisa Valette-Masson du Castres Olympique et Yannis Dominguez du MHR
Lundi 23 janvier 2023 s’est déroulée à AMOS Montpellier une conférence mettant en scène Lisa Valette-Masson, responsable communication au Castres olympique et Yanis Dominguez, responsable communication au Montpellier Hérault Rugby, tous deux évoluant en Top14. Nos AMOScien.ne.s ont découvert leur métier à travers leurs expériences. Ces professionnels ont été interviewés par Cloé Wisselmann et Emeline Denis, actuellement en première année du Master of Business in Sport, qui s’étaient organisées en conséquence… Une liste de questions abordant plusieurs thèmes avait été dressée : RSE, management d’équipe, typologie de contenu... « Nous vendons l’image du club au public et cherchons à la faire apprécier. » Lisa Valette-Masson

10 Feb 2023
Venez rencontrer nos équipes au Stade Toulousain
Découvrez notre école, échangez avec nos équipes
La réunion d'information est un rendez-vous idéal pour découvrir notre école, les cursus proposés et échanger sur vos perspectives d'avenir.Une réunion mais pas que…
Le 22 février prochain, le campus AMOS Toulouse tiendra une réunion d’information dans un cadre exceptionnel afin de donner un avant-goût concret aux futurs étudiants. En effet, ils seront accueillis au Stade Ernest Wallon, antre du Stade Toulousain pour une visite guidée des installations et un temps d’échange avec des AMOSciens ayant rejoint les équipes du mythique club de rugby.
Dans la peau d’un AMOScien
Et pour faire durer l’expérience immersive, les personnes présentes à la réunion d’information pourront assister à la « masterclass » donnée dans le cadre du programme scolaire AMOS. Vous hésitez encore sur votre avenir ? Vous avez des questions sur notre campus AMOS Toulouse ? N’attendez plus et inscrivez-vous à cette réunion d’information exceptionnelle le 22 février à partir de 17h30.
09 Feb 2023
Nos futurs étudiants à la AMOS Like Zone du Groupama Stadium
Une expérience inédite pour nos futurs étudiants...
Mercredi 1er février 2023, une vingtaine de futurs étudiants ont été conviés par le campus AMOS Lyon pour assister à la rencontre de Ligue 1 Uber Eats entre l’Olympique Lyonnais et le Stade Brestois. Située côté Sud du parvis du Groupama Stadium, la AMOS Like Zone a fait le plein lors de cette 21e journée. De futur(e)s AMOSciennes et AMOSciens ont été invité(e)s à assister à cette rencontre et profiter d’un avant-match animé sur l’espace dédié aux étudiants, suite au jeu concours mis en place au mois de janvier.

09 Feb 2023
AMOS Lille partenaire officiel du meeting international de Liévin
AMOS et le Meeting de Liévin renforcent leur collaboration
Meilleur meeting indoor d’athlétisme au monde devant celui de Madrid, Birmingham ou encore New-York, Liévin accueillera de nouvelles stars internationales le 15 février 2023. Impliquée depuis quelques années dans son organisation, l’école AMOS Sport Business School signe cette année, un partenariat officiel avec la référence mondiale. Diffusé en direct sur L’Equipe 21 (nouveau partenaire de l'école), certains vivront l’évènement depuis leurs écrans partout dans le monde. D’autres, chanceux, y assisteront en tribune dans une Arena couverte pleine à craquer, qui affiche sold out depuis plusieurs semaines. Enfin, les derniers prendront part à l’organisation et parmi eux, des étudiantes et étudiants AMOS ! Après plusieurs années de collaboration et où de nombreuses synergies ont vu le jour, AMOS Lille et le Meeting de Liévin renforcent donc leur partenariat pour sa 30ème édition ! Au-delà de l’aspect visibilité, l’expérientiel étudiant est au cœur de cette relation de confiance avec le Meeting de Liévin et plus largement avec la Ligue des Hauts-de-France d’athlétisme. De la préparation logistique de l’évènement en passant par l’accueil des athlètes, les interviews des vainqueurs en anglais et français ou encore la gestion de la plateforme internationale des résultats le jour J, les missions pour les AMOSciennes et AMOSciens lillois ne manquent et ne manqueront pas. Ces derniers auront encore la chance de côtoyer les athlètes et de les voir tutoyer les sommets. Le plateau s’annonce à nouveau exceptionnel cette année comme en témoignent les présences du champion olympique Jakob Ingerbrigtsen (qui s'est emparé du record du monde du 1500m sur la piste nordiste l’an passé), d’Armand Duplantis (le perchiste champion olympique ayant passé la barre stratosphérique des 6m21 en 2022 !), la championne olympique et du monde de perche Katie Moon Nageotte, le recordman du monde du 60m haies Grant Holloway, le champion olympique du 100m Marcel Jacobs ou encore la recordwoman du monde du 1500m Gudaf Tesgay ! D’autres stars françaises et internationales sont également attendues dans l’arène des Hauts-de-France ! Attendu par tous les afficionados d’athlétisme et de sport en général, le Meeting de Liévin confirme son statut de numéro 1 mondial et affirme son identité et sa volonté de rester ancré dans le territoire local. Travailler de concert avec les futurs professionnels du sport business AMOS était donc une évidence. Les épreuves au programme du meeting de Liévin :- Femmes : 400 m / 800 m / 1500 m / 3000 m / Triple saut / Perche
- Hommes : 60 m / 60 m haies / 400 m / 800 m / 1500 m / 3000 m / Longueur / Perche
09 Feb 2023
GSBM student interview Maxime, a strong passion for NFL
The Super Bowl is coming...
