ACTUALITÉS
03 Apr 2023
ACE Education X ELEVATE : la bonne connexion !
AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education
La principale ambition d’ACE Education est d’assurer une formation de qualité, des expériences enrichissantes et un avenir serein à nos milliers d’étudiants. Notre promesse est de transformer leur passion pour le sport, l’hôtellerie, la mode ou le design, en un métier durable. C’est pourquoi, nous sommes heureux d’annoncer le nouveau contrat que nous venons de signer avec Elevate jusqu’en 2024, dans le cadre du plus grand évènement sportif qui aura lieu en France et auquel Elevate aura l’occasion de contribuer. Elevate est une agence internationale centrée sur l’humain, et spécialisée dans le recrutement, la formation et le management du staff événementiel. Elle met en relation les talents, les données et les marques afin d'optimiser l'impact des activations marketing. Ce partenariat prometteur permettra le recrutement des étudiants de nos écoles AMOS Sport Business School, CMH Centre de Management Hôtelier, ESDAC Ecole Supérieure de Design, sur les événements sportifs majeurs en 2023 et 2024, ainsi que sur d’autres secteurs allant de l’hospitalité à la mode. Toutes les écoles du groupe ACE Education ont pour vocation d’aider les jeunes à réussir leur entrée sur le marché du travail, et de leur permettre d’évoluer rapidement vers des postes de Top Management, dans leurs domaines de prédilection. « Ce partenariat majeur rapproche deux entités qui se développent en Europe et à l’international et marquent leur volonté commune de renforcer leur capacité à développer et soutenir l’employabilité et les expériences professionnelles des étudiants dans l’évènementiel sportif et haut de gamme. Elevate, agence de staffing événementiel présente en France, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Autriche et en Grande Bretagne, propose des solutions innovantes en termes de recrutement à ses clients. ACE Education par ce partenariat plonge ses étudiants dans des expériences professionnelles immersives en lien direct avec leur formation. » Audrey Léger, Directrice des Partenariats ACE Education. « Le rapprochement entre ACE Éducation et Elevate est à nos yeux un partenariat qui a beaucoup de sens tant en France qu’à l’international. Elevate a pour ambition de contribuer à la formation professionnelle des jeunes et des étudiants et de leurs permettre d’acquérir une première expérience professionnelle sur le terrain dans le cadre d’évènements prestigieux. Ce partenariat a un double enjeu car au-delà d’être porteur d’opportunités professionnelles pour tous ces étudiants et de participer à l’éco système sportif, il nous permet également de mieux faire connaître le secteur de l’évènementiel dans sa globalité » Julie Reed, Directrice Générale Elevate France & DACH.À propos du Groupe ACE Education
ACE Education est un acteur majeur de l'enseignement supérieur en France, proposant des formations certifiées de Bac+3 à Bac+5 à plus de 7 000 étudiants dans les domaines du management du sport, de l’hôtellerie, du tourisme de luxe, des arts appliqués, du design et de la mode, au travers de ses six écoles : AMOS Sport Business School et ESBS, écoles de sport management, ESDAC, école de design, CMH, Centre de Management Hôtelier International de Luxe, EIDM, Ecole Internationale de Mode et Luxe, ENAAI, Ecole d’Arts Appliqués, BD et Illustration. Le groupe offre une variété de programmes sur ses 42 campus en France et à l’étranger. Il met l'accent sur les expériences internationales et sur la professionnalisation au cœur même de l’expérience étudiante.23 Mar 2023
AMOS au cœur des paddocks de F1
Nos AMOSciens sur le terrain...
Au-delà des aspects sportifs de chaque Grand Prix de Formule 1, le bon déroulement de ces derniers représente l’enjeu majeur des rendez-vous automobile de la catégorie reine. C’est là qu’entrent en jeu nos AMOSciens, acteurs de ces événements d’ampleur internationale.AMOS au point de corde
Depuis plusieurs années, les AMOSciens ont joué un rôle de plus en plus important dans les Grands Prix de Formule 1. Le partenariat développé entre le GIP Grand Prix de France – Le Castellet et AMOS Marseille a permis à plus d’une centaine d’étudiants de pénétrer les coulisses du sport automobile. L’occasion pour eux d’être mobilisés sur un événement au rayonnement international et de mettre leurs compétences en pratique lors des événements de Formule 1. Leur rôle peut varier, certains étudiants participent à l'organisation de l'événement dans son ensemble, aidant à gérer les différentes équipes et départements nécessaires pour faire fonctionner une course. D'autres étudiants sont plus spécifiquement impliqués aux aspects commerciaux et marketing. Cela peut également inclure des événements promotionnels pour les sponsors de la course, des événements de charité ou des événements pour les médias.
