Du monde médical au commerce international du sport
Lena Carie Loupias, ancienne infirmière diplômée, a décidé de changer la trajectoire de sa vie professionnelle en rejoignant AMOS Sport Business School en première année du programme de master international.
“Lorsque j’ai intégré AMOS, mon objectif était de consacrer une partie de mes études à l’étranger et d’améliorer mon anglais. Venant d’un secteur différent (celui de la santé), je savais que je devais saisir toutes les opportunités au cours des deux prochaines années pour en apprendre le plus possible sur l’industrie du sport”.
“En participant au programme international, AMOS fournit une liste d’universités partenaires. J’avais initialement choisi les États-Unis, pensant que les opportunités y seraient plus nombreuses, mais j’ai finalement changé d’avis et me suis envolée pour l’Australie. L’International College Management in Sydney (ICMS) propose des cours de gestion d’événements, un domaine qui m’intéresse. Le campus est situé à côté de la plage, ce qui est parfait pour pratiquer des sports aquatiques.”
Les études australiennes :
“Nous avons deux matières sur 11 semaines. Le système australien s’efforce d’aider tous les étudiants à réussir. Nous bénéficions de beaucoup de soutien, que ce soit pour reformuler nos phrases ou apprendre à faire nos références correctement. L’aide est toujours disponible pendant et après les cours.”
La possibilité d’étudier pendant un an à l’autre bout du monde est également l’occasion idéale de faire du tourisme et de découvrir les cultures locales.
“Je me suis liée d’amitié avec quelques Australiens, et nous sommes partis en voyage dans le sud du pays, dans une station de ski. J’ai passé un week-end à la campagne, et nous sommes allés plusieurs fois dans les environs de Sydney. C’est un bon début, mais avec encore six mois devant moi, je sais que je pourrai faire beaucoup plus”.
Le sport en Australie :
“Outre les voyages, Lena a assisté à quelques événements sportifs, dont un match de basket, un rodéo et une compétition de surf. “Je peux percevoir l’enthousiasme des Australiens pour le sport. C’est similaire aux États-Unis de ce côté-là : nous étions 21 000 personnes à assister à un match de basket. C’est une expérience extraordinaire”
Une passion pour les sports extrêmes :
Approchant la fin de son master, Lena se concentre déjà sur la suite. “Cette expérience en Australie a confirmé ce que j’avais toujours pensé : je veux vivre à l’étranger. Je suis actuellement à la recherche d’un stage. J’aimerais travailler dans les sports extrêmes, donc un poste chez Red Bull serait fantastique pour moi. Je développe mon réseau et j’espère que je réussirai.
Un mot pour les futurs AMOSciens :
“Lorsque vous choisissez une université, ne vous concentrez pas uniquement sur l’emplacement, mais surtout sur les cours qui y sont dispensés. Bien qu’il soit important de se trouver dans un environnement agréable, il est essentiel de s’assurer que l’on apprend et que l’on développe ses compétences.
Le deuxième conseil est le suivant : n’hésitez pas, allez-y et amusez-vous ! Vous rencontrerez beaucoup de gens charmants en chemin, vous découvrirez beaucoup de choses sur leur culture et sur vous-même. C’est une expérience merveilleuse.”
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Un diplôme de niveau bac+5 est courant pour ce type de métier. Un bachelor associé à un master ou un Programme en 5 ans permet de développer des compétences diverses. En effet, en plus d’élargir ses connaissances sur le marché du sport, les étudiants se spécialisent dans le management, la communication et le marketing du sport.