This 12th of February, 11:30pm, is the kick-off of one of the most anticipated sporting event of the year: the Super Bowl. This mega event which was viewed by over 200 million people last year will oppose the Chiefs to the Eagles, at the State Farm Stadium in Arizona. Many of our students are fan of American sports, and this is the case for Maxime Jos - a Global Sport Business Master - 1st year student, from the London campus.A strong Passion for NFL
« I discovered American Football when I was a teenager by watching movies such as Maxi Papa and Always America. There is a fighting spirit in this sport that I love. I started to play when I moved to Lille, where I played for 2 years as a line backer, it was a dream. The number of strategies that go into one game has always fascinated me. » Maxime Jos Currently, he does not have the opportunity to play... « I am focusing on martial arts, notably boxing, which I practice a few times a week, but hopefully in the years to come I will get back into it. » Maxime Jos « When I was at PACE University, New York City, I went to watch the homecoming game of my university. It was an interesting experience. As I had been playing this sport for the last 2 years, I understood the several aspects of the games. » Maxime Jos
Working experience for an NFL agency
During the third year of the Bachelor programme, our students have the occasion to travel overseas and study for a semester in a partner university. Maxime took this option and fulfilled his dream by heading to the US. Maxime went to PACE University (New York City), and, thanks to the J1 Visa, he was able to work for companies on the American soil once his semester was over. An opportunity that he seized, to discover a new market and to develop his NFL passion and knowledge. « I did work for an NFL agency in New-Jersey. It was a great experience, I earned a lot about marketing, branding and prospecting. The job, at the time, was prospecting brands for the players. Players have their own interests, and they want to represent brands they feel comfortable with, so our job was to find these companies and negotiate for them. If I had the opportunity to do it again, I would seize the chance again, of course! » Maxime Jos
09 Feb 2023
Super Bowl, bien plus qu’un événement sportif...
L'événement le plus important du calendrier de la Ligue Nationale de Football
Le Super Bowl est considéré comme le plus grand événement sportif de l’année aux États-Unis. Il a lieu tous les ans à la fin de la saison NFL, en général au début du mois de février. Cette année, il se déroulera le 12 février 2023. Le Super Bowl est un match de championnat qui oppose les deux meilleures équipes de la NFL dans un stade rempli de fans enthousiastes et de stars du monde du divertissement. Ce n'est pas seulement un match de football, c'est un véritable spectacle avec une grande production musicale et des performances des plus grands artistes. Pour cette édition 2023, c’est Rihanna qui a été contactée pour performer durant la mi-temps, le célèbre « Halftime Show ». DJ Snake sera aussi de la partie, puisqu’il a été choisi par la NFL pour mixer avant le coup d’envoi. Cet événement est également connu pour les sports publicitaires, qui attire de nombreux annonceurs en raison de son audience massive. Les publicités lors du Super Bowl sont les plus coûteuses au monde et les attendues de l'année : elles sont devenues cultes en raison de leur créativité et de leur humour. Considéré comme un événement de fête nationale aux États-Unis, des millions de personnes se réunissent en famille et entre amis pour assister à ce match exceptionnel. Le Super Bowl est donc bien plus qu'un simple match de football. Il s'agit d'un événement culturel majeur qui rassemble pour célébrer le sport, la musique, la publicité et la camaraderie. Un spectacle à ne pas manquer !
Nos étudiants en parlent...