Astrid et Axelle pied au plancher
Parmi les AMOSciens ayant pu prendre part aux différents Grands Prix de F1, Astrid et Axelle ont déjà vécu quatre événements de l’intérieur. Du Grand Prix d’Abu Dhabi, au Grand Prix de France en passant par Monaco, nos étudiantes de premières année du Global Sport Business Master ont pu apprécier différents aspects de l’événementiel au sein de la Formule 1. Le Grand Prix de Monaco leur a permis de connaître l’environnement entourant la course automobile, en travaillant dans un service organisationnel autour de la gestion des VIP. C’est au Castellet que ces dernières se sont trouvées au plus proche du quotidien de toutes ces personnes travaillant dans le sport automobile. Avec un rôle d’assistante média presse, elles ont notamment eu à accueillir les journalistes, et assister la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) lors des conférences de presse.
23 Feb 2023
Un AMOScien sur les routes du 4L Trophy
Un expédition de près de 7 000 kilomètres...
Au départ de Biarritz le 16 février 2023, Adrien Remy démarre son périple avec en ligne de mire Marrakech. L’étudiant de 22 ans, AMOS Paris, est chargé d’acheminer jouets, fournitures scolaires et denrées alimentaires jusqu’au cœur du désert marocain. Réservé aux jeunes de moins de 28 ans, des milliers de Renault 4 s’élancent pour cette expédition de près de 7 000 kilomètres qui s’étend sur deux semaines. A deux seulement dans chaque voiture, l’entraide entre les concurrents reste cependant un point important du bon déroulé de chaque épreuve. Il faut savoir faire face aux problèmes mécaniques, ou tout autre encombre rencontrée sur la route. Une préparation minutieuse et une très bonne connaissance de la mécanique sont donc nécessaires pour débuter ce raid solitaire. Mais pas de quoi effrayer les participants, qui sont plus nombreux chaque année.
06 Feb 2023
Les différences entre le rugby et le football américain
A l’approche du Super Bowl, revoyons les bases...
Généralement connu du grand public grâce au spectacle « Halftime Super Bowl » offert à la mi-temps, le football américain est un sport encore peu côté en Europe. En effet, malgré la présence de nombreux clubs sur le vieux continent, les règles de ce sport restent encore méconnues pour la plupart d’entre nous. De plus, beaucoup prennent un malin plaisir à le comparer au rugby, ces deux sports similaires d’aspects mais bien différents de fond ! A l’approche du Super Bowl, les non-initiés se posent toujours les mêmes questions autour du rugby et du football américain. Si vous en faites partie, cet article est pour vous !Quelle est l’origine de ces sports ?
Connu officiellement en 1823, le rugby voit le jour en Angleterre à l'initiative de Williams Webb Ellis, étudiant au collège de Rugby. Selon une anecdote populaire, cette discipline a été créée lorsque Williams a décidé de ramasser un ballon et l’utiliser pour traverser tout le terrain afin de l’écraser dans l’en-but de l’équipe adverse au cours d’une partie de football. C’est d’ailleurs pour cette raison que le trophée de la plus grande compétition mondiale (Coupe du Monde de Rugby) porte son nom. Concernant le football américain, comme son nom l’indique, cette discipline a été créée aux Etats-Unis d’Amérique plusieurs décennies après le rugby. On estime qu’il trouve ses traces en 1860, avec l’arrivée des colons britanniques sur le sol américain. A cette époque, le rugby et le football (soccer) étant les disciplines les plus populaires dans le pays, Gerrat Smith Miller eut l’idée de les combiner. Dès 1870, des matchs sont joués dans certaines universités Nord-américaines. C’est quelques années après, soit en 1920 que l'American Professional Football Association voit le jour.
Le but du jeu...
Dans les deux disciplines, l’objectif est de gagner du terrain afin de se rapprocher de la zone d’en-but de l’équipe adverse. Plusieurs actions permettent aux équipes de gagner des points, et même si les règles diffèrent, on retrouve quelques similitudes entre les deux disciplines : L’action qui octroie le plus de points est le fait de passer dans la zone d’en-but de l’adversaire avec le ballon. Au Rugby, il s’agit d’aplatir le ballon dans la zone pour marquer un essai (5 points). Au football américain, on réalise un Touchdown (6 points) en pénétrant la zone avec le ballon, ou en réceptionnant une passe dedans. Ces actions peuvent être bonifiées par une transformation au pied, le ballon doit passer entre les deux poteaux (au rugby +2 points, au football américain +1 point). Au Football américain, on peut aussi tenter “l’extrapoint”, il s’agit d’une seule tentative pour repénétrer dans la zone d’en-but et ainsi gagner 2 points. Alors qu’elles tentent de gagner du terrain, les équipes sont confrontées à quelques règles. De manière très simplifiée, on notera qu’au rugby, toutes les passes à la main doivent se faire vers l’arrière, la progression se fait donc balle en main ou avec une passe au pied. Au football Américain l’équipe attaquante a 4 tentatives pour progresser de 10 yards. Si elle y arrive, elle a le droit à un nouveau cycle de 4 tentatives et ainsi de suite jusqu’à tenter un touchdown. Si elle n'atteint pas le palier à l’issu des 4 tentatives, le ballon est rendu à l’équipe adverse. Pour progresser, l’équipe qui attaque a le droit à une passe par tentative, chaque action s’arrête lorsque le porteur du ballon est mis au sol, ou que la passe n’aboutit pas. Il existe d’autres moyens de gagner des points, notamment au pied. Au rugby on gagne 3 points lorsqu’on fait passer la balle entre les poteaux. Soit après une faute commise par l’équipe adverse (appelé pénalité). Soit durant une phase de jeu, en tirant la balle au pied après l’avoir fait rebondir au sol (appelé drop). Au football américain, lors de la 4ème tentative d’une équipe, on peut tenter de faire passer le ballon entre les poteaux au pied pour gagner 3 points. Les points sont calculés selon la valeur suivante :- Au rugby : un essai (5 points), une transformation (2 points), un drop (3 points), une pénalité (3 points)
- Au football américain : un touchdown (6 points), un extra-points (1 ou 2 points), un field Goal (3 points), une sécurité (2 points pour l’équipe adverse
Le terrain...
En dehors de la forme du ballon, l’autre élément de similarité créant la confusion entre le football américain et le rugby est l'étendue terrain. Bien que possédant une zone d’en-but, les deux terrains sont différents. En effet, les distinctions entre les deux se font au niveau de la taille du terrain et des poteaux. Ainsi les poteaux d’un stade de rugby sont en forme de H tandis que ceux du football américain sont en Y. Pour la taille du terrain de rugby, les dimensions sont d’environ 100 mètres de long et 70 mètres de largeur. Concernant le football américain, l’unité de mesure est différente. Ici, on parle de « yard » soit 1 yard égale à 0,91mètres. La taille d’un stade de football américain est ainsi de 120 yards de long soit 109,2 mètres et 53,33 yards de large soit 48,53 mètres.
Les règles du jeu
Le premier élément de différenciation est la durée. Au rugby, le temps de jeu est fixé à 80 minutes au total avec deux mi-temps de 40 minutes contre 4 quart-temps de 15 minutes pour le football américain. Ces périodes de jeu sont suivis d’une pause de 12 minutes après la fin des deux premiers quart-temps. Le deuxième élément est le nombre de joueurs total sur le terrain. Au rugby la confrontation sera plus communément de 15 joueurs contre 15 (il existe également le rugby à XIII et à 7). Tandis qu’au football américain, c’est 11 joueurs contre 11. On note aussi une particularité sur le nombre de remplacement possible. Pour le Rugby, les joueurs jouent les phases offensives et défensives, et seuls 7 changements peuvent être effectués durant la rencontre. Au Football américain, il n’y a pas de limite de remplacement puisque les équipes changent presque entièrement entre les phases d’attaque et de défense.
Les accessoires...
Le principal accessoire de jeu de ces sports est le ballon ovale. Bien qu’ayant la même forme, la taille d’un ballon de rugby est d’environ 27 cm contre 28 cm pour le football américain. Pour se protéger pendant les matchs, les joueurs portent également des équipements. Au rugby, les joueurs ont la possibilité d’avoir des protections pour les cuisses, des casques et des protections dentaires qui sont souples et non obligatoires. Au football américain, tenant compte de la puissance des chocs, les joueurs portent obligatoirement des protections dentaires, des casques « plus protecteurs », des épaulettes, des protections de genoux et de coudes rigides pendant les matchs.La technologie au service du jeu
Malgré toutes ces différences, les deux disciplines sont assez similaires quant à leur rapport à la technologie. De nombreuses innovations ont vu le jour sur les terrains de Football américain et de Rugby, d’autres disciplines s’inspirent d’ailleurs de ces avancées afin de fluidifier le jeu, ou d’améliorer l’expérience du spectateur. L'arbitrage vidéo est apparu dès 1978 en NFL et a considérablement évolué afin d’augmenter le nombre de situations dans lesquelles il peut être utilisé. Au Rugby, au-delà de la VAR, utilisée depuis les années 2000, c’est l’équipement des arbitres par un micro qui séduit les téléspectateurs et les autres disciplines. En Ligue 1, le nouveau diffuseur Amazon Prime avait d’ailleurs équipé l’arbitre de St-Etienne – Monaco en avril 2022. Une action qui a relancé les débats au sein des institutions, qui souhaitent rendre l’arbitrage plus transparent envers les différents acteurs de ce sport. Au-delà de l’arbitrage, on peut noter de belles avancées technologiques chez nos amis américains. La communication entre les joueurs et les coachs se fait désormais par un micro intégré au casque du quarterback. Cela s'additionne à la mise à disposition par la Ligue de tablettes au bord du terrain pour l’analyse en temps réel des actions. Enfin, on note quelques innovations au service de l’intégrité physique des joueurs : Un concours a été organisé par la NFL pour repenser les casques des joueurs afin de limiter les commotions. Les équipes médicales ont également accès à des données de santé des joueurs en temps réel.Business is business…
Au niveau business, les chiffres penchent en faveur du Football US. Même si le sport a du mal à se démocratiser en dehors des frontières américaines, la NFL et notamment le Super Bowl (la finale de la ligue) présentent des audiences et des revenus colossaux comparés à ceux du Rugby. Le prochain contrat de diffusion de la NFL portera sur 11 saisons (2023-2033) et rapportera entre 105 et 110 milliards de dollars à la Ligue, soit près de 10 milliards par saison. Autre chiffre qui montre la super puissance américaine, le coût d’un spot publicitaire lors de la mi-temps du Super Bowl : il faudra débourser 7 millions d’euros pour 30s de publicité. A ce prix-là, les annonceurs font forcément preuve d’une grande créativité pour se démarquer... Côté Rugby, on notera tout de même de belles perspectives, surtout en France avec la prochaine Coupe du Monde en septembre 2023. D’après les prévisions de l’organisateur, la compétition devrait générer un bénéfice net de 68 millions d’euros destiné au développement du rugby en France. Avec toutes ces informations, vous disposez de quelques arguments solides pour un débat entre amis sur le rugby et le football américain. Article rédigé par Vanillie EKOUMA26 Jan 2023
GSBM alumni interview Nathalie, FIFA 2022 World Cup
The view of an insider on how things went in Doha
On the 18th of December 2022, at the Lusail Stadium, the 22nd Men Football World Cup ended on a dramatic final, which saw Lionel Messi and his teammates winning the most desired trophy. Never in history, the attribution and the preparation of a World Cup had provoked this many reactions from governments, organisations, newspapers, and people all around the world. It was, within this tense climate, a little over a month ago, that our alumni Nathalie Deutsch, Workforce Operations Manager at TMS, was getting ready to live the biggest experience of her young career. A month later, we are reaching back to her, to have the view of an insider on how things went in Doha - Capital of the Qatari Peninsula. For our former Global Sport Business Master student, the general mood around the World Cup changed when the competition started. « A lot of people have criticized the competition, wanted to boycott, and they had their reasons for it. As a member of the staff, we did not agree with everything that happened here, however, at our level, we made sure to deliver everything ethically, and in a way, it was successful ».
Fan experience
Over the past 4 months, I had the chance to write a couple of articles on her adventures, which taught us a lot about the organisation of such an event, notably the fact that changes are made up to the very last minute, and the result is never guaranteed. However, the hard work and dedication of the teams paid off as the fan experience received great feedback. « I had the opportunity to see a few games, especially the semi-finals and the final, and I have to say, apart from a few things that you will always have in this kind of competition (queueing to get into the stadium, customer service that could be improved...), the services were great. Overall, it was super easy to get around and there was a great atmosphere ». Regarding the games she attended, one obviously stuck to her: the final! « 80% of the stadium was filled with Argentinian fans, they were good fun! Every time Messi touched the ball, the whole stadium was like… wow! It was special moment ».
Collaboration between multiple stakeholders
Organising a Global Sporting Event is about finding a way to successfully collaborate with multiple stakeholders. And we have known from previous interviews and the international press that it is not an easy process. Multiple newspapers relayed the difficult relations between FIFA and the Qatari Supreme Committee for Delivery & Legacy during the build-up of the competition. However, according to Nathalie, once the competition started, the momentum took over and everyone found a way to work together. « When the operations come live, the collaboration between stakeholders gets better. We have meetings, and every time there is a problem, a representative of each entity is present to discuss it and find a solution. Everyone came together and worked closely to get things done. The approaches are sometimes different from a stakeholder to another, but the end goal is the same, having a wonderful competition. I think that the World Cup brought the best out of Qatar, and that is what everyone saw, whether they were there or in front of their television ».
The World Cup Legacy
According to the Qatari’s ambassador in Russia, the total cost of the world cup is around $200bn, which is according to Sky Sports, « many times higher than any budget spent on similar events in history ». Qatar has built 8 stadia, over 100 hotels to host the teams and the fans, as well as a brand-new underground for the crowd to navigate easily. With all these news infrastructures, the question that is yet to be answered is the one about the legacy. For Nathalie, everything was planned. « In terms of transport, the metro is something that was needed, whether international competitions are happening or not, it will still be of great use for the locals and tourists ». « Regarding the stadia, from what we know, they will have a capacity reduction and will be used for local or international events » (as mentioned in the previous articles, Qatar will host the upcoming international Asian Games as well as the Asian Football Cup AFC). The Education City stadium will become part of the wider Qatar Foundation facilities for university students.
Post World Cup Duty
In the mind of most spectators, once the final is over everything ends and their lives go back to normal, and the only things remaining are memories. But for the managers on the field, it is another story. The work there isn’t quite finished, it is even the beginning of a new adventure. The first two weeks after the competition consisted of sending her staff home, and since the new year Nathalie has been focusing on a legacy job. « I am currently busy compiling information and data from the competition, then writing action reports, preparing handovers for whoever wants to know about the event, because there are other events coming up, and even if my team will not be there, someone will need to use what we built to deliver the future events ».
16 Jan 2023
Student Interview Joseph, Global Sport Business Master in Paris
21 years, 3 countries, 1 journey
H. Jackson Brown Jr. once said, « Twenty years from now you will be more disappointed by the things you didn’t do than the ones you did do », and if there was a student that embodied this mindset, it would be our Global Sport Business Master student Joseph Vincent De Perez, currently based in Paris. Born in Auxerre (France) from a Spanish dad and an English mother, Joseph grew up in London (where his mum was transferred to work) until he was 7 years old then moved to Spain where he did his primary and secondary school in an international campus. Perfectly fluent in 3 languages (French, English and Spanish) by the time he turned 18, Joseph decided to pursue his undergraduate studies in an international environment. Although tempted by the high standards and reputation of economic studies, Joseph followed his heart and went to Kent (England) to study a 3-year Sport Management Programme. With 300 hours of work placement and some solid knowledge about sports business, Joseph graduated from the British University, and decided to look for a Masters in which he could develop his international network as well as gain experience from high-end sports professionals.
His relationship with sports
Our polyglot student has always been a sports aficionado, « I started playing football in England when I was 4 years old and continued in every country I lived in. When I was in Spain, I was scouted to play for the Valencia Academy, which I did for a few years, but I was realistic, and I knew that a career as football player would be extremely difficult ». However, last year, while living in the UK, our AMOScian was scouted again, this time, to play 5-a-side in the first English division. « I was playing semi-professionally on BT Sport and travelling across the UK. Playing on a regular basis against the best players like the captain of Northern Ireland». A fantastic experience that he wishes to live again, in Paris this time, maybe?
Starting his international career
Although many students are attracted to sports clubs or event management, Joseph is targeting a career in management within worldwide organisations such as Nike, Puma, or Red Bull. But for now, his next challenge is to work for the Atlético Madrid Club as part of a summer job, and we wish him the very best in this fantastic opportunity. Written by Guillaume Faure, Communication Officer AMOS London16 Jan 2023
German student interview David, Global Sport Business Master in Paris
David Hollstein, a German student, has joined AMOS Paris
Since October 2022, David Hollstein, a German student, and former professional Horseback rider has joined AMOS Paris as part of the Global Sport Business Master programme. It is during an eclectic class, in the home of the 2024 Olympic Games that David decided to pursue his studies in Sport Management.A former Professional Athlete
From a very young age, David has trained as a Horse Back rider. This passion pushed him to train daily for a few hours after school until he had the opportunity to turn professional, at the age of 18. « At that time, I stopped school and decided to go after my dreams, they offered me professional training for 2.5 years which would give me a coaching degree, whilst giving me the possibility to carry on as a professional athlete. It was my dream as a kid, but Germany is very famous for having great horseback riders, and it is also known to be a tough field to succeed in. My family are from academic backgrounds, which pushed me to pursue my studies ». This became a choice that he is now glad to have make, as he has found his new passion by combining the economic, the business and the management aspects, alongside the sport element that he loves. At the time, his university in Germany - which specialises in Economics - had a partnership with a Spanish sport business school offering a double certification. He decided to seize the opportunity and received both qualifications after an incredible year in Santander, Spain.
Spain as a transition to France
« When I was in Spain, I became friends with a student who then went on to study at AMOS Toulouse. She had told me a lot about the school, and its programmes, so I went on Google to do some more research. I am convinced that travelling is good to develop one’s character, and when I saw the international aspect of AMOS, the seminars that they were providing in Seoul and in Chicago, as well as the different campuses in Europe I could study from, I was convinced. »His life in Paris
Even though settling into Paris was easy, as his sister was already living in the French Capital, David was a bit hesitant before making his big move. « I never lived in a major city before, so I did not know how I would react, but I have to say that now, I love it! There are so many things to discover, and free museums are just one example of how much this city has to offer. I want to take advantage of the historic aspect of Paris so I can absorb as much culture as I can. » David also knew that after spending years working out, practicing sports, and being close to nature, he would need a similar activity. « Since I arrived in Paris, I started a new sport, trail running. I am really getting into it; I have recently applied for a 30km race in Germany in May. I am preparing very seriously for it, hitting the gym 5 to 6 times a week. I personally need to have these challenges ahead of me, it keeps me balanced and motivated. »
The Paris campus, classmates and lecturers
« Diversity is key, and this is exactly what we have as part of the Global Sport Business Master promotion in Paris. Everyone is bringing their own culture, their own personality and I’m glad to be able to learn in such a diverse and genuine group of people. » Regarding the lecturers, David, who was used to a more theoretical approach when studying in Germany, was pleasantly surprised by the way AMOS is providing its lectures. « We have a lot of experienced lecturers, who have worked for major companies, Nike, Adidas, and others. They do not only deliver a lecture, but they also bring their own understanding of the current issues and make the class interactive, which is more interesting and makes the learning process highly practical. »His future
« I want to combine my passion for Horseback riding and my newfound interest in economics. There is the Global Champions Tour which is the equivalent of Formula One for Horseback riding. It is a big organisation; they travel all around the globe creating competitions. I have already done an internship at the German Olympic Committee of Horseback riding which opened my eyes on the whole industry. » « Working for them as part of the event management team would allow me to use my own experience as an athlete. Honestly, I do not know where I will be in 5 years, or where my career will take me, so while I am studying at AMOS, I am trying to take in as much knowledge as I can! »
Word of advice to international students
« Do not be afraid, it is always a big step to leave your country, but people will welcome you with open arms in any place you find yourself in. My philosophy is, when you are staying in your own country it is like reading repeatedly the same page of a book. But when you finally make that step, and go abroad, you will get to discover the many other pages that this book is made of. » Written by Guillaume Faure, Communication Officer AMOS London20 Dec 2022
GSBM Study Trip, ISPO European’s leading sports trade fair
The ISPO Trade Fairs
At dawn, on a smoggy Sunday morning late November, our Global Sport Business Master students (GSBM 1) landed in Munich - one of the most iconic European cities when it comes to sports. During their first year of the international Masters programme, our AMOScians learn about the European market, and there is no better case study than the European’s leading sports trade fair: ISPO. During 4 days, hundreds of companies showcased their latest innovative products on outdoors winter sports, while looking for new partnerships, and clients to shape the future of sports together. ISPO Munich is certainly a stage for solutions-oriented dialogues. From digitalisation to sustainability, the sports industry is facing several challenges, and what better than uniting the main players in the market, to exchange ideas, visions, and perspectives.
An opportunity to network
When surrounded by many worldwide brands and truly innovative products, it is easy to forget the reason of your presence, but it did not blur the vision of our students. Armand Ronvel (AMOS London) describes it here, « Professionals were very accessible, it did not matter if we were students, they took time to explain their different ranges of products as well as giving us tips for our future careers, and insights about the market. » For Maxime Jos (AMOS London) it was « a superb opportunity. I did not realise how big it was before getting there, just mind-blowing. It is impossible not to find the aspect of sports that is of interest to you, I am passionate about the fashion and retail aspect of sports, and there was so much in there for me. »
What else has Munich to offer?
Leaving ISPO on the side, our students got to discover the other facets that make Munich a World Sports capital. The Allianz Arena Stadium On their second day, after a morning spent networking at the trade show, the AMOScians experienced the atmosphere of the Allianz Arena. As they walked out of the tunnel, they went through the changing and the press conference rooms and discovered the fascinating details that make this stadium unique in its structural design. After the tour, the AMOScians immersed themselves in the German champion’s history by heading to the FC Bayern Museum. From the founding of the club, in 1900, to its current successes, our students lived a journey through time in the largest football museum of the country.

15 Dec 2022
Alumni interview, one-year experience in Qatar, FIFA 2022 World Cup
A journey of a young and talented woman
On the last article, we went through Nathalie’s journey as a science student to Workforce Operations Manager for the FIFA World Cup taking place this month in Qatar. In this second chapter, we will dive into her one-year experience in Qatar, then we will explore her future challenges with the FIFA World Cup.Adaptation to the Qatari life
Coming from a city like London, where she completed her Global Sport Business Master programme, it has been quite a change, not only in terms of temperature but as well in terms of lifestyle. « A regular working week here starts on Sunday and ends on Thursday, which gives us Friday and Saturday as weekend. As it gets hot very fast, we start working early in the morning. I wake up around 5:30 am every day and work from 7:30 am till 3:30 pm. » A change in her lifestyle that she welcomes, « it is hard to get used to it, but once you do, it is incredible the number of things you can get done in a day. It gives me time to relax and enjoy a late afternoon by the pool, or other activities after work. » If you are thinking that finishing work early afternoon and hanging by a pool is nice, wait to hear about what weekends are like there. « A great weekend starts with a Friday brunch which is a staple in this country. After that, I would go to a dhow cruise (typical Qatari boats), a desert safari, visit a Souq (traditional market around here) or do some dune bashing in a land cruiser. »
The evolution of mentalities in Qatar through sports
The first major international event that Qatar organised was the Asian Games, back in 2006. « It completely changed their view on sports » says Nathalie. « They now want to carry on organising major events, the Asian Games should return to Qatar in 2030 while the Formula 1 is set for 2023. » « People are more open minded, I do not think Qatar will end up like Dubaï, however, they are trying to keep their own identity, but attracting and being welcoming towards foreigners is something they are heavily working on. »From the FIFA Arab Cup to the FIFA World Cup
A year ago, and 5 days prior to the FIFA Arab Cup, Nathalie arrived in Doha and was put straight to the task. « The FIFA Arab Cup was a major test for both FIFA and Qatar. Some of the major stadiums were tested at the time, notably the Al Bayt stadium where the opening ceremony of the World Cup took place ». A period that she described as very challenging as the whole transport operations system was being tested daily. Once this first competition over, it was time for the managerial team to reflect on essential questions to best prepare for the WC. « What did we learn from the FIFA Arab Cup? What did or did not work? And what could be implemented better? » A few weeks later, adjustments and plans were made to make sure this upcoming World Cup would be a great success.
09 Dec 2022
L'Équipe devient partenaire officiel d’AMOS, une école du groupe ACE Education
Un partenariat gagnant
Le groupe L’Équipe, première marque d’information sportive et référence du journalisme sportif en France et à l’international, devient partenaire officiel d’AMOS Sport Business School, une école du groupe ACE Education. Organisation d’événements, nouvelles opportunités professionnelles pour les étudiants, rencontres et MasterClass inédites sont au programme de cette collaboration 100% gagnante. Depuis 2005, sur 12 campus en France, AMOS Sport Business School forme aux métiers du management du sport, de l’événementiel, du marketing sportif ou encore à l’entreprenariat. Son ambition : viser l’excellence afin de mener des étudiants passionnés de sport à un métier à haute responsabilité. Notre fierté ? Un réseau inégalé de partenaires dans le secteur du sport qui accompagnent la professionnalisation des étudiants, par ses intervenants qui sont des experts reconnus dans le secteur et la qualité d’enseignement qui a permis d’obtenir un taux d’insertion professionnel de 94,9%, 9 mois après obtention de la diplomation.AMOS devient ainsi la seule école de commerce 100% Sport Business partenaire officiel de L’Équipe
Sylvestre Louis, directeur général du Groupe ACE Education (à droite sur la photo) « Le Groupe ACE Education et AMOS Sport Business School sont heureux de signer ce partenariat officiel et innovant avec L’Equipe. C’est un rapprochement unique entre une école leader en management du sport et ce média sportif historique et de référence qu’est L’Equipe. Pour les étudiants du groupe ACE Education, ce partenariat permettra d’avoir accès à des expériences professionnelles innovantes pour mieux appréhender les enjeux des médias de demain. En lien avec nos approches de l’éducation, nous sommes convaincus que les immersions dans des environnements professionnels sont des opportunités uniques d’apprendre, mais aussi des opportunités pour de jeunes talents de se révéler en faisant naitre des vocations et d’accéder à des emplois qualifiés. » Laurent Prud’homme, directeur général du Groupe l’Equipe (à gauche sur la photo) « Je suis très fier d’être le parrain de cette promotion 2022/2023 d’AMOS Sport Business School et de représenter le groupe l’Equipe auprès de centaines de jeunes qui ont pour ambition de mener une carrière dans le management du sport. Cet engagement va dans le sens des actions que nous menons toute l’année à travers les stages d’études supérieures ou les contrats professionnels et d’apprentissage. Chaque année, l’Equipe ouvre ainsi ses portes à plus de 100 étudiants pour des échanges enrichissants où chacun peut apprendre et s’inspirer de l’autre ».08 Dec 2022
Nos AMOSciens sur le terrain - Spécial Bénévolat
Retour sur les dernières expériences pédagogiques et professionnelles...
A l’occasion de la Journée Mondiale du bénévolat le 5 décembre, retour sur quelques expériences pédagogiques organisées par les Labs AMOS de nos différents campus depuis la rentrée.Nos AMOSciens au cœur du volontariat sportif lyonnais

Du triathlon Bayman à La Route du Rhum, Théo, laborantin de Rennes en action

Les étudiants d'AMOS Toulouse au plus près des acteurs du sport

Le week-end international du Sport à Londres avec Armand

Timothée Skaghammar, un laborantin aux multiples compétences

Quentin Scherrer, laborantin Amos Strasbourg nous dévoile les coulisses de son travail

Les AMOSciens d'Aix et Marseille au cœur de l'événementiel sportif

AMOS Paris, la relève sur le TIBY Handball

Un début d'année actif pour le Lab de Bordeaux

02 Dec 2022
AMOS soulève les couleurs du volontariat...
Journée mondiale du bénévolat : 5 décembre
AMOS Sport Business School soulève les couleurs du volontariat à l’occasion de la journée du bénévolat afin de mettre en avant les étudiant.e.s qui s'impliquent au quotidien durant leurs expériences professionnelles grâce à la plateforme Volunteers4Sport. Dans le cadre de leur cursus, les AMOScien.ne.s participent tout au long de l'année à des évènements sportifs locaux, nationaux ou encore internationaux. En plus de l'expérience terrain sur des missions variées, ces heures dédiées à leur professionnalisation, leur permettent de gagner en responsabilité et en compétence tout en découvrant les coulisses de l'évènementiel, de la communication et ou encore du commerce.AMOS Lab : concepteur, organisateur, accélérateur de projets
Présent dans tous nos campus, l’association AMOS Lab a pour mission d'assurer à nos étudiants le lien entre le monde académique et le monde professionnel. Les AMOS Lab collaborent avec la plupart des acteurs du sport business sur les thématiques qui font leur quotidien. Ces expériences professionnelles permettent ainsi de mettre en pratique les différentes compétences acquises à l'école et contribuent à la construction de leur réseau dans le sport business. Les objectifs du AMOS Lab sont multiples : • Permettre aux étudiants de mieux définir leur projet professionnel • Construire un réseau avec les acteurs du secteur • Acquérir de l'expérience et des compétences terrain Autant d'aspects qui se révèleront être de vrais atouts lors de leur intégration professionnelle !
Exemple Montpellier avec l'Open Sud de France
« Grâce à AMOS Montpellier, j'ai pu participer à l'édition 2022 de l'Open Sud de France. Cela m'a permis de découvrir les coulisses d'un évènement de tennis international. Etre bénévole m'a donné l'opportunité d'avoir des missions autour de l'hospitalité comme l'accompagnement des joueurs et des entraîneurs, préparer le matériel pour les matchs ou encore être à la disposition des arbitres. Lier ma passion du tennis et côtoyer des athlètes internationaux m'a donné envie de réitérer l'expérience pour l'édition suivante ! » Thomas, étudiant AMOS Montpellier.