AMOS Bordeaux, partenaire du H&A Frenchman Triathlon Carcans : compétition hors normes au cœur de la Nouvelle-Aquitaine

Le Frenchman est un triathlon qui se déroule chaque année au mois de mai à Carcans, en Nouvelle-Aquitaine. L’événement propose une large variété de parcours adaptés à tous les niveaux : Kids, XS, M, L, XXL… Il est organisé par Benjamin Sanson et toute son équipe, parmi laquelle figure Ninon Gayraud, diplômée d’AMOS Bordeaux. Après avoir effectué son Mastère en alternance au sein du Frenchman, elle est aujourd’hui responsable bénévole en CDI, un bel exemple de réussite post-AMOS. 

Parmi les temps forts du week-end, la Frenchkids – course dédiée aux enfants – occupe une place toute particulière. Imaginée par des étudiants d’AMOS Bordeaux, elle est désormais intégrée à l’événement. Les étudiants participent activement à son organisation, avec une priorité majeure : construire un plan de sécurité irréprochable. 

Parmi ces étudiants, Joshua Savary, actuellement en 1ère année de Mastère, revient sur son expérience de bénévole au cœur de cet événement hors du commun. 

Interview de Joshua Savary, étudiant et bénévole au H&A Frenchman Triathlon Carcans 

Joshua, peux-tu nous expliquer en quelques mots ce qu’est le Frenchman ?

Le Frenchman, c’est bien plus qu’un triathlon. C’est un événement sportif majeur à Carcans, qui rassemble chaque année des athlètes de tous horizons. Ce qui est top, c’est la diversité des formats, du Kids au XXL, ce qui le rend accessible à tous. Mais au-delà de la performance, ce qui fait vraiment la différence, c’est l’ambiance : c’est festif, musical, très familial. On sent une vraie bienveillance autour des athlètes, du début à la fin. 

Quel a été ton rôle cette année dans l’organisation ?

En tant qu’étudiant AMOS, on travaille sur le Frenchman tout au long de l’année. On l’étudie sous toutes ses facettes : logistique, sécurité, commerciales, administratives… Ensuite, on est réparti par pôle et chacun accompagne un référent de l’organisation. Personnellement, j’étais impliqué dans la partie sécurité et logistique, sur la Frenchkids mais également tout au long du week-end. C’est un format que l’on gère presque entièrement, et on doit vraiment penser à tout : barriérage, flux, risques… on ne peut rien laisser au hasard quand il s’agit d’enfants. 

Comment as-tu vécu le rythme intense de l’événement ?

C’est clairement très prenant, surtout à l’approche de l’événement en mai. On enchaîne les réunions, les ajustements de dernière minute, la coordination sur le terrain. Mais honnêtement, c’est aussi ce qui rend l’expérience unique. On apprend à gérer la pression, les imprévus, à prendre des décisions rapidement. Toute la préparation en amont nous a bien aidé à anticiper les problèmes potentiels. 

Qu’est-ce que tu retiens de cette expérience ?

Je dirais que c’est une aventure humaine avant tout. On crée des liens avec les autres bénévoles, les organisateurs, les athlètes aussi. C’est vraiment formateur. Même si le triathlon n’est pas ma spécialité dans le sport, cette immersion m’a conforté dans mon envie de travailler dans l’événementiel sportif. C’est concret, vivant, et on voit tout de suite l’impact de notre engagement. 

Un dernier mot pour les étudiants qui hésitent à s’engager sur ce type de projet ?

Foncez. Le Frenchman, c’est le terrain de jeu idéal pour apprendre, se dépasser et vivre une expérience forte. Que vous soyez passionnés de sport ou simplement curieux de découvrir l’envers du décor, vous ne le regretterez pas.