Nous avons interviewé deux étudiants AMOS Bordeaux, Tahitoa Roomataaroa dit « Paipai » et Vito Cavallo, tous les deux 22 ans et joueurs aux Lions de Bordeaux club de football américain en deuxième division. Bien qu’ayant des postes différents, l’un rusher, et le second running back, ils se rejoignent sur le côté stratégique et de cohésion qu’offre leur sport. Ils évoquent notamment comment la NFL a su créer un événement aussi célèbre et soulignent la qualité des publicités et du show à la mi-temps. C’est effectivement grâce à cet événement que des personnes découvrent ce sport. C’est ce qui s’est passé pour nos deux étudiants. « L’événement qui m’a marqué vient du Super Bowl XLIX (celui de 2014), opposant les Seahawks de Seattle et les Patriots de New-England même si le concert de Katy Perry était impressionnant, c’est le dernier jeu offensif de Seattle qui a retenu mon attention » Tahitoa « Quatrième et dernier quart-temps, Seattle est menée 24 à 28, 25 secondes au chronomètre, 2ème tentative et 2 yards à parcourir pour marquer, Marshawn Lynch est en position, la balle est mise en jeu et lorsqu’on pensait voir une course en plein centre de celui que l’on surnomme Beast Mode, c’est une passe qui est lancée par Russell Wilson en direction du receveur numéro 83, Ricardo Lockette. Cette balle ne finira pas sa trajectoire dans les mains de ce destinataire mais sera interceptée par Malcolm Butler, cornerback de New-England et scellera mon premier match de football américain ». Vito, étudiant Global Sport Business Master
09 Feb 2023
Interview étudiants BDA Bordeaux, un challenge au quotidien
Sens de l'engagement, organisation...
Faire partie du BDA (Bureau des AMOSciens), apporte un sens de l'engagement et une première expérience au sein d'une association. Mais c'est aussi un défi quotidien qui demande beaucoup d'organisation. Antoine Ragueneau et Victor Beaudry, président et vice-président, nous font part de leur expérience.Pouvez-vous vous présenter ? Quel est votre projet professionnel ?
« Je m’appelle Antoine, j’ai 22 ans, je viens de Clermont-Ferrand. Je suis actuellement en troisième année du Programme Grande Ecole à AMOS Bordeaux. Mon projet professionnel s’oriente vers les métiers de l’évènementiel. J’aimerais bien travailler plus tard au sein d’une structure professionnelle dans le monde du rugby. » Antoine Ragueneau. « Moi c'est Victor Beaudry, j’ai 21 ans, je suis en deuxième année de Bachelor à AMOS Bordeaux. J'ai comme objectif de travailler dans l’entreprenariat et le développement. Sinon, je n'ai pas vraiment de domaine qui se détache, je me donne le temps de mes études pour mûrir mon projet on va dire. » Victor BeaudryPratiquez-vous un sport ?
« Oui je suis assez sportif, j’aime bien pratiquer différents sports comme le padel ou le basket. Mais mon sport de prédilection depuis que j’ai 8 ans, est le rugby. J’ai eu la chance de pratiquer ce sport en catégorie jeune dans des structures professionnelles comme l’ASM. Maintenant j’évolue à l’Union Sportive Bouscataise en régionale 1. » Antoine Ragueneau « Oui je suis sportif, je fais du basket en 5 par 5 durant la saison et l’été je passe sur du basket 3 par 3 pour pouvoir jouer entre amis. Je fais également du crossfit. » Victor BeaudryAntoine, tu es directeur du BDA, peux-tu présenter l’association ?
« Le Bureau des AMOSciens (BDA) a pour objectif d’animer la vie étudiante de tous les élèves d’AMOS. Il y a différentes missions au sein du BDA, elles sont redistribuées vers différents pôles. Il y a d’abord le bureau avec un président, un vice-président, Victor Beaudry et un trésorier, Corentin Duc. Ensuite il y a 3 pôles, avec un responsable pour chaque pôle. » Antoine Ragueneau « Un pôle communication qui s’occupe de la gestion de notre compte Instagram et de la création de contenus sur notre actualité et nos divers événements. La responsable est Mélissa Goulée. Le pôle Event qui s’occupe des événements, soirées, projets vie de l’école. Il y a aussi le pôle Sport Universitaire qui s’occupe des différentes équipes, cette année foot et basket. » Antoine Ragueneau
Victor, tu es vice-président du BDA, peux-tu présenter sa mission ?
« Le but principal du BDA, c’est de permettre à chaque étudiant de profiter de ses études tout en ayant une vie extra-scolaire chargée en rencontres et bons souvenirs. Si l’étudiant se sent épanoui dans l’enceinte de l’école et à-côté, alors c’est parfait. » Victor BeaudryQuelles sont vos missions précisément ?
« Cette année, ma mission principale est le Sport Universitaire. Je m’occupe de mettre en place et d’organiser les différents plannings et rencontres ainsi que toute la logistique en termes de matériel, de rendez-vous sur les lieux de rencontre sportive, par exemple. » Victor Beaudry « Pour ma part, je m’occupe des deux gros événements que le BDA organise dans l’année, c’est-à-dire le week-end d’intégration et le week-end ski. Mais je m’occupe aussi d’aider les différents pôles notamment le Sport Universitaire pour le foot et le basket. Je fais aussi un peu l’intendant, avec la gestion des entrainements, compositions, maillots, ballons... Je suis aussi amené à beaucoup aider le pôle Event, pour organiser des soirées sur Bordeaux. » Antoine RagueneauRencontrez-vous des difficultés lors des projets mis en place ?
« Oui constamment, notamment sur le Sport Universitaire pour construire des équipes complètes et compétitives. Avec les différents rythmes de cours des étudiants, il est très compliqué de réunir tous les joueurs les jours de match. Une autre difficulté, c'est de créer une cohésion, qu’on essaye d’avoir depuis deux ans. On essaye de créer des liens entre les promos, ce n’est pas toujours facile. L’autre grosse difficulté, c'est de susciter un engouement auprès des élèves autour des événements qu’on organise, comme le week-end ski, ou les soirées. Il faut constamment relancer les étudiants. Le défi, c’est d’être très proche de tous pour qu’on gagne leur confiance. » Antoine Ragueneau « Une des plus grosses difficultés qu'on ait eues, c'était après le Covid où il a fallu redonner l’envie à l’étudiant de sortir. Le BDA n’ayant rien fait durant quasiment deux ans, ça n'a pas été facile de remettre cette association dans l'esprit des étudiants et dans leur vie étudiante. C'est pourquoi, il est important de créer de bons souvenirs et week-ends, pour fédérer et rassembler un maximum de personnes à la cause du BDA. » Victor Beaudry
Quelles sont les compétences à avoir pour être directeur d’association ?
« Je pense qu’il faut être assez sociable, autonome, organisé et avoir le sens des décisions. » Victor Beaudry « Selon moi, il ne faut pas forcément avoir de compétences précises. Les compétences, je les ai acquises en prenant ce rôle. Il faut faire preuve d’une bonne cohésion d’équipe pour travailler et faire fédérer les différents pôles, il faut se rendre disponible, avoir une bonne aisance à l’oral en public et au téléphone, savoir gérer un budget, des étudiants sur des grands week-ends et savoir utiliser les outils bureautiques et digitaux. » Antoine RagueneauQue vous apporte cette expérience ?
« Cette expérience m’a beaucoup apporté personnellement, elle m’a permis de devenir plus autonome, de comprendre et appréhender tous les rudiments de l'évènementiel. J’ai également amélioré la gestion de mon stress pour la prise de parole en public. Elle m’apporte également tous les jours beaucoup de contacts pour mon réseau. Cela m’a permis d’avoir une première expérience managériale auprès des différents membres du BDA. J’ai également appris la gestion d’un budget. Cette expérience est pour moi un petit plus que je rajoute sur mon CV. » Antoine Ragueneau « Pour le coup, j’aime être présent pour les gens tout en m’assurant qu’ils sont heureux dans ce qu’ils font. Donc je pense que c’est naturel d’avoir envie de rentrer dans une association, car c’est la base de la vie en association à mon avis... Après, cela m'apporte une expérience en évènementiel et ça donne une vision de terrain qui est non négligeable pour l’avenir. » Victor Beaudry09 Feb 2023
Interview étudiant Jérémie, alternant au Grenoble Foot 38
Est-ce que tu peux te présenter s’il te plaît ?
Hello, je m'appelle Jérémie Escallier, j’ai 22 ans et je suis en première année du Master of Business in Sport à AMOS Marseille en alternance au GF38 depuis l’année dernière. J'ai rejoint AMOS après une première année en école de journalisme au Canada. J’ai pu y découvrir de nombreux métiers dans le sport qui n'étaient pas connus du grand public et c'était ce que je voulais découvrir en rejoignant AMOS. Je suis forcément passionné de sport mais plus particulièrement de cyclisme et de football. Grâce à AMOS, j'ai pu m'immiscer en profondeur dans l'univers du sport, jusqu'à en connaître son fonctionnement.Comment as-tu rejoint le GF38 et pourquoi ce club ?
J'ai rejoint le Grenoble Foot 38 peu après le début de la saison 2021 / 2022. Après plusieurs expériences (stages, bénévolats...) dans le sport, je voulais intégrer une structure professionnelle sur du long terme afin d'obtenir une réelle expérience, concrète, pour me professionnaliser bien sûr mais également pour acquérir une certaine légitimité pour parler de sport et de Sport Business. J'ai donc regardé toutes les offres disponibles et il y avait celle du GF38 qui correspondait parfaitement à ce que je recherchais. De plus, Grenoble est la capitale des Alpes, toute ma famille paternelle est originaire des montagnes donc c'était un beau clin d'œil pour eux et notamment pour mon grand-père.
Est-ce une fierté pour toi d’avoir rejoint un club professionnel ?
Bien sûr, c'est la consécration, surtout lorsque vous êtes en alternance. C'est très enrichissant parce que l'on découvre chaque jour ce qui se passe de l'autre côté des écrans, des stades, des clubs qui font vibrer des millions de supporters. C'est toujours exceptionnel de pouvoir vivre un match de l'intérieur, de l'organiser, de travailler dans cet écosystème qui réunit beaucoup de monde. Et finalement, lorsque tu travailles aux côtés de Prime Vidéo, Bein Sport, la LFP, la FFF, les autres clubs, tu te retrouves à être submergé par tout ce que tu rêvais plus jeune. Lorsque nous avons joué à Geoffroy Guichard (stade de Saint-Etienne) en championnat, c'était fou pour moi. Un club comme ça en France il n'y en a pas beaucoup donc pouvoir aller voir son équipe jouer là-bas, aller dans les vestiaires mythiques, c'était incroyable. De vrais souvenirs que je garderai toute ma vie.Quel est ton poste et tes missions ?
Je suis Assistant Commercial et Relations Publiques ce qui signifie dans les grandes lignes que j'aide la partie commerciale, composée d'un directeur commercial et marketing et de deux commerciaux, sur la mise en place des partenariats, les activations et tout ce qui tourne autour. C'est un poste assez stratégique car il permet de faire le lien entre le service commercial et tous les autres services du club comme la billetterie pour les places d'hospitalité, la communication pour du contenu sponsorisé ou encore l'événementiel pour des séminaires. De plus, j'ai d'autres missions où je suis en charge de la billetterie de groupe, c'est à dire des CSE et des étudiants notamment. Dans une petite structure comme la nôtre, c'est important d'être polyvalent car la transversalité des missions est quotidienne. On peut aider à l'organisation d'événements (matchs, soirées partenaires, séminaires...), sur le merchandising, les matchs à l'extérieur s'il manque un intendant... On touche tous à beaucoup de sujets !
Pourquoi as-tu décidé de rester sur le campus d’AMOS Marseille en étant en alternance à Grenoble ?
Pour plusieurs raisons. Tout d'abord, la plus importante pour moi était l'attachement à la ville et la région. Originaire de Grasse dans les Alpes Maritimes, c'est assez compliqué pour moi de redescendre dans le sud le temps d'un week-end. Pourtant j'y ai toute ma famille, mes amis. Alors que depuis Marseille, c'est quand même plus simple. Donc lorsque nous ne jouons pas le week-end et lors de ma semaine d'école, je rentre facilement à Grasse. Et puis, comme expliqué, il y a Marseille que j'aime beaucoup et avec qui maintenant, l'école est quasiment mon seul lien. Sans oublier bien sûr tous mes amis de l'école et l’équipe pédagogique qui sont notamment les raisons pour lesquelles c'est toujours un plaisir de venir à Marseille.Qu’est-ce qu’une journée type le jour d’un match ?
C'est très varié. Il peut y avoir des matchs où je ne vais même pas pouvoir assister 5 minutes à la rencontre et d'autres où je suis quand même plus libre. Si l'on prend un match classique qui se joue le samedi soir à 19h : Pour ce qui est la matinée, j'arrive au bureau entre 9h et 10h, je mets en place les visuels des espaces VIP, c'est-à-dire le nom de la personne ou de sa société. Je vérifie que nous respectons bien les clauses contractuelles avec nos partenaires (affichages LED, panneautiques en bord de terrain, écrans géants), pareil pour l'hospitalité et j'essaie d'organiser les différentes activations que nous pouvons avoir sur ce match-là. L'après-midi ça devient un peu plus dense avec la mise en place des salons VIP. Je m'occupe principalement des salons sur une tribune qui contient les loges, notre salon entrée de gamme ainsi que les familles des joueurs. Cette mise en place demande beaucoup de temps car nous partageons notre stade avec le club de rugby, c'est donc une cogestion qui est très dynamique ce qui fait que nous ne pouvons pas laisser nos affaires d'un match à l'autre. Heureusement maintenant, nous sommes tous bien rodés et c'est très bien organisé. Au début, quand on ne connaît pas ce système, il faut s'accrocher sur pas mal de points... Disons H-2, j'accueille les bénévoles et je les affecte à une mission pour la soirée, ça peut être de l'aide sur les points boutique, l'accueil des spectateurs ou encore l'espace famille. Je garde avec moi les trois ou quatre qui tiennent le point accueil information qui se situe juste derrière l'entrée principale du stade et qui permet d'informer les supporters sur leur placement, leurs offres étudiantes... À H-1, c'est l'ouverture des portes au public alors je reste globalement sur les contrôles d'accès afin de veiller à ce que tout se passe bien. Je travaille avec le service sécurité du club+, notre prestataire sécurité.

Quelles sont tes perspectives pour les prochains mois avec le GF38 ?
C’est une chance déjà de pouvoir vivre une saison du début jusqu'à la fin. L'année dernière, je suis arrivé quelques mois après le début et ça joue quand même dans l'intégration et dans la compréhension de la vie du club. Cette saison tout se passe très bien, on a une belle équipe sur le terrain, on est plutôt dans le haut du classement, on pourrait presque s'autoriser à rêver de la Ligue 1 mais ce n'est pas l'objectif. On joue encore la Coupe de France (direction les ¼ de finale), avec la possibilité de recevoir une grosse équipe à la maison. Le club est sur une vraie belle dynamique et sur une phase de changement d'envergure importante avec notamment le lancement des premières étapes de construction de notre nouveau centre de formation et d'entrainement. J'ai la chance d'être dans un très beau club, fier de son territoire, qui œuvre pour celui-ci, avec une politique RSE forte qui me permet de m'enrichir professionnellement et personnellement.Le dernier mot t’appartient...
Très heureux de pouvoir raconter un petit peu comment ça se passe. Le Grenoble Foot 38 est vraiment un beau club, il mérite d'être reconnu comme tel et je suis sûr que dans quelques années le club sera en ligue 1 avec de très beaux projets. Et comme on aime le dire ici : ensemble gagnons les sommets !06 Feb 2023
Les différences entre le rugby et le football américain
A l’approche du Super Bowl, revoyons les bases...
Généralement connu du grand public grâce au spectacle « Halftime Super Bowl » offert à la mi-temps, le football américain est un sport encore peu côté en Europe. En effet, malgré la présence de nombreux clubs sur le vieux continent, les règles de ce sport restent encore méconnues pour la plupart d’entre nous. De plus, beaucoup prennent un malin plaisir à le comparer au rugby, ces deux sports similaires d’aspects mais bien différents de fond ! A l’approche du Super Bowl, les non-initiés se posent toujours les mêmes questions autour du rugby et du football américain. Si vous en faites partie, cet article est pour vous !Quelle est l’origine de ces sports ?
Connu officiellement en 1823, le rugby voit le jour en Angleterre à l'initiative de Williams Webb Ellis, étudiant au collège de Rugby. Selon une anecdote populaire, cette discipline a été créée lorsque Williams a décidé de ramasser un ballon et l’utiliser pour traverser tout le terrain afin de l’écraser dans l’en-but de l’équipe adverse au cours d’une partie de football. C’est d’ailleurs pour cette raison que le trophée de la plus grande compétition mondiale (Coupe du Monde de Rugby) porte son nom. Concernant le football américain, comme son nom l’indique, cette discipline a été créée aux Etats-Unis d’Amérique plusieurs décennies après le rugby. On estime qu’il trouve ses traces en 1860, avec l’arrivée des colons britanniques sur le sol américain. A cette époque, le rugby et le football (soccer) étant les disciplines les plus populaires dans le pays, Gerrat Smith Miller eut l’idée de les combiner. Dès 1870, des matchs sont joués dans certaines universités Nord-américaines. C’est quelques années après, soit en 1920 que l'American Professional Football Association voit le jour.
Le but du jeu...
Dans les deux disciplines, l’objectif est de gagner du terrain afin de se rapprocher de la zone d’en-but de l’équipe adverse. Plusieurs actions permettent aux équipes de gagner des points, et même si les règles diffèrent, on retrouve quelques similitudes entre les deux disciplines : L’action qui octroie le plus de points est le fait de passer dans la zone d’en-but de l’adversaire avec le ballon. Au Rugby, il s’agit d’aplatir le ballon dans la zone pour marquer un essai (5 points). Au football américain, on réalise un Touchdown (6 points) en pénétrant la zone avec le ballon, ou en réceptionnant une passe dedans. Ces actions peuvent être bonifiées par une transformation au pied, le ballon doit passer entre les deux poteaux (au rugby +2 points, au football américain +1 point). Au Football américain, on peut aussi tenter “l’extrapoint”, il s’agit d’une seule tentative pour repénétrer dans la zone d’en-but et ainsi gagner 2 points. Alors qu’elles tentent de gagner du terrain, les équipes sont confrontées à quelques règles. De manière très simplifiée, on notera qu’au rugby, toutes les passes à la main doivent se faire vers l’arrière, la progression se fait donc balle en main ou avec une passe au pied. Au football Américain l’équipe attaquante a 4 tentatives pour progresser de 10 yards. Si elle y arrive, elle a le droit à un nouveau cycle de 4 tentatives et ainsi de suite jusqu’à tenter un touchdown. Si elle n'atteint pas le palier à l’issu des 4 tentatives, le ballon est rendu à l’équipe adverse. Pour progresser, l’équipe qui attaque a le droit à une passe par tentative, chaque action s’arrête lorsque le porteur du ballon est mis au sol, ou que la passe n’aboutit pas. Il existe d’autres moyens de gagner des points, notamment au pied. Au rugby on gagne 3 points lorsqu’on fait passer la balle entre les poteaux. Soit après une faute commise par l’équipe adverse (appelé pénalité). Soit durant une phase de jeu, en tirant la balle au pied après l’avoir fait rebondir au sol (appelé drop). Au football américain, lors de la 4ème tentative d’une équipe, on peut tenter de faire passer le ballon entre les poteaux au pied pour gagner 3 points. Les points sont calculés selon la valeur suivante :- Au rugby : un essai (5 points), une transformation (2 points), un drop (3 points), une pénalité (3 points)
- Au football américain : un touchdown (6 points), un extra-points (1 ou 2 points), un field Goal (3 points), une sécurité (2 points pour l’équipe adverse
Le terrain...
En dehors de la forme du ballon, l’autre élément de similarité créant la confusion entre le football américain et le rugby est l'étendue terrain. Bien que possédant une zone d’en-but, les deux terrains sont différents. En effet, les distinctions entre les deux se font au niveau de la taille du terrain et des poteaux. Ainsi les poteaux d’un stade de rugby sont en forme de H tandis que ceux du football américain sont en Y. Pour la taille du terrain de rugby, les dimensions sont d’environ 100 mètres de long et 70 mètres de largeur. Concernant le football américain, l’unité de mesure est différente. Ici, on parle de « yard » soit 1 yard égale à 0,91mètres. La taille d’un stade de football américain est ainsi de 120 yards de long soit 109,2 mètres et 53,33 yards de large soit 48,53 mètres.
Les règles du jeu
Le premier élément de différenciation est la durée. Au rugby, le temps de jeu est fixé à 80 minutes au total avec deux mi-temps de 40 minutes contre 4 quart-temps de 15 minutes pour le football américain. Ces périodes de jeu sont suivis d’une pause de 12 minutes après la fin des deux premiers quart-temps. Le deuxième élément est le nombre de joueurs total sur le terrain. Au rugby la confrontation sera plus communément de 15 joueurs contre 15 (il existe également le rugby à XIII et à 7). Tandis qu’au football américain, c’est 11 joueurs contre 11. On note aussi une particularité sur le nombre de remplacement possible. Pour le Rugby, les joueurs jouent les phases offensives et défensives, et seuls 7 changements peuvent être effectués durant la rencontre. Au Football américain, il n’y a pas de limite de remplacement puisque les équipes changent presque entièrement entre les phases d’attaque et de défense.
Les accessoires...
Le principal accessoire de jeu de ces sports est le ballon ovale. Bien qu’ayant la même forme, la taille d’un ballon de rugby est d’environ 27 cm contre 28 cm pour le football américain. Pour se protéger pendant les matchs, les joueurs portent également des équipements. Au rugby, les joueurs ont la possibilité d’avoir des protections pour les cuisses, des casques et des protections dentaires qui sont souples et non obligatoires. Au football américain, tenant compte de la puissance des chocs, les joueurs portent obligatoirement des protections dentaires, des casques « plus protecteurs », des épaulettes, des protections de genoux et de coudes rigides pendant les matchs.La technologie au service du jeu
Malgré toutes ces différences, les deux disciplines sont assez similaires quant à leur rapport à la technologie. De nombreuses innovations ont vu le jour sur les terrains de Football américain et de Rugby, d’autres disciplines s’inspirent d’ailleurs de ces avancées afin de fluidifier le jeu, ou d’améliorer l’expérience du spectateur. L'arbitrage vidéo est apparu dès 1978 en NFL et a considérablement évolué afin d’augmenter le nombre de situations dans lesquelles il peut être utilisé. Au Rugby, au-delà de la VAR, utilisée depuis les années 2000, c’est l’équipement des arbitres par un micro qui séduit les téléspectateurs et les autres disciplines. En Ligue 1, le nouveau diffuseur Amazon Prime avait d’ailleurs équipé l’arbitre de St-Etienne – Monaco en avril 2022. Une action qui a relancé les débats au sein des institutions, qui souhaitent rendre l’arbitrage plus transparent envers les différents acteurs de ce sport. Au-delà de l’arbitrage, on peut noter de belles avancées technologiques chez nos amis américains. La communication entre les joueurs et les coachs se fait désormais par un micro intégré au casque du quarterback. Cela s'additionne à la mise à disposition par la Ligue de tablettes au bord du terrain pour l’analyse en temps réel des actions. Enfin, on note quelques innovations au service de l’intégrité physique des joueurs : Un concours a été organisé par la NFL pour repenser les casques des joueurs afin de limiter les commotions. Les équipes médicales ont également accès à des données de santé des joueurs en temps réel.Business is business…
Au niveau business, les chiffres penchent en faveur du Football US. Même si le sport a du mal à se démocratiser en dehors des frontières américaines, la NFL et notamment le Super Bowl (la finale de la ligue) présentent des audiences et des revenus colossaux comparés à ceux du Rugby. Le prochain contrat de diffusion de la NFL portera sur 11 saisons (2023-2033) et rapportera entre 105 et 110 milliards de dollars à la Ligue, soit près de 10 milliards par saison. Autre chiffre qui montre la super puissance américaine, le coût d’un spot publicitaire lors de la mi-temps du Super Bowl : il faudra débourser 7 millions d’euros pour 30s de publicité. A ce prix-là, les annonceurs font forcément preuve d’une grande créativité pour se démarquer... Côté Rugby, on notera tout de même de belles perspectives, surtout en France avec la prochaine Coupe du Monde en septembre 2023. D’après les prévisions de l’organisateur, la compétition devrait générer un bénéfice net de 68 millions d’euros destiné au développement du rugby en France. Avec toutes ces informations, vous disposez de quelques arguments solides pour un débat entre amis sur le rugby et le football américain. Article rédigé par Vanillie EKOUMA02 Feb 2023
Partenariat renouvelé avec Madewis, distributeur stratégique Adidas
Fournisseur officiel des Clubs associés OL x Madewis
AMOS Sport Business School est fier de renforcer son engagement dans le paysage sportif de la Région Auvergne-Rhône-Alpes en renouvelant son partenariat en tant que fournisseur officiel des Clubs Associés OL x Madewis, soutenant ainsi la discipline sportive la plus pratiquée en France. Depuis la saison dernière, AMOS Lyon affiche fièrement ses couleurs sur les tenues d’entrainement des équipes U15 à U18 de nombreux clubs de la région. En s’associant avec les Clubs associés OL x Madewis, véritables viviers de talents et de passionnées de sport dont l’école partage les valeurs d’engagement, de respect et d’esprit d’équipe, AMOS souhaite apporter sa contribution au sport amateur.
La professionnalisation est au cœur des formations.
Depuis plus de 17 ans, AMOS tisse des partenariats avec les acteurs régionaux du sport et œuvre pour ancrer ses formations dans le tissu économique local, permettant aux étudiants de se former au plus proche du terrain, en parfaite adéquation avec les besoins des acteurs du secteur. Cet accompagnement des clubs dans leur développement via le recrutement d’étudiants en stage ou alternance mais également dans l’organisation de leurs évènements avec le support d’étudiants spécialisés en sport management, permettra aux licenciés et aux étudiants de partager des expériences uniques avec la passion comme moteur commun.
Nos AMOSciens en alternance
Le groupe Madewis accueille cette année des étudiants AMOS en alternance, comme Romain Blandin, AMOScien lyonnais en quatrième année. Depuis août 2022, il est responsable développement marketing pour la zone Auvergne-Rhône-Alpes et travaille notamment sur l’organisation de la Madewis Cup qui aura lieu du 13 au 16 avril 2023 dans la région lyonnaise. Lors de cet événement, une vingtaine d’étudiants lyonnais apporteront leur aide à l’organisation du tournoi sous la forme de missions de volontariat afin d’acquérir de l’expérience sur le terrain sur des missions d’évènementiel sportif. « J’ai toujours voulu travailler dans le football et aujourd’hui je peux enfin lier ma passion du ballon rond avec mon projet professionnel. Mes missions sont variées entre ma casquette de Responsable Développement Marketing sur la Région Auvergne-Rhône-Alpes et l’aspect événementiel avec l’organisation de la Madewis Cup sur les différents territoires français. » Romain Blandin, étudiant AMOS Lyon.