Le Tour de France, une affaire de famille pour Tristan !
Tristan, peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Tristan Santabarbara. J’ai 21 ans. Je suis en 1ère année de Master of Business in Sport sur le campus d’AMOS Toulouse, et en alternance au Intersport de Portet-sur-Garonne, en tant qu’assistant commercial sur le pôle clubs et collectivités. Auparavant j’ai travaillé dans le milieu du sport, dans des magasins et des clubs. Et dans le BTP, sur le domaine de la métallerie.
Quel sport pratiques-tu ?
Aujourd’hui, je pratique le cyclisme sur route et la course à pied.
D’où te vient cette passion pour le cyclisme et le Tour de France ?
La passion du cyclisme sur route, c’est mon père qui me l’a transmise. Il faisait du vélo de route en club. Il m’a emmené avec lui faire quelques sorties, et ça m’a plu. Et pour le Tour de France c’est un peu pareil. Mon père le regardait beaucoup à la télé. J’ai commencé à m’y intéresser, à comprendre la course. Puis, c’est devenu une passion, je suis la grande boucle depuis l’édition 2013 !
A combien d’étapes as-tu assisté ? Et quelle est ton étape favorite ?
J’ai eu la chance d’assister à 12 étapes du Tour de France. Celle que j’ai préféré c’est la 6ème étape du Tour de France 2020. L’étape partait du Teil en Ardèche et arrivait au sommet du Mont Aigoual entre Gard et Lozère. C’est la montée de mon enfance, je l’ai gravie de nombreuses fois et c’est un endroit que je fréquente souvent pendant les vacances. Je me suis réjoui de voir le Tour arriver là-haut.
Quel est ton meilleur souvenir ?
C’est celui que je viens de citer, cette étape qui est arrivée au Mont Aigoual. Avec mon père, on se posait souvent la question quand j’étais petit : « Est-ce qu’ils viendront un jour à l’Aigoual ? ». Quand je l’ai su, j’étais très content. Voir le Tour de France, considérée comme la plus belle course cycliste du monde, arriver dans sa région, dans les Cévennes, dans les montagnes de son enfance. C’est une vraie fierté. C’était particulier de voir cette course exceptionnelle sur un endroit où tu as tant roulé. La veille et le jour même, on a eu le privilège de voir les coulisses d’une étape de montagne. Sans pour autant que ce soient les grands cols connus du Tour. C’était une très belle journée pour nous, pour les gens de là-haut et pour le patrimoine cévenol et de la région.
As-tu un pronostic pour le podium de ce Tour de France 2023 ?
Je pense déjà que nous avons deux phénomènes qui survolent actuellement : Pogacar et Vingegaard. Je dirais avantage à la dynamique du danois face à la fraîcheur du slovène. Si je dois en citer un pour la troisième place, ça me semble très indécis : entre les Gaudu, Yates et bien d’autres. J’espère voir en tout cas au moins un Français sur le podium cette année. Et pourquoi pas plus qu’un podium peut-être, qui sait ?